Le vivre ensemble est impossible. Notre civilisation et celle de l’islam sont à l’opposé l’une de l’autre

Le vivre ensemble est impossible. Notre civilisation et celle de l’islam sont à l’opposé l’une de l’autre

Le mythe du retour est l’ennemi numéro 2 des Palestiniens, le numéro 1 est l’islam

 

L’ennemi numéro 1 des Palestiniens est l’islam qui les imprègne, les influence et les guide. L’islam aux ordres judéophobes, antisémites, inscrits dans ses textes fondateurs, et qui condamne les Palestiniens à se retrouver au ban des sociétés évoluées, donc condamnés à l’échec.

Par conséquent, les Palestiniens musulmans sont les ennemis numéro 1 de la Palestine et de l’ensemble de ses habitants. Ces musulmans précipitent vers l’échec toute la population palestinienne au complet.

Mais les Palestiniens ont un autre ennemi mortel, c’est leur croyance ou leur adhésion au mythe du ‘’Retour’’. Plus exactement leur fixation maladive sur ce vieil accord de 1948, devenu impossible, ce faux espoir qu’ils devraient donc oublier, mais qu’ils continuent à entretenir comme un organisme malade nourrit une sorte de kyste, de tumeur maligne. Cette obsession morbide les empêche d’avancer.

  1. Tant que les Palestiniens conserveront l’islam comme modèle de société ils se condamnent à l’échec.

Compte tenu de la spécificité de la majorité des Palestiniens, qui ont été convertis à l’islam au cours de l’histoire ou sont d’origine arabo-islamique depuis les invasions du 7ème siècle, un racisme judéophobe et antisémite est enraciné dans les mentalités des Palestiniens musulmans, qu’ils vivent en Palestine ou dans les camps de Jordanie et du Liban.

Cette judéophobie est enseignée avec les textes coraniques : dans le Coran et les hadiths, les juifs sont des singes, les chrétiens des cochons, et ils doivent être éliminés comme les autres non-musulmans. Le Coran contient 25 ordres d’éliminer juifs, chrétiens et ‘’infidèles’’. Cette judéophobie, souvent appelée antisémitisme, a une origine religieuse, l’islam,  mais est largement utilisée dans la lutte nationale pour l’indépendance de la Palestine. Nationalisme et islamisme sont intimement  liés et dirigés contre les Israéliens mais, par extension, contre tous les juifs où qu’ils soient dans le monde, tous considérés comme sionistes (ou partisans de la colonisation de la Palestine). Les attentats ‘’terroristes’’ (islamistes) palestiniens en Israël font indistinctement des victimes chez les colons sionistes, les Israéliens impliqués ou non dans la colonisation, les touristes ou pèlerins étrangers, les juifs antisionistes et les militants des droits des Palestiniens. Tuer du juif est l’accomplissement d’un ordre divin écrit vingt fois dans le Coran, et cela correspond en plus à un acte de guerre dirigé en principe contre les colonisateurs de la Palestine.

Tant que les Palestiniens n’auront pas été amenés à reconsidérer la vision qu’ils doivent avoir de leurs voisins, les Israéliens, tant que les Palestiniens sont encouragés par leur religion dominante et leur mentalité ambiante à éliminer les juifs parce que juifs, il est impossible d’envisager la constitution d’un Etat palestinien. Personne de censé ne peut souhaiter la reconnaissance d’un Etat palestinien hostile par principe à son voisin israélien à dominante juive. Si Israël doit continuer à vivre et à prospérer libre, les Palestiniens doivent modifier leur mentalité et leur comportement vis-à-vis de leurs voisins.

C’est évidemment aux Palestiniens, et aux Palestiniens seuls, que revient le choix du type d’Etat qu’ils souhaitent. Aucun Etat tiers ne peut leur imposer un modèle d’Etat à la place des Palestiniens. Mais tous les Etats amenés à souhaiter la création d’un Etat Palestinien libre et indépendants doivent exiger qu’il soit démocratique et laïque (libéré de l’islam et de son idéologie antisémite et raciste).

Car si la Palestine s’oriente vers un Etat musulman, oscillant entre la tendance islamiste salafiste et la tendance islamiste frériste, entre le Fatah et le Hamas, avec la Charia comme constitution, les bonnes relations avec le voisin Israël sont impossibles, au nom même de l’islam, du Coran et de la tradition antisémite vieille de 14 siècles. L’islam peut tromper et présenter un aspect modéré en certaines occasions, mais l’islamisme est le vrai visage de l’islam : l’obéissance aux plus de 200 appels coraniques à la guerre et à la violence sera toujours prêchée et exigée par les tenants d’un islam ayant pour modèles les « pieux ancêtres ».

Jugeant une paix impossible à cause du choix palestinien d’un Etat non-démocratique et non-laïque, aucun pays partisan du droit des Palestiniens à avoir un Etat libre et indépendant ne prendra le risque d’encourager les Palestiniens à continuer une guerre sans fin.

Si les Palestiniens ne veulent pas se libérer de l’islam, en choisissant une constitution laïque, c’est qu’en réalité ils ne veulent pas constituer un pays palestinien et que seule la guerre leur suffit comme raison de vivre. Alors, qu’ils sachent qu’ils sont condamnés à perdre.

 

  1. Le mythe et le mensonge du Retour

Les Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza mènent leur vie. Condamnés à l’échec s’ils continuent à préférer un gouvernement musulman à une constitution laïque.

Mais les enfants et petits enfants et arrières-petits enfants des Palestiniens partis en 1948, et qui vivent dans des « camps de réfugiés » à Gaza ou en Cisjordanie ou au Liban ou en Jordanie, sont trompés par le mythe de leur Retour en Palestine qui leur sert de ciment, de lien avec la Palestine de leurs grands parents.

En 1949, l’O.N.U. a mis en place l’UNRWA (l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient), qui entretient ce mythe du Retour des réfugiés dans le pays et dans les maisons d’où les Palestiniens sont partis en 1948 et dont ils ont gardé la clef qui leur sert de symbole.

Sur le territoire de Gaza, sont entassés un million 400.000 de ces ‘’réfugiés’’ descendants de ceux de 1948.

Ils sont 250.000 aujourd’hui au Liban, répartis en plusieurs camps. Autrefois en toile, les camps sont aujourd’hui en dur et s’étendent en hauteur à défaut de pouvoir le faire en surface.

L’UNRWA a pour missions d’assurer l’éducation et la santé pour ces descendants de réfugiés : au Liban, 40.000 étudiants fréquentent 63 écoles. 28 centres de santé dispensent les soins à environ 200.000 personnes par an.

65% des réfugiés du Liban soit 160.000 personnes au Liban,  perçoivent de l’UNRWA 50 dollars en espèces par trimestre. Il s’agit surtout, selon la responsable de l’UNRWA au Liban, d’aider les plus vulnérables : les enfants, les personnes âgées, les handicapés, les personnes atteintes de maladies chroniques.

L’ennui est que, au Liban, de nombreuses professions sont interdites aux réfugiés palestiniens, notamment la plupart des professions traditionnelles mais aussi dans le secteur public. L’UNRWA a réussi à créer 3.500 emplois, mais le compte n’y est pas pour une telle population !

Les réfugiés palestiniens ne peuvent pas non plus acquérir de biens immobiliers.

On peut comprendre ces restrictions votées par les responsables politiques libanais voulant éviter une nouvelle fracturation de leur pays déjà en miettes à cause des différents communautarismes.

S’ils réussissent à sortir du Liban, souvent illégalement, et à gagner un pays européen ou des Etats-Unis, ils tentent de se refaire une vie en prenant du recul avec la Palestine. En travaillant et en redevenant autonomes.

Mais s’ils restent dans ces camps, ils sont la proie des islamistes et des associations leur rabâchant le mythe du Retour promis en 1948 et qui leur est présenté comme possible s’ils adhèrent au Hezbollah ou au Hamas. Qui leur promettent la victoire sur Israël. Foi de coran. Parole d’Allah.

Ces descendants de réfugiés de 1948 sont doublement prisonniers, d’abord de l’islam, mais aussi du mythe et mensonge du Retour. Ce Retour dans la maison quittée en 1948 leur est présenté comme une victoire sur Israël qui serait donc vaincu et obligé de leur laisser la place. D’où la nécessité qui leur est prêchée à la mosquée et dans toutes leurs réunions, coran en main, de haïr les juifs et de leur vouloir la guerre jusqu’à la victoire.

Israël est ainsi entouré de gens qui, au nom d’Allah, ne lui veulent pas que du bien. 

 

Je vous propose de comparer la façon dont les Palestiniens (influencés par l’antisémitisme ou la judéophobie imprégnant les écrits fondateurs de l’islam) entretiennent leur rêve du Retour en Palestine quittée en 1948, et en tirent des conséquences de haine et de guerre violente (voir ce que le Hamas fit aux Israéliens le 7 octobre dernier), et la façon dont les Grecs, chassés d’Anatolie où ils étaient depuis des millénaires, mais devenue la Turquie en 1923, entretiennent le rêve de reconquérir Constantinople, perdue en 1453, comment ils ont fait également de ce rêve du Retour un mythe, mais qu’ils savent être une utopie et qu’ils ne développent pas en atrocités ni en barbaries dans le sang.

Pour les Palestiniens, les exactions du Hamas, qu’Israël est en train d’anéantir, et les menaces du Hezbollah tenu en respect par Israël, sont connues de tous. L’islam a montré une fois de plus que ses adeptes pouvaient franchir les limites de l’inhumanité, se comporter pire que des hyènes, pire que des chacals, creuser les abysses de l’inimaginable en matière d’atrocités basées sur le racisme et la haine de l’autre, du juif en l’occurrence.

Pour les Grecs, héritiers d’une autre civilisation et partisans de respecter cette honorable civilisation de leurs ancêtres, leurs textes fondateurs et leur mythe du Retour les fait agir différemment malgré la même douleur de l’exil. Ils ont donc été un million et demi, chassés en 1923 du pays qui est devenu la Turquie d’aujourd’hui. Un certain nombre d’entre eux rêvent toujours de voir la Grèce reconquérir un jour Constantinople. Ils ont développé l’utopie de la « Méga Idéa » (la ‘’Grande Idée) et ce programme politique occupe une partie des nostalgiques de la belle époque d’avant 1923.

Cependant, contrairement aux habitants des camps du Liban, de Jordanie et de Palestine, cette utopie, ce mythe du « retour » en Anatolie n’a pas de conséquences dramatiques sur les Grecs : ils vivent libres et heureux en Grèce, ne perçoivent pas de subsides d’une sorte d’UNRWA car ils vivent de leurs revenus du travail, et n’entretiennent ce mythe du Retour que pour le souvenir d’un passé glorieux et conquérant jusqu’au drame de 1453 (prise de Constantinople par Mehmet le Conquérant) et celui de 1923 (expulsion d’un million et demi de « Grecs » d’Anatolie parce que chrétiens et non-Turcs).

Cependant, malgré l’impossibilité évidente de reconquérir Istanbul et l’Anatolie, les Grecs partisans de la ‘’Méga Idéa’’, et donc finalement la majorité des fidèles de l’Eglise Orthodoxe de Grèce (la Crête incluse) cultivent la douleur délicieuse de conserver encore aujourd’hui, en 2023, leur patriarche à Constantinople, à Istanbul ! Ce n’est pas en Grèce que se trouve le patriarche (le chef spirituel, le pape) des chrétiens orthodoxes de Grèce, mais en Turquie, à Istanbul !

Et, conséquence, terrible mais inattendue, ce patriarche des Grecs qui vit comme reclus en Turquie a tellement peur que Erdogan, le président islamiste de la Turquie, ennemi des chrétiens, l’envoie chez lui au milieu des siens en Grèce, qu’il fait régulièrement campagne politique officielle pour Erdogan ! Il fait campagne pour un islamiste qui ré-islamise la Turquie et persécute les chrétiens ! Cela, pour cocasse que ce soit, montre au moins que la civilisation des Grecs est infiniment supérieure à celle des musulmans du Hamas qui privilégient la sauvagerie, l’atrocité, la résolution des conflits par la violence aveugle.

En Grèce, le mythe du ‘’Retour’’ des Grecs à Istanbul comme maîtres de l’Anatolie redevenue chrétienne est entretenu par une myriade de petits signes. Exactement comme dans les camps du Liban où l’obsession du ‘’Retour’’ empêche de se lancer dans la vraie vie, d’apprendre un métier et de se passer des perfusions de l’UNRWA. Par exemple, les Grecs préfèrent acheter en Grèce les produits dont les emballages portent imprimé le mot « Politikos » (par exemple sur les sachets de gâteaux, de brioches, …) et sur d’autres produits artisanaux et industriels faits et vendus en Grèce. Ces produits sont préférés à d’autres produits identiques ne portant pas ce clin d’œil à l’Histoire. ‘’Politicos’’ fait référence à « Polis », « La Ville », Constantinople, la cité perdue. Et donc à la Patrie perdue, aux ancêtres qui savaient faire de bonnes choses et qui vivaient si heureux dans un pays de cocagne. Référence au mythe du paradis perdu. Et cela se vend mieux. Même si ce ‘’Retour’’ est un mythe entretenu, un mensonge qui ne peut tromper personne. Mais qui propose aux Grecs de se tromper eux-mêmes pour le plaisir de rêver.

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On voit comment, contrairement à ces Grecs dont la situation et l’amour de la vie ne pâtissent pas de la croyance en ce mythe du ‘’Retour’’, les habitants des camps dits ‘’de Palestiniens’’ s’encroûtent dans la pauvreté, la soumission et le manque de liberté en attendant cet impossible Retour. L’islam les emprisonne mentalement et les entretient dans les solutions de haine et de violence.

Les habitants des camps de réfugiés palestiniens en Liban ou en Jordanie ne veulent pas comprendre ni admettre que ce prétendu Retour est un mythe absolument irréalisable, que les imams qui leur prêchent de combattre les juifs pour retourner en Palestine lorsque Israël aura été vaincu, ne font qu’entretenir un mensonge. Pour ces Palestiniens prisonniers de l’islam, cette victoire sur les juifs est juste une question de principe, de lien avec l’antisémitisme inhérent à l’islam. L’Arabe doit gagner sur le Juif.

Entre la civilisation sans issue des Palestiniens musulmans, condamnés à l’échec et à la misère, et la civilisation des Grecs qui ont vécu les mêmes douleurs, et qui savent réagir en humains intelligents, il y a toute la différence entre deux civilisations.

On peut constater, preuves sous nos yeux, que le choc de ces civilisations n’est pas un mythe, lui. Il est bien réel. Il ya bien des civilisations différentes, et même opposées les unes aux autres, comme l’islam l’est face à notre civilisation.

Que font donc les musulmans politiques, dits islamistes, chez nous ?

Des civilisations aussi différentes et opposées que sont la nôtre, en France, et l’islam  d’importation et décadent, ne peuvent coexister. Tirons-en les conséquences pratiques, concrètes.

Préférons notre civilisation à celle qui s’avance en France et bloquons celle-ci avant qu’elle s’y impose et nous écrase.

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17 Commentaires

  1. Quand je vois les tronches de ces dégénérés consanguins, j’ai la gâchette qui me démange !!
    Qui voudrait du « vivre ensembles » avec ces barbares incultes ??

  2. Se sont-ils échappés d’un zoo ?
    Je n’ai jamais cru que l’homme descendait du singe, mais vu les spécimens, je commence à me poser la question.

  3. 45 ans que je le dis gentiment et j’ai toujours été traité de facho de 1980 à aujourd’hui. Pourtant, je ne suis pas de gauche. ben oui, il me semble que le fascisme vient de la gauche non ?
    Bref, en 1980, ils étaient vachement moins nombreux les envahisseurs.
    par contre les gauchos, rien n’a changé.

  4. Qui a inventé l’islam ? et pourquoi ?Ce sont les ennemis du Christ ! c’est toujours le même problème aujourd’hui !!!l’islam est l’outil pour détruire le christianisme , il a donc encore de beaux jours devant lui !!!!!!!

  5. Bayazit 2 yildérim

    en France on a écrit qu il « Jasait bas »
    je crois que c est a cause des Racines mongoles 😂 (ça ne fait rire que moi …)

  6. « ‘’Politicos’’ fait référence à « Polis »

    dans ma jeunesse j ai connu a Marseille une vieille dame grecque (Evguénia ) qui hébergeait un ami grec

    elle était trés fière de se dire « politissa » 😊

    elle haissait génétiquement l islam…sans doute les souvenirs de l empire ottoman et ses gâteries du genre Chio, d ou était probable ment originaire sa famille

    cette turquie qui avait remporté le titre d homme malade de l europe…

    et qu il eut peut etre fallu euthanasier..

    —- 1952 : la Turquie devient membre de l’OTAN en même temps que la Grèce

    1960/1971/1980 : coups d’Etat militaires —–

    seules périodes ou elle a su prendre ses distances avec l islam (en n’oubliant pas,bien sûr,le Dönme mustapha kamal papa des turcs 😊

    j ai voyagé trois fois en turquie et j ai gardé un bon souvenir de ce pays,dans les années fin 90

    PS/et je n ai jamais oublié le bon accueil que fit Bayazit 2 yildérim aux juifs chassés de la péninsule ibérique par l inquisition

    • Effectivement, lorsque les habitants de l’Asie mineure (pris pour des Grecs parce qu’ils parlaient la langue de leur religion, le grec, alors qu’ils vivaient là depuis des millénaires) ont été chassés du pays qui deviendra la Turquie, en 1923, ils partirent les uns pour la Grèce, d’autres pour les USA, d’autres pour la France, dont Marseille où vous avez rencontré cette Evguénia. Quelle différence entre leur civilisation et celle des Palestiniens musulmans !

  7. Sur ces comparaisons, ces oppositions, ces incompatibilités de moeurs, ces conflits irréductibles, ce « choc des civilisations », l’angle mort n’est-il pas l’angle … racial ? Mot et idée que notre Surmoi, la connaissance de l’Histoire du XXe siècle, la Doxa et la Loi nous enjoignent d’effacer de notre pensée avant même de les formuler et donc bien avant de les examiner scientifiquement.

    • Bonjour Agathe, merci de poser cette question politiquement incorrecte ! Elle est devenue incorrecte ici (en Occident, pas partout !) et maintenant (après les excès passés des colonisations, esclavagismes, assignations à la caste et à l’indignité, …). Philosophiquement, J. P. Sartre avait osé « L’Enfer, c’est les autres. » Est-il utile d’être raciste, est-il agréable, profitable, est-ce le meilleur choix pour une société de promouvoir le racisme ? Certaines le font. Les sociétés racistes sont-elles heureuses et libres ? Est-ce notre intérêt d’être raciste pour la nôtre ? La question a été effectivement tranchée par la loi : le racisme est interdit. Mais, dans la réflexion personnelle, la même question se pose au fil des rencontres, des événements, de la cohabitation, des voyages, des confrontations, etc. A chacun sa réponse !

      • Nulle tentation ici, de promouvoir le racisme, qui est une idéologie reposant sur une hiérarchie entre les êtres humains et sur la volonté d’en opprimer telle ou telle partie ; en revanche, nier l’existence des races, tout en admettant les lois de l’hérédité, paraît relever davantage de l’idéologie que de la science. Et même en admettant ce postulat récent (en Occident seulement) qui assène que les races n’existeraient pas, si des races même fantasmées existent à titre de représentations mentales, elles ont un impact sur les sociétés et le devenir des civilisations. Il suffit d’écouter les « racisés » parler des « non-racisés »… Débat intéressant qui dépasse, pour l’instant, le cadre de nos compétences et se trouve mis hors du champ de la réflexion historique. Je ne doute pas que la science, et elle seule, nous sortira de cette impasse.

        • C’est le grand écart gauchiste : nier les races et louer la science qui prouve par la génétique l’existence des races.
          Le racisme est-il le fait de reconnaître la vérité ?

  8. Je me suis interrogé sur le fait de savoir si je pouvais être islamocompatible.
    Un : je déteste la crasse et les idées crasseuses. Deux : j’ai en horreur ces hordes de barbus pouilleux, braillards, drogués et capables de toutes les pires horreurs au nom d’un prophète dont on ne sait s’il a vraiment existé, et d’un dieu barbare et sanguinaire. Trois : ayant travaillé pendant quarante cinq ans, j’ai horreur de payer pour des foules venues uniquement pour vivre à nos crochets . Quatre : je ne supporte pas l’idée que l’on m’impose un jour une religion le couteau sur la veine jugulaire. Cela fait quatre bonnes raisons pour dire que je ne suis pas islamocompatible et que je ne le serai jamais.

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