Erik : 3 ans seul dans la forêt suédoise à construire une maison en rondins comme ses ancêtres

 

Hommage à l’Homme blanc, ce bâtisseur dans l’âme, épisode précédent.

 

Erik Grankvist décide à 18 ans de construire lui-même une cabane en rondins dans la forêt suédoise

Erik voulait construire une cabane en rondins à partir de zéro – tout seul. Il mettra trois ans. 

Quand Erik Grankvist a obtenu son diplôme d’études secondaires, il a senti qu’il voulait « faire  quelque chose de différent ».

Il a décidé de construire lui-même une cabane en rondins au milieu de la forêt au nord  de Sala et d’utiliser des méthodes, des matériaux et des outils traditionnels.

– Je voulais m’éloigner de Stockholm, et aller vivre dans la forêt. J’ai en partie grandi à la campagne, j’ai donc senti que c’était le bon endroit pour moi, dit Erik Grankvist.

C’était en 2019 et Erik avait 18 ans. Inspiré par des histoires sur Internet d’autres personnes qui avaient construit des cabanes, il a commencé à planifier et à construire la sienne. Il vit dans les bois au nord de Sala sur les terres familiales.

Il a tout fait lui-même avec des outils manuels.

Il utilise des haches, des scies et d’autres outils traditionnels pour couper et transformer les rondins de la maison. Mis à part l’aide d’un tracteur pour transporter les rondins et les lourdes pierres jusqu’aux fondations, Erik fait tout lui-même. Un travail lourd et qui prend du temps.

– Au début, je travaillais presque 10 heures par jour, puis tu as mal au dos, alors tu dois apprendre à connaître ton corps et tu dois prendre quelques jours de repos – sauna et un peu d’étirement, voilà ce que j’ai fait. J’ai pris 10 kilos là-dessus, ça paraît un peu fou, mais c’est vrai, dit Erik Grankvist.

La scène du sanglier !

Enfin un foyer (vidéo)

 

 

 

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23 Comments

  1. Une belle histoire, une magnifique cabane et une grande aventure pour ce Suédois qui gardera la fierté d’avoir réalisé son projet tout seul.
    Je sens l’odeur de la bonne grillage de sanglier, parmi les mille odeurs de la forêt, et qui me fait saliver.

  2. Grand merci à toi, cher Jules. Ça fait du bien de voir le gars-çi mener son affaire.

  3. En France, on le fout en taule pour défaut de permis de construite, on rase sa cabane avec obligation de remettre les lieux en état.

  4. C’est bien, c’est beau, ça force le respect. Bravo à lui pour son courage au travail. Mais bon… On va pas tous vivre dans les bois. Puis les outils de l’époque c’est bien aussi mais avec ceux d’aujourd’hui il mettait un an avec beaucoup moins d’efforts.

      • @paco. Sans doute tu as raison. Si ça lui a fait du bien je ne critique pas. Je comprend ce qui a pu le pousser à faire ce chalet. Mais c’est pas parce-que c’est fait à l’ancienne qu’il faut le glorifier. Un aventurier qui part seul affronter les glaciers a à peu près la même démarche au fond. C’est pas pour ça que ça fait avancer la société. C’est une démarche personnelle. On peut tout aussi se sentir libre en vivant n’importe quelle passion, à chacun sa valseuse. Mais ne pas se méprendre, je ne critique surtout pas et je suis même admiratif. L’important dans la vie c’est de pouvoir suivre ses rêves. Malheureusement bien peu y parviennent, c’est désolant mais c’est ainsi. Pour l’immense majorité on survit à la vie parce-qu’elle nous ménage pas, alors on se démène avec.

  5. Si tout le monde fait de même, les forêts ne vont pas durer longtemps. Cela s’appelle une fuite en avant. Les Blancs doivent reconquérir leurs territoires par la force. Première étape : se débarrasser des trous-du-culs qui nous trahissent.

      • Le film a nécessité un montage, bien fait d’ailleurs et l’on peut le voir dans une courte séquence planter de futurs arbres. Donc son histoire a du sens. Même si l’on se doute qu’il ne va pas passer sa vie dans cette grande cabane, il va garder toute sa vie un motif de grande fierté légitime !

  6. Voilà un genre d’exemple qui redonne confiance en l’Homme, travailleur acharné et obstiné, habile, dur au mal, proche de la nature et vivant en symbiose avec elle, seul ce genre d’homme pourra survivre dans le chaos qui s’annonce, et hélas, je n’en ferais point partie, n’ayant plus l’âge ni la santé pour accomplir ce travail titanesque.

  7. Raciste !
    On dirait qu’il essaie de culpabiliser ceux qui, venus de très loin dans un pays froid en pleurnichant, vivent d’allocations payées par les autochtones comme lui et se plaignent sans arrêt.

  8. C’est Klaus Schwab qui doit être content. Et toute la clique wokisme qui exige un retour à la nature où vous vivrez de rien, et surtout pas d’un quelconque confort de vie, au fin fond d’une forêt ou de la campagne.

    • Le bon français moyen, feignant et stupide, qui mourrait de faim sans l’état et qui jalouse les hommes libres et capables. Méprisez donc les primitifs de la campagne. Restez crever dans votre HLM en vous masturbant sur Netflix. Ce suédois lui est en bonne santé, habite sa maison construite de ses mains et mange de la viande élevée en plein air. Pas vraiment le programme de schwab

      • Ou le bon troll habituel qui trouve quotidiennement a critiquer les Européens et leur civilisation quel que soit le prétexte. Le tout est de nous dénigrer quel que soit l’angle d’attaque.

        • Vous vous troppez.
          Je ne critique pas les Européens. ni le courage au travail.
          Je critique la propagande qui voudrait qu’on aille tous se terrer au fond des bois et surtout ne pas se préoccuper de ce qui se passe dans le monde et dans sa propre ville.
          Cela s’appelle, la grande démission.
          C’est-à-dire laisser l’oligarchie continuer à étendre son emprise sur les populations et faire autre chose que de s’en débarrasser.

          Ce garçon a du courage.
          Mais j’aurais aimé qu’il déploie ce courage à chasser les criminels au pouvoir plutôt de leur laisser les mains libres.
          C’était cela mon commentaire.
          Je suis désolé s’il a prêté a confusion.

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