L’imposture de l’alliance contre nature entre écolos et islam

L’alliance de l’islam et des écolos est une imposture

Admettons que les jeunes écolos, ne voyageant plus en avion, ignorent l’état de saleté, d’abandon, de décrépitude, de la plupart des agglomérations des pays musulmans. Et qu’ils fantasment, à la façon des anciens orientalistes, sur les légendes du paradis terrestre des pays des Mille et Une nuits. Et que leurs aînés, les écolos baba cools  professionnels,  pétris d’idéologie, leur cachent la sordide réalité qu’ils avaient découverte sur les chemins du Caire, de Marrakech,  du Pakistan ou d’Afghanistan. Les stratèges des écolos, qui savent compter,  estiment que le vivier des électeurs musulmans en France, désormais, en nombre étonnamment conséquent, est à capter. Surtout qu’entre agitateurs hétéroclites écolos, woke et musulmans, ils se rejoignent tous sur l’essentiel : brader la civilisation et l’identité des anciens Français et les remplacer par une idéologie fumeuse.

Cette vision commune de l’avenir expliquerait en partie l’attirance de nos écolos de France pour l’islam, la plus rétrograde des sociétés, la plus indifférente des ‘’religions’’ (l’islam étant encore classé comme religion !) envers le respect de l’environnement, la plus étanche des organisations humaines aux concepts de bien commun et d’intérêt général, la plus stupide des législations.

Notamment parce qu’elle est gelée, bloquée, fixée définitivement depuis l’époque où elle a été écrite, aux 8 et 9 è siècles, comme si les sociétés humaines n’évoluaient pas et n’étaient pas différentes les unes des autres dans l’espace et dans le temps et chacune progressant au fil de son histoire et des circonstances.

Mais aussi parce que le contenu de cette loi, rabâché, seriné, ressassé sans qu’il soit possible d’y changer une virgule, oblige ceux qui s’y contraignent, les musulmans donc, à végéter, à croupir et finalement à jalouser leurs voisins qui ont pris plusieurs bonnes longueurs d’avance  car libérés d’un tel carcan.

Il faut se contenter de ces deux versets sibyllins et passe-partout : « Nous avons certes créé toute chose avec juste mesure » (54, 49) et « Et Il impartit à toutes choses ses justes proportions. » (13, 8)  Ce qui laisse toute latitude aux musulmans pour se soucier de l’environnement comme de leur première abaya.

Notre ami TEG, dans un de ses commentaires daté du 5 novembre dernier à 14h22, nous cite un hadith attribué au calife Abou Bakr et que Rémi Brague a relevé dans son ouvrage ‘’ Sur l’islam’’ : «” Il est interdit d’abattre les arbres, de provoquer des incendies ou de mutiler les animaux domestiques (de l’ennemi) … sauf si cela aide à la victoire.” En clair, écrit TEG : le recteur (de la Grande mosquée de Paris, qui ne citait qu’une partie de cet hadith pour montrer la supériorité de l’islam en tout, y compris lorsqu’il nous fait la guerre et lorsqu’il commet des crimes contre l’humanité comme celui du 7 octobre en Israël) présente comme un principe de modération musulmane ce qui constituait en réalité une loi traditionnelle et quasi sacrée de la guerre (respecter les arbres fruitiers dont vivent les populations), loi que l’islam autorise à enfreindre …si cela aide à la victoire. » Or l’unique but de l’islam étant la victoire dans sa conquête du monde, il peut donc brûler, détruire, anéantir tout ce qu’il veut si cela sert sa cause.

Et notre amie Agathe Rabier nous a rappelé hier l’immense tendresse montrée par le Mahomet du coran pour les espèces animales dont il ne voyait pas immédiatement l’utilité dans la chaîne de la biodiversité : « Mahomet a ordonné de tuer certains animaux comme le serpent, le corbeau, le rat, le chien qui agresse et le dab (sorte de lézard).[5] »

https://resistancerepublicaine.com/2023/11/06/haram-defense-du-sacre-ou-interdiction-de-limpur/

« Moi je… », l’univers du musulman

Par contre, les textes ne manquent pas pour ce qui est de la ‘’pureté’’ personnelle, individuelle. Aussi bien les textes coraniques que ceux des hadiths et que les milliers d’ouvrages et les dizaines de milliers de pages web s’étalant complaisamment sur ce sujet qui inspire les frustrés d’une vie normale. Là, ils sont intarissables.

L’islam est fâché depuis toujours avec les notions de bien commun et d’intérêt général. En effet, si tous les musulmans se mettaient à respecter l’environnement, qui est un bien commun, par exemple en cessant de jeter à la rue ou à la mer les plastiques, les emballages, les cannettes, les ordures, d’autres usagers et passants, tels que des juifs ou des chrétiens, pourraient profiter de cet état de propreté et d’agrément. Ce qui serait intolérable. il y a trop de musulmans qui salissent tout, et ainsi, dans un environnement sale et puant, montrent leur mépris pour le reste de l’humanité. L’islam est en guerre offensive contre le reste de l’humanité depuis sa création au 7 è siècle : il s’est entouré d’ennemis. Mais à l’intérieur même de sa citadelle il a des ennemis, des personnes qui le souillent. Avec qui il est bien obligé de vivre, mais dont il doit se garder et sans cesse se purifier s’il a été souillé par un contact. La répulsion de l’autre imbibe le vrai musulman qui imite le prophète et les barbares de l’époque de ce dernier.

En effet, si chez lui c’est propre, il jette les ordures par la fenêtre ou par la porte ou par-dessus le mur.

Concernant la propreté, y compris celle de l’environnement immédiat ou de la planète, pas un mot en islam, les textes sont muets. Mais les pages web fourmillent  de savoirs édifiants sur la ‘’pureté’’. Là encore il y a, entre nous et l’islam, un choc des civilisations.

Le plus important, pour le musulman, est la ‘’pureté’’ de sa personne.

Concernant la pureté individuelle, l’islam est intarissable, précis, obsessionnel, entretenant une maniaquerie schizophrénique  chez nombre de ses adeptes.

    La purification est une obligation prescrite par le Coran et la Sunna :

« Et si vous êtes pollués (junub), alors purifiez-vous (par un bain ) » (Sourate Al-Ma’idah, verset 6) ;

« Allah aime ceux qui se repentent et il aime ceux qui se purifient » (Sourate Al-Baqarah, verset 222) ;

« Et c’est certainement un Coran noble, dans un livre bien gardé que seuls les purifiés touchent »  (Sourate Al-Waqi’a, versets 77-79 ) ;

« Et tes vêtements, purifie-les » (Sourate Al-Mouddathir, verset 4).

Il est établi que la prière constitue le deuxième pilier de l’islam. Mais sans la purification, elle ne tient ni ne vaut comme l’a révélé le Prophète Mohamed, (PSL): « La pureté correspond à la moitié de la foi » ; « La pureté est la clé de la prière ». « Allah n’exauce aucune prière sans pureté » (Mouslim). « Pas de prière sans pureté ».

   Le terme de ‘’pureté’’ a été préféré par l’islam dès ses débuts à celui de ‘’propreté’’ car il peut être contourné, comme tout ce qui est moral et pensé.

En effet, s’il n’y a pas d’eau à l’endroit et au moment où le musulman doit faire sa prière, qui doit toujours être précédée d’une ‘’purification’’ normalement par une ablution, il lui suffit de faire semblant, et cela vaut la réalité. Le musulman passe donc ses mains sur son visage et son corps comme s’il avait de l’eau, il mime une ablution avec de l’eau, et il se trouve ‘’purifié’’. Cette substitution de la réalité par un mime est l’image de la totalité de l’islam : une immense tromperie.

Un homme sale, couvert de poussière et de sueur, devant se présenter ‘’propre’’ ne pourrait se contenter d’un simulacre de lavage. Ou on est sale ou on est propre.

Mais le même homme, tenu non pas à la ‘’propreté’’ mais à la ‘’pureté’’, peut feindre la douche et le lavage. Il simule un acte de propreté et il se retrouve purifié.

D’où l’importance du choix des mots. Surtout en islam !

« Si vous êtes pollué (junub)…».

Il ne s’agit donc pas de « si vous êtes sale, poussiéreux, malpropre », mais de « pollution » et de manque de ‘’pureté’’ (dans son psychisme).

Sur le web, la question est posée par de nombreux musulmans : « C’est quoi la pollution, la souillure en islam ? »

On y lit la réponse : « Tout ce que le corps élimine est impur et souille le corps. Et c’est cette souillure-là qu’il s’agit à chaque fois d’annuler. Ce n’est point le péché qui fait l’impureté, c’est l’existence même de l’homme qui implique la souillure. » L’explication se poursuit : « Les impuretés majeures sont le coït, l’émission de sperme, le flux menstruel ou les lochies. »

«  Les hadiths sont extrêmement clairs et précis : « Si quelqu’un d’entre vous nettoie son sexe, qu’il ne le fasse pas avec la main droite. » « Quand l’un d’entre vous nettoie ses souillures, qu’il ne le fasse pas avec la main droite, mais avec la main gauche. »

Question des fidèles : « Quand le ghusl (Grande ablution pour homme) est obligatoire ? »

Réponse de l’imam-Google : « Suite à un rapport sexuel avec pénétration, même s’il n’y pas eu éjaculation : d’après Abou Horeira, le prophète ﷺ a dit : “Si l’homme se place entre les quatre membres de sa femme et qu’il y a pénétration, le Ghusl est obligatoire”.

Qu’il y ait de l’eau ou non, l’important est de comprendre le message de Dieu : l’homme n’est pas impur, mais la femme l’est. Et le rapport avec la femme souille l’homme.  Non seulement physiquement (propreté corporelle) mais dans son être intérieur qui doit être ‘’purifié’’.

L’obsession des “vrais” , ceux qui appliquent à la lettre toutes les prescriptions coraniques, c’est  tout ce qui a trait au sexe et aux activités sexuelles, et leur rapport aux femmes considérées comme intrinsèquement impures, les enferme dans un imbroglio leur permettant de confondre ‘’propreté’’ et ‘’pureté’’ et de se contenter de simuler la propreté et le respect de l’environnement tout en reléguant les femmes dans leur statut d’infériorité et de mal nécessaire.  Voir :  https://ripostelaique.com/le-sexe-en-islam.html

Et la flèche de l’ami Paco, à ce sujet, hier :  https://resistancerepublicaine.com/2023/11/06/copyright-hallal/

Islam et écologie : deux mondes qui s’opposent. Sauf sur un point : nous faire disparaître

Les nombreux musulmans qui consultent les ‘’cheiks Google’’ et ‘’imams Google’’, ce qui a pour conséquence de produire une littérature importante sur le sujet de la ‘’pureté’’, se gardent bien de le faire au sujet de la ‘’propreté’’ et du ‘’respect de l’environnement’’.

Quelques auteurs musulmans de notre époque, conscients de l’importance prise en Europe pour l’écologie et le respect de l’environnement, ont tenté d’écrire de petits ouvrages prétendant que, dans les textes fondateurs de l’islam, ces sujets de préoccupation étaient présents et que l’islam est la religion de l’écologie et est la solution en écologie. Ils ne convainquent qu’eux-mêmes.

Quant à nous, bien que nous soyons déjà tous des convaincus de la nécessité de vivre dans une France sans islam, continuons à nous désintoxiquer des bourrages de crâne subis lors des années du « vivre ensemble », de l’œcuménisme et du « tous fils d’Abraham ». L’islam est incompatible avec notre civilisation. Notre identité et notre civilisation doivent être défendues contre les attaques menées par les conquérants et leurs mercenaires. Les écolos d’aujourd’hui en font partie. Ne nous laissons pas berner par les discours des écolos islamo-compatibles, mercenaires de l’islam en France, nous sommes plus respectueux qu’eux de notre environnement !

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