Les enfants : ils nous font oublier la laideur du monde et de la guerre

Un superbe cadeau du passé. Voici l’empreinte d’un enfant romain très bien préservée dans une tuile d’argile rouge, il y a de cela plus de 2.000 ans !

L’artefact a été récemment découvert à Vaison-la-Romaine en France.

Ce sont les petites découvertes comme celle-ci qui humanisent vraiment le passé et nous rappellent que nous sommes tous connectés à lui d’une manière ou d’une autre !

Tout d’abord, une pensée pour les enfants d’Israël sous les bombes du Hamas :


Ce que je viens de vivre avec mes filles. Pour la énième fois. Sortir quelques minutes de la maison pour permettre aux enfants de respirer un peu.

Le Hamas tire des missiles sur nous. Sirène. Course aux abris avec plein d’enfants. Pas assez de place pour tout le monde. Lutter pour survivre. Énormes booms dehors. Notre réalité.

Je filme en courant, parce que le monde doit voir pourquoi nous nous battons.

Le monde doit voir.

Nous nous battons pour nos vies.

[le franco-israélien Julien Balhoul]

Pêle-mêle : histoires optimistes !

La réaction de ce bébé qui a réussi ce que papa n’a pas pu réaliser du premier coup ! 


La joie de cette petite fille c’est magnifique ! Le genre de vidéo qui redonne foi en l’humanité :


La très belle leçon de vie de Franz Kafka et la petite fille et sa poupée 

À 40 ans, Franz Kafka (1883-1924), qui ne s’est jamais marié et n’avait pas d’enfant, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra Ingrid, une petite fille qui pleurait parce qu’elle avait perdu sa poupée préférée.

Franz et elle cherchèrent la poupée sans succès. Alors il lui proposa de revenir le lendemain afin de la chercher encore. 

 

Le lendemain, la poupée demeurant introuvable, Franz donna à la petite fille une lettre « écrite » par la poupée qui disait : « S’il te plaît ne pleure pas. Je suis partie en voyage pour voir le monde. Je vais t’écrire sur mes aventures. » 

C’est ainsi que commença une histoire qui se poursuivit jusqu’à la fin de la vie de Franz. Lors de leurs rencontres, il lisait les lettres de la poupée, soigneusement écrites et contenant des aventures et des conversations que l’enfant trouvait adorables. Enfin, Franz qui était de retour à Berlin, lui ramena la poupée (en acheta une) .

« Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée », dit la petite fille.

 

Franz lui remit alors une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait : « mes voyages m’ont changée. »

 

La petite fille embrassa la nouvelle poupée et l’emporta, toute heureuse. 

Un an après, Franz mourut. Atteint de tuberculose, il fut emporté par la maladie qui le rongeait depuis des années. Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte trouva une lettre dans la poupée.

Dans la minuscule lettre signée par Franz, il était écrit : « Tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin l’amour reviendra d’une autre façon. »

Tiré du livre de Franz Kafka / Franz, Dora, la petite fille et sa poupée.

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5 Commentaires

  1. Un fraternel merci à toi Jules pour ce sujet. Le sourire de la petite fille retrouvant ses yeux avec un nouveau regard m’a fait monter les larmes ainsi que celle de la poupée de kafka.

  2. Mes enfants, aussi casse-pieds qu’ils peuvent être parfois (comme nous l’avons été nous aussi), sont mes plus précieux trésors. J’ai une chance immense de les avoir.

  3. ce petit pas m a rappelé la trace de pas préhistorique figée dans l argile

    émouvant…

  4. Et pendant ce temps, certains européens, hélas de plus en plus nombreux, pas seulement les escrolos, nous disent qu’ils ne faut plus mettre d’enfants au monde !

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