Le président turc Erdoğan prépare son plus jeune fils Bilal à lui succéder…

Le président turc Recep Tayyip Erdoğan et son plus jeune fils Necmettin Bilal Erdoğan, prêt pour succéder à son père et créer une dynastie familiale fondée sur l’islamisme et la corruption…

Par Abdullah Bozkurt – Moniteur nordique

Traduction -partielle- WEB de :
https://www.meforum.org/64646/turkish-president-erdogan-is-grooming-his

Le président autoritaire turc Recep Tayyip Erdoğan, touché par des problèmes de santé croissants, a mis en route un plan pour former et préparer correctement son fils à lui succéder, préparer le terrain pour la création d’une dynastie familiale dans le contexte du démantèlement des institutions démocratiques en Turquie, une faiblesse (?), une opposition fragmentée, et après avoir amassé une énorme richesse familiale estimée à des centaines de milliards de dollars*.
* : Ce qui est excessif, mais plusieurs milliards, avec des opérations de détournement concernant en particulier la privatisation de la Turkish Petroleum Refineries Corporation, est possible ! Déjà en 2010, huit comptes en Suisse, mais sûrement d’autres ailleurs, la Suisse n’étant plus aussi sûre que par le passé.

Necmettin Bilal Erdoğan, le fils cadet de 42 ans de la famille, n’est responsable d’aucune fonction publique, mais il devrait peut-être être considéré comme la personne la plus influente dans la gouvernance de la Turquie. Zélote idéologique, il opère depuis l’ombre. Il est aidé et encouragé par le régime répressif et inexplicable de son père et un vaste réseau de copains stratégiquement plantés dans des postes clés du gouvernement.

Les marqueurs d’une telle perspective étaient déjà visibles dans les nominations clés faites par le président Erdoğan après les élections de mai et le remaniement ministériel qui a suivi. Bien qu’il ne soit pas clair qu’ Erdoğan ait l’intention de se retirer volontairement de la politique, la détérioration de sa santé, qui comprend le traitement du cancer, les épisodes d’épilepsie récurrents et les pertes de mémoire occasionnelles, peut nécessiter la planification d’une succession en douceur en cas de défis futurs à son leadership.

Le fils cadet Bilal est considéré comme le prince héritier non déclaré de la Turquie, et le président semble s’appuyer sur lui pour assurer une succession harmonieuse et protéger la famille des problèmes juridiques potentiels en cas de départ. La vision d’une dynastie Erdoğan, inspirée des Ottomans, semble suggérer un désir de régime durable dans lequel la famille traite 82 millions de citoyens comme leurs sujets et les actifs d’un pays entier comme leur propre richesse.

Nourri dans sa jeunesse à la religieuse Kartal İmam Hatip School à Istanbul et éduqué aux États-Unis, Bilal est considéré comme le membre le plus fiable de la famille et est consacré à l’idéologie de l’islam politique. Il entretient des liens étroits avec diverses sectes et réseaux religieux qui soutiennent le règne de son père et son programme politique. De plus, Bilal joue un rôle important dans la coordination des efforts de sensibilisation avec des religieux influents et facilite les engagements avec les réseaux religieux mondiaux, y compris les Frères musulmans.

Il avait même travaillé avec le ancien financier d’al-Qaïda Yasin al-Qadi, désigné à l’époque par l’ONU et le Trésor américain, a reçu des millions de lui et a créé une société écran en son nom en Turquie. Dans les enquêtes de tribunaux en 2013, Qadi et Bilal ont été nommés suspects par les procureurs d’avoir violé plusieurs lois turques. Il a fallu que son père intervienne illégalement dans l’enquête pour le sauver de graves accusations criminelles et très certainement de prison pour avoir enfreint la loi*.
* : Tel père, tel fils !

De ce côté là, les choses ne semblent pas prêtes à s’arranger !
Peut-être, une querelle de succession… entre loups qui rebattrait les cartes !
Ou encore un soulèvement inattendu contre les Erdogan et leur corruption…

 

La suite en anglais…

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4 Comments

  1. C’est con car micron n’a pas de gniard donc il ne pourra pas copier !

  2. La dynastie des Erdogan n’est pas prêt de s’éteindre car le Sultan Erdogan prépare son fils Necmetin Bilal Erdogan à lui succéder à la tête de la Turquie pour faire les mêmes politiques que son père en matière de politique étrangère avec la Russie, la Chine et les Occidentaux en pleine déconfiture au sujet du bourbier ukrainien et des conséquences du déclenchement de l’Occident sur tout les tableaux et surtout il va faire du chantage auy migrants comme son père. En matière de politique économique il peut s’en sortir et s’inspirer de son père qui a transformé la Turquie en un véritable pôle industriel que ce soit en matière d’armement et autres et puis il est Belliciste comme son père le Sultan Erdogan !

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