Un entraîneur sportif musulman à un père hindou : “Je viole votre fille depuis ses 17 ans, et alors ?”

L’accusé a soumis la jeune victime à des abus sexuels prolongés depuis son adolescence et  l’a convertie à l’islam.

“Je viole votre fille depuis ses 17 ans, et alors ?”

Cette déclaration de défi montre que l’entraîneur sportif musulman trouvait parfaitement normal d’abuser d’une jeune hindoue et pensait pouvoir agir en toute impunité, ou était indifférent à la perspective d’être emprisonné pour viol.

Le violeur nargue et menace le père quand celui-ci vient lui demander des comptes !

L’audace de ces suprémacistes de l’islam !

Il faut mettre cela en parallèle avec les mensonges entendus dans les médias français cette semaine à l’occasion de la visite du Premier ministre indien Narendra Modi à Paris  (Radio classique notamment et d’autres) sur les prétendus “traitements réservés aux musulmans” en Inde.

Le Premier ministre indien Modi à Paris, au défilé du 14 Juillet.

Ces affirmations sont largement répétées afin d’intimider le gouvernement Modi et de l’inciter à cesser tous ses efforts pour mettre un terme aux actions du djihad.

Voyons à quoi ressemble ce djihad, à travers trois faits rapportés dans l’actualité indienne des derniers jours.

Un entraîneur de cricket du nom de Mehboob Bukhari a été arrêté pour viol sur une jeune élève hindoue, qui est aujourd’hui portée disparue. Il est accusé d’avoir soumis la victime à des abus sexuels prolongés depuis son adolescence.

Mehboob Bukhari a non seulement converti de force la jeune fille, mais il a également changé son nom en Nazneen. La police a pris des mesures rapides à la suite de cette révélation, en appréhendant l’accusé et en lançant une opération de recherche intensive pour retrouver la jeune fille disparue du domicile familial depuis le 26 juin 2023.

La jeune victime avait rejoint l’académie d’entraînement de Mehboob Bukhari à un jeune âge avec le rêve de devenir joueur de cricket.

Le cricket en Inde est « le sport des dieux » et bénéficie d’une énorme popularité. Aujourd’hui, le cricket en Inde joue le rôle d’un ciment social dans un pays de contrastes : un excellent joueur indien est vu comme une déité, et qu’il soit de Delhi ou de Darjeeling ne fait que peu de différence.

Les gens préparent leur vie sociale, leurs absences du bureau et leur voyages selon le planning de l’équipe indienne.

La famille de la victime a déclaré dans la plainte : “Notre fille étudie au Kundaliya College. Comme elle aimait le cricket depuis son enfance, nous avons contacté monsieur Mehboob Bukhari, qui dirige une classe d’entraînement de cricket dans la ville. Au lieu de lui enseigner le cricket, Mehboob Bukhari a pris la fille mineure au piège de l’amour (djihad de l’amour) et lui a fait subir un lavage de cerveau. Mehboob Bukhari a également changé son nom en Nazneen. Notre fille, qui avait l’habitude de chanter Jai Dwarikadhish [chant traditionnel hindou], a commencé à faire les prières quotidiennes des musulmans (namaz) et à crier le slogan Allahu Akbar”.

L’accusé Mehboob a déclaré au père : “Je viole votre fille depuis qu’elle a 17 ans, vous n’y pouvez rien ! »

Selon le père de la victime hindoue, sa fille a maintenant 21 ans. Lorsqu’elle était à la maison, elle a également commencé à se rendre à la mosquée et à faire les prières musulmanes. La famille a essayé de la convaincre à plusieurs reprises, mais elle subissait une telle pression de la part de l’accusé Mehboob Bukhari qu’elle avait l’habitude de dire : “Ma vie est fichue“.

Lorsque le père de la jeune fille est allé parler à Bukhari, celui-ci a menacé de lui briser les mains et les jambes et de le tuer.

OpIndia, 12 juillet 2023

Selon un hadith, Mahomet a dit : “La guerre est une tromperie.” (Bukhari 4.52.268).

Mohammad Tariq suivait une formation au “djihad de l’amour” auprès de Sumera, une terroriste de l’ISKP, et propageait l’idéologie de Daesh par le biais de jeux en ligne.

OpIndia, 10 juillet 2023.

Le lundi 10 juillet, la brigade antiterroriste de l’Uttar Pradesh (ATS) a fait des révélations surprenantes sur Mohammad Tariq, qu’elle a arrêté le jeudi 6 juillet pour avoir propagé l’idéologie de Daesh sur de multiples plateformes de réseaux sociaux. L’UP ATS a révélé que Mohammad Tariq était en contact avec la terroriste de Daesh de la province de Khorasan (ISKP) Sumera Bano, que l’Anti-Terror Squad (ATS) de la police du Gujarat a arrêtée avec trois autres personnes à Porbandar le mois dernier.

Sumera avait l’habitude de former Mohammed Tariq au “djihad de l’amour”, dans le cadre duquel des jeunes filles hindoues sont piégées par des hommes musulmans qui les convertissent ensuite de force à l’islam, les poussent au terrorisme, les préparent ou les assassinent et les violent.

L’ATS a révélé que les informations concernant Mohammed Tariq ont été obtenues à partir du téléphone de Sumera lorsqu’elle a été appréhendée à Porbandar le mois dernier. Immédiatement après, l’ATS du Gujarat a alerté l’ATS de l’UP et Mohammed Tariq a été arrêté le 6 juillet 2023.

Au cours de l’interrogatoire, Mohammed Tariq a reconnu qu’il propageait l’idéologie de Daesh et qu’il incitait les jeunes à s’associer à lui sur les réseaux sociaux. Il a également déclaré qu’il avait toujours voulu être un mujahid (personne qui s’engage dans le djihad) et que les armes de Baghdadi l’avaient toujours fasciné.

En outre, lorsque l’équipe des ATS a enquêté sur le téléphone portable de Mohammad Tariq, elle a découvert de nombreuses images de terroristes de Daesh portant différents types d’armes. La police a également récupéré plusieurs documents incriminants, notamment des drapeaux et de la littérature de Daesh, ainsi que des transcriptions écrites en arabe, qui étaient en sa possession.

Révélant également des détails sur le modus operandi adopté par Mohammad Tariq, les responsables de l’ATS ont déclaré qu’il attirait et piégeait généralement ses cibles par le biais de jeux en ligne. Mohammad Tariq entrait en contact avec des garçons de sa localité et de tout le pays en jouant avec eux à des jeux en ligne.

L’ATS a déclaré que Mohammad Tariq était un introverti qui restait le plus souvent chez lui et se rendait de temps en temps au supermarché pour acheter des produits de première nécessité comme du lait et des biscuits. Il vivait avec son père, enseignant dans une école publique, sa mère, son frère, tailleur de profession, et sa sœur aînée.

Le Coran interdit aux hommes musulmans d’épouser des femmes “polythéistes” : “N’épousez pas les idolâtres jusqu’à ce qu’elles soient croyantes, car une esclave croyante vaut mieux qu’une idolâtre, même si elle vous plaît…” (Coran 2:221)

“Delhi : Raj Kumar brutalement poignardé à mort par la famille de sa petite amie musulmane, Ashfaq et Meraj arrêtés”, OpIndia, 11 juillet 2023 :

Dans la région de Zakira à Delhi, un homme de 20 ans, Raj Kumar, a été assassiné par les membres de la famille d’une jeune fille parce qu’il avait une relation interconfessionnelle avec cette dernière, rapporte Times of India. La police a enquêté sur l’affaire et vérifié les images de vidéosurveillance avant d’arrêter deux personnes identifiées comme Ashfaq et Meraj.

Les suspects ontavoué aux autorités que Kumar fréquentait une proche parente d’Ashfaq. Cela les a contrariés et ils ont voulu se débarrasser de lui. Le 2 juillet, les accusés ont convoqué la victime dans le quartier de Shehzada sous prétexte de régler certains problèmes, où ils l’ont brutalement poignardé…

Sadek Alam est accusé d’avoir battu un jeune hindou de 25 ans et de l’avoir tué en lui administrant une injection de poison.

La victime, identifiée comme Prasenjit Barman, était un étudiant en soins infirmiers qui avait récemment obtenu son diplôme à Bangalore (Karnataka) et s’était inscrit à un master en sciences avec une spécialisation en soins infirmiers. Il se rendait dans son pays natal à l’occasion des élections locales “panchayat” qui se tenaient au Bengale occidental.

Il s’était porté volontaire pour travailler pour le parti BJP, qui est le principal parti d’opposition dans l’État et qui est souvent présenté comme un parti anti-musulman.

Prasenjit a exercé son droit de vote dans l’isoloir de l’école primaire de Santara, samedi après-midi. Sadek Alam était de service dans le bureau de vote à ce moment-là. Les deux hommes se sont disputés sur des questions liées au vote et aux élections. Prosenjit est ensuite rentré chez lui. Cependant, selon certaines informations, il a été enlevé devant chez lui vers 16 heures, emmené sur le lieu de l’élection et battu. Il a ensuite reçu deux injections dans le bras. Entendant ses cris, des villageois se sont précipités pour le secourir et l’ont emmené à l’hôpital rural de Hemtabad, où le médecin l’a déclaré mort à son arrivée.

“Ils ont emmené mon mari devant moi et l’ont battu à mort en lui administrant une injection empoisonnée. Il a tué mon mari parce qu’il avait voté pour le BJP”, s’est écriée sa femme en deuil.

9 juillet 2023

https://uttarbangasambad.com/poisonous-injection-in-the-body-after-beating-civic-volunteer-accused/

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