Le hyène Ursula ne cherche même plus à sauver les apparences. Elle s’affiche bras dessus bras dessous avec le clown criminel de Kiev. Au moment même où les services de renseignement ukrainiens revendiquent un nouvel assassinat politique et ont l’impudence d’afficher des photos de leur crime… Tandis que des militaires sacrifiés par milliers pour maintenir la tension sur le front, et la fiction de la victoire, alertent le New York Times, dénonçant la folie de cette boucherie inutile.
Des kamikazes quand il n’y a plus ni stratégie ni espoir
Comme les Japs à la fin de WW2 sacrifiaient une partie de leur jeunesse, non pour gagner une guerre qu’ils savaient perdue, mais pour causer le plus de dégâts possible à leurs ennemis, et satisfaire l’ego vengeur des chefs vaincus, bien à l’abri à l’arrière.
Sans espoir de renverser le cours de la guerre, les commandos de Kiev s’acharnent sur les rives du Dniepr aux mains des Russes. Dans une zone découverte de marécages, entre le fleuve et les défenses russes. Pour les hiérarques planqués dans leurs bunkers, c’est une réussite. Peut-être espèrent-ils, grâce à ce mensonge, gratter un peu du pognon que les Yankees hésitent à leur donner encore en pure perte.
Pour des soldats des régiments de marines ukrainiens qui ont réussi à contacter le New York Times, les offensives menées par leur armée sur la rive Est du Dniepr « ne sont même pas un combat pour la survie mais des missions suicide en permanence».
Les zodiacs sont mitraillés et coulés, et la plupart des troupes sont frappées dans l’eau avant d’atteindre la rive. Une véritable hécatombe. Les premiers points de débarquement, sous les tirs des Russes, sont des îles marécageuses inondées, parcourues de ruisseaux, ou des prairies qui sont devenues des bourbiers de gadoue et de cratères de bombes remplis d’eau putride où prolifèrent des germes pathogènes. Qui peuvent devenir mortels en cas de blessure ou d’immersion prolongée.
Un véritable tir aux pigeons
Ceux qui parviennent à se hisser sur le rivage font des cibles faciles. Il y a peu d’endroits où se mettre à l’abri, et on ne peut pas creuser des tranchées dans les marécages. Les Russes n’ont pas besoin de les engager, ils peuvent les rafaler de loin, avec un minimum de risques.
Cette opération de la dernière chance est un fiasco de plus dans la contre-offensive qui en a compté beaucoup d’autres. Malgré le silence honteux de nos médias de désinformation continue, qui a suivi les communiqués de victoire bidonnés, la vérité commence à se savoir. Si des soldats ont parlé aux journalistes du New York Times, c’est parce qu’ils étaient atterrés par le nombre réel de victimes, comparé aux comptes rendus irréalistes du Zygomyr et des généraux qui lui sont encore fidèles.
«Les troupes fraîches qui arrivent sur la rive Est marchent sur des cadavres de soldats gisant enchevêtrés dans la boue», explique un sergent qui a combattu dans cette région depuis octobre et qui a traversé plusieurs fois le fleuve pour évacuer des blessés, en abandonnant tout le matériel.
«Certains de nos marines morts gisent là depuis deux mois, car nous n’avons pas pu récupérer les corps à cause des bombardements intenses», a confié au NYT un commandant proche de la mutinerie.
Les discours ne peuvent plus masquer la réalité
Depuis le début de la guerre, les responsables ukrainiens ont développé un narratif héroïque pour encourager les combattants, maintenir le moral de la population civile, et justifier les milliards et les armes offerts par la coalition anti-russe menée par les USA et l’OTAN.
Le nombre de victimes n’est jamais publié, pas même évoqué, et si les petites avancées de l’armée ukrainienne sont montées en épingle, les lourds revers qu’elle subit sont soigneusement occultés. Le Zygomyr est un comédien, bas de gamme certes comme Macronescu, mais il maîtrise l’art du trucage, des faux décors et des mises en scène. Dans le cas du Dniepr, il a raconté que les marines se déployaient en établissant plusieurs bastions. Or c’est faux. Depuis le début, ils pataugent dans la boue sans renforcer la moindre position.
Des soldats ukrainiens ont déclaré aux reporters étasuniens : «Il n’y a pas de poste d’observation ni de prise de position. Il est impossible de prendre pied sur l’autre rive et d’y déplacer du matériel».
Et tandis que s’envenime la guerre des chefs, avec d’un côté l’État major de Valéri Zaloujny et un nombre important d’unités de combat, et de l’autre côté des généraux de cour comme Alexandre Syrski ou Mykola Oleshchuk, un nombre croissant d’officiers renâclent à mener leurs hommes à un massacre inutile et sans espoir.
Certains dénoncent la mauvaise connaissance du terrain, l’impréparation des plans d’attaque, et une logistique faible sinon inexistante. Les blessés sont laissés sur place en raison du manque de bateaux, le froid, l’humidité et la faim accélèrent leur trépas, et ces conditions désastreuses dégradent le moral des soldats qui préféreraient se rendre si les commissaires politiques de Kiev ne leur tiraient pas dans le dos pour les en dissuader.
Cette situation ne risque pas de s’améliorer dans les semaines qui viennent puisque le Congrès a coupé les vivres au sénile de Washington. Et qu’on ne peut raisonnablement désarmer les troupes US pour servir encore l’Ukraine. Quant à l’Eurocrature, si tout le monde plie devant la hyène, héritière des manières cavalières des nazis (les Boches ont ça dans leur ADN) la Hongrie peut bloquer la nouvelle aide de 50 milliards d’euros destinés surtout aux petits plaisirs des oligarques.
Des assassinats politiques revendiqués par les Ukronazis renouent avec le passé du gauleiter Bandera, leur héros national
La hâte suspecte de la hyène et de ses pourritures de l’Eurocrature pour accueillir le Zygomyr et ses sbires dans leur gang laisse de côté les conditions sine qua non d’adhésion (en principe). Dont la démocratie pour un pays qui a annulé les élections législatives et présidentielles perdues d’avances… Dont des finances publiques justifiables dans un pays aussi corrompu que le Soudan, la Somalie ou le Yémen… Et dont la liberté et le respect des personnes dans un pays qui envoie des femmes enceintes et des enfants servir de boucliers humains au front.
Mais là où les Ukronazis ont fait encore plus fort, sans que les fines bouches de l’Eurocrature s’en offusquent, c’est quand ils ont assumé avec arrogance des assassinats politiques à leurs yeux nécessaires.
Habiles à faire disparaître discrètement des élus locaux, des chefs d’entreprises pas assez coopératifs ou des dissidents du parti du dictateur, les Ukronazis n’essaient même plus de cacher leurs crimes. Puisqu’ils se sentent approuvés et protégés par la crapuleuse communauté internationale.
La dernière victime, le 6 décembre, a été le député d’opposition ukrainien Ilya Kyva assassiné à Moscou. Alors que les négociations d’adhésion de l’Ukraine à l’Europourriture allaient s’enclencher.
Avec son esprit pervers et ses manières cauteleuses, mélange d’Agrippine et de Messaline, la hyène « a pris note de la déclaration du porte-parole des services de renseignement militaires ukrainiens», mais pour elle, ce n’est pas un aveu ! Pas plus que pour le sous-homme Olaf Scholz qui lui sert de chauffeur et porte ses valises pleines d’échantillons des vaccins Pfizer.
Les renseignement militaires ukrainiens ont non seulement reconnu l’assassinat, mais aussi publié des photos de la scène du crime avant de déclarer publiquement que tous les traîtres subiraient le même sort. Mais pour Ursula et Olaf, ça ne prouve rien !
Ainsi l’Ukraine commet ouvertement des assassinats politiques (pardon des éliminations physiques nécessaires) comparables aux actes de Hitler, des islamistes, et de tous les dictateurs de républiques bananières d’Afrique et d’Amérique latine… Et pour récompenser les initiatives guerrières de ces assassins, on leur ouvre des négociations d’adhésion à l’UE sous la pression insistante des USA.
Les Boches ne condamnent pas les assassinats politiques en Ukraine, mais au contraire ils renforcent leur soutien économique, militaire et financier au régime corrompu du Zygomyr. Du moment que c’est pour casser du Ruskof, tous les coups sont permis. Y compris les actes terroristes. Les frustrations issues de la défaite de 1945 justifient toutes les saloperies pour prendre une revanche sur la Russie éternelle.
Christian Navis
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J’ai lu sur le site Planète360 qu’ils avaient réussi à mettre la main sur certains sms échangés entre von der leyen et bourla.
Il s’avère que les conflits d’intérêt entre pfizer et bionteh cachaient aussi une relation torride entre les deux protagonistes…. et quand je regarde la ohoto avec zelenski, je ne sais pas ce qui lui susurre à l’oreille mais je me dis que mémère a le feu au maquis.
يعمل مصنع إيليت بايب Elite Pipe في العراق كمحفز لتطوير البنية التحتية ، حيث يزود السوق بأنابيب البولي إيثيلين عالي الكثافة وأنابيب uPVC والتجهيزات التي تساهم في نمو ونجاح مختلف القطاعات.
Rigolons encore sur ce que nous recevons (Traduction) :
L’usine d’Elite Pipe en Irak agit comme un catalyseur pour le développement des infrastructures, fournissant au marché des tuyaux en PEHD, des tuyaux et des raccords en PVC qui contribuent à la croissance et au succès de divers secteurs.
Si j’en crois cette photo, Ursula a peur de s’approcher du vaillant guerrier et le tient à distance. L’odeur ou autre chose…