Charlotte Gainsbourg, Hidalgo… dénoncent les « féminicides » du 7 octobre sans parler du Hamas !

Âmes sensibles s’abstenir : abominables viols et mutilations des Israéliennes le 7 octobre.  A ne pas cacher, même si c’est plus que dur. Mais, selon certains et surtout certaines,  il ne faudrait pas parler des coupables, les Palestiniens du Hamas ! Juste parler des « hommes » en général, de la « guerre » en général. C’est là une réécriture de l’abomination au service d’une cause pour exonérer l’islam de ses oeuvres.

Ci-dessous le début d’un article qui ne peut laisser insensible par les faits abominables qu’il évoque et qui sont hélas vrais, vérifiés, attestés. Nous  sommes réticents à publier toutes les horreurs, partagés entre le refus de participer à la volonté du Hamas de terrifier pour mieux soumettre et celui d’informer. Marie-Claire évoque la partition jouée par nombre de dégénérés via un appel paru dans Libé (quelle surprise !) et donc je tiens à dénoncer  le militantisme imbécile, choquant, inadmissible : refuser de parler des horreurs de l’islamiste Hamas pour  faire des abominations du 7 octobre des « féminicides » relatés en écriture inclusive, pardonnez-moi mais cela me lève le coeur et me donne des pulsions de destruction….

« Des femmes ont été exhibées nues. Des femmes ont été violées« , alerte vendredi 10 novembre un collectif de personnalités publiques (Charlotte Gainsbourg, Isabelle Carré, Anne Hidalgo, Elsa Zylberstein, Aurélie Filippetti…), qui signe dans Libération une tribune à l’initiative de l’association Paroles de femmes, appelant les ONG internationales à la reconnaissance d’un féminicide de masse. Et à le « regarder en face », « sans le lier au conflit israélo-palestinien ».

 

Elles s’appelaient Sarah, Karine, Céline… A l’initiative de l’association Paroles de femmes, nous lançons un appel aux féministes et sympathisants de notre cause pour que les féminicides soient reconnus dans les massacres de femmes perpétrés le 7 octobre en Israël.

Il est important que ce terme, souvent utilisé par la presse pour qualifier les meurtres de femmes par leur conjoint ou ex-conjoint, soit reconnu auprès de toutes les ONG internationales (Amnesty International, ONU Femmes…) pour ce qui s’apparente à un féminicide de masse.

C’est ce féminicide de masse que nous devons regarder en face, sans le lier au conflit israélo-palestinien. Nous savons que c’est difficile. Mais nous nous devons de le faire pour que les femmes ne soient plus les premières victimes des guerres et des conflits armés, et pour que leurs visages ne soient jamais oubliés.

Premiers signataires : Olivia Cattan, présidente de Paroles de femmes, Charlotte Gainsbourg, Anne Hidalgo, Tomer Sisley, Isabelle Carré, Catherine Marchal, Samuel Le Bihan, Elsa Zylberstein, Bernard Campan, Arié Elmaleh, Marilou Berry, Pascal Elbe, Michel Boujenah, Stéphane Guillon, William Mesguish, Jean-Luc Moreau, Lior Ashkénazi, Michel Cymès, Valérie Trierweiler, Laurence Ferrari, Françoise Laborde, Brigitte Benkemoun, Marc Levy, Marek Halter, Arié Avigdor (ancien Ambassadeur d’Israël), Georges-Marc Benhamou, Maître Nathalie Tomasini, Maître Michèle Schor, Anne Baer (CEO iKare innovation), Yvan Attal, Lamia El Aaraje…

https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/pour-la-reconnaissance-dun-feminicide-de-masse-en-israel-le-7-octobre-20231110_EMTPN3H2EBDLJBMLLTZ2SRLY6A/

Quelle manipulation ! Les horreurs spécifiques dont ont été victimes les femmes sont une réalité, et il faut, bien évidemment, les dénoncer. Mais elles ne sont pas un hasard, l’islam est misogyne et cruel, monstrueusement violent depuis ses origines  et il faut au contraire souligner que les bêtes sauvages du Hamas se comportent comme tels parce qu’ils sont musulmans et palestiniens, profitant de la guerre Israël-Hamas pour jouir de leurs instincts barbares et imposer aux femmes israéliennes le sort des esclaves non musulmanes  depuis 1400 ans. On appréciera le quatrième volet du sommaire annoncé « Le viol comme arme de guerre : une experte nous répond, » qui, de toute évidence, est là pour relativiser et plonger le récit des abominations du 7 octobre dans celui des « récits de guerre », afin d’exonérer l’islam…

 

 

Viols et mutilations sexuelles sur des Israéliennes le 7 octobre 2023 : des témoignages glaçants, une enquête difficile

La police israélienne a annoncé, mardi 14 novembre, avoir ouvert une enquête spécifiquement sur les dossiers de viols et de mutilations sexuelles qui auraient été commis lors des attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas. Les investigations sont notamment compliquées par le nombre de victimes assassinées et l’état des cadavres, dégradés, parfois mutilés au niveau des parties intimes. Certains témoins livrent d’insoutenables récits, ici en partie relatés.

Un corps de femme à moitié dénudé, encerclé d’hommes armés, d’un autre lui crachant dessus, fut, pour de nombreux internautes, leur première image du massacre du samedi 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas en Israël. L’organisation terroriste, qui filmait et diffusait sciemment cette scène, ce corps allongé face contre terre à l’arrière d’un pickup paradant dans Gaza, procédait ce jour-là à des centaines d’enlèvements de civils.

C’est d’ailleurs par ces images, et en raison des tatouages apparents sur son corps exhibé, que Ricarda Louk a reconnu sa fille Shani, 22 ans, kidnappée lors d’une rave party pour la paix dans le sud d’Israël.

Depuis la France, un appel à la reconnaissance d’un féminicide de masse

Lundi 30 octobre, cette germano-israélienne a informé la chaîne de télévision allemande NTV que son enfant n’était plus, un éclat d’os de son crâne venant d’être retrouvé et identifié à l’aide d’un échantillon d’ADN prélevé.

« Des femmes ont été exhibées nues. Des femmes ont été violées », alerte vendredi 10 novembre un collectif de personnalités publiques (Charlotte Gainsbourg, Isabelle Carré, Anne Hidalgo, Elsa Zylberstein, Aurélie Filippetti…), qui signe dans Libération une tribune à l’initiative de l’association Paroles de femmes, appelant les ONG internationales à la reconnaissance d’un féminicide de masse. Et à le « regarder en face », « sans le lier au conflit israélo-palestinien ».

« De nombreux civils sont morts, mais les femmes n’ont pas été tuées de la même façon que les autres. » Paroles de femmes

« De nombreux civils sont morts, mais les femmes n’ont pas été tuées de la même façon que les autres. Les violences faites sur ces femmes correspondent en tout point à la définition du féminicide, c’est-à-dire, le meurtre de femmes ou de jeunes filles en raison de leur sexe », pour le collectif, dont la pétition sur change.org a collecté à ce jour – vendredi 17 novembre – près de 16 000 signatures virtuelles.

Quelques personnalités féministes avaient déjà déploré le « silence assourdissant » – selon l’expression de Yaël Mellul, porte-parole de Paroles de femmes – de certaines associations féministes et de défense des droits humains. « Apparemment, les femmes israéliennes, que les agresseurs ont filmées pendant qu’ils les violaient, les torturaient, les éventraient, les brûlaient vives, ces femmes-là ne méritent pas qu’on s’intéresse à leur histoire. Pire, on met en doute ce que leurs assassins et ravisseurs se sont fait une joie de diffuser partout sur les réseaux sociaux », s’indigne sur LinkedIn Myriam Levain, co-fondatrice de Cheek Magazine, média en ligne féministe, rattaché aux Inrocks.

Une enquête longue et difficile en cours, plusieurs témoignages

Mais que sait-on, pour l’heure, du sort des Israéliennes tombées dans les mains du groupe terroriste ? Mardi 14 novembre, la police israélienne a annoncé enquêter sur « plusieurs cas » de violences sexuelles qui auraient été commis par des hommes du mouvement islamiste palestinien. « Nous avons de multiples témoins dans plusieurs affaires », précise David Katz, chef de la section cyber de l’unité de police criminelle Lahav 433, surnommée « le FBI israélien », cité par l’Agence France-Presse (AFP).

Parmi eux, « S. », une survivante du festival de musique Tribe of Nova dans les sous-bois du kibboutz Reim, face à Gaza. Dans son audition, projetée à la presse, et relayée entre autres par le DailyMail ou le quotidien israélien Haaretz, elle décrit l’agression d’une femme, qui aurait été violée à tour de rôle par plusieurs membres du Hamas en uniformes militaires. Cette femme, « aux longs cheveux bruns » qu’ils « tiraient », était encore « vivante », « sur ses pieds », et « saignait du dos », d’après cette témoin qui aurait vu cette scène depuis sa cachette.

S. évoque également des mutilations : selon son récit, l’un des assaillants aurait coupé les seins de la victime, les autres auraient ensuite joué avec. Le dernier qui l’aurait violée lui aurait tiré une balle dans la tête. Il aurait continué à abuser d’elle après l’avoir exécutée. Une version soutenue par un homme aussi interrogé par la police, qui assure que cette témoin lui avait immédiatement fait part en ces termes de ce qu’elle venait de voir. 

Les autorités israéliennes affirment également avoir recueilli « plusieurs témoignages » des bénévoles de l’association religieuse Zaka (abréviation de « zihuy korbanot asson » en hébreu phonétique, « identification des victimes de catastrophes » en français), qui participent, par milliers, et depuis les premières heures suivant ces attaques, à la récupération et l’identification des dépouilles, notamment pour permettre l’inhumation des corps dans leur intégralité, dans le respect des lois juives. Dans leurs récits, rappelés le 9 novembre par Haaretz, certains de ces secouristes en gilets fluo mentionnent la découverte de nombreux corps de femmes nus, portant des signes de brutalités et d’abus.

Également partagé avec les journalistes – comme Jotam Confino, correspondant pour la BBC, aussi rédacteur d’un journal communautaire juif britannique, qui raconte sur X -, un cliché pris sur le site de la rave party montre une femme allongée au sol sur le dos, bas du corps dénudé, jambes écartées. Le corps de la festivalière visée présente des traces de brûlures à la taille et aux membres. Autre photo : autre femme nue, jambes écartées et culotte baissée.

« D’autres personnes dans l’équipe ont constaté des bassins, des jambes et des pelvis brisés. » Sherry, en charge de la toilette mortuaire des victimes

Au centre d’identification des corps de Shura, près de la ville de Ramla dans le centre d’Israël, le docteur Alon Oz déclare avoir vu « des femmes brûlées avec les mains et les pieds entravés » et « des [impacts de] tirs sur les parties intimes », cite l’AFP. Des mutilations qu’il a « aussi » observé sur des corps de soldats hommes. Sherry (le prénom a été modifié), en charge de la toilette mortuaire, décrit des « sous-vêtements plein de sang » de certaines soldates. Dans son témoignage partagé par la police israélienne, elle ajoute : « D’autres personnes dans l’équipe ont constaté des bassins, des jambes et des pelvis brisés. »

Ces dernières semaines, plusieurs autres récits ont été médiatisés. Trois d’entre eux sont ci-dessous relatés, mais nous ignorons s’ils sont pris en compte dans l’enquête policière en cours.

À l’université d’Harvard, où, à l’instar d’autres campus américains théâtres de vives tensions, les étudiants se déchirent depuis l’attaque du Hamas en Israël et la riposte militaire israélienne à Gaza, plusieurs témoignages ont été rapportés le 12 novembre, lors d’une conférence sur « les violences systémiques faites aux filles et aux femmes par le Hamas ». Une intervenante – que l’on entend dans un enregistrement de l’événement publié par le compte Instagram Paroles de Survivants – dit « disposer » d’une « nouvelle vidéo particulièrement terrifiante », qui « contient des images de terroristes en train de torturer une femme enceinte encore en vie », de « l’éventrer », d' »arracher le fœtus », et de « couper sa poitrine pendant qu’ils la battent ».

Autre témoignage horrifiant : celui d’un ambulancier des forces spéciales israéliennes. Dans une vidéo diffusée le 25 octobre par Republic TV, chaîne d’information indienne de langue anglaise, il explique être entré dans une maison familiale du kibboutz Be’eri – où plus de 10% de la population a été massacrée le 7 octobre – et avoir « vu deux jeunes filles couchées : une sur le lit, une à terre, dans la chambre. » « L’adolescente de 14 ou 15 ans est couchée au sol sur le ventre, son pantalon est baissé, et elle est à moitié nue, ses jambes sont écartées, grandes ouvertes et il y a des restes de sperme sur son dos », détaille-t-il. « Quelqu’un l’a exécutée juste après l’avoir brutalement violée en lui tirant une balle dans la tête. Elle a été laissée là, dans un tas de sang. »

Pour la plateforme de recensement de témoignages du 7 octobre The West Is Next, Hila Fakliro, qui était barmade au festival de musique électronique attaqué, affirme face caméra avoir vu une vidéo publiée par le Hamas, dans laquelle « ils violent une de [ses] amies ». « Et après ils l’ont tuée, pour prendre ensuite son corps à Gaza. Elle n’était même pas vivante quand ils l’ont kidnappée. »

Des atrocités qui font craindre le pire pour les otages

Les policiers, qui devraient enquêter durant encore « six à huit mois » dixit David Katz, collectent des images de vidéosurveillance et analysent les informations lâchées par les suspects arrêtés après ces attaques. À ce stade des investigations, le chef de la section cyber de l’unité de police criminelle Lahav 433 dit ne pas pouvoir établir que le Hamas avait donné des instructions pour violer des femmes mais soutient que « rien n’a été commis au hasard ».

Si elle a « rassemblé des indices visuels, des preuves ADN, (…) des photos détaillées des corps », selon Dead Elsdunne, porte-parole de la police israélienne, cette dernière est confrontée à plusieurs obstacles. Sur les 1 200 victimes recensées, « des centaines » de corps étaient dans un état très dégradé. Nombreux d’entre eux n’ont pas été photographiés, aussi « en raison du chaos qui a suivi l’attaque », pointe Haaretz, et de l’urgence de l’identification des cadavres.

Et puis, « la grande majorité des victimes des viols et autres agressions sexuelles (…), dont des mutilations génitales, ont été assassinées et ne pourront jamais témoigner », explique Cochav Elkayam Levy, présidente de la commission parlementaire israélienne sur les crimes commis contre les femmes le 7 octobre, aussi citée par l’AFP. Certaines possibles survivantes pourraient mettre des années à témoigner, du fait du traumatisme.

Le témoignage de l’une d’elle, qui aurait été livré à la police israélienne, a été rapporté par Yaël Mellul sur le plateau de Laurence Ferrari, également signataire de la tribune de Libération. « J’ai été violée. Le Hamas m’a violée devant mon petit-ami, cite l’interviewée. L’un d’eux m’a tenu un couteau sous la gorge, l’autre m’a tenue par derrière. (…) Le cauchemar a duré des heures. Il y a avait 25 monstres. » 

Une autre difficulté : la question des violences sexuelles dont pourraient être victimes les 80 femmes parmi plus de 200 otages. Le jour de l’assaut, l’une d’elle est apparue dans une vidéo diffusée par le Hamas, ligotée, tirée par les cheveux, poussée pour entrer à l’arrière d’une Jeep. Sur l’enregistrement, des traces de sang sont visibles à plusieurs endroits du corps de la jeune femme, notamment sur son pantalon, au niveau du fessier.
Les familles des otages redoutent le pire, tandis que certains hôpitaux israéliens se sont préparés à accueillir ces derniers lors de leur possible libération : un protocole conçu par des associations féministes et d’aide aux victimes a été instauré, le personnel a été formé à une prise en charge et une écoute particulières.

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39 Commentaires

  1. Pourquoi parle t’on de féminicide,lorsqu’une seule femme est victime.? Pour un homme,on dit bien homicide. Ou alors,devrions nous dire,hominicide.?! Je pense que le terme de fémicide,doit s’appliquer, lorsque l’on parle d’une seule femme qui est victime;et donc,d’homminicide,lorsque plusieurs hommes,sont des victimes. En effet,ce n’est pas parce qu’une seule femme est victime,que toutes le sont…

  2. Des petites bourges de gauche, parfaitement ridicules.
    Elles veulent récupérer ce massacre et ce pogrom pour leur cause néo féministe.
    Des hommes aussi ont été torturés et des enfants, et des bébés.
    Ne vouloir voir que les femmes violées, prouve le déséquilibre de cette cause gauchiasse, se mettre des œillères à ce point, c’est pathologique.

  3. Une horreur, un cauchemar.
    Je crains pour les otages.
    Il y a des négociations, mais il est possible que le Hamas ne rendent que des cadavres.

  4. « C’est ce féminicide de masse que nous devons regarder en face, sans le lier au conflit israélo-palestinien. »
    Mais si l’atroce féminicide, puisque les féministes tiennent à ce mot, un vrai massacre d’une barbarie et d’une cruauté inouïes, perpétré par le Hamas, n’est pas relié à ce conflit, comment pourra-t-on parler de féminicide de guerre et lutter contre ? Ces non-dits sont totalement absurdes et complètement contre-productifs. La lâcheté ne paye pas. Et les nouvelles féministes sont toujours lâches quand il s’agit d’agresseurs non-blancs et surtout de musulmans. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles n’ont pas le moindre résultat.

  5. Allez c’est parti ! Macron veut que la France soigne les enfants palestiniens. 😡 Mais merde à la fin ! Il veut soigner la terre entière avec notre pognon ce c*n! Et après ils vont nous dire qu’il faut travailler jusqu’à 70 ans? Ces enfants Macron, c’est des bombes antisémites à retardement car ils resteront en France. Les mères suivront, puis les frères, les sœurs, les pères et allez!!! C’est la fête ! Faites tourner les serviettes ! Écoeurant ! Les juifs apprécieront et les français avec.

  6. Pas de pitie pour le hamas c est injustifiable!!!ècrassez les tous ,allez les cherchez jusqu au fond des chiottes comme le fi poutine en TCHETCHENI! NAZI GESTAPO…..VIVE ISRAEL VIVE LE DONBASS LIBRE!

  7. Pour moi les Palestiniens et le Hamas c’est très proche de l’Allemagne et du nazisme en 39/45, tous les Allemands n’étaient pas des nazis mais beaucoup avaient voté pour eux ou acceptaient leur idéologie, ainsi la responsabilité des Palestiniens est collective et indissociable du Hamas.

  8. X a bu un coup de trop et frappe sa femme plus fort que d’habitude. X est un salaud, il n’y a aucun doute à ce sujet, une merde écoeurante. Mais quel lien entre X et ces raclures islamistes? AUCUN. Ah si! X frappe sa femme parce-qu’il est physiquement plus fort qu’elle, le ramassi islamiste frappe une femme et des civils parce-qu’il est armé et qu’il peut faire ce qu’il veut. Tous deux sont des lâches et agissent par pure cruauté. Il y a bien un lien. Même si la cause originelle est différente.

  9. deux otages ont été retrouvées mortes : que penser du sort des autres ? sont t’ils même encore en vie ?

  10. tous ces connards me font gerber, ils sont dans leur connerie et profitent de leur position pour tenter de nous le mettre

  11. Cette bourgeoisie de « gauche présumée » est d’une hypocrisie sans nom. Honte à tout ce « petit » monde du spectacle qui vit dans sa bulle loin de la terreur et de la furie bestiale des soldats de l’islam.

  12. Quel scandale! Ce ne sont pas Kevin et Mattéo qui ont violés ces femmes. Ce sont des terroristes du hamas.
    Pourquoi ces idiotes s’obstinent t-elles à ne pas nommer ces barbares
    ROSA

    • Je pense qu’elles aimeraient bien pouvoir faire passer le message,que tous les hommes,sont comme ces monstres. Voilà pourquoi elles n’accusent pas les musulmans.

  13. Aucune ambiguïté pourtant : les féminicides en question et ils sont particulièrement atroces, sont bien l’oeuvre du Hamas mais le reconnaître serait reconnaître que la droite avait raison et ça, il n’en est pas question pour ces braves dames, socialisme oblige. Dans certains cas, il ne faut pas désigner les coupables, quittes à les laisser recommencer … On reconnaît là l’aberrant fonctionnement socialiste et sa redoutable inefficacité . Ces femmes que sont que des sottes dangereuses. En voyant la tartufferie de sa fille, Gainsbourg doit se retourner dans sa tombe.

  14. Vous avez raison, il faut le publier et avoir le courage de regarder en face cette inhumanité qui n’a pas de nom.

    Pour les victimes et pour que les gens se rendent « vraiment » compte car imaginer ne suffit pas.

  15. Bien évidemment,que toutes les femmes, otages de ces montres,sont violées chaque jour. Comment en douter,après que nous ayons pris connaissance de toutes ces atrocités faites aux femmes,au cours de cette attaque,en Israël.?! Pourquoi l’Europe ne réagit elle pas,en envoyant des forces militaires,à Gaza,pour en finir,avec ce Hamas,et tenter de libérer,ces pauvres otages. Ou alors,préfère t’elle accueillir les Palestiniens en déroute,dans nos pays,en voie d’être islamisés.? C’est probablement ce qui risque de se passer.

    • Cette éventualité a été exposée il y a quelques jours. Les palestiniens qui fuient pourraient se réfugier en Europe, et donc bien sûr en France. Statut : réfugiés de guerre très probablement. D’ailleurs, le poudré a annoncé que la France pourrait récupérer les enfants malades ou blessés de Gaza pour les soigner. Voilà qui va faire plaisir au peuple juif ! Le Qatar, l’AS ou bien encore la Turquie n’auraient donc pas
      d’hôpitaux pour soigner ces enfants qui détestent peut-être déjà les occidentaux et seront demain les mêmes terroristes que ceux du 7 octobre. Paix aux âmes de toutes ces martyres.

  16. en inde, paix et amour a fait pareil. Des communautés entières, ont préféré se faire brûler ou tuer les plus jeunes avant de se suicider pour ne pas être prisonniers des musulmans ??

  17. Bonjour-nous avons MHMD, le loué, messager de dieu-qui a eu une relation sexuelle avec une femme morte-qui a pris dans son lit, la plus belle des juives après avoir fait tuer son mari-Qui a ri quand omar a tué une opposante qui allatait son enfant-qui a attaqué par surprise, la tribu d’oum kerfa, chef femme de tribu respectée. Les hommes ont été tués, les femmes et enfants devenus esclaves et la vieille dame attachée à deux chameaux qui l’ont écartelé-paix et amour-99,99 % des muz ne savent pas mais les frères musulmans connaissent très bien les textes et appliquent à la virgule ou font appliquer ???J’ai pas pu tout mettre??

  18. Ces idiotes imbéciles sont d’une lâcheté indicible. Qu’elles fermes leur gueules! Ce ne sont que des cruches qui raisonnent vide.

  19. J’ai entendus dire que Lucifer s’est réfugié au Paradis. Les âmes du Hamas qui sont arrivés en enfer , ont prit le controle de l’enfer et sont entrain de faire un enfer de l’enfer😉😟😟😟😟

  20. vez vous vu la vidéo de 40 minutes qui a été diffusé à l’assemblé nationale . J’avais entendu parler de cet homme massacré a coup de bèche l’horreur absolu quelle mort atroce des barbares sans noms ces enculeurs de chèvres . Et bien j’ai visionné cette vidéo et en fait de bèche il utilise une binette et cela rend se crime encore plus horrible . Avec une bèche son martyre , son agonie , son énorme souffrance auraient été moins longues . Avec une binette toute la souffrance a du être multipliée en intensité et en durée . Pour se maudit pétrole on sanctifie les barbares et on tue les innocents .

    • J’ai oublié de préciser ce pauvre à été décapité !!!!!!!!!!! avec une binette .

  21. Hamas par çi …..Hamas par là

    Hamas partout ……….

    alors autant bous traduire cette pestilence

    HA abréviation de Harkate,(signifiant troupe , premiere syllabe
    MA «  » «  » de Makamate,(signifiant soulèvement,première syllabe
    S  »  » «  » de Slamiya , ( islamique)

    le tout selon la racine trilitère SLM caractéristique des langues sémito-araméennes

  22. Ça ne me surprend pas du tout. Je dirai même que c’est symptomatique du monde actuel: on préfère tourner autour du pot, tergiverser, voire tenter de détourner l’attention plutôt que nommer ouvertement les choses qui fâchent. Venant de ces personnalités publique, il ne fallait pas s’attendre à autre chose.

  23. Une mèche de cheveux par ci, une par là et une bonne dose de gauchisme aux œufs d’esturgeon, c’est la ritournelle habituelle des offusquées sans boussole, pourvu qu’à la fin ce soit l’ « extrême droite » qui morfle.

  24. Ce ne sont pas des féminicides mais des crimes odieux, barbares, perpétrés par des sauvages. Et dans ces crimes figurent aussi des hommes. Quand je vois ces actrices, ces personnalités, je me dis que la connerie a bien un visage, le leur. Israël doit exterminer toute cette racaille pour avoir enfin la paix, et tant pis si ça ne plaît pas à tout le monde.

    • « Ce ne sont pas des féminicides mais des crimes odieux, barbares, perpétrés par des sauvages. Et dans ces crimes figurent aussi des hommes. »

      J’allais dire exactement la même chose Argo et j’ai vu votre commentaire. N’oublions pas les enfants même les bébés qui ont connu une mort atroce et des tortures aussi horribles les unes que les autres.

      Récupérer ces horreurs pour soutenir leur cause en oubliant l’essentiel (agresseurs et autres victimes toutes aussi victimes de ces barbares) est à vomir.

      • Je n’ai pas osé évoquer la mort des enfants, des bébés tellement j’ai été submergé par l’horreur. Je ne m’en suis pas encore remis. Je stresse à chaque fois que ce sujet est évoqué.

        • Argo, je vous comprends, je sis comme vous, c’est trop dur, c’est traumatique pour les gens normaux.

          Quand je dis « à vomir » je parle des « féministes » politisées jusqu’aux doigts de pieds bien sûr, qui osent encore louvoyer en passant sous silence les auteurs sur fond de sélectionner les victimes qui les arrangent pour soutenir leur cause.

  25. La classique pétition de la communauté artistique .
    Pas de mal a montré son intelligence .

    • … @ Mr gaston : sans compté que ses résidu de capote et autres truies sont pour nombre d’entre elle hors-sol où du territoire Français … imbaisable sur toute la ligne , mais surtout à éliminer rapidement pour raison écologique et diplomatique .

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