Le “Fils à Jo” (2011), sur la passion du rugby au village : pensées à Thomas

Le “Fils à Jo” (2011), sur l’initiation au rugby du  jeune “Tom” : pensées à Thomas après le meurtre qui a sidéré la France réelle.

Une minute de silence a été observée le  week-end suivant sur tous les terrains de rugby en hommage à Thomas.

 

Près d’une semaine après la mort de Thomas, poignardé dans la nuit du samedi à dimanche 19 novembre par des racailles islamisées, la Fédération française de rugby a annoncé qu’une minute de silence serait observée avant tous les matchs du week-end.

Le jeune homme était un joueur de rugby, licencié au club du RC Romans-Péage. Un hommage lui a donc été  donc rendu sur tous les “sur tous les terrains de Top 14”, écrit la Ligue nationale de rugby sur X (anciennement Twitter). Le président de la FFR Florian Grill “a également pris contact personnellement avec le président du club de Thomas pour offrir (son) soutien complet”, ajoute le communiqué.

Voilà le monde du rugby :


« Moi aussi, je l’ai fait ce bal de Crépol, vous partez pour danser et vous ne rentrez pas à la maison. »

Philippe Saint-André, originaire de la Drôme et ancien sélectionneur de l’Equipe de France de rugby, rend hommage à Thomas.


Au rendez-vous des bons copains

Y avait pas souvent de lapins

Quand l’un d’entre eux manquait à bord

C’est qu’il était mort

Oui, mais jamais, au grand jamais

Son trou dans l’eau n’se refermait

Cent ans après, coquin de sort

Il manquait encore

Laissons maintenant parler ceux qui ont écrit sur le film à sa sortie.

Le “Fils à Jo”, tourné à Réalmont (Tarn).

Bande-annonce :

Le premier long-métrage de Philippe Guillard, ancien rugbyman, champion de France en 1990, décrit le monde du rugby de village sur fond de transmission de valeurs entre un père et un fils. Jo ne comprend pas que Tom soit meilleur en maths qu’au rugby.

Les acteurs Gérard Lanvin, Olivier Marchal, Vincent Moscato et toute l’équipe technique ont laissé un excellent souvenir à Réalmont.

Plusieurs scènes furent tournées au cœur de la bastide en octobre 2009, dans la boulangerie Maffre, le café du Centre, dans un bureau de la mairie.

La dernière, le 12 décembre 2010 en soirée, se déroulait sur la place de La République.

La fête de la châtaigne battait son plein à la veille de la finale de rugby entre les équipes de Castelroc et Doumiac, nom de Réalmont dans le film.

Réalmont en 2023 : les Griffons ont lancé leur saison fin octobre

Extrait (le contrôle de gendarmerie !) :

Compte-rendu de première.

Le rugby a marqué un essai au 19e Festival du film de Sarlat (Dordogne). Avec le « Fils à Jo », un long-métrage sur l’univers du rugby, le réalisateur Philippe Guillard a réussi le difficile pari de conquérir, en pleine terre d’ovalie, le cœur des rugbymen venus assister, samedi dernier, à l’avant-première.

« C’est un film qui m’a beaucoup touché », a reconnu David Auradou, ancien international de rugby et ex-joueur du Stade Français.

Un sentiment d’ailleurs partagé par les amateurs du ballon ovale, à l’image de Lilian Gilet, un ancien joueur du club local de Daglan, venu voir le film avec son fils Pierre âgé de 4 ans. « Quand on voit ce film, on pense forcément à son fils mais aussi à son père et à toutes les valeurs que le rugby véhicule », a-t-il confié.

Tel père tel fils…

Forcément, c’est un film sur le rugby fabriqué par un ancien pratiquant. Pour dépeindre cet univers qu’il affectionne, Philippe Guillard, scénariste et réalisateur, s’est inspiré de ses expériences au Racing Club avec, comme fil d’Ariane un rien hollywoodien, l’histoire d’un père qui veut que son fils, Tom (13 ans), devienne une légende du rugby comme tous ces ancêtres.

« Le rugby est un sport que j’aime et j’avais envie de lui rendre tout ce qu’il m’a donné », a expliqué le cinéaste.

Dans son film, le jeune Tom fait l’apprentissage de la vie et de ses aléas. Au grand dam de Jo Canavero, remarquablement interprété par Gérard Lanvin, le garçon est aussi bon en maths que nul sur le terrain. C’est un ancien camarade de jeu du père qui va finalement lui permettre de perpétuer la légende. ce personnage, baptisé « le Chinois », est joué par l’acteur et réalisateur Olivier Marchal, qui s’amuse d’avoir « pour une fois joué le rôle d’un tombeur, un mec sympa qui a gardé une âme d’enfant ».

Réalmont

Paysages du Tarn bucoliques, évocation du mode de vie de ses habitants : la nostalgie l’emporte.

N’en déplaise aux anti-France qui, forcément, se sont crus obligés de dire que c’était un navet et ont encensé le film “Pour l’honneur” dans lequel le rugby est utilisé comme hymne à l’immigration en France rurale. Crapules !

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2 Commentaires

  1. Les racailles islamiques veulent jongler avec la tête de Madame le maire de Romans/Isère.
    Un peu comme Thomas Porte avec celle de Dussopt, mais en vrai.
    Il est clair que nous n’avons pas les mêmes valeurs, et qu’il est temps de se débarrasser de ceux qui portent des idéaux de mort et d’égorgement.

  2. C’est vrai que les gais sabreurs du huitième siècle ont probablement inventé le football en jouant avec la tête de leurs adversaires. Chacun sa culture. La nôtre est faite de joies simples, de paix, de vérités, de recherche de la beauté des choses.

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