48 h de garde à vue : j’ai blessé un homme qui voulait tuer ma voisine de 83 ans

Plus jeune, la campagne représentait pour moi un autre monde, où le temps semblait couler lentement, presque imperceptiblement. Illusion merveilleuse. Comme je vivais à Paris, le contraste était d’autant plus flagrant. Contraste renforcé par une sorte de barrière culturelle filtrant rigoureusement ce qui venait des villes, qu’Émile Verhaeren qualifiait à juste titre de « tentaculaires ».

Puis les choses ont changé, d’abord insensiblement, pour se manifester ensuite dans toute leur dramatique évidence : la campagne était elle aussi attaquée par ce progressisme dévoreur de traditions ancestrales afin de n’avoir à sa disposition que des zombies travailleurs nomades et consommateurs compulsifs. Il est ainsi devenu de plus en plus difficile de dénicher une terre encore vierge des saccages contemporains qu’on nous impose à grands renforts de propagande et de lois coercitives. Je croyais avoir trouvé avec ma compagne une terre préservée, j’ai dû déchanter de la plus brutale des manières. Voici comment :

Samedi midi dernier je venais de terminer de manger lorsque, dans un coin de France que je ne nommerai pas pour des raisons que vous comprendrez tous aisément, j’ai soudain entendu une femme hurler et un homme la menacer de mort. Sincèrement effrayé et de ce fait emportant avec moi un stylo dissimulant une petite lame, je suis sorti. Là, un spectacle affligeant m’attendait : un type, dont je ne peux ni révéler le nom ni l’apparence, d’un peu plus d’une trentaine d’années, sous emprise à la fois de l’alcool et de stupéfiants – ce que j’apprendrai plus tard – venait de tenter d’agresser notre voisine âgée de 83 ans et tremblant de peur, tandis que sa belle-fille et son fils, arrivés précipitamment sur les lieux, tentaient d’empêcher l’enragé d’aller au bout de son geste. Il tournait autour d’eux en essayant d’entrer dans la maison et promettant de les tuer tous, se vantant même plus tard d’avoir des « flingues » chez lui.

J’ai d’abord foncé sur ma voisine livide pour lui prendre le pouls, qui battait comme un tambour. J’ai ensuite tenté une approche auprès de l’enragé en question, tout en le faisant s’écarter du domicile de ma malheureuse voisine. Hélas, comme c’était prévisible étant donné l’état de mon interlocuteur, très vite cela a dégénéré, alors qu’on venait d’appeler la gendarmerie.

Il a ainsi voulu en découdre avec moi et s’est à un moment, après moult injures, collé à mon front. La peur, tant pour moi que mon entourage, ainsi que ma compagne – cachée à ce moment chez nous et elle aussi effrayée –, m’a alors fait commettre un geste que je regrette mais qui n’en était pas moins motivé par la rage désinhibée de mon agresseur. Un agresseur qui a par ailleurs insulté sa femme quand celle-ci a tenté de le calmer : « Toi, ferme ta gueule ! » lui a-t-il lancé, la faisant brusquement reculer. Je lui ai donc, sans réfléchir à mon geste je le jure, planté le bout de la lame de mon stylo deux fois dans le bas du corps, que je croyais être sa jambe mais qui était en fait son ventre.

Ceci ne l’a cependant pas arrêté et il a continué à menacer ma propre compagne en ces termes et partie entretemps soutenir notre voisine avec sa famille : « Je vais la baiser, la violer et ensuite la tuer ! » Mimant le tout avec des gestes d’une burlesque obscénité, tant il semblait possédé. Opérant un retrait chez moi, je lui ai signifié, paniqué, que s’il entrait ce serait à ses risques et périls, appelant à mon tour au secours la gendarmerie au téléphone, tout à la fois en colère et désormais tétanisé. L’individu a fini par s’en aller, poussé gentiment par un jeune garçon, dont je ne sais pas à ce jour s’il est son fils ou non. Plus loin dans le hameau il s’est effondré et une image m’est apparue, qui restera à jamais gravée dans ma mémoire : un petit garçon se tenait auprès de lui.

Ensuite, la gendarmerie est arrivée, précédée des pompiers. Je me suis présenté et n’ai opposé aucune résistance, puis je suis parti pour 48 heures de garde à vue, avec jusqu’à ce moment un casier judiciaire vierge. Je tiens à préciser ici que les gendarmes ont été avec moi d’une exemplaire humanité, sans rentrer là non plus dans les détails. Toutefois, ils m’ont été d’un grand soutien.

En apprenant par l’un des gendarmes que le forcené que j’avais blessé l’était plus sérieusement que prévu, je me suis effondré. Moi qui m’étais toujours promis de quitter cette terre sans avoir tué un être humain… Il a finalement été opéré et il est sorti d’affaire, car pour grave qu’était sa blessure ses jours n’étaient pas en danger, m’a-t-on dit plus tard.

Lundi, j’ai été, comme la procédure le stipule, présenté à une assistante sociale – elle aussi très humaine –, un procureur, puis un juge des libertés. Je suis finalement placé sous contrôle judiciaire, avec toutefois interdiction de pénétrer dans le département où les faits se sont déroulés et obligation de pointer une fois par semaine dans le commissariat dont je dépends en Région parisienne. Je ne reviendrai dans le département en question que pour mon procès au début de l’année 2024.

Je précise que pendant exactement 54 heures, et malgré les très nombreuses sollicitations des gendarmes, j’ai refusé de manger et boire le moindre liquide, ayant atteint un stade critique pour ma santé. Car, avec mon nom et mon pedigree dans la réinformation, je n’ose imaginer ce qu’il serait advenu de moi dans une prison française ! Et si, par un malheur tout à fait possible dans notre pays, où les patriotes sont des bêtes traquées, je devais être condamné à de la prison ferme, eh bien je cesserais à nouveau de m’alimenter et de boire, à la grâce de Dieu…

Maintenant, la question suivante se pose : qu’aurais-je dû faire ? Me laisser massacrer pas un homme tellement sous emprise – 4,5 grammes d’alcool dans le sang ! – qu’il n’aurait ressenti aucun de mes coups de poing par exemple et m’en aurait asséné peut-être des mortels, comme cela se voit fréquemment de nos jours ? D’autant que je n’avais aucun moyen de me mettre en retrait puisqu’il me suivait. Pire, laisser ma voisine se faire lyncher, voire tuer, ou encore son fils ou sa belle-fille, un couple d’éleveurs qui se lèvent avant le soleil et se couchent après lui, qui travaillent tous les jours de l’année et tentent de s’en sortir sans pourrir la vie de leur entourage, contrairement à leur agresseur très défavorablement connu, suivant l’expression consacrée ?

Qu’adviendra-t-il de notre maison ? Va-t-elle flamber en mesure de représailles ? Aurai-je le droit d’y retourner ? Il se trouve que, sur place, les gens veulent mon retour mais pas celui d’un tyran dangereux pour leur sécurité ! Même le maire de la commune dont dépend le hameau m’a joint par téléphone pour tâcher de me soutenir.

Car ma victime – puisqu’il faut bien la désigner ainsi – n’en était pas à son coup d’essai. Elle faisait même régner une atmosphère tyrannique auprès du voisinage. Un autre éleveur, venu ultérieurement soutenir ma compagne pendant que je me trouvais en garde à vue, lui a confié qu’il avait été menacé d’être précipité dans une rivière. D’autres témoignages édifiants m’ont été apportés, sachant que l’homme en question n’habite le village que depuis environ deux ans.

Moi, ma vie va peut-être prendre une tournure plus dramatique à cause de cet homme, tout simplement parce que j’ai refusé d’être lâche. Je racontais en début d’article que j’aimais cette campagne mettant un pied sur l’horloge pour la forcer à aller moins vite. C’en est fini de cette campagne, la France est devenue le royaume de l’infamie. Une infamie favorisée contre nous, les citoyens sans histoire et surtout aimant charnellement la France. J’attends, donc. Et même si les magistrats ont été très corrects avec moi, je ne me fais pas trop d’illusions quant au futur qui adviendra après mon procès. Cependant, je suis chrétien et il me reste l’Espérance…

Charles Demassieux

https://ripostelaique.com/48-h-de-garde-a-vue-jai-blesse-un-homme-qui-voulait-tuer-ma-voisine-de-83-ans.html

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23 Commentaires

  1. C’est quand même malheureux de faire 48h de garde à vue pour une ordure que tout le monde connaît dans le village, y compris la gendarmerie.
    Une demie heure pour exposer les faits aurait dû suffire, il y avait assez de témoins pour corroborer, sans compter la prise de sang attestant de l’état du taré.
    Et au final, vous perdez l’autorisation d’aller dans ce village, j’espère que vous n’y avez pas acheté une maison.
    Alors que le coupable, le trouble fête, pourra y séjourner tranquillement, car il est devenu la victime aux yeux de nos lois gauchistes de protection des agresseurs.

  2. Vous êtes d’un courage et d’une intégrité exemplaires. Vous êtes un des derniers Français, un des derniers Européens debout. Je suis impressionné.
    Dans les kiboutz israeliens, les m^mes que vous sont encouragés à tirer et tuer les agresseurs.
    Passés les remous de votre mise en examen, et vous ne pouvez être condamné à rien de réel (prison) : ECRIVEZ UN LIVRE qui mette votre expérience en perspective.
    Vous aurez au moins une conseillère d’écriture d’élite.

  3. Il y a vraiment une inversion des valeurs, quand on agresse on prend des risques et donc la justice est qu’il “assume” ses actes, au risque d’être blessé ou pire, c’est lui qui l’a cherché. Donc pas de procédure judiciaire à l’encontre du défenseur, pas de plainte autorisée pour l’agresseur pris en flagrant délit.

    je ne comprends pas toutes ces procédures judiciaires qui visent à culpabiliser celui qui se défend ou défend autrui voire pire comme un emprisonnement.

    Cet homme avait un autre délit à son actif, alcool et stupéfiants sur la voie publique, je croyais que c’était interdit.

    Alors … Je ne comprends pas du tout…. mais alors pas du tout. Si, qu’on “déresponsabilise” les agresseurs (qui peuvent, en plus, demander des “dommages et intérêts”, le comble !). J’espère qu’il y aura des plaintes à son encontre !

  4. Vous êtes trop tendre. L’image d’un petit garçon. Si c’est le fils de l’agresseur, rassurez-vous, la vermine n’engendre que de la vermine.

  5. Je t’adresse, Charles, mes sincères vœux pour que tu retrouves au plus vite une certaine tranquillité. Je suis admiratif du courage que tu as manifesté, même si je sais pertinemment que ton cœur devait battre à tout rompre. Cette vieille personne te doit peut être la vie et pour cela déjà ici à R.R. nous sommes tous fiers de toi et de te savoir faisant partie de NOUS.

  6. Total soutien pour un homme courageux dont beaucoup devraient s’inspirer. Mon mari aurait eu la même saine réaction (venir en aide à son prochain ). Réaction naturelle.

  7. “Il a ainsi voulu en découdre avec moi et s’est à un moment, après moult injures, collé à mon front.”
    VOUS AVEZ FAIT CE QU’IL FALLAIT mais PAS avec la BONNE arme, et j’enrage de n’avoir pas su être plus persuasif malgré mes articles à ce sujet et mes commentaires répétitifs à chaque fois que s’est présentée l’occasion.
    Il ne se serait pas collé à votre front si vous aviez eu une arme à courte portée, comme votre stylo-lame, mais DISSUASIVE, contrairement à votre stylo-lame, c’est à dire BIEN VISIBLE et ostensiblement exhibée en tant que MENACE mortelle PLUS LONGUE QUE SES BRAS ou même que ses bras et un couteau : machette, sabre, wakizachi, glaive, baïonnette…
    Lecteurs, pour vous éviter les ennuis de Charles, équipez-vous dissuasif :
    https://resistancerepublicaine.com/2022/04/17/les-glaives-le-retour-entre-les-deux-tours/
    https://resistancerepublicaine.com/2018/01/07/legitime-defense-et-si-le-glaive-romain-etait-plus-efficace-que-le-pistolet/
    https://www.leboncoin.fr/boutique/3882935

    • Comme je l’ai expliqué dans un autre commentaire, c’est un shocker, dans le cas de Charles, qui aurait neutralisé la racaille alcoolisée et/ou camée !!!

      J’ai déjà utilisé un shocker (300 000 volts) à l’époque, à pile 9v … touché à l’épaule, c’est le bras qu’il ne pouvait plus bouger, alors qu’il était au volant de sa voiture, et très très énervé, dangereux pour tout piéton sur le parking …

      Un shocker ou une gazeuse, en l’état actuel des lois françaises, si tu ne veux pas d’emmerdes, ce sont les seules options que nous avons, nous, français natifs !!

  8. Les lois actuelles, c’est de la merde. Pour se défendre, il faut être tué avant. Ayez toujours une bombe de red peper sur vous et videz-la dans les yeux de l’alcoolique. Ou un coup de shoker électrique. Un coup de genou dans les roustons aussi. Ne comptez pas sur les pandores pour vous défendre, avec eux vous aurez toujours tort. Je pourrais vous citer quelques anecdotes croustillantes en ce qui les concernent. À part les voleux de lapins et de poules, les bracos, ces pieds plats ne sont pas bons à grand-chose.

  9. Ah oui, concernant ma fille, je lui ai dit qu’ils s’en tiraient bien tous les deux, les types auraient pu sortir des couteaux et les planter, après avoir violé ma fille !!

    Pas la peine de m’étendre sur mon état à moi, vous le connaissez déjà !!!

    Tiens, je viens d’acheter d’occasion un livre : ” FERAL ” je l’ai reçu hier, jeudi,hier donc …

    FERAL
    ATON
    &
    Jean-Luc RIVA

    Aton est un ancien du GIGN, la quarantaine passée, le livre avait l’air d’être très intéressant; vous pouvez d’ailleurs écouter une entrevue sur Sud Radio : https://www.youtube.com/watch?v=GqQK2HkR0NA

  10. Charles, l’alcool & la came, ça fait vraiment mauvais “ménage” !!

    Tu as été courageux, car, comme tu l’as souligné, dans cet état-là, le type ne ressent que très peu les coups …

    Ce genre de type est neutralisé, soit par taser, soit par une balle, ou, si tu as un bâton, par un coup décisif dans le plexus solaire et les jambes (il ne peut quasiment plus marcher et peut être neutralisé, une fois mis à terre …

    Conclusion, nos lois sont CONTRE nous !!! et des cas comme le tien, je suis sûr et certain qu’il y en a TOUS les jours !!

    Ces ordures au gouverneMENT ont les rapports d’agressions, la police le sait, mais, à part les arrêter, avec, de plus en plus souvent des blessés parmi les policiers, que faire … ?

    Parce qu’ils n’en ont rien à foutre, ce n’est pas eux à qui ça arrive …

    • Salut Bobby.
      Cela fait maintenant un an que je ne sors plus de chez moi, me rendant “à la ville” sans ma petite lacrymo CS80 Longue portée. Cet objet est d’une discrétion parfaite, facile à sortir de l’étui qui lui est dédié (vendu avec.) Permet de se rapprocher sans en avoir l’air et de l’utiliser au dernier moment. Bon, ça c’est en théorie. Dans une situation concrète il faut tenir compte de l’énorme stress qui s’empare de nous, y compris quand on est disons déluré. Je ne me vois pas me promener avec autre chose, matraque et autre. J’avais déjà commencé la lecture de cette vidéo quand elle est sortie? Me reste donc maintenant à la visionner jusqu’au bout.

      • Bonjour Ami Patriote Paco, tu parles de la vidéo de Aton sur Sud Radio, elle est sortie à la date de mes 60 ans, il y a 4 jours donc :-))

        Pour info, pour des armes de défense et autres “gâteries” :
        https://www.armurerie-loisir.fr/137-shocker-electrique

        Parfait contre une merde alcoolisée et/ou camée, crois-moi, ça va le désaouler (j’ai plusieurs shockers électriques, dont 2 matraques, l’une 29.90€ & l’autre 49..90€, respectivement, 10 & 20 millions de volts, et la dernière, c’est quasiment une barre de fer vu la longueur et la fabrication !!
        En plus ça fait torche éclairante, donc le guignol se méfie moins :-))

        Ma fille, comme je l’ai raconté, s’est faite agressée, là, elle vient de commander un shocker de petite taille (5 millions de volts quand même!!) et je lui ai conseillé une gazeuse, comme ce que tu as :-))

        Le KRAV MAGA, si l’on est encore en forme physiquement, est une excellente discipline :

        De moi : ” Le KRAV MAGA, c’est comme LACTEL, on va à l’essentiel ! “

      • Faites attention à la direction du vent. Ça peut se retourner contre vous.

  11. Si vous n’aviez rien fait vous auriez été poursuivi pour “non assistance à personne en danger”. Donc si la loi est respectée votre cas “devrait” être classé sans suite avec l’aide d’un bon avocat. Ne vous posez pas en victime mais en héros contre la violence “ordinaire” qui gangrène ce pays.

  12. Je vous raconte ce qui est arrivé à ma fille de 21 ans mercredi dans la soirée :

    L’un de ses crétins de “potes”, suite à une annonce “alléchante” (vente d’un iphone dernier modèle à 500€ alors qu’il en vaut 1400€), il se rend avec ma fille, sur VILLETANEUSE dans le 93, et là, au point de rendez-vous, en guise de téléphone, c’est 5 types au moins, je vous fais grâce du profil, vous avez déjà deviné, qui les “accueillent” !!

    Heureusement, son pote, bien qu’ayant été frappé, a réussi à démarrer, mais, entretemps, en se reculant dans la voiture sa tête à heurté celle de ma fille, entre l’oeil et la tempe, et elle a été gazée en plus ….

    Elle a la rage, elle voudrait y retourner, je lui ai dit qu’elle ne les retrouvera jamais, il faisait noir, et ils avaient des capuches !!

    Porter plainte, elle refuse, elle me dit que cela ne sert à rien, bien qu’elle ait le numéro de téléphone de l’annonceur …

    Je pense que cela lui a servi de leçon …

  13. Charles, TOTAL soutien !!! éh oui, il faut “remercier” les ordures qui ont fait importer, et, bien plus grave, en font importer de plus en plus sur le sol français, et aussi, par la force des choses, en font naître sur ce même sol …

    Tôt ou tard, il y aura le ou les “morts de trop” !! j’estime qu’un jour qui se termine sans que le pays ne s’enflamme de par les morts en question, est tout simplement un miracle !!

  14. C est terriblement désolant pour vous et pour les habitants ..
    Merci de nous tenir au courant, pour vous soutenir ( si vous n’êtes pas loin ) , lors de votre procès ..mais j’ai bon espoir .

  15. Bonjour M.Demassieux,

    votre récit est émouvant de vérité et de sincérité. Vous avez été chevaleresque, n’écoutant que votre devoir de défendre le faible contre l’ignominie.

    J’imagine l’état de stress post-traumatique dans lequel vous êtes. J’ai connu ce genre de situation, même si j’ai eu la chance de ne pas avoir eu affaire à la justice, et j’en ai tiré une leçon: il faut laisser le temps au tourbillon émotionnel dans lequel vous êtes pris de s’arrêter. Le temps cicatrisera cette plaie à l’âme.

    Toutes mes pensées vous accompagnent.

  16. Bravo Charles! Quel courage ! J’espère pour vous que vous n’aurez pas d’ennuis trop graves. Que puis-je vous souhaiter de plus ? Bon courage l’ami !

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