Mince alors, les cerveaux ont un sexe !

Si maintenant la science démontre que les cerveaux des hommes et des femmes se comportent différemment, voilà qui va mettre un coup au moral des wokistes et autres LGBTQIA+AZERTYUIOP.

Ainsi un article de Breizh-info, qui demande quand même à ce que la source soit vérifiée…
Effectivement, une étude de l’Université de Stanford a bien été publiée sur le sujet le 20 février 2024, et ce n’était pas la première si ce n’est qu’ici l’humain a été écarté de l’élaboration des résultats, ce qui évite la subjectivité…
https://med.stanford.edu/news/all-news/2024/02/men-women-brain-organization-patterns.html

A lire la première phrase : « Une nouvelle étude menée par des chercheurs de Stanford Medicine dévoile un nouveau modèle d’intelligence artificielle qui a réussi à plus de 90 % à déterminer si les analyses de l’activité cérébrale provenaient d’une femme ou d’un homme. »

Quand des expériences scientifiques sont menées, un protocole expérimental est défini de façon à ce que chacun -enfin les scientifiques concernés- puisse l’analyser et le reproduire (à charge de vérification)… Ce que les chercheurs de Standford ont fait.

Pour éviter une traduction parfois difficile, prenons le résumé de Breizh-Info.

Les cerveaux des hommes et des femmes sont bien différents. La preuve par l’IRM

Des scientifiques de l’Université de Stanford ont découvert des différences fonctionnelles dans les cerveaux des hommes et des femmes, confirmant l’influence du sexe sur la cognition et le comportement. Cette avancée majeure, publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, ouvre la voie à une meilleure compréhension des troubles neurologiques et psychiatriques qui affectent différemment les sexes.

Controverse autour des cerveaux sexués

La question de savoir si les cerveaux des hommes et des femmes diffèrent structurellement et fonctionnellement a longtemps alimenté la controverse. Certains chercheurs affirment que les variations observées sont dues à des facteurs sociaux et environnementaux, tandis que d’autres soutiennent une base biologique.

L’étude de Stanford a utilisé l’IA explicable pour analyser les IRM cérébraux de plus de 1 500 participants. L’algorithme a pu distinguer les sexes avec une précision de plus de 90% en se basant sur l’activité de zones clés du cerveau, notamment :

  • Le réseau du mode par défaut: impliqué dans l’introspection et la mémoire autobiographique.
  • Le système limbique: lié aux émotions, à la mémoire et à la motivation.
  • Le striatum: crucial pour la formation des habitudes et la recherche de récompenses.

Implications pour la cognition et le comportement

Ces différences fonctionnelles pourraient expliquer les variations observées entre les hommes et les femmes dans des domaines tels que :

  • Langage et communication: les femmes excellent généralement en lecture et en écriture.
    Mais il y a aussi des hommes excellents en ces activités…
  • Perception spatiale: les hommes ont souvent une meilleure vision spatiale et une meilleure mémoire de travail.
    Mais il y a aussi des femmes excellentes en ces qualités…

L’influence du sexe sur les troubles neurologiques

Les zones cérébrales différenciées par l’IA sont également impliquées dans des troubles comme la dépression, la toxicomanie et la dyslexie, qui affectent les hommes et les femmes de manière disproportionnée.

Le Dr Vinod Menon, auteur principal de l’étude, souligne l’importance de ces découvertes pour la recherche future :

“L’identification de différences cohérentes et reproductibles entre les sexes dans le cerveau adulte sain est une étape essentielle vers une meilleure compréhension des vulnérabilités spécifiques au sexe dans les troubles psychiatriques et neurologiques.”

L’équipe de Stanford met son modèle d’IA à la disposition de la communauté scientifique pour explorer d’autres questions relatives à la connectivité cérébrale, aux capacités cognitives et au comportement.

Les résultats ont été publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

En conclusion, cette étude révolutionnaire apporte des preuves concrètes de l’influence du sexe sur le fonctionnement du cerveau. L’IA s’avère un outil précieux pour décrypter les complexités du cerveau humain et ouvre la voie à des traitements plus précis et personnalisés pour les troubles neurologiques et psychiatriques. Les LGBTQRWOkistes en PLS ?

Voilà qui pour ma part ne m’étonne pas.

Je vais conclure par une anecdote prêtée à Marie Curie.
A la question qui lui est posée, certainement déjà un journaliste, « Qu’est-ce que cela fait d’épouser un génie ?« 
Et Marie Curie de répondre « Allez donc demander à mon mari !« .

Note de Christine Tasin

En fait, même si le sujet est intéressant, il ne peut pas répondre à la question posée car on ne saura jamais ce qu’était le cerveau originel de l’homo sapiens. Est-ce que c’est l’habitude pour les femmes d’être plutôt relayées à la maison, aux soins des enfants et à la cuisine, voire à la culture du potager pendant que les hommes chassent, se battent, défendent leur pré carré qui a entraîné les différences évoquées ci-dessus ? Si ce n’est pas le cas, cela voudrait dire qu’il y aurait une « nature » masculine et une « nature » féminine voulue par Dame Nature dans des buts obscurs. Mais qu’est-ce que cela fait au fond ? On a toujours eu des génies et féminins et masculins. J’évoquais il y a peu les travaux d’une Emilie du Châtelet qui traduisait les travaux de Newton. Quant aux barbares, aux monstres, il est certain qu’il y en a plus de masculins dans l’historie du monde mais si toutes les femmes avaient été des guerrières, des amazones… il y aurait sans doute autant de femmes que d’hommes…

Complément de JPSM.
Nul n’ignore le comportement des femelles animales, à plus forte raison chez les mammifères. 
Dans une émission concernant des fouilles proches de l’Afrique du Sud, sur un terrain aux alentours de 2,6 millions d’années (effondrement d’une grotte ayant piégé de nombreux individus à la fois animaux et australopithèques), il est apparu deux branches aux caractéristiques physiques opposées issues simultanément des australopithèques. La première est plus trapue, les petits pour ne pas dire enfants (classés dans les hominidés, une branche parallèle à celle conduisant à l’homme actuel)  sont vite autonomes et quittent la protection maternelle très tôt. La seconde plus menue, mais les petits restent plusieurs années -3 ou 4- avec leur mère… La première s’est éteinte rapidement, la seconde a poursuivi son évolution semble-t-il. 
N’a-t-on pas là l’explication d’une nature nécessairement différente entre l’homme et la femme sans y voir une quelconque supériorité de l’un des sexes, comme si l’un pouvait se passer de l’autre…

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12 Commentaires

  1. Mais hélas le cerveau de l’homme nouveau qui envahit l’Europe est entre ses jambes , voire tous les viols que subissent les femmes . Ce cerveau nouveau dépose très peu de brevets , même en littérature .

  2. Nous,nous ne sommes pas inférieures mais différentes,nous n’avons pas les mêmes défauts ni les mêmes qualités.On a beaucoup parlé de :cerveau gauche,cerveau droit.Mais je le sais, pour moi,les filles sont quelques fois beaucoup moins bonnes en mathématiques.

  3. Les musulmans connaissent bien,la différence,qu’il y a,entre le cerveau des hommes et celui des femmes. Tout d’abord,ils exigent que leurs femmes,portent un voile;et ensuite,comme ils le disent bien souvent; »Avec les jeunes Françaises,c’est trop facile ». Ce n’est pas moi qui le dit,et il y a quelque chose,qui n’est pas bien difficile à comprendre,dans ce comportement,qu’ont les musulmans,vis à vis des femmes.

  4. Ce principe débile ne s’applique pas qu’à nos moitié ,mais aussi aux pauvres , le système pyramidal ne peut être ébranlé .Et pourtant cette vidéo et les propos d’une grande humilité du principal protagoniste démentent nos idées reçues . Pour ceux qui ne connaissent Jean Frêne
    suivez le lien puis cherchez qui il est .Dans la vidéo vous verrez qu’il est bien le fils de sa mère .Dans d’autres conditions elle aussi aurait pu être une autre Marie Curie .
    https://youtu.be/s-c9SSux5wM

  5. Pour vous mettre tous d’accord, les femmes ne sont pas inférieures aux hommes. Loin de là .Quand je vois certains brillants sujets de notre monde politique, sportif, ou autres sphères de l’intelligentsia, je constate qu’ils réfléchissent souvent avec ce que vous savez. Il n’est qu’à voir les scandales sexuels qui émaillent notre époque. Ce qui expliquerait aussi la déroute de notre société dans tous ses secteurs, économique, intellectuel, etc.

  6. Ce n’est pas une IA conçue par des humains qui sera impartiale, il faudrait pour cela une analyse par une entité extérieure à homo sapiens! Les Américains ont déjà essayé de prouver par A+B qu’il y a une différence entre les cerveaux masculins et féminins, bien sůr en défaveur de ces derniers! Ces études pernicieuses, dont on se demande l’utilité pratique, n’ont en réalité que pour but de trouver des pseudos preuves de l’infériorité de la gente féminine si bien enseignée par les religions. Comme le dit Christine, en laissant les femmes dans l’ignorance et cantonnées dans des emplois ingrats, on ne peut pas être impartial sur le sujet. Il ne faut pas confondre le wokisme qui est une absurdité en soi et le noble féminisme qui lutte contre une soumission abjecte d’un sexe sur l’autre.

      • Vous avez raison Agathe autant pour moi, on ne met plus le « e » a gent aujourd’hui, mais mon gout pour la littérature du 19 eme siècle fait que j’ai encore la sale habitude d’utiliser l’ ancienne forme orthographique courante à l’époque.

    • « Les Américains ont déjà essayé de prouver par A+B qu’il y a une différence entre les cerveaux masculins et féminins, bien sůr en défaveur de ces derniers! »

      Non, il y a eu des études en faveur du féminin.

      Les Américains adorent les « études », parfois unique voire sommaire, et non représentatives bien souvent à grande échelle, mais dommage que l’on prenne cela pour du pain béni (c’est plus simple). Le cognitif est à la mode (surtout à l’éducation Nationale) mais ce n’est que la surface d’une simple dynamique, l’essentiel est de se demander ce qui anime, en profondeur, cette dynamique.

      « … en laissant les femmes dans l’ignorance et cantonnées dans des emplois ingrats »

      Est ignorant qui veut. Je ne sais pas ce que l’on appelle des emplois ingrats, mais je sais qu’il y a des femmes au foyer très intelligentes qui savent optimiser leur temps positivement et y trouver du plaisir, et des femmes qui travaillent à l’extérieur mais qui ont un QI d’escargot.

      Le monde n’est pas binaire.

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