Libération, navire-amiral de la désinformation, est encore meilleur en la matière que les rats de Désintox, où ces orduriers journaleux n’hésitent pas à alimenter le feu de la haine anti-France, comme ce jour de juillet 2023, et tandis que les cendres des émeutes étaient encore fumantes, en titrant : « Si, les policiers tirent plus sur les voitures qu’avant »… ! Bien entendu, cette officine gauchiste prend soin de ne pas expliquer la raison des tirs de policiers qui, désormais et sous la pression tant médiatique que politique, n’osent plus utiliser que le taser pour neutraliser des terroristes. Ce sera du joli lorsque ces mêmes terroristes les menaceront avec une arme d’assaut !
Pourtant, malgré ses efforts, Désintox n’est pas du niveau de Libération, ce torchon fondé par des ennemis intérieurs émérites de notre pays et assumés comme tels, dont le très évitable Jean-Paul Sartre, celui qui, sous l’Occupation, s’en allait ramper aux pieds de Céline pour le supplier d’aller voir ses pièces de théâtre. Un résistant modèle en somme, que Louis-Ferdinand portraitura en ces termes : « Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l’entre-fesse pour me salir au dehors ! Anus Caïn pfoui. Que cherches-tu ? Qu’on m’assassine ! C’est l’évidence ! Ici ! Que je t’écrabouille ! Oui !… Je le vois en photo, ces gros yeux… ce crochet… cette ventouse baveuse… c’est un cestode ! » (in À l’agité du bocal).
Ainsi, Libération a choisi son camp dans le conflit israélo-palestinien. Et le journal de prendre insidieusement fait et cause pour ledit Hamas, par des articles comme : « Comment Israël utilise l’IA pour pilonner Gaza » ou « À Gaza, “chaque jour est plus épouvantable que la veilleˮ ». Des titres qui sont d’une partialité exemplaire, digne des propagandistes des plus grandes heures sombres !
Libération pleure donc « le sort de centaines de milliers d’habitants de l’enclave palestinienne pilonnée par Tsahal, en quête de survie ». Mais Libération ne s’inquiète pas souvent du sort des millions d’êtres humains qui vivent dans la peur d’agressions islamiques de toute sorte ? Non, car cela n’entre pas dans sa grille étriquée de lecture.
Comme le suggère en substance Libération, y aurait-il une disproportion de la riposte israélienne par rapport au 7 octobre ? Allez, je vais faire le jeu de ceux qui le prétendent et leur répondre que cette disproportion est le résultat du pousser à bout propre à l’islam qui, inlassablement, harcèle ses ennemis – c’est-à-dire TOUS CEUX QUI NE SONT PAS MUSULMANS, ce qui fait du monde ! – jusqu’à ce que ces derniers déboulonnent. C’est d’ailleurs une méthode très islamique et, faute de statistiques ethniques, je ne peux pas affirmer que le harcèlement scolaire en France provient en majorité d’élèves musulmans, même si j’en suis intimement convaincu…
Libération, qui se targue d’une probité journalistique exemplaire, reprend tout de même sans broncher les chiffres du Hamas en matière de victimes civiles. Des victimes qui pourraient se soulever et renverser ce Hamas honni, nous fait-on croire, mais qui est en réalité majoritairement plébiscité par les Palestiniens : « Les bombes pleuvent de nouveau sur Gaza, où les civils continuent d’être pilonnés par l’aviation et l’artillerie israélienne. La trêve d’une semaine, qui s’est achevée le 1er décembre, semble déjà bien loin. Ce lundi, le gouvernement de l’enclave, contrôlé par le Hamas, a donné son bilan de bientôt deux mois de frappes : plus de 16 000 morts depuis le 7 octobre. S’y ajouteraient quelque 7 000 disparus, possiblement sous les décombres, dont 4 700 femmes et enfants. »
Certes, Libération a déploré les massacres du 7 octobre – avec une sincérité de façade selon moi –, mais très vite sa nature profonde a repris le dessus et son cœur a nettement penché du côté des Palestiniens, qui ont toujours raison tandis qu’Israël a toujours tort. Par exemple, à propos des de la vidéo diffusée par Israël, Libération a évoqué « l’utilisation politique des images ». Parce que le Hamas ne fait pas de politique par l’image, peut-être ?!
À Libération il est aussi question d’« hommes du Hamas » mais pas de terroristes. Autant de circonvolutions sémantiques pour ne pas désigner le réel, qui dérange la rédaction aux entournures. De l’autre côté, Libération brosse un portrait implacable d’Israël, à son tour accusé de laisser monter la bébête immonde : « Les massacres dans les kibboutz ont eu l’effet de désensibiliser l’opinion publique israélienne au coût humain de la guerre dans l’enclave, où sont déjà morts plus de 10 000 Palestiniens, selon les chiffres du ministère palestinien de la Santé [chiffres pas contredits par Libération !], géré par le Hamas, mais aussi de la faire glisser vers la droite. »
Pour conclure, et si la guerre de civilisation larvée explosait enfin dans notre pays, Libération – ou Libé-Hamas ! – prendrait fait et cause pour nos ennemis, n’en doutons pas !
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/liberation-journal-francophone-du-hamas.html
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Au » TABAC-JOURNAUX » un bonhomme devant moi achète l’Humanité. Ah ? fais-je, vous faites barbecue aujourd’hui ? Je vous laisse imaginer la trombine de » l’humaniste » …
Les gens du Hamas ont tué des juifs, ils ont proclamé qu’ils tuaient au nom de l’Islam. C’est donc une guerre de religion.Musulmans contre Juifs.
Les Musulmans sont 1500000000, les Juifs sont 15000000, 100 fois moins donc.
Les Musulmans du Hamas ont massacré 1500 Juifs.
La proportion voudrait que les Juifs Israéliens tuent 100 fois plus de Musulmans du Hamas.
Calculez…
Peut-être devraient-ils changer le titre de leur journal ? La Gazette de Gaza? Où Le Petit Gazaoui libéré ?