Le Parisien nous vante l’immeuble participatif et son compost à caca partagé

On se rappelle des propos de l’ex-ministricule du Logement Emmanuelle Wargon qui affirmait sans ciller qu’il fallait en finir avec le modèle non soutenable du rêve français du pavillon individuel.

Désormais recasée par Macron à la présidence de la Commission de régulation de l’énergie, elle vantait à l’époque la notion de « densité heureuse » à travers la généralisation de l’habitat collectif et l’imposition de la sacro-sainte mixité sociale. Bref, pour ces Français égoïstes et repliés sur eux-mêmes, l’obligation de vivre en HLM au milieu des racailles, des barbus, des voilées et de la charia à tous les étages.

Sauf qu’elle et son wesh-wesh de mari toubib covidiste de plateaux TV (Mathias Wargon) vivaient dans une belle maison individuelle de 150m2 à Saint-Mandé, municipalité sans mosquée ne respectant même pas le quota de logements sociaux…

https://resistancerepublicaine.com/2021/10/17/non-mme-wargon-je-ne-veux-pas-vivre-en-clapier-avec-la-diversite/

Cette petite ritournelle mettant à l’index le modèle « non-écologique » de la maison individuelle au profit de « l’habitat partagé », de « l’habitat participatif » ou des « tiers-lieux » nous revient de plus en plus souvent aux oreilles, notamment par les médias (comme si – mais c’est « complotiste » de le penser – il y avait un « plan » concerté pour en finir avec la propriété individuelle).

Ainsi, Le Parisien Week-end (Aujourd’hui en France) nous vante le modèle de « l’immeuble participatif » où des familles partagent des « espaces et des services mutualisés » comme la cuisine, les voitures ou le « compost à caca ». Une version bobo de la Kommounalka soviétique, appartement communautaire permettant de se surveiller mutuellement ?

Personnellement, la tente de camping, l’auberge espagnole, la vie en communauté hippie sur le Larzac ou le kibboutz, ça va bien quand on a 20 ans. Passé la quarantaine, je n’ai aucune envie de partager mon lit, ma femme, ma cuisine, mes chiottes, mon barbecue et mon jardin potager.

Florilèges :

Oh, la belle vie… en communauté

Ensemble, c’est mieux (6/8). Depuis six ans, Lionel a opté, avec ses deux fils Malo et Ian, pour un habitat partagé à Grenoble. Au cœur de cet habitat participatif, de nombreux espaces et services sont mutualisés entre voisins…

« Même le cendrier est bio ! » s’amuse Lionel Perrier en désignant l’ancienne boîte à café, qui accueille désormais les mégots de cigarettes. Ici, au Clair du Quartier [,] on ne transige pas avec l’écologie« 

« Des matériaux locaux pour la construction, une chaufferie collective au bois « qui nous permet aujourd’hui de ne pas dépendre du gaz russe« 

« L’idée globale, c’est d’adopter un mode de vie moins consumériste […] De fait, ces voisins ont en commun bien plus que des escaliers et quelques discussions en commun au détour du local poubelle – dont ils se partagent la gestion, à chacun sa semaine. Ce mercredi de la fin mai, le poulet fermier est servi lors du grand déjeuner collectif… »

« Avec Lénaig, mon ex-compagne, on a toujours su que l’on ne voulait pas du huis clos d’un foyer traditionnel avec ce que cela charrie comme modèle individualiste et un peu étriqué de cellule familiale… »

– « Le coût total, comprenant les logements, le terrain et les parties communes, s’est élevé à 1,2 millions d’euros. Acheté 200 000 euros, l’appartement familial de 85m2 est soumis à une clause de non-spéculation, empêchant toute plus-value à  la revente pendant les quinze premières années… »

– « Au quotidien, la cohabitation cela se traduit par la mutualisation d’espaces et des services [:] la buanderie, avec ses deux machines à laver en libre-service, la chambre d’ami, le barbecue, le matériel de camping et même les skis ! […] Même logique pour les voitures au nombre de trois pour cinq foyer, partagées via un système de réservation […] « C’est un moyen très concret de réduire nos émissions de carbone » vante Malo… »

– « Quelque chose […] ne manque pas de susciter la curiosité, à quelque mètres du potager [:] « notre compost à caca » […] Les cinq logements sont ainsi équipés de toilettes sèches, une première en France pour un immeuble en ville. »

– « Lionel […] regrette parfois le manque d’intimité – par exemple, au début d’une nouvelle relation – quand  on préfèrerait rester à l’abri des regard indiscrets. Il pointe aussi les disputes […] Ces derniers mois, l’un des foyers s’est mis en retrait de la collectivité… »

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31 Commentaires

  1. Ce système correspond à la colocation entre étudiants.
    Mais pour le reste , j’attends que les Wargon cèdent leur coquette maison à Saint Mandé à Utopia 56, et prennent une HLM au milieu de leurs protégés.
    Il serait normal qu’ils donnassent l’exemple.

  2. Les Français déjà dans la mouise s’embourberont un peu plus ! Mais beaucoup d’entr’eux semblent s’y complaire …

  3. Ce genre de pouilleux tire sa gloire de l’épaisseur de sa couche de crasse et de son odeur de chien mouillé. Le phalanstère est contraire à la nature humaine, il est forcément voué à s’écrouler tôt ou tard. Dramatique pour les gosses qui naissent et grandissent dans cette merde !

  4. Il est interdit depuis belle lurette de déverser des excréments humains pour servir d’engrais pour son potager. Quelle bande de crétins dégénérés.

  5. Prendre sa douche après cette femme et être contraint de nettoyer le bac de ses cheveux et autres poils frisés. Quelle horreur !

  6. Ah mais quelle HORREUR, sans parler de l’odeur! Une bande de crasseux qui se vante de s’habiller moitié chiffons moitié ordures. Ben voyons…
    Ca me rappelle le film « les babas-cool » avec Clavier et compagnie. Pour un truc leur pseudo concorde « cool » vole en éclats et ça vire à la bagarre générale. Mon Q oui comme on dit!

    • J’ai connu une femme un peu comme ça : elle ne se lavait jamais les cheveux; ou qu’une fois de temps en temps, je ne me rappelle plus…
      Sa coiffeuse lui disait apparemment qu’elle avait de très beaux cheveux, alors elle était fière de ne pas se les laver et se vantait qu’ils étaient luisants grâce à son « huile naturelle »… (En fait, ses cheveux étaient juste gras, mais bon…)

      Avant de la recevoir chez moi, j’ignorais qu’il était possible de puer des cheveux… ou même de COULER sa teinture!
      J’ai bien sûr été dégoûtée (c’était une personne très sale), mais j’ai au moins appris une leçon de vie…!

      Les gens, on ne les connait même pas quand on les fréquente : c’est quand on vit ensemble, même sur une très courte période, qu’on capte ce à quoi on a affaire!

      Et je ne critique même pas ceux qui ne se lavent pas : si il y a des gens qui trouvent un moyen de rester propres ET de ne pas sentir mauvais sans se laver… qui suis-je pour critiquer?
      Je souffre terriblement des dents, et si j’avais su plus tôt ce que les dentifrices étaient vraiment… : https://t.me/lepetitpoucetSANTE/438

  7. J’ai la chance d’avoir vécu 98% de ma vie en maison individuelle, pour rien au monde je voudrais vivre dans ce genre de caisson laid ni d’ailleurs avec Emmanuelle.

  8. Les hippies pouilleux ne sont pas mort, hélas; moumoutes afghanes, shilum, sandalettes, pataugas….Ces gens sont completement à l’ouest…Non aucune envie de partager vos conneries, on m’a bien proposé, une gauchiasse, de vivre en immeuble avec tout-partage avec des anciens; j’en suis un, mais non, merci et à jamais !

    • si bcp ont crevé d’overdose ou de n’importe quoi d’autre dans leurs minibus pourris en route pour goa ou katmandou, hélas il en reste en effet…

  9. c’était l’habitat de l’urss, encore à l’époque de staline : comme quoi l’extrême gauche est bien à la manoeuvre en france, dans tous les domaines : à combattre impérativement

  10. 9 – “Lionel […] regrette parfois le manque d’intimité – par exemple, au début d’une nouvelle relation – quand on préfèrerait rester à l’abri des regard indiscrets. Il pointe aussi les disputes […] Ces derniers mois, l’un des foyers s’est mis en retrait de la collectivité…”

    C’est sûr que, quand on n’est ni exhibitionniste, ni voyeuriste… ça ne doit pas être évident, de partager son intimité avec de parfaits inconnus!

    …Sérieux… leur vie ne donne vraiment pas envie…

    • HAAA Partager sa femme avec momo, Youssouf et Mamadou.
      Partager, heu non, donner ses clops et son fric aux divers.
      Que du bonheur.

  11. 6 – “Au quotidien, la cohabitation cela se traduit par la mutualisation d’espaces et des services [:] la buanderie, avec ses deux machines à laver en libre-service, la chambre d’ami, le barbecue, le matériel de camping et même les skis ! […] Même logique pour les voitures au nombre de trois pour cinq foyer, partagées via un système de réservation […] “C’est un moyen très concret de réduire nos émissions de carbone” vante Malo…”

    Purée… ils en ont, des choses, pour des gens qui prétendent vouloir consommer moins…!!
    Ca se voit qu’ils n’aiment pas se priver, décidemment…!

    8 – “Quelque chose […] ne manque pas de susciter la curiosité, à quelque mètres du potager [:] “notre compost à caca” […] Les cinq logements sont ainsi équipés de toilettes sèches, une première en France pour un immeuble en ville.”

    …Curiosité, vraiment…? Ou bien dégoût?

  12. 4 – “Avec Lénaig, mon ex-compagne, on a toujours su que l’on ne voulait pas du huis clos d’un foyer traditionnel avec ce que cela charrie comme modèle individualiste et un peu étriqué de cellule familiale…”

    …Aaaaaah… j’ai compris! Ce sont donc des gens qui aiment se montrer…!

    5 – “Le coût total, comprenant les logements, le terrain et les parties communes, s’est élevé à 1,2 millions d’euros. Acheté 200 000 euros, l’appartement familial de 85m2 est soumis à une clause de non-spéculation, empêchant toute plus-value à la revente pendant les quinze premières années…”

    …Et ce serait plus écolo qu’une maison individuelle par ménage parce QUE…?

  13. Hmm…

    1 – “Même le cendrier est bio !” s’amuse Lionel Perrier en désignant l’ancienne boîte à café, qui accueille désormais les mégots de cigarettes. Ici, au Clair du Quartier [,] on ne transige pas avec l’écologie“

    …Fumer est écolo…?

    2 – “Des matériaux locaux pour la construction, une chaufferie collective au bois “qui nous permet aujourd’hui de ne pas dépendre du gaz russe“

    Ils… ne sont pas censés être CONTRE tout type de déforestation, les écolos?

    3 – “L’idée globale, c’est d’adopter un mode de vie moins consumériste […] De fait, ces voisins ont en commun bien plus que des escaliers et quelques discussions en commun au détour du local poubelle – dont ils se partagent la gestion, à chacun sa semaine. Ce mercredi de la fin mai, le poulet fermier est servi lors du grand déjeuner collectif…”

    Pourtant, quand on reçoit des invités (ici dîner collectif), on a justement tendance à gaspiller bien plus que lorsqu’on mange seul OU en famille… je me trompe?

  14. Quelle folie. Encore une lubie pour bobo-écolo-dingo. Bonjour le retour des maladies éradiquées grâce à l’eau courante.

  15. Attention quand même : je note qu’ils fument et mangent du poulet. Il y a encore beaucoup de progrès à faire. N’est pas écolo-bobo-végan qui veut !

  16. Et avec les crottes de nez ils font du compost à banzaï ?

    Bouh, c’est pas bien de couper tous ces arbres pour faire un immeuble gris 😋. Des arbres morts, ce n’est pas à Bordeaux qu’on verrait ça ! 🙄

    • Si cela peut vous intéresser sur ce type de projet, j’ai passé deux mois dans un écohameau chez un pote. Je n’y remettrai jamais les pieds. Ils vivent comme des romanichels, en plus sales. Il n’y a de l’eau chaude qu’une fois tous les trois jours, leur système de production électrique est à base de panneaux solaires. Les jours de grandes pluies…Les toilettes sentaienikt la crotte. Ils lavent leur linge sans lessive, avec de la cendre, d’où crasse. Et ils consomment des légumes à moitié bouffés par les limaces, et des oeufs à la date de ponte inconnue. L’hiver, ils se gèlent les fesses dans leurs gourbis car ils utilisent des cheminées à foyer ouvert. Leurs piaules ne sont pas chauffées. Seul truc rigolo, le chef du village était cocu. Par un agriculteur conventionnel du coin qui utilisent des pesticides. Tout le monde le savait, sauf lui. La vengeance du pesticide sur l’écolo crasseux.

    • Merci Mantalo, voila l’explication que n’avais pas pour conserver mes bonzaï. Tous devenus des arbres morts. Alors je vais récolter dans mon entourage. Par contre, le maire de Bx, (je vis à une dizaine de km du palais Rohan) comment fait-il pour ne pas marcher sur les beaux parquets en bois mort de ce beau palais? lévitation?

  17. La Bobo Wokiste de Saint Mandé une banlieue aisé du 94 avec son Loup Garou de mari le Covidiste obsessionnel Mathias Wargon veut supprimer l’accès à la propriété privée pour cause de problème écologique c’est que vraiment ça pue le chantage du Bobo gaucho écolo sectaires qui essentialise l’habitat collective au nom de la planète où des abrutis de Bobos cohabitent sans que les personnes concernées aient leur vie privée et les Gauchiasses du Parisien veulent imposer cette logique destructrice de l’habitation partager car ces gens là sont des Bobos complètement cons qui veulent tout simplement partouzer entre Bobos dans une ambiance de compostage de Caca humain et de style stalinien version Khmer Vert. Les Gauchiasses du Parisien sont des malades mentaux d’extrême gauche utopistes !

  18. Bientôt un délicieux fumet va s’échapper des villes. Une odeur de merde va flotter dans l’air. On va finir par regretter l’odeur du gasoil.

  19. Tout Paris devrait se mettre à ce genre de cohabitation y inclus Micron. C’est l’avenir heureux du great reset.

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