Ainsi s’intitule le dernier subterfuge du président de notre République pour prolonger jusqu’à échéance, son intrigue présidentielle que l’on sait totalement vouée à l’hégémonie d’une Europe, dont il s’estime prochainement l’optimal dirigeant.
L’énième artifice de cette communication ourdie en notre Palais et ses dépendances, n’est pas dénuée de toute pertinence pour ce qui concerne son appellation, pour peu qu’on lui attribue le titre de ce modeste article.
Cet atermoiement politique ainsi renommé et visant à se substituer à une absence de projet utile à notre pays, prend tout son sens puisque depuis 2017 une forme de nuit polaire s’est abattue sur la France.
Le «Père cent» en langage du troufion, est la période qui conduit à la libération après le calvaire militaire auquel mit fin Chirac en 1997, je le remercie pour cette heureuse initiative, pas pour moi il était trop tard, mais pour mon fils et tous nos jeunes hommes échappant ainsi au désolant spectacle d’une armée de conscrits livrés en pâture à quelques juteux, serpat’ ou cabots étant ou devenus inopérants pour assurer la sécurité nationale, celle ci confiée à très juste titre, à une armée de professionnels certes moins nombreuse mais ô combien plus efficace au regard des armements contemporains.
Ses sous officiers ressemblant étrangement à la description sus-citée, il est peu probable que le président se soit inspiré de ce symbole pour s’infliger cet ultimatum qui nous a particulièrement comblé, puisque nous n’en attendions strictement rien.
Malgré notre position jugée extrême par rapport à une population estimant au trois quart que l’action présidentielle actuelle est mauvaise, j’ose espérer que nous ne sommes pas tous des enragés du fascisme en bottes de cuir et couteaux entre les dents, prêts à bondir sur n’importe quel être sensiblement différent du prototype initial imaginé par le créateur.
Le commandant de bord actuel de notre pays, proche du désopilant long métrage s’interrogeant dans son titre si l’avion était effectivement en main, a donc délivré à sa copilote une feuille de route.
Redescendons sur le plancher des vaches en urgence ce sera moins dramatique, parce que confier une feuille de route à quelqu’un qui ne sait pas conduire, relève d’une sévère envie d’expérimenter sa propre bagnole dans un crash-test sans en apprécier les désastreuses conséquences. C’est hélas notre quotidien depuis 6 ans, d’abord un apprenti président, promu ensuite ouvrier qualifié sans qu’il n’ait obtenu son CAP.
Quand bien même ce diplôme fut délivré par défaut, confier des travaux de plomberie à un paysagiste décorateur, revient à se faire poser un implant dentaire par un proctologue. En d’autres termes l’intelligence n’est en rien garante du travail parfait, je serais aussi confiant si d’aventure le sort me conduit aux urgences hospitalières, en une infirmière expérimentée qu’en un médecin interne débutant.
En l’occurrence le banquier sautant sans transition du coq fier et formaté, à l’âne qu’il remplaça, mu par sa seule ambition personnelle et celle il faut le dire de sa préceptrice amoureuse, ne pouvait assumer utilement sans expérience, le destin de la France.
Alors, une fois n’est pas coutume, considérant le péril provoqué par l’élection et la réélection de Macron, je consens à absoudre le plus superficiellement possible, ses prédécesseurs qui avaient au moins l’avantage d’une indispensable traçabilité politique, ce qu’ils ont fait en bien et souvent en mal, s’appuyait sur une pratique politicienne confirmée, certains s’y reprenant à plusieurs reprises pour accéder à la présidence suprême, tel François Mitterrand déjà candidat en 1965 et 1974, les procès en incompétence de certains candidats malgré deux participations au second tour de l’élection française majeure me laisse ainsi perplexe, lorsque du premier coup un navet fait irruption dans la tarte aux pommes.
Puisque c’est d’actualité permettez cette référence cycliste, Raymond POULIDOR fut si souvent second, qu’à la fin il figure parmi les sportifs nationaux les plus célèbres.
Les électeurs français ont fait entrer une première fois une espèce dans la bergerie sans savoir s’il s’agissait d’un loup ou d’un agneau, par la suite abasourdis par une étonnante pandémie et une guerre naissante, pilonnés d’informations médiatiques brandissant le retour d’une mode de moustache au carré et d’un Hiroshima européen, ils se sont laissés bernés par l’Ysengrin masqué comme le fut le Petit Chaperon Rouge.
J’ai cependant la conviction que depuis cette triste affaire, mère grand et sa petite fille ont pris des cours de self défense sur la toile enchantée, qui pourraient coûter à l’imposteur le loup, sa queue qu’il croyait infaillible pour pêcher dans la glace les stupides poissons.
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« Redescendons sur le plancher des vaches en urgence ce sera moins dramatique, parce que confier une feuille de route à quelqu’un qui ne sait pas conduire » — La pourriture à qui Schwab a confié la feuille de route sait très bien conduire et fait pour l’instant un « sans fautes » ! Pour détruire le pays. Hélas !
Cet homoncule qui se croit instruit et intelligent ne s’est même pas rendu compte qu’il a pris un des plus mauvais exemples d’une catastrophe annoncée. Chacun (enfin, je suis moins sûr de cette affirmation avec le niveau d’instruction actuel) sait comment a fini l’aventure napoléonienne des 100 jours, pourvu que l’Histoire se répète…
Cent jours à ajouter aux cinq années de calvaire, de répressions diverses, d’insultes, de dégradation de notre pays, d’invasions successives. Triste bilan, dû à l’imbécillité congénitale d’un peuple avachi dans la mollesse, qui se plaint sans cesse et qui vote et révolte pour son bourreau. Les patriotes subissent la connerie de ces gens-foutre.
ok avec toi mais … n y a t il pas erreur de frappe? qui vote et révolte?j aurai pensé vote et revote. la révolte n arrive pas vite
Je ne suis pas d’accord avec le dénigrement des petits »bidasses de la conscription ». Certes l’évolution technique des engins en service necessite des »pros » MAIS : quand il faudra boucler les quartiers, fouiller les barres d’immeubles et dénicher la racaille ,les pros ne suffiront pas .
Pendant les années de guerre en Algérie (54/62) ,bien des unités ont été formées (paras, commandos) avec des appelés dont hélas j’étais!
Ce type d’unité peut être formée pour le combat de rue, comme on l’ont été pour la recherche du »Contact »contre le FLN (JOUR ET NUIT) , certes il faudra 6 ou 7 mois au lieu de quatre de formation comme en 54/62 . Il suffira de demander à Wagner quelques formateurs!!!et dans nos militaires de carrière quelques bons éléments qui après leur »temps » trouveront une suite dans la grande armée populaire .
C’est une caricature ironique visant « l’excellence » du gouvernement actuel, certes elle reflète ce service militaire que j’ai mal vécu sur le moment, qui par ailleurs m’a rendu certains services comme le permis de conduire, mais je ne mets pas en cause les appelés, j’ai rencontré durant ces douze mois des gens ordinaires, des gens formidables et des sales cons et face à l’autorité punitive tous faisaient corps. J’ai par ailleurs un très grand respect pour les conscrits qui sont allés en Algérie et en général pour tous les militaires femmes et hommes qui œuvrent dans l’ombre pour notre patrie, tandis qu’au sommet de l’état l’ambition personnelle plus que jamais, remet en cause la sécurité intérieure de notre nation. Merci pour votre réplique.
Les cents jours de Macronor Terminator Flatulator c’est le Waterloo Macronien où tout ce qu’il a n’est que destruction, faillite et idéologies d’extrême gauche car le Poudré Macronor Flatulator ne supporte pas le patriotisme envers la France parce que ce type est un Européiste mondialiste qui prête allégeance à l’Europe, à l’Allemagne et à l’Amérique et il fait tout pour anéantir la France !
J’aurais bien aimé voir la tronche du grand chef à plume de la police darma-nain quand notre dieu macron a laissé entendre qu’il verrait bien le maire du Havre à la présidence en 2027.
Il a dû en avaler son sifflet à roulette le moussa !
Au moins, Edouard ne se fera pas de cheveux devant les problèmes qui l’attendent. On ne peut même pas dire que c’est un brave à trois poils.