Bayrou, copain de Macron : relaxé… Bayrou quitte Macron : appel sur sa relaxe !


Tiens, tiens…
Lundi : François, copain (presque) comme cochon avec Emmanuel, est relaxé par des juges (pas forcément macroniens).
Mardi : François s’entretient, tout plein d’espoir en une entrée, grâce à Emmanuel, une entrée forcément majestueuse, dans la « team » -il faut impressionner Emmanuel, « équipe », c’est franchouillard !-

oui, la « team » de Gabriel !

Mercredi : « Monsieur » Bayrou se sent humilié et se fâche (presque) à vie avec « Monsieur » Macron. Crime de lèse-majesté voire de lèse-macronie, il lui claque la porte au nez !

Jeudi : coïncidence ou conséquence, d’autres juges (pas obligatoirement pro-Macron mais certainement au moins un peu…) se font un plaisir de faire connaître leur décision à celui qui est en bisbille avec Macron : ils font appel de sa relaxe !

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N’est-ce point curieux voire suspicieux ?
François Bayrou, copain voire ami d’Emmanuel Macron, se voit bénéficier d’une relaxe de la part de juges -l’objet du procès est secondaire-. Il est tout heureux. Il va voir son copain trônant à l’Élysée car il espère en un siège bien rembourré dans l’équipe du p’tit jeunot Attal.

Mais ni le jeunot, ni le p’tit jeunot ne veulent lui glisser, sous les fesses, un fauteuil suffisamment moelleux et, sous le bras, un maroquin honorable ! 
Conséquence pour la (presque) majorité d’Emmanuel, Bayrou vexé -comme l’a fait remarquer une personnalité- «  claque la porte non en partant (puisqu’il n’est jamais entré au gouvernement) mais de l’extérieur ! » Ce qui ne s’était jamais vu !

Et, cerise sur le gâteau -qui n’a été livré qu’après son départ !- mais ce n’est peut-être qu’une banale coïncidence de calendrier, c’est possible… Toutefois, cette coïncidence est bien curieuse, pour ne pas dire suspecte…

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 «Suspecte », un mot avec lequel on ne peut jouer surtout pour accuser des magistrats pour lesquels il n’y a que de « présumés » coupables tant que ces « présumés » n’ont pas été jugés par des juges et non par la vox populi devenue, avec le numérique, la « box populi » !

D’accord, mais quand les « présumés » coupables sont des juges ?
François Bayrou est donc reparti avec la querelle entre les gentils et les méchants juges ! 
-même si, pour l’instant, il est « présumé » innocent- oui, il est reparti pour quelques mois voire quelques années avec cette « innocence », la justice se f…tant du temps que les justiciables peuvent passer à attendre que cette… juste tisse sa toile de plus en plus souvent un peu n’importe comment… Voir les affaires concernant des délinquants ou des criminels pour lesquels cette justice tisse des toiles à larges trous… Les trous appelés TIG, les Travaux d’Intérêt Général !

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/assistants-parlementaires-du-modem-le-parquet-fait-appel-de-la-relaxe-de-francois-bayrou-8832781

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À l’appel de sa relaxe, Bayrou a aussitôt répondu sans utiliser un style ampoulé mais simplement et directement, il a déclaré : « Ils peuvent faire appel, il n’y a rien »
C’est d’ailleurs le titre, ce jeudi, du Point qui a obtenu un entretien avec l’ancien « relaxé », Le Point qui précise en sous-titre :

« Le président du MoDem assure auprès du « Point » qu’il « fera face avec la même combativité ».

L’article ouvre sur la réflexion quelque peu désabusée de l’élu, réflexion en forme de tacle à ces juges :
« Je ne suis pas surpris, car je m’attends toujours au pire. »
Et, effectivement, pour lui, cet appel annoncé ce 8 février par le procureur de Paris, Laure Beccuau, c’était le pire.

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Mais M. Bayrou reste optimiste :

« Ils peuvent faire appel, ça ne tiendra pas plus la seconde fois que la première fois, car ce n’est pas vrai ; les accusations portées contre moi sont totalement infondées (…) Ils n’ont rien trouvé en première instance, car il n’y a rien. Nous ferons face, avec la même combativité, sauf que tout cela va coûter et mobiliser une somme d’argent considérable », évoque François Bayrou, qui se risque à avancer un chiffre : entre 3 et 5 millions d’euros en frais d’enquête, d’avocats et de procédure, pour un préjudice – qu’il conteste – estimé à 200 000 euros sur quinze ans. « Vous vous rendez compte, tout cet argent ? » interroge-t-il. »
À la question cet appel est-il un acharnement, M. Bayrou évite une réponse directe :
« Je n’emploie pas des mots comme ça, mais vous avez le droit de le penser. »
Et comment exercera-t-il sa défense :
« Notre ligne de défense sera la même puisque toutes les accusations se sont effondrées lors du premier procès ». Il ajoute dans un long soupir : « Sept ans que ça dure, sept ans… »

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Mais Le Point se veut rassurant pour les fans de cet élu :
« Non, il n’est pas affecté, mais résolu à se défendre et à ne pas laisser compromettre sa probité :

« S’ils (les enquêteurs et les magistrats) avaient trouvé un seul élément, ils n’auraient pas manqué d’en faire des montagnes et des pièces montées. Mais ils n’ont rien trouvé, car il n’y a rien », martèle-t-il. »

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L’attelage Macron-Attal aurait pu, même avec un Bayrou de nouveau devant des juges, lui accorder une place confortable dans ce gouvernement car il n’aurait été qu’un « présumé innocent » de plus parmi la majorité de ministres « présumés » choisis pour ce gouvernement Attal-1 !
Voir dans RR du samedi 13 janvier 2024 :
« Le gouvernement Attal 1, dit “Attila Huns” et ses ministres “présumés innocents” »

https://resistancerepublicaine.com/2024/01/13/le-gouvernement-attal-1-dit-attila-huns-et-ses-ministres-presumes-innocents/

JACQUES MARTINEZ, journaliste 
ancien chef d’infos de nuit à RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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