Des vaccins ARN contre le cancer ? Je tremble…

C’est nouveau, ça vient de sortir et ça caquette, et ça fait rêver les malades, mais ça fait surtout rêver Picsou Big Pharma.

Mais je tremble… J’ai tellement peur de voir se lever des espoirs terribles et que, surfant sur ces espoirs, les « vaxxins » ne tuent encore plus vite les nôtres, comme ils l’ont fait avec le vaxxin Covid… Et en même temps je comprends, forcément, l’espoir terrible qui se lève pour des gens qui se battent à coups de rayons, de chimios, d’opérations, de médicaments lourds…

Le Covid étant passé par là, l’utilisation intensive de l’ArN qui était expérimental et qui le reste, forcément, eu égard au peu de recul qu’on a est ahurissante. Ils nous ont prévenus (notamment Alexandre Henrion-Caude et le Professeur Perronne) qu’ils s’apprêtent à mettre de l’ArN partout… même dans les 11 vaccins obligatoires pour nos petits…  A cela s’ajouter leur hystérie Gardasil pour vaxxiner en plus nos ados contre le papillomavirus….  c’est une idée fixe. Quand les idées fixes viennent de Macron, Gates, Big Pharma, der Leyen, Ghebreyesus, Biden et compagnie, j’ai peur, je n’ai aucune confiance.

Ci-dessous la dernière video de Virginie Joron sur la gouvernance mondiale de l’OMS.

 

Je reviens à mes moutons, je découvre en lisant la presse que, AU MEME MOMENT on aurait découvert et un vaccin contre le cancer du poumon avancé et contre le cancer de la peau et contre le cancer du pancréas…

Un vaccin mis au point par une société nantaise de biotechnologie a démontré des résultats prometteurs sur des cancers avancés du poumon. Une efficacité plus grande que la chimiothérapie avec moins d’effets secondaires, selon des résultats publiés lundi.

Lire la suite ici :

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/un-vaccin-prometteur-pour-lutter-contre-le-cancer-du-poumon-6747030

Santé: Moderna prépare un vaccin contre le cancer de la peau

« On a déjà vu une très belle séparation de 60% sur les métastases entre le meilleur produit du marché et celui de Moderna ». Stéphane Bancel, PDG de Moderna

Voir la video de Moderna ici :

https://www.bfmtv.com/economie/sante-moderna-prepare-un-vaccin-contre-le-cancer-de-la-peau_VN-202309140262.html

 

Déjà qu’après l’imposture Covid je suis devenue méfiante sur les vaccins en général, bien que n’étant pas anti-vaccins primaire au départ, quand je vois que ces nouveaux vaccins qu’ils vont tester dans les mois et années qui viennent contiennent de l’ArN, là je n’ai plus confiance… d’autant que le recul est bref, 18 mois sans récidive avec le vaxxin contre le cancer du pancréas contre 13 ans… sur combien de malades ?

 

Des résultats récents laissent présager des avancées significatives contre les cancers du pancréas, mais aussi les mélanomes grâce à l’activation du système immunitaire, par vaccination à l’ARN.

Ils ont beaucoup (trop ?) fait parler d’eux face au SARS-CoV2 et ils reviennent sur le devant de la scène biomédicale depuis quelques semaines. Les vaccins à ARN ! On le disait en décembre 2020, cette approche vaccinale est dans les tuyaux des laboratoires de recherche et des industries pharmaceutiques depuis de nombreuses années. Publié dans Nature le 10 mai dernier, un article récapitule les effets immunitaires observés suite à une vaccination dirigée contre des « néoantigènes » cancéreux chez des patients atteints de cancers du pancréas. Mi-avril, dans un congrès international, d’autres cliniciens rapportaient les résultats d’un essai de phase 2b mené avec une approche vaccinale comparable auprès de patients touchés par un mélanome avancé.

Les néoantigènes, nerf de la guerre immunitaire

L’un des enjeux dans une démarche de vaccination est de réussir à faire en sorte que la cible soit bien identifiée par le système immunitaire. Dans cette optique, l’analyse des particularités de la tumeur de chaque patient est une étape clé. A partir d’une pièce opératoire, les laboratoires parviennent à identifier les protéines qui diffèrent dans le tissu tumoral et qui sont susceptibles d’être reconnaissables par le système immunitaire.
Par ailleurs, depuis plusieurs années, la compréhension fine des mécanismes moléculaires de cette reconnaissance a évolué : elle permet aujourd’hui de modéliser et d’améliorer la prédiction des antigènes « efficaces » : quels fragments de protéines seront bien reconnus par les cellules immunitaires ? Lesquels permettront à ces cellules immunitaires de monter une attaque rangée pour éliminer les cellules cancéreuses qui les portent ?
Ces antigènes, qualifiés de « néo- » puisque absents de l’organisme avant l’émergence de la tumeur, sont alors codés sous la forme de fragments d’ARNm (messagers) à la séquence génétique bien précise. Les ARNm synthétisés en laboratoire sont finalement conditionnés pour l’injection, généralement dans des microvésicules lipidiques. Après injection, les cellules du patient intègrent ces ARNm, les prennent en charge et les utilisent pour les traduire en protéines. Elles exposent ensuite les néo-antigènes correspondants à leur surface, à destination des cellules immunitaires.
Par cette approche, les laboratoires mettent au point des cocktails d’ARN permettant de coder jusqu’à plusieurs dizaines de néoantigènes, propres à chaque patient, susceptibles de faire réagir le système immunitaire.

Face aux cancers du pancréas, des résultats inédits

Les résultats publiés le 10 mai dans Nature montrent que cette approche vaccinale déclenche une véritable réaction immunitaire forte et durable chez huit des seize patients touchés par un cancer du pancréas ayant participé à un essai de phase 1. Chez ces patients qui, après une opération chirurgicale, recevaient une chimiothérapie intensive, l’injection répétée du cocktail d’ARN vaccinal associée à une immunothérapie anti-PD1 permettait à différents types de lymphocyte T de s’activer et de se multiplier. Du point de vue clinique, les données de survie sans progression de la maladie se sont révélées remarquables : alors que les patients qui ne répondent pas à la vaccination (pas d’expansion des populations de lymphocytes T réactifs) voient des récidives survenir après 13,4 mois en moyenne, aucune récidive n’était à déplorer après 18 mois de suivi chez les patients répondeurs.

Face aux mélanomes avancés, les étapes du développement clinique s’enchaînent

Autres équipes, autres résultats encore très encourageants. Un essai de phase 2b proposé à des patients a révélé l’efficacité d’une vaccination à l’ARN face à des mélanomes avancés voire métastatiques, là-encore en association avec une immunothérapie anti-PD1. Après deux ans de suivi, 40 % des 50 patients traités uniquement par l’anti-PD1 avaient subi une récidive, alors que cette proportion chutait à 22,4% dans le groupe des 107 patients ayant reçu l’anti-PD1 et les injections de vaccin. Une réduction de 44 % du risque de récidive. 
Un essai de phase 3 doit être lancé dans l’année, ouvrant la porte à une potentielle évolution prochaine des pratiques face à ces cancers.
 


R.D.

Sources :
Rojas, L.A. et al ; Personalized RNA neoantigen vaccines stimulate T cells in pancreatic cancer ; Nature ; 10 mai 2023
Dépêche APMnews : Mélanome : après résection, associer un vaccin ARN personnalisé à l’immunothérapie a amélioré la survie sans récidive ; 17 avril 2023

 

 

Sur le site de La Ligue contre le Cancer, il n’y en a que pour l’ARN…  Je ne sais pas quoi en penser. Une seule certitude on a tellement donné, nos jeunes, athlètes notamment, ont tellement donné, handicapés à vie, morts… à cause du vaxxin ARN que je ne leur fais plus confiance.

Je compte sur Perronne, Henrion-Caude, notre contributeur Dominique Schwander etc. pour nous aider à voir clair. Pour le moment, j’en suis restée là :

La généticienne Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche au sein de l’Inserm – mais désavouée par la structure depuis quelques années – a signé un ouvrage critiquant vivement la vaccination contre le Covid-19. Invitée sur CNews jeudi 9 mars dernier pour la promotion de son livre, l‘intéressée a affirmé en direct que les vaccins utilisés pour lutter contre le virus – et notamment ceux qui utilisent la technologie dite de l’ARN messager – sont à l’origine de « turbo-cancers ». De ses mots, la généticienne parle d’un cancer qui va « à fond », décrivant, entre autres des « morts subites ».

https://www.ladepeche.fr/2023/03/11/des-vaccins-qui-provoquent-des-turbo-cancers-des-chercheurs-pointent-du-doigt-les-allegations-faussees-dune-geneticienne-11055081.php

Repère

Objectif : Contribuer aux développement de nouvelles approches de traitement des cancers fondées sur l’utilisation des technologies ARN en soutenant des projets de recherche d’excellence.

Moyens :

La Ligue contre le cancer a lancé en avril 2021 un appel à projets dédié au thème de recherche « L’ARN comme outil innovant des thérapies cancéreuses ». Une soixantaine de dossiers de candidature a été déposée parmi lesquelles le Conseil Scientifique National de la Ligue a retenu 6 projets qui seront financés à partir de l’année 2022 pour un montant total de 2,3 millions d’euros.

La Ligue contre le cancer a lancé en avril 2021 un appel à projets dédié au thème de recherche « L’ARN comme outil innovant des thérapies cancéreuses ». Six projets ont été financés à hauteur de 2,3 M€ à l’issue de la première édition de cet appel à projets. Sa seconde édition, en 2022, a permis le financement de 6 nouveaux projets pour un montant total de 1,7 M€.

Ces projets sont réalisés sur des durées de 2 ou 3 ans, par des consortiums restreints maitrisant des technologies de pointe. Leurs thématiques reflètent la diversité des stratégies thérapeutiques envisageables grâce à la grande versatilité des technologies ARN. Les projets sélectionnés pour financement en 2022 et le nom de leurs porteurs sont listés ci-dessous.

  • Cibler l’épitranscriptome dans le cancer
    Alexandre David,
    CNRS UMR 5203, Institut de Génomique Fonctionnelle, Univ. De Montpellier I et II
  • FusTarG : Conception et application d’olignucléotides et d’aptamères ARN de précision pour le ciblage de produits de gènes de fusion dans le glioblastome.
    Emmanuel Garcion,
    CRCI2NA, Equipe 5 GLIAD, Centre de Recherche en Cancérologie, Institut de Biologie en Santé IRIS – CHU, Angers
  • Développement d’une approche inédite pour la prévention des métastases en préservant l’intégrité des vaisseaux sanguin au moyen de petits ARN thérapeutiques
    Elisabeth Genot,
    BioTis, Inserm U1026, Laboratoire de bioingénierie tissulaire, Univ. de Bordeaux
  • Amplification des fonctions anti-tumorales et anti-métastatiques de vésicules extracellulaires via le chargement d’ARN thérapeutiques pour traiter les cancers agressifs
    Sébastien Jauliac,
    Human Immunology, Pathophysiology, Immunotherapy, Inserm U976, Institut de Recherche Saint Louis IRSL, Paris
  • Développement de traitements basés sur la répression de la recombinaison homologue par transfert d’ARN pour promouvoir la régression tumorale et induire l’immunité innée : étude pré-clinique appliquée au cancer du sein dans la souris
    Bernard Lopez,
    Stabilité Instabilité du Génome, Inserm U1016, CNRS UMR8104, Université de Paris, Institut Cochin, Paris
  • Les structures d’ARN G-quadruplex dans la coordination entre la synthèse protéique cytoplasmique et mitochondriale : un  » talon d’Achille  » pour le remodelage du métabolisme mitochondrial associé à la résistance aux drogues ?
    Stefania Millevoi,
    Sphingolipides, Métabolisme, Mort cellulaire, Centre de Recherche en Cancérologie, Inserm UMR 1037, CRCT, Toulouse

L’infographie qui suit présente quelques repères historiques sur la recherche sur l’ARN et ses applications médicales ainsi que des concepts clés permettant de mieux comprendre pourquoi «l’ARN-médicament» est aujourd’hui considéré comme un espoir majeur dans le domaine du traitement du cancer.

https://www.ligue-cancer.net/articles/larn-medicament-quel-espoir-pour-le-traitement-du-cancer

 

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16 Commentaires

  1. On dirait que la Médecine devient une médecine vétérinaire !
    Je m’explique : Pour leurs bien, nous dit on, on doit vacciner nos animaux domestiques tous les ans… Mais justement si cela doit être fait tous les ans, ce n’est pas un vaccin, mais une thérapie, un médicament à durée longue, que l’on injecte à l’animal.
    Cette thérapie est elle à base d’ARN ? C’est fort possible, justement , puisqu’on doit la renouveler fréquemment !
    Quelqu’un sait ?

  2. Toujours la censure sur de bonnes réponses et correctes ,99 % de censure sur le site pour des paroles qui souvent ne sont pas assez argotiques ou un peu crues , dommage …comment se desabonner , merci d’avance ..sans rancune , on ne sait plus comment ecrire et quoi ecrire …

    • @Claude Germain
      Cher ami,
      Nous sommes ouvert à tout à condition que cela ne mette pas le site en péril. En effet, des commentaires qui peuvent nous porter préjudice sont supprimés. Si la personne insiste elle se trouve sur liste noire. Tout comme la vulgarité profonde n’est pas appréciée. Ceci ne vous vise pas personnellement mais fait partie de la charte de RR. Merci.

  3. Bonjour, que tous ces  »fous » retournent á leurs études, étudient les travaux d’A.Béchamp,et ceux des  »pères » de la médecine du sens, ou á défaut les Médecines chinoise et ayurvédique. Peut-être finiront-ils par mieux happréhender les pathologies auto-immunes desquelles relèvent les cancers. Je dis cela et je ne dis rien, á bon entendeur…..salut.

  4. Chère Christine,

    Renseignez vous : Plus de 90% des cancers du Pancréas sont mortels.
    Si on vous propose un vaccin, dans ce genre de situation, je pense que tout le monde l’accepte.
    Et c’est un anti-vaccin-covid qui vous le dit ;o)

    • Je sais bien, oui pour le pancréas, foutu pour foutu… je comprends. Mais ils sont en train de multiplier les vaccins ARN pour tout…

      • Bonsoir Christine. Mme Alexandra Henrion Caude l’a dit, « le vaccin ARN messager ne marche pas ».

  5. Tout les moyens sont bons pour vacciner tout le monde et la dernière dinguerie de Pfizer avec son vaccin ARN c’est de vacciner les personnes contre le cancer ! C’est du n’importe quoi ! Les Cinglés comme Ursula Von Der la Hyène, la Droite Molle et les Gauchiasses de la NUPES sont d’accord avec la vaccination et puis Von Der la Hyène prend son pied avec Bourrrre-la avec cette histoire de vaccin tellement ce sont des mafieux !

  6. Chère Christine, notre adversaire big-pharma est un lobby riche, puissant donc manipulateur. En Suisse, l’an passé l’industrie pharmaceutique a versé 218 millions aux acteurs de la santé: ces « subventions » dont par exemple 20 millions de Pfizer-Biotech-Fosun) servent à offrir des frais de congrès, d’hébergement, de formation continue à des médecins, à payer des conseils donnés par des médecins dont les trop fameux médecins cadrâtes influenceurs, etc… et à financer des projets de recherche clinique.
    En France, tout comme en Angleterre ces montants sont certainement beaucoup plus élevés (sont-ils publiés?) parce que les médecins ont de plus en plus des revenus bien bas pour des universitaires qui, de plus, ont fait pour de nombreux une longue formation postgraduée.

  7. REC-TI-FI-CA-TION , des vaXXXXINS ARN qui DONNENT LE CANCER …..OUI !!!……..souriez a qui la première dose ??? nous vous offrons en prime un aller-simple aux PFG ,…………. c’est la maison Bourla-genocide qui offre , depechez vous il n’y en aura pas pour tout le monde .

    • oui mais … pzifer offre 20,% de reduction chez pfg et meme 30% de reduction sur roc eclerc si vous acceptez de vous faire vacciner par leur nouveau vaccin anti cancer a ARN messager
      je pense que ca vaut le coup de foncer car cette promotion ne durera pas eternellement
      treve de plaisanterie qui peut encore avoir confiance dans ces truands

  8. Quand on sait que tous les jours des ORDURES aux ordres des PSYCHOPATHES qui nous dirigent nous larguent dans le ciel des produits CHIMIQUES (CHEMTRAILS) faut etre TARE pour leur faire CONFIANCE ….

  9. Je comprends votre inquiétude, Christine et je suis d’accord avec vous, mais ces traitements, le terme de vaccin étant inapproprié, s’adresse à des gens dont l’espoir de survie est réduite à peau de chagrin. Les nouveautés thérapeutiques étant rares dans ce domaine, cette fois ci le risque est limité et ne s’ adresse pas à des personnes en pleine santé comme le Gardasil ou autres.

  10. Il y a de quoi douter en effet. Il est vrai que les malades n’ont rien à perdre. Cruel dilemme. Si cela marchait, sans risques majeurs, ce serait une avancée formidable. Attendons. Une question me taraude : les labos seront-ils honnêtes cette fois-ci.

    • Argo honnetes avec un recul de plusieurs mois ? Les labos courent apres le fric pas notre santé Le pb est que les vaccins ARN, médiatisés, sont devenus une habitude acceptée par beaucoup et TOUS sont maintenant ARN Les médocs ?

  11. Moi non plus, j’ai pas confiance sur leur vaccins anti cancer, quand on sait que ces criminels disaient que leur vaccins étaient fiable à 95 et 98% et que le résultat à été des milliers de morts, ça fait peur. Quand on sait leur acharnement à nous injecter de force malgré les effets secondaires dévastateurs, on peut se poser des questions. Quand on connaît leur intentions de détruire l’humanité et s’enrichir au passage, alors leur saloperie arn pas question. Ils continuent leurs expériences criminelles pour réduire l’humanité avec des mensonges gros comme une maisons, mais on sait maintenant que l’arn ne marche pas. C’est en prison que ces criminels devraient être, à défaut de se balancer au bout d’une corde.

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