Le gouvernement va ramener à 0,2 % sa prévision de croissance pour 2024. Les ministres de l’Economie et des Finances divergent toujours sur les moteurs à activer pour relancer la croissance.
« Dramatique », selon le ministre de l’Economie, Robert Habeck. « Dangereuse sur le plan social », d’après le ministre des Finances, Christian Lindner… Cette analyse de l’économie allemande, livrée mercredi par deux piliers du gouvernement, a de quoi faire froid dans le dos.
Depuis des mois, les prophéties d’une récession se multiplient. L’Allemagne fait déjà figure de lanterne rouge en Europe. L’OCDE a divisé par deux ses prévisions de croissance au titre de cette année. Le gouvernement devrait lui aussi revoir ses ambitions à la baisse : le PIB progresserait de 0,2 % en 2024, au lieu des 1,3 % annoncés jusqu’ici.
« Tempête parfaite »
« La situation est dramatiquement mauvaise », a commenté mercredi Robert Habeck lors d’un débat à Leipzig. Une « tempête parfaite » se prépare, selon lui, sur la base de trois éléments qui pourraient faire « l’effet d’une bombe » : l’augmentation des dépenses militaires, qui vont passer à 100 milliards d’euros, la hausse des prix de l’énergie et la situation en Chine dont dépendent les exportateurs allemands.
Dans les secteurs clés de la chimie, de l’immobilier et de l’automobile, les annonces de licenciements se succèdent. Mercredi encore, l’équipementier automobile Continental a ajouté 1.750 suppressions de postes aux 5.000 annoncées en novembre. Chez son concurrent ZF, les conflits sociaux se succèdent alors que la direction a annoncé parallèlement la fermeture de deux usines et une délocalisation aux Etats-Unis. Le troisième sous-traitant automobile, Bosch, a lui aussi annoncé 3.000 suppressions d’emplois.
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C’est également l’hécatombe dans la chimie, à l’origine de la chaîne de valeur, depuis que BASF a annoncé la fermeture d’une partie de sa production. Avec la hausse des coûts de l’énergie, les annonces de délocalisations se multiplient, comme celle du producteur d’électroménager Miele qui va construire ses machines à laver en Pologne à l’avenir. Il s’agit d’un « bouleversement structurel, presque tectonique », a commenté Jochen Schönfelder, expert du Boston Consulting Group dans le magazine « WirtschaftsWoche ».
D’accord sur le diagnostic, les ministres en tirent toutefois des conclusions opposées. L’écologiste Robert Habeck souligne qu’il faut plus que jamais réfléchir à lever le « frein à la dette », cette disposition constitutionnelle qui limite les capacités d’endettement et d’investissement du gouvernement. Pour le libéral Christian Linder, le « tournant économique », passe en priorité par une réduction de la bureaucratie qui entrave l’investissement des entreprises. L’industrie plaide quant à elle pour la conclusion de nouveaux accords de libre-échange, avec notamment le Mercosur sud-américain , bloqué par la France, pour relancer les exportations.
Nathalie Steiwer (Correspondante à Berlin)
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Ils ont voulu tuer la filière nucléaire pour obéir aux escolos, voilà le résultat.
Sans énergie abondant et peu chère, plus rien ne fonctionne .
La situation de toute l’UE est dramatique à force de distribuer des milliards et à contraindre l’économie.
Toutes cette génération se salopards et ou d’ex Nazis vont nous faire tomber dans une guerre seule issue pour assurer leur soif de pouvoir et de destruction.
150 Millions pour les paysans et 3 Milliards + armes et munitions pour l’Ukraine ! La République de France surendettée est le pays qui distribue le plus d’argent inutile, davantage que les USA ! A cela il faut ajouter le prix des migrants, le ralentissement de l’économie, les couches pharaoniques locales qui n’ont plus le sous et le gouffre du sacre du Roi de France lors des JO. Fin 2024 va être joyeux. J’avais oublié peut être le pire ces sinistres qui viennent de voter le statut d’Etat pour l’Europe ! le rêve de Macron d’en être le Président
Les agriculteurs peuvent beugler de tout leur souffle, et ils sont nombreux à avoir voté puis revoté macron, le mercosur aura lieu en dépit des mensonges macronneux, sauf si comme je l’implore, macron et sa clique européenne sont électoralement éradiqués le 9 juin prochain. A défaut ils pourront vendre leurs tracteurs aux exploitants multi possédants tel que le président de la FNSEA, et allez déposer un CV chez Renault pour fabriquez les Zoés. Un éleveur de chèvres serait prospère si l’on mangeait de la castéra ou de la beloubet, mais les cheiks du désert préfèrent rouler dans des mercos ou des BM et se taper de la belle blonde occidentale.
Pas de crainte pour l’Allemagne, 3° puissance économique tout de même. Les Allemands se referont la santé sur le dos de ces naïfs de Français, en particulier avec le benêt de service : Macronus jupetirus.
Mais quand même, la guerre est mauvaise conseillère, ils auraient dû laisser en paix la Russie, en faire une amie au lieu de la feinter avec les faux accords de Minsk. L’expérience avec Adolf aurait dû leur servir de leçon. Mais chassez le nazi, il revient au galop, n’est-il pas Van der Hyène ?
Même zozo que le freluquet, même résultats économiques. les allemands et les français doivent se donner la mains pour virer ces mécréants ainsi que tous les commissaires européens et la hyène sans oublier de les juger pour assassinat de masse.
Bien fait pour leur gueule , ils y a des années ils faisait les malins , remplissant le pays avec des envahisseurs , l argent coulait a flot , maintenant ils sont fauchés et le pays est.. colonisé et occupé par l’Islam.
Ça pue autant qu’en 1929
On est pas loin derriere!
Le vieil adage romain « Aujourd hui,moi.Demain,toi… »
L’UE est un grand malheur pour toute l’Europe. Les petits hommes gris et la hyène en tête ont tout fait pour détruire l’europe. FREXIT VITE c’est urgent.
L’Allemagne ne fait que récolter que ce qu’ils ont semé:
– remplacement de leur population par des afghans, des syriens, des turcs
– baisse importante de la démographie = perte de leur identité, de leur savoir -faire
– arrêt de l’achat à bas coût du gaz russe, pour l’acheter très cher aujourd’hui
– partir en guerre contre les russes = perte des nombreux marchés dans le monde
– crise après crise dans l’UE car l’Allemagne cherche à mener les autres pays à perdre leurs valeurs, leurs identités
– accords avec des pays qui détruire l’agriculture française, européenne
– et ce sera la fin des véhicules thermiques…
– que de gros bouleversements en perspectives, et de l’instabilité dans tous les domaines
Depuis près de vingt ans, ils prospéraient grâce à une zone DM qu’ils avaient su imposer à vingt pays. C’est un peu comme le dollar US, mais en plus petit. Quant à la tempête « qui se prépare », nous sommes tous logés à la même enseigne. Souhaitons que nous saurons abandonner un € qui ne sera plus tenable. L’économie aura finalement raison de la construction idéologique.