MONDE – Dans son édition du 23 novembre 2023, le journal italien La Verità annonce l’ouverture d’une enquête pour homicide contre l’ancien ministre de la Santé italien, Roberto Speranza, qui aurait délibérément dissimulé des décès liés au vaccin COVID-19. L’enquête fait suite à des plaintes liées à plusieurs emails internes de l’Agence italienne du médicament (AIFA), indiquant que Speranza était au courant dès le début de la campagne de vaccination que les injections provoquaient des décès et des effets secondaires graves. L’enquête, menée par le bureau du procureur de Rome, cible également Nicola Magrini, l’ancien directeur de l’AIFA.
Les emails divulgués ont révélé que les autorités sanitaires étaient conscientes des dangers du vaccin depuis le début, mais ont encouragé la vaccination, la rendant obligatoire pour certaines professions (policiers et enseignants). Le ministre et le responsable de l’AIFA sont accusés d’avoir donné des instructions aux autorités sanitaires locales pour dissimuler les effets secondaires graves et les décès, afin de préserver la confiance du public et de ne pas compromettre la campagne de vaccination.
La gravité des accusations inclut des chefs d’accusation pour meurtre, lésions corporelles graves et mensonge. Actuellement, 89,41 % de la population italienne est vaccinée. Ces chiffres de vaccination, dont se félicitait Speranza, sont maintenant entachées par les accusations portées sur l’ancien ministre.
Parallèlement, aux Philippines, la Chambre des représentants vient de demander une enquête sur plus de 260 000 décès inexpliqués en 2021 et 67 000 en 2022.
Ces événements soulèvent des questions cruciales sur la transparence et l’intégrité des campagnes de vaccination à l’échelle planétaire, sapant, au passage, la confiance du public dans ses institutions.
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Je souhaite sa condamnation et execution pour crime contre l’humanite.
Comment se fait-il qu’en France les plaintes n’aboutissent pas, et qu’un pourri comme le Véreux soit inattaquable ?