Ils veulent faire passer « l’histoire européenne » (Kézaco ?) avant l’histoire nationale : Europa delenda est

L’UE, l’Europe… à l’origine de tous les maux passés, présents et à venir. La dernière en date, c’est une  résolution adoptée le 17 janvier dernier par le Parlement européen ( qui n’a pas le droit d’initiative, mais peut proposer des rapports).

Cette résolution est claire et sans ambages, ils n’ont même pas honte :  elle invite, entre autres monstruosités visant à nous faire disparaître nous, les peuples européens, nos valeurs et nos histoires, à remettre en cause les stéréotypes et les vaches sacrées des histoires nationales en proposant  aux  États membres d’ actualiser leurs programmes d’études et méthodes d’enseignement existants afin de faire passer l’histoire européenne et mondiale avant l’histoire nationale », pour « remettre en cause les stéréotypes et les vaches sacrées des histoires nationales ».

Pendant ce temps, vous l’avez deviné, le même Parlement où les « progressistes » à la macron sont majoritaires, nous invite à accepter les coutumes, stéréotypes et vaches sacrées des autres peuples chez nous, comme le hidjab, le halal, l’islam et ses déséquilibrés. C’est d’ailleurs suite à la brillante suggestion d’un député chypriote « progressiste » que le rapport sur « la conscience historique européenne » est sorti…

On est en plein dans la réécriture de l’histoire, confiée à des « chercheurs, enseignants et professeurs »… de gauche, forcément et wokistes à fond. Adieu toute histoire nationale, adieu toute évocation des horreurs créées par certains, individus et peuples, pour ne glorifier que le nouveau mantra. Sus au patriotisme et vive l’homme nouveau cher à Davos et à Bill Gates qui, bien entendu, mettent leur nez dans la formation du nouvel homme  ectoplasme européen .

Surtout plus de culture du souvenir, foin des commémorations et des cimetières. Faisons disparaître le Vel D’hiv, Auschwitz,  Oradour…  Brûlons ces témoins que nos enfants ne sauraient voir ! Brûlons les livres qui en parlent.

Si vous ne l’avez pas lu, je vous invite à découvrir Fahrenheit 451, de Bradbury. Il l’a écrit en 1953. Les pompiers brûlent les livres et les maisons les hébergeant… On y est !

Récrire l’histoire, parler de l’ambigu chevalier d’Eon et d’Olympes de Gouges plutôt que de Louis XIV et de Robespierre… C’est déjà un sacré bordel dans la tête de nos gosses qui n’ont plus du tout les repères que nous avons, alors là c’est clair leur objectif de tuer le petit Français, le petit Espagnol, le petit Allemand pour ne plus laisser qu’un petit Européen baba devant un petit Marocain ayant des racines… 

Et tout ça grâce à des manuels d’histoire transfrontaliers….

Réécriture de l’histoire et rééducation permanente. C’est l’obsession des régimes totalitaires. Au cas où vous n’auriez pas encore compris…

Vu…

[…]

A.  considérant que le passé complexe, conflictuel et contesté de l’Europe représente à la fois un défi et un avantage pour l’intégration européenne, reconnaître qu’une conscience historique éclairée favorise la compréhension mutuelle et la tolérance;

B.  considérant que les injustices fondées sur le genre, les croyances et l’appartenance ethnique sont ancrées dans l’histoire européenne depuis de nombreux siècles, se manifestant notamment par l’antisémitisme et l’antitsiganisme, et qu’elles sont lourdes de conséquences pour l’Europe et le reste du monde;

C.  considérant que la réflexion sur l’histoire et les injustices historiques contribue à lutter contre les différentes formes d’intolérance et d’inégalité et à construire des sociétés plus inclusives;

D.  considérant que l’histoire ne doit jamais être relativisée, déformée ou falsifiée à des fins politiques;

E.  considérant que le négationnisme historique et d’autres formes d’interprétations biaisées de l’histoire représentent une menace majeure qui attise la méfiance et les conflits entre les peuples et les nations et sape les efforts visant à encourager la justice historique ainsi que la réconciliation;

F.  considérant que la confrontation avec le passé exige une impartialité et une objectivité extrêmes, tant dans le domaine de la recherche historique que dans le domaine politique;

G.  considérant que la mémoire historique comporte un degré certain de subjectivité, étant donné que le choix de ce dont il convient de se souvenir et la manière dont le passé est interprété impliquent nécessairement des jugements de valeur;

H.  considérant que s’il existe des «faits historiques» qui s’appuient sur des travaux historiques professionnels, tels que la recherche, l’enseignement et la préservation des sources et des sites historiques, il n’existe pas de «vérité historique» unique, monolithique, incontestable et éternelle qu’un groupe ou une nation spécifique puisse monopoliser et revendiquer de manière exclusive ou utiliser pour nier l’existence d’autres peuples, nations ou États;

I.  considérant que les approches interdisciplinaires et la contextualisation sont des éléments essentiels de l’enseignement de l’histoire, qui doit être associé à l’éducation à la citoyenneté européenne ainsi qu’aux programmes d’échange et de mobilité;

J.  considérant que la promotion d’une conscience historique critique par-delà les frontières, par des moyens éducatifs et autres, est essentielle pour permettre aux Européens de comprendre et d’accepter leur passé, d’aborder le présent avec confiance et d’œuvrer en faveur d’un avenir commun;

K.  considérant que la conscience historique européenne s’entend comme une capacité et une compétence individuelle et collective à comprendre, à évaluer de manière critique et à tirer des enseignements de l’histoire, ce qui facilite la reconnaissance du lien et de l’interdépendance inextricables qui existent entre le passé, le présent et l’avenir;

 

Aborder le passé de l’Europe comme un risque et une opportunité

..

1.  reconnaît que les histoires diverses et souvent conflictuelles des nations et des États européens rendent difficile et potentiellement dangereux tout effort pour gérer l’histoire au niveau politique, et que les tentatives visant à influer la manière de commémorer et d’interpréter le passé s’avèrent toujours difficiles;

2.  souligne le potentiel du principe de l’historia magistra vitae et estime en particulier que les périodes tragiques et les éléments sombres de l’histoire de l’Europe sont un rappel vigoureux des erreurs du passé à ne pas répéter, mais également un appel à œuvrer ensemble en faveur de sociétés démocratiques et inclusives dans l’Union et le reste du monde;

3.  estime qu’une approche responsable, factuelle et critique de l’histoire, axée sur les valeurs européennes communes, est une condition sine qua non pour tout organe politique démocratique, afin de sensibiliser les générations actuelles et futures aux réalisations et aux aberrations du passé, de renforcer un discours public faisant preuve d’esprit critique, et de favoriser la compréhension et la réconciliation au sein de certains groupes sociaux, nations et États et entre ceux-ci;

Politique du passé dans l’Union européenne – une évaluation critique

4.  souligne la nécessité d’une évaluation honnête de la «politique du passé» de l’Union, par laquelle elle s’est efforcée de donner plus de légitimité au projet européen, de renforcer un sentiment d’appartenance à l’Europe et d’encourager la coexistence pacifique des peuples du continent, en reconnaissant de manière égale les réalisations et les lacunes existantes et en examinant attentivement les moyens par lesquels les citoyens ont été encouragés à se confronter au passé;

5.  salue l’ensemble des initiatives passées et présentes au niveau européen visant à promouvoir une mémoire historique européenne commune, notamment la Journée commémorative de l’Holocauste, la Journée européenne de commémoration des victimes de tous les régimes totalitaires et autoritaires, la mise en place d’un volet consacré à la mémoire dans l’ancien programme «l’Europe pour les citoyens» et dans le programme actuel «Citoyenneté, égalité, droits et valeurs» (CERV), ainsi que les diverses résolutions du Parlement telles que celle du 2 avril 2009 sur la conscience européenne et le totalitarisme et celle du 19 septembre 2019 sur l’importance de la mémoire européenne pour l’avenir de l’Europe;

6.  se déclare préoccupé par la persistance d’une concurrence latente et d’une incompatibilité partielle entre les différentes conceptions de la mémoire et cultures du souvenir en Europe, notamment entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est, mais aussi entre les pays et les nations de certaines parties du continent; souligne que tous les pays européens ont des expériences à la fois concordantes et divergentes qui appartiennent à une histoire européenne commune; reconnaît les crimes commis par les régimes totalitaires nazis, fascistes et communistes, et à l’époque du colonialisme, et le rôle que ces crimes ont joué dans la formation des perceptions de l’histoire en Europe; souligne la nécessité de réduire les fractures régionales et idéologiques existantes en matière de prise de conscience historique entre les pays et les peuples européens, afin de créer un espace commun de dialogue, de compréhension et de respect mutuels;

7.  reconnaît que les horreurs du passé servent de «mythe fondateur négatif» et donnent un sens profond au projet de paix européen, mais constate que le souci de l’Union de raconter son histoire ex negativo risque de nourrir une conception téléologique, simpliste et manichéenne de l’histoire, ce qui pourrait nuire à une compréhension pleinement informée du passé complexe de l’Europe et réduire les incitations à remettre en cause les stéréotypes et les vaches sacrées des histoires nationales;

Vers une conscience historique informée en Europe

8.  reconnaît la nécessité d’une compréhension plus large et plus globale de l’histoire européenne pour qu’émerge une conscience historique européenne critique et capable de se remettre en question, notamment en élargissant le champ des initiatives européennes actuelles liées au travail de mémoire, en tenant dûment compte également des groupes qui ont été sous-représentés jusqu’à présent, et en promouvant de nouvelles méthodes d’enseignement de l’histoire;

9.  souligne qu’il importe de s’écarter d’une «culture du souvenir» européenne principalement imposée par les autorités dans le souci de définir ce dont les Européens devraient se souvenir, et de se tourner vers une «culture du souvenir» émanant de la population et axée sur les citoyens, fondée sur des valeurs et des principes européens communs, en se concentrant sur le développement des capacités de réexamen critique du passé aux niveaux local, régional, national et européen, avec la participation des organisations de la société civile;

10.  reconnaît qu’il est fondamental d’examiner le passé de l’Europe à la lumière des valeurs européennes fondamentales consacrées à l’article 2 du traité sur l’Union européenne, et des traditions éthiques et philosophiques qui sous-tendent ces valeurs, ainsi que de créer un espace de discussion ouvert qui permette également d’aborder des éléments difficiles des histoires nationales et qui garantisse une compréhension mutuelle et une réconciliation entre les différentes nations européennes et à l’intérieur de ces dernières, ainsi qu’entre les nations européennes et le reste du monde;

11.  estime que la liberté d’enseigner, d’étudier et de mener des recherches, y compris le libre accès aux archives et aux sources, parallèlement à la liberté d’expression artistique, est une condition préalable à la production et à la diffusion de connaissances impartiales et fondées sur des données probantes dans les sociétés démocratiques, et à un traitement critique de l’histoire en particulier; invite la Commission et les États membres à protéger ces libertés qui sont actuellement menacées, en particulier par des cas de détournement des lois relatives à la mémoire, y compris en recourant au mécanisme européen de protection de l’état de droit;

12.  souligne le rôle essentiel de l’éducation et invite les États membres à actualiser leurs programmes d’études et méthodes d’enseignement existants afin de faire passer l’histoire européenne et mondiale avant l’histoire nationale, et de mettre davantage l’accent sur une compréhension supranationale de l’histoire, notamment en permettant des perspectives multiples sur l’histoire et en encourageant les styles d’enseignement correspondants qui privilégient la réflexion et la discussion plutôt que le transfert de connaissances, et qui ont pour objectif général d’amener les étudiants à «apprendre à penser» plutôt que de leur dire «ce qu’ils doivent penser»;

13.  souligne combien l’apprentissage de l’intégration européenne, de l’histoire, des institutions et des valeurs fondamentales de l’Union ainsi que de la citoyenneté européenne est indispensable à l’émergence d’un sentiment d’appartenance européenne; demande que l’enseignement de l’histoire européenne et de l’intégration européenne, qui doit être envisagée dans un contexte global, et l’éducation à la citoyenneté européenne fassent partie intégrante des systèmes éducatifs nationaux; reconnaît les efforts déployés au niveau de l’Union pour améliorer les connaissances sur l’Union et son histoire, notamment avec les actions dites «Jean Monnet»; invite la Commission et les États membres à travailler, notamment dans le cadre du groupe de travail sur l’égalité et les valeurs de l’Espace européen de l’éducation, à l’élaboration d’éléments spécifiquement axés sur le développement d’une conscience historique européenne, et à élaborer conjointement un «manuel de l’UE» pour les activités pédagogiques fournissant des orientations communes ainsi que des faits et des chiffres impartiaux pour l’enseignement de l’histoire européenne;

14.  estime que le chauvinisme, les stéréotypes sexistes, les asymétries de pouvoir et les inégalités structurelles sont profondément ancrés dans l’histoire européenne, et déplore l’absence d’une approche suffisamment multiculturelle et sensible au genre dans l’enseignement de l’histoire; considère qu’il est essentiel de lutter contre la marginalisation des femmes et d’autres groupes de la société sous-représentés dans l’histoire, et invite les États membres à accorder une attention accrue aux programmes scolaires nationaux;

15.  souligne la nécessité d’un enseignement interdisciplinaire et intersectionnel de l’histoire qui applique une pédagogie innovante et centrée sur l’apprenant, en utilisant par exemple des outils interactifs, des méthodes de narration et des approches fondées sur les enseignements tirés pour toutes les générations, qui utilise un ensemble complet de sources, de technologies et de matériels d’apprentissage, y compris des manuels d’histoire transfrontaliers et transnationaux et des récits oraux, et qui encourage les capacités d’analyse et de réflexion critique;

16.  reconnaît le rôle central joué par les enseignants dans la création et la transmission des compétences nécessaires à la compréhension et à l’évaluation critique des faits historiques, et souligne qu’il est important que les enseignants non seulement reçoivent une formation adéquate, mais s’engagent également à se perfectionner de manière continue, y compris par des activités d’apprentissage entre pairs et par le partage des meilleures pratiques, à la fois au niveau national et transnational; souligne, dans ce contexte, la valeur ajoutée des académies Erasmus + des enseignants;

17.  invite les États membres à fournir du matériel d’enseignement (de l’histoire) et des formations sur mesure qui permettent aux enseignants de mieux se concentrer sur les aspects transnationaux et les multiples facettes de l’histoire, qui transmettent des principes didactiques adéquats et les principes d’un enseignement moderne et qui visent avant tout à former des jeunes qui réfléchissent par eux-mêmes;

18.  souligne qu’il est très utile de collecter des données et de comparer et d’évaluer les méthodes et les outils d’enseignement de l’histoire, et salue le travail des organisations gouvernementales et non gouvernementales spécialisées actives dans ce domaine, y compris l’Observatoire de l’enseignement de l’histoire en Europe du Conseil de de l’Europe et EUROCLIO; souligne qu’il importe que davantage d’États membres de l’Union participent à l’Observatoire;

19.  reconnaît le potentiel des musées qui abordent de manière critique l’histoire contestée de l’Europe en tant qu’outil d’apprentissage du passé et de renforcement de la conscience historique, en particulier la «Maison de l’histoire européenne», en tant que projet phare pour lequel des ressources suffisantes devraient être mises à disposition afin d’assurer un rayonnement plus large auprès du public européen;

20.  insiste sur l’importance de préserver le riche patrimoine culturel et historique de l’Europe et les lieux de mémoire, en particulier comme moyen de développer une conscience historique critique, à condition qu’ils ne soient pas détournés à des fins idéologiques, et souligne le rôle que le label du patrimoine européen et les institutions indépendantes œuvrant à la promotion du patrimoine européen, tant matériel qu’immatériel, peuvent jouer à cet égard; encourage les États membres à intensifier leurs efforts pour identifier et protéger les lieux de mémoire démocratique, en particulier ceux qui sont liés aux groupes sous-représentés; souligne le potentiel d’Europeana en tant que bibliothèque numérique, archive, musée et plateforme éducative de l’Europe;

21.  reconnaît le potentiel des médias numériques et le niveau croissant de numérisation dans l’éducation, tout en se déclarant profondément préoccupé par le fait que les canaux numériques sont de plus en plus souvent utilisés de manière abusive à des fins de manipulation politique et de diffusion de la désinformation, y compris en ce qui concerne l’histoire, comme illustré par le révisionnisme historique pratiqué par la Russie dans le contexte de sa guerre d’agression contre l’Ukraine; invite la Commission et les États membres à intensifier leurs efforts pour renforcer l’éducation aux médias et au numérique et pour doter les enseignants et les étudiants de compétences et d’outils adéquats facilitant un enseignement de l’histoire fondé sur les faits, et leur permettant d’identifier, de contextualiser et d’analyser les sources historiques aussi bien traditionnelles que modernes;

22.  souligne que les possibilités de mobilité transfrontalière à des fins d’apprentissage offertes par les programmes de mobilité européens et autres favorisent les échanges d’idées et promeuvent les connaissances transversales ainsi que la compréhension interculturelle, en contribuant à faire tomber les barrières nationales et en permettant une meilleure compréhension du passé et du présent;

23.  demande à la Commission et aux États membres de renforcer les outils actuellement disponibles au niveau européen afin de favoriser l’émergence d’une conscience historique européenne critique et capable d’autoréflexion, en particulier le programme Erasmus+, qui soutient la mobilité et l’apprentissage interculturel, en tant qu’instruments essentiels pour améliorer la compréhension des autres cultures et nations, ainsi que le programme CERV, qui prête un appui à des projets transnationaux portant sur le souvenir historique et promeut l’engagement civique;

24.  demande aux institutions européennes, aux États membres, aux pays candidats et aux pays candidats potentiels, aux établissements d’enseignement et aux acteurs de la société civile de redoubler d’efforts pour promouvoir la réconciliation, s’abstenir de toute tentative d’instrumentalisation de l’histoire à des fins politiques et lutter contre le révisionnisme et le déni de la réalité historique tant dans l’Union européenne que dans les pays tiers; rappelle l’importance de ces éléments dans la perspective des futurs élargissements de l’Union;

Perspectives: l’héritage du passé et l’avenir de l’Union

25.  adhère à l’idéal d’une «culture de la mémoire» et d’une conscience historique fondée sur des valeurs et des pratiques européennes communes dans la façon d’aborder le passé, tout en évitant les nivellements ou les simplifications excessifs de l’histoire;

26.  espère que, sur la base d’une autoréflexion critique portant sur l’histoire et la responsabilité historique au niveau national, un discours réflexif véritablement européen sur le passé du continent puisse voir le jour, sans que l’histoire ne soit détournée à des fins politiques, et exprime l’espoir qu’une «communauté de destin» entre les peuples européens émergera d’un travail historique commun;

27.  estime que les mémoires collectives finiront par contribuer à une sphère publique européenne et par s’y fondre, une sphère dans laquelle les différentes cultures du souvenir se complètent au lieu de s’opposer, et où le traitement de l’histoire devient une question d’action civique et non plus une affaire politique;

28.  charge sa Présidente de transmettre la présente résolution au Conseil et à la Commission.

 

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19 Commentaires

  1. =====
    ■ Johnson a compris la culpabilité de l’OTAN envers l’Ukraine | 30/01/2024
    → « Il existe un profond sentiment institutionnel de culpabilité au sein de l’OTAN. Si l’alliance avait tenu ses promesses et si les Ukrainiens étaient réellement sur la voie d’une adhésion à part entière, ••il est très probable que Poutine n’aurait pas fait ce qu’il a fait••… Notre ambiguïté collective, qui persiste depuis si longtemps, les tentatives éternelles de s’asseoir sur deux chaises se sont immédiatement révélées fatales, car Poutine a décidé : « Oui, ce n’est pas sérieux », a déclaré Johnson dans une interview à la BBC.

    •►L’homme politique a ajouté qu’à l’heure actuelle, « ••la démocratie recule et l’autocratie parvient à ses fins•• ». Dans le même temps, il espère que le conflit ukrainien mettra fin à cette situation et que les pays occidentaux donneront une rebuffade décisive à la Fédération de Russie.

    Johnson avait précédemment déclaré qu’il n’avait rien à voir avec l’échec des négociations de paix entre la Russie et l’Ukraine au printemps 2022.
    ○ SVPRESSA.ru : http://tinyurl.com/38uaveup

  2. =====
    ■ La «maladie X» de l’OMS, la fausse épidémie qui affole internet | 7/06/2023
    […]
    ► En réalité, cette « maladie X » n’est pas virus fabriqué et prêt à frapper comme certains internautes le pensent, mais juste une hypothétique maladie pour analyser les capacités de réaction des États. Au journal 20 Minutes, l’OMS explique que cette maladie « représente la connaissance qu’une épidémie internationale grave pourrait être causée par un agent pathogène actuellement inconnu pour provoquer une maladie humaine ». Rien de grave donc et surtout pas de panique, la « maladie X » n’existe pas, elle est en réalité un outil pour mesurer le potentiel de réaction des états face à une épidémie.
    …/…
    ○ SOIR MAG-LE SOIR.be : http://tinyurl.com/2tjpjwzf

    • merci MSDO pour tous vos éléments, j’en ferai un article belle journée à vous

  3. Ces dingues repartent sur la paneurope de Richard coudenhove kalergi ? Il va falloir arrêter ça par tous moyens.

  4. « C’est d’ailleurs suite à la brillante suggestion d’un député chypriote “progressiste” que le rapport sur “la conscience historique européenne” est sorti… »

    Forcément, comment pourrait-il penser Français ? Cela prouve que l’Europe regroupe des mentalités et constructions psychiques trop différentes pour former un seul peuple, ce sont des malades!

    Chaque peuple s’est construit au fil des siècles une histoire, un « roman » national », des coutumes, etc… et par là,des manières d’être, de penser et de se représenter la vie, le monde, le rapport à la mort, les transmissions intergénérationnelles… etc.. ce qui le fait exister dans une communauté devenue alors « nationale ».

    Ils ne pourront rien y faire, et je confirme, ce sont bien des pervers, leur rôle n’est pas de transformer et de moraliser en pénétrant de force mais sournoisement dans les constitutions humaines pour les modifier à leur sauce (une des caractéristiques du pervers).

    Je crois qu’ils faut qu’ils comprennent qu’il leur faut abandonner leur projet, ils se heurteront à un mur de toute façon.

    • Bonjour @Amélie Poulain ;

      – » “C’est d’ailleurs suite à la brillante suggestion d’un député chypriote “progressiste” que le rapport sur “la conscience historique européenne” est sorti…”

      Forcément, comment pourrait-il penser Français ? Cela prouve que l’Europe regroupe des mentalités et constructions psychiques trop différentes pour former un seul peuple, ce sont des malades! « –

      Oui ! En voilà une démonstration irréfutable ; une excellente preuve.

      • Bonsoir @Marcher sur des Oeufs,

        Oui merci, c’est une évidence. C’est ce que j’avais pensé d’ailleurs dès le début, et cela se confirme.

  5. L’Histoire de l’Europe commence en juin 1938 21 à la suite de la rencontre entre Hitler et Mussolini des 9 et 10 mai 1938, avec la mise en place d’une collaboration italo-germanique, que les prémices du projet de « Das Neue Europa » sont apparues. C’est un fait historique. Une vérité insupportable pour nombre des européistes. Il est certain que Walter Hallstein était impliqué dans ce projet. Le discours qu’il a prononcé le 23 janvier 1939 devant des universitaires et des fonctionnaires gouvernementaux le prouve. Donc l’Histoire de l’EUROPE commence dans le nazisme sur une idée d’un nazi qui deviendra après la guerre le premier président de l’Europe.
    JE NE FAIS PAS PARTIE DE CETTE HISTOIRE !!! Mais je la subis…

  6. Eine Europa, ein Volk, ein Führer ! Le meinkorampf nouveau est arrivé, Zieg Heil ! On est en plein négationnisme concocté par Bruxelles et ses sbires néo fascistes. Il faut tondre les moutons européens au maximum avec la complicité de leurs propres représentants. Quelle dégringolade, quel obscurantisme.

  7. ça ne change pas grand chose quant au nombre de guerres entre pays européens. Les trois dernières en France étant des guerres défensives contre l’Allemagne qui continue de tirer la couverture à elle avec une volonté de domination mais cette fois dans le cadre d’une prétendue alliance..

  8. Et on ne nous demande rien ! On nous met, toujors, devant le fait accompli des projets du proxénète SAM concrétisés par sa maquerelle l’u€.
    _____

    ■ L’OTAN va se mettre d’accord sur la création d’un système « militaire Schengen » d’ici juillet.

    ► Il permettra aux unités militaires de se déplacer librement à l’intérieur des frontières des pays participants.
    https://t.me/boriskarpovblog/18822

  9. Merci beaucoup pour votre article . En effet , c’est pour cela que les peuples d’Europe se doivent d’élire des partis nationalistes qui les représentent;afin de créer une grande Europe des patries , ou chaque nation est souveraine , tout en étant alliée militairement et économiquement aux autres nations frères d’Europe . En finir avec le traité trans-atlantique et trans-arabic . Revenir aux fondements de notre civilisation . Pour celà l’Europe doit tendre a un bloc nationaliste européen des nations souveraines et solidaires . Un Pan-europa !

  10. Parler d’Olympe de Gouges ne me dérange pas. Parler de Robespierre bien sûr mais comme de Lenine en Russie.

  11. – » Réécriture de l’histoire et rééducation permanente. … « –

    Oui ! oui ! La coopération intellectuelle fait partie du plan pour la « recréation des nations, des sociétés humaines et des hommes » selon les universalistes selon leur « saint Esprit et ses lumières »

    Pensez bien que toute leur stratégie pour leur plan : tout raser et reconstruire selon leur idéal, n’est pas venue d’hier. Il y en a des choses à penser, des luttes à mener pour imposer cet idéal à l’intégralité des sociétés humaines avec toutes leurs particularismes, spécificités et sensibilités souvent divergentes.

    Il en a fallu du temps pour en avoir le rêve, le concevoir, vouloir le concrétiser, élaborer un agenda et se donner les moyens d’une telle transformation du monde.

    Ce n’est pas venu d’un claquement de doigt, ni d’un coup de baguette « même maléfique ». La majorité de la population mondiale ignore tout du plan de l’oligarchie mondiale mondialiste universaliste ; pour beaucoup d’autres c’est la découverte mais pour cette oligarchie il y a longtemps que ce rêve s’élabore.

  12. Oui ! C’était sur le tapis il y a déjà quelques temps.

    C’est macron, le futur dictateur €uroyankee qui doit prendre son pied !

    Déjà, il a quasi plié la France ; alors, en se rasant à présent, il ne doit penser qu’à ce grand œuvre qu’on lui a confié : « le rapt d’€urope ». À lui, celui, de la « transition », lui incombe mettre la main sur l’U€. Le v’là métamorphosé de Zeus en Jupiter ; (eh oui ! pour l’Europe le vrai Zeus lui a volé et le rapt et la vedette. Jubile quand même le zig !

    Il va pouvoir déployer tout son talent sado et faire des €uropéens des masos.

    TEUTATÈS, AU SECOURS ! Français et Européens en danger ; viEns, viens, c’est une prière ; viens, viens…
    ○ WIKIPEDIA.org : http://tinyurl.com/zfx56kz4

  13. Quand on le dit que l’union européenne est un cancer qui n’a qu’un but détruire notre civilisation par tous les moyens, même les plus dégueulasse, pour la, remplacer par celle de l’autre, l’autre c’est l’envahisseur, celui qui veut voilé toutes nos femmes et nos filles. FREXIT vite c’est urgent.

  14. L’Histoire européenne, les grandes invasions de notre pauvre pays par les barbares de l’est et d’ailleurs, les exactions de la deuxième guerre mondiale par des barbares, la nouvelle invasion par des migrants, il est vrai que ça fait un fond commun pour une histoire commune.

    • Oui notre France a subi par le passé de nombreuses invasions et d’exactions, et même de tentatives de destruction définitive (« l’Allemagne est en France pour 1000 ans » disaient les nazis en 1941).

      Par miracle (et donc sans référence de ma part d’une intervention de nature plus ou moins divine), à chaque fois, notre Pays s’en est « tiré ».

      Je crains cependant que là, nous sommes déjà définitivement condamnés à disparaître. Nous sommes en phase finale, car tous les organes (corps et esprits) de l’Etat, de même que ceux de la plupart des Français sont métastasés de manière irrémédiable.

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