Et si les Blancs étaient finalement plus unis qu’on le croit face aux Sauvages ?

Et si les Blancs étaient finalement plus unis qu’on peut le croire au premier abord, face aux émeutes, aux attentats, aux agressions, bref à la conquête des Sauvages ?

J’entends par « Blanc » le « Blanc civilisationnel », qui ne coïncide que très partiellement avec le Blanc ethnique, certains Blancs ethniques ne l’étant pas de façon civilisationnelle pour X raisons, tandis que des Non-Blancs ethniques se sont parfaitement assimilés à notre culture.

On sait bien, tous, qu’on danse sur un volcan.

Alors chacun joue son rôle, de l’idiot utile façon LFI au patriote qui dit les choses comme elles sont.

Entre les deux, le macroniste qui a plus d’accointance avec l’idiot utile LFI – avec lequel il s’allie lors des scrutins – qu’avec le patriote.

Mais le macroniste, digne successeur des Chirac, Cazeneuve, Sarkozy même, dont le profil type est Darmanin, prétend incarner une voie moyenne, de soumission modérée censée être autant soucieuse de préserver l’ordre que de donner raison malgré tout au délinquant.

Le macroniste, quoique sa position soit intenable, l’emporte dans les urnes, dans les médias, diffuse une bien pensance dont beaucoup s’accommodent. Pourquoi ?

Finalement, c’est la méthode Coué, qui substitue l’imagination à la réalité, l’idée positive accompagnant le déni afin de se vouloir rassurant et prétendre réaliser ce qui est irréalisable, à savoir permettre la coexistence durable de deux peuples sur un même territoire, ce qui historiquement n’a jamais fonctionné.

Elle utilise la répétition de la prophétie autoréalisatrice, censée entraîner l’adhésion du sujet aux idées positives qu’il s’impose et ainsi un mieux-être psychologique ou physique. Elle se veut autant préventive que curative.

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_Cou%C3%A9

Le LFI-Vert sauve la peau du Blanc civilisationnel, temporairement, en jouant le rôle de l’idiot utile qui pense qu’une cohabitation est possible et va jusqu’à dénigrer son groupe civilisationnel.

Il refuse de condamner les violences, prend parti aveuglément contre la police, c’est chez lui un réflexe pavlovien.

Le LFI-Vert trouvera toujours une excuse à la sauvagerie venue d’ailleurs, car il a conscience de la réalité, de l’impossible cohabitation de deux peuples sur un même territoire et fondamentalement, c’est un ambitieux prêt à vendre son père et sa mère.

En effet, il sait que le Blanc civilisationnel, défini comme l’individu imprégné des valeurs occidentales, est vaincu d’avance car il accorde trop de place au pardon, au repentir, au respect de l’autre, il tend l’autre joue quand on lui a giflé la première, etc.

Il prend donc une voie quelque peu modérée par rapport à l’ennemi avec lequel il a pactisé et moyennant quelques sacrifices tant humains que matériels, sur fond de dette publique abyssale, si énorme qu’elle paraît ne plus vraiment devoir être remboursée un jour, il sauve le reste.

En vendant son honneur civilisationnel à l’allochtone violent, il permet que le grand remplacement se réalise dans une progressivité plus douce que le carnage auquel les Blancs civilisationnels devraient s’attendre s’ils se réveillaient soudain et décidaient de mener la guerre en ne s’étant jamais préparés.

Les Blancs civilisationnels vivent en effet dans la candeur, dans leur majorité.

Affalés dans leur confort, même quand leurs opinions politiques sont sans illusion, ils ne sont absolument pas prêts à répondre à la sauvagerie qui se déchaîne face à eux, soit qu’ils ne le soient pas psychologiquement, soit qu’ils ne le soient pas physiquement, tandis que les émeutiers et délinquants sauvages ont de la pratique, eux…

Le LFI-Vert préserve à mon avis le Blanc civilisationnel de l’extermination méthodique dont rêvent tant nos ennemis en lui faisant comprendre qu’il pourra prendre le pouvoir en faisant preuve de patience et asservir chaque jour davantage son ennemi.

Les démonstrations de force de la racaille demeurent en effet relativement mesurées. Les émeutes impressionnent, comme les attentats ont impressionné par leur violence, leur gratuité, leur volonté de semer l’effroi, mais ne mettent pas l’ensemble du pays à feu et à sang.

Le LFI-Vert est carriériste et se réserve une place au soleil pour le grand jour, celui où tout basculera, d’ailleurs ils sont de plus en plus nombreux au Parlement grâce à cette tactique où ils montrent à l’ennemi qu’ils constituent une charnière dans le processus.

Le macroniste, endormi, pense qu’il suffit de dépêcher la police et l’armée et n’imagine pas qu’il lui faudrait prendre les armes. Il sait cependant que le désordre n’est pas simple à contenir et choisit une voie moyenne de déshonneur, d’humiliation, il sait qu’il faudra payer plus d’impôts, de cotisations d’assurance, subir plus d’affronts au fil du temps mais tant que ça tient à peu près debout pour ses finances, il est prêt à continuer à baisser sa culotte.

Le patriote, enfin, dit la vérité. Elle est bonne à entendre. Elle exerce son charme. On aime se bercer d’illusions mais on aime aussi entendre la vérité pour sa pureté, son éclat, sa valeur qui est aussi inexplicable que la fascination qu’exerce la beauté.

Mais la vérité est dangereuse à dire, elle démasque l’ennemi, dont on ne sait pas comment il réagirait si les patriotes prenaient le pouvoir.

Aussitôt dite, la vérité doit donc être condamnée, ceux qu’ils l’ont dite parce qu’ils ne peuvent se taire, se compromettre dans les « accommodements raisonnables », parce qu’une voix crie en eux qui les oblige à dire le vrai même si cela peut les mettre en danger, sont voués à l’opprobre du reste du groupe des Blancs civilisationnels.

Ils sont alors désignés comme étant « l’extrême-droite », assimilés à des nazis, alors que ce qu’ils combattent, par sa violence, sa haine de nos valeurs, sa volonté de destruction, sa barbarie incarne le péril majeur.

Même si on a le sentiment que tout va mal, finalement dans ce rapport des forces telluriques où les mouvements internes au groupe des Blancs civilisationnels – qui comprend aussi des individus qui le sont malgré eux, de par leur éducation au sein d’un groupe de Blancs civilisationnels, même s’ils font tout pour la renier, par honte, culpabilité, traîtrise etc. – un équilibre s’est instauré où le patriote est l’éternel « fusible ».

Le collabo LFI-Vert se fait un peu taper sur les doigts par le macroniste censé incarner le voie moyenne, celle de la sagesse, ne cherchant pas à attiser les flammes, acceptant de se faire consumer à petit feu, le macroniste lui reprochant d’avoir un peu trop de connivence avec le Barbare.

L’un et l’autre se compromettent, le premier par ambition, en pensant, sans doute naïvement, que sa mansuétude lui vaudra récompense ; le second parce que, vivant dans le déni, optant pour la méthode Coué, ayant assez de gras financier pour payer encore et toujours plus les frasques des Barbares (simples « petits sauvages » dans son esprit, d’ailleurs les médias disent que les émeutiers sont des adolescents, Macron en appelle à leurs « parents », comme Chevènement parlait des « sauvageons » et Bayrou giflait, comme s’il ne s’agissait que d’une difficulté passagère et non d’un conflit de civilisation), imagine qu’un peu d’humiliation est le prix à payer pour obtenir une paix relative.

Le macroniste, sociologiquement, est d’ailleurs souvent un Blanc civilisationnel qui a réussi dans la vie et a dû, à ce titre, accepter beaucoup de compromissions, de bassesse, de lâcheté, pour se faire bien voir et accéder au poste convoité. Que ce soit en léchant les bottes du directeur ou en se pliant en quatre pour le client capricieux, pour s’assurer un bon revenu il lui a fallu courber l’échine.

Il se comporte donc politiquement comme il a pu se comporter tout au long de sa vie pour parvenir à ses fins…

Le LFI-Vert est plus souvent un rebut de la société, il a su se trouver une petite place quelque part faute de mieux, une place de médiocre ou tire le diable par la queue, ce dont il se glorifie en constatant sa faible empreinte carbone, l’économie d’eau qu’il réalise en se douchant une fois par semaine, le peu d’émission de CO2 qu’il réalise en prenant le bus ou se déplaçant à pied, mais il a les dents longues et attend sa revanche.

Quant au patriote, il est forcément un idéaliste, donnant plus de valeur à la vérité qu’à tout autre chose, et son enracinement dans une famille, un territoire, une culture, quel que soit son parcours, lui a permis de développer une force intérieure qui le met au-dessus des compromissions des deux autres composantes du groupe civilisationnel des Blancs.

Parfois, issu de l’immigration, c’est la volonté de se faire une place au sein du groupe qui lui a permis de se forger ce caractère et de s’y incorporer quelle que soit son appartenance ethnique et d’en avoir d’autant plus conscience.

Le LFI-Vert se dit que quand l’ennemi sera prêt à lancer l’assaut terminal, il sera préservé ou attaqué en dernier, qu’il sera toujours temps de négocier, de dire qu’il était du côté des Sauvages malgré son origine civilisationnelle, il pense qu’il pourra toujours s’en sortir et se sert du patriote comme d’un bouclier destiné à prendre les premiers coups. Quand au macroniste, attentiste, il est dans sa bulle, se berce du discours de Macron qui lui dit que les émeutiers font une crise d’adolescence, que le bon Dieu veille et qu’avec un peu de chance il passera à travers les mailles du filet.

Au final, l’ennemi ressort satisfait, le patriote a été condamné politiquement et parfois judiciairement, le LFI-Vert continue à lui donner des gages pour l’aider dans sa conquête (tout en n’ayant pas la certitude que le Sauvage sera reconnaissant et partagera le butin), le macroniste choisit le statu quo et la servitude, courbant encore et toujours plus l’échine et espérant que l’effondrement n’aura lieu qu’après sa fin de vie naturelle…

Ainsi la conquête de la France par les Sauvages progresse en évitant pour l’instant l’extermination collective que nous aurions pu subir depuis déjà bien longtemps.

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