Il reçoit 600 menaces de mort par an…
Le journaliste istalien Giulio Meotti raconte l’enfer que vit Geert Wilders et sa famille pour avoir critiqué la présence de l’islam en Europe.
Dans le pays où Spinoza est devenu un prophète de l’athéisme, où Karl Marx a étudié les racines du capitalisme, où les Pères fondateurs ont commencé leur voyage, où Descartes, Rousseau et Sade ont publié leurs écrits et où Locke a signé la « Lettre sur la tolérance », il y a un homme transformé en fantôme pour avoir critiqué l’islam : il est le plus protégé d’Europe.
Geert Wilders, le leader du parti de droite pour la liberté (PVV) aux Pays-Bas, a reçu des centaines de menaces de mort sérieuses l’année dernière, « autant que tous les autres hommes politiques néerlandais réunis ». Sur les 1 125 menaces de mort – un nouveau record et le double de l’année précédente – visant 240 députés, 600 menaces étaient dirigées contre le seul Wilders, ce conservateur qui critique l’islam, défend la « civilisation judéo-chrétienne » et qui, dans sa jeunesse, a passé six mois dans un kibboutz israélien. L’ancien joueur de cricket pakistanais Khalid Latif vient d’être accusé par le parquet néerlandais d’avoir mis la tête de Wilders à prix. Des appels à le décapiter ont également été lancés depuis l’Australie.
C’est pourquoi les menaces contre les universitaires, les journalistes et les intellectuels sur l’islam sont à prendre très au sérieux. Après l’attentat contre Rushdie, des politiciens pakistanais ont exigé la tête de Wilders.
Même lors des débats télévisés, Wilders est étrangement trop habillé. Sous sa veste, il porte un pull noir. Il sert à camoufler le gilet pare-balles que le service de sécurité lui fait également porter dans les studios de télévision. Quelqu’un pourrait attenter à sa vie, un spectateur dans le public, un éclairagiste ou un garde posté pour le sécuriser. C’est ce qui est arrivé à l’ambassadeur russe à Ankara. Un membre de la sécurité de Wilders a même été arrêté. Wilders a dû annuler sa campagne électorale.
Le gouvernement a dû lui construire une maison spéciale qui ressemble à une prison, avec des murs à l’épreuve des bombes, des fenêtres incassables et des caméras. Une douzaine de gardes du corps le suivent partout.
La police a dû ouvrir un bureau spécial pour gérer toutes les menaces venant de partout, de l’Irak à la Syrie.
Le New Statesman raconte : Wilders vit dans une ou plusieurs planques gouvernementales dotées de fenêtres pare-balles et de salles de panique « plus sûres que la banque nationale ». Il se rend au travail dans un véhicule blindé de la police. Son bureau aux murs d’acier se trouve au bout d’un couloir labyrinthique, au troisième étage d’une aile isolée du Binnenhof, le complexe de bâtiments anciens de La Haye qui abrite le Parlement. Il est protégé par de multiples couches de sécurité et son accès est sévèrement restreint. « Il vit dans un coffre-fort« , m’a dit Ronald Sørensen, un ancien sénateur du PVV. « Il ajoute qu’il est même interdit de prendre des photos montrant l’intérieur du bureau, de peur qu’elles ne révèlent où il se trouve ».
Wilders est protégé chaque jour par une unité de l’armée comme on en voit seulement dans des pays comme l’Irak et l’Afghanistan.
Parce que nous sommes dans le pays où la maison d’édition Blossom Books vient de retirer Mahomet de L’Enfer de Dante, où Ayaan Hirsi Ali est partie vivre aux États-Unis où elle est toujours sous protection. C’est là que l’artiste iranienne Sooreh Hera a dû exposer dans un musée de La Haye des masques de Mahomet et d’Ali et qu’on lui a promis de la « brûler vive » (annulant ainsi l’exposition) et que le caricaturiste Gregorius Nekschot, qui publiait sous un pseudonyme, a annoncé qu’il ne ferait plus de dessins irrévérencieux sur l’islam, trop dangereux…
Tout a commencé il y a vingt ans, lorsque les plans détaillés pour tuer Wilders ont été trouvés sur l’ordinateur de l’islamiste qui a massacré Theo van Gogh. Mohammed Bouyeri avait tout prévu. Cette nuit-là, les services de renseignement ont frappé à la porte de Wilders à Venlo pour l’emmener. Il ne reviendra jamais. Après avoir changé plusieurs fois de voiture, Wilders est emmené dans une caserne à Bergen op Zoom.
Wilders raconte dans son autobiographie, Marked for Death (« Marqué à mort » par l’islam)…
« Un dimanche matin de décembre, nous avons été emmenés dans une caserne de l’armée. Soudain, la sirène a retenti. Les gardes ont saisi leurs mitrailleuses et ont couru vers leurs positions. L’un d’entre eux est sorti de la douche en courant, a saisi son pistolet et s’est laissé tomber, nu et trempé, pour prendre position sur le toit. Il faisait un froid de canard. D’autres gardes se sont postés devant notre porte, nous criant de rester à l’intérieur. C’était une expérience effrayante, mais une fausse alerte.
« Pendant cette période, ma femme et moi n’avons pas été autorisés à recevoir de visiteurs : ni famille, ni amis, ni collègues. Lorsque l’équipe de ménage venaient, nous devions partir pour qu’ils ne nous voient pas. J’ai également vécu dans une petite maison en bois près de la piste de la base militaire de Soesterberg, d’où nous avons été emmenés dans une prison à Hamp Zeist, après avoir été informés que la prison était l’un des endroits les plus sûrs pour nous. Les gardiens m’ont emmené au Parlement tous les matins et nous sommes revenus tous les soirs. Tous les matins à 7 heures, y compris les week-ends, la lumière s’allumait automatiquement dans notre cellule. C’est ici qu’en 1999-2001, deux Libyens ont été jugés pour avoir fait exploser le vol 103 de la Pan Am au-dessus du village écossais de Lockerbie en 1988, tuant 270 personnes. Quand pourrons-nous reprendre une vie normale sans craindre qu’un meurtrier se présente à notre porte ?
Wilders voit sa femme deux à trois fois par semaine. Il a même dû se déguiser pour ne pas être reconnu par les voisins. Il porte une perruque, des lunettes et une moustache.
« Je me souviens bien que cela me démangeait beaucoup, parce qu’ensuite je suis allé à la Chambre et j’ai dû enlever ma moustache et alors on pouvait encore voir ces taches rouges pendant les débats à cause de l’acétone avec laquelle j’ai nettoyé la colle ».
Lorsque je l’ai rencontré à La Haye, Wilders avait son bureau au plus haut endroit du Parlement. Il n’a pas été choisi au hasard. Il est accessible d’une seule direction, ce qui facilite l’intervention de l’escorte. Toute personne souhaitant rencontrer Wilders au Parlement doit passer par une machine à rayons X, deux points de contrôle et des gardes du corps devant le bureau. La fenêtre est à l’épreuve des balles. Le Parlement a également dû la déplacer à l’intérieur de l’hémicycle, dans un endroit non visible du public, pour mieux la protéger. La compagnie aérienne néerlandaise KLM a refusé de l’embarquer sur un vol à destination de Moscou en raison de menaces pour la sécurité.
Même lors du rassemblement de caricatures au Texas, où deux terroristes de Daesh ont ouvert le feu, Wilders était accompagné d’une équipe du Swat lourdement armée. S’il se rend au Parlement européen, le site devient une « zone stérilisée », comme les portes de l’aéroport. Les agents qui le protègent bloquent les accès aux ascenseurs et aux couloirs pour le laisser passer. Son entourage est anonyme : trop dangereux. Lorsque le niveau d’alerte augmente, Wilders ne sait pas où il va passer la nuit, on l’emmène. Même lorsqu’il rend visite à la famille de sa femme hongroise à Budapest, Krisztina Marfai, des « maisons sûres » sont prêtes à l’accueillir en cas d’urgence.
Les sites djihadistes offrent de somptueuses récompenses à ceux qui parviendront à le tuer, notamment 72 vierges et des rivières de lait et de miel.
Lorsque Wilders apparaît en public, son escorte doit « nettoyer » la zone avant qu’il ne puisse y pénétrer. Lorsqu’il va au cinéma, les derniers rangs sont réservés pour lui et les gardes. Wilders arrive après le début du film et le quitte avant la fin. Le coût de la protection du leader du PVV n’a jamais été révélé, mais des dizaines de millions d’euros auraient été dépensés en vingt ans. Et il semble qu’il n’y ait pas de fin en vue pour l’homme le plus protégé au monde après le président des États-Unis et le premier ministre d’Israël.
C’est la liberté aujourd’hui en Europe qui est à l’épreuve de l’islam. Beaucoup de gens sont morts. Beaucoup ont « disparu ». Beaucoup ont renoncé par peur et après des pressions (Michel Houellebecq en dernier). D’autres ont été frappés trente ans après les premières menaces. Et celui qui prétend le contraire est de mauvaise foi et complice.
https://www.israelnationalnews.com/news/371883
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Et voilà !!
Si nous avions fermé nos frontières à tout musulman, nous n’aurions aucun de ces multiples problèmes de sécurité et de risque d’assassinat.
Mais nos zélites ont préféré les faire entrer par milliers, puis par millions, de sorte qu’on ne soit plus en sécurité nulle part.
Les attentats se poursuivent, d’autres sont déjoués, de multiples individus se font égorger ou décapiter ou écraser, mais rien ne change au niveau de la politique d’islamisation de l’Europe.
» Quand je vois l’état du monde actuel, je peux avoir des doutes sur l »existence du
créateur, mais quand je vois l’islam, je n’ai aucun doute sur l’existence du diable !! »
Cette phrase-là résume à elle seule parfaitement l’état du monde et ses « croyances », et aussi, le jour où le NAZISLAM n’existera plus du tout, ce qui viendra, à cause du « diabète de l’apostasie », car cette maladie est déjà à l’oeuvre depuis pas mal d’année, invisible, inodore, silencieuse, elle ronge le NAZISLAM de l’intérieur, et INTERNET l’y aide beaucoup en plus …
Voilà pourquoi l’islam est dangereux et incompatible en Europe, vous accueillez des gens qui ensuite deviennent des ennemis de l’intérieur, pourquoi tant de stupidité ? ah oui, sans doute parce que certains musulmans ne posent pas de problème, il ne faut pas généraliser nous dit-on ? Malheureusement les modérés n’ont aucune influence sur les fondamentalistes que ce soit voulu ou non l’islam reste une menace qui progresse.
Un des fondements de l’Islam est que celui qui la critique n’a plus le droit de vivre… Ceci est complètement contraire aux droits de l’Homme au plus haut degré…
dont
Article 10
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.
Article 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
DONC l’UE qui doit protéger les citoyens européens en premier se doit de laisser entrer sur le territoire européen toute personne respectant les droits de l’homme, en acceptant que tout européen puisse critiquer ouvertement le culte archaïque qu’ils pratiquent, et auquel ils sont soumis depuis des générations… l’UE devrait aussi comprendre que les européens de souche ne veulent pas être mis en soumission par un culte totalitaire inhumain, violent, répressif, inquisiteur, et criminel pour les innocents
Pas d’individus susceptibles- SUSCEPTIBLES – de porter l’Islam en Europe => pas d’Islam => pas de danger => le retour du bonheur d’autrefois. Si nos politiciens s’arcque-boutent à faire l’exact contraire depuis 50 ans, ça n’est pas par hasard. Nos politiciens de tout niveau ne sont pas musulmans. La corruption par les monarchies du Golfene peut pas être la seule explication de ceux qui s’enrichissent sur notre dos depuis tout ce temps.
L’islam = L’enfer sur terre.La preuve.
« Religion de paix et d’amour » qu’ils disent. Secte haineuse, oui.
Bonjour,
Un grand merci pour cet article.
Quel enfer et quel courage !!
Et pendant ce temps, un traître comme Macron, qui sait parfaitement tout cela, fait entrer, sans aucun contrôle sérieux, des centaines de milliers de musulmans, chaque année.
J’espère que, un jour, il sera traduit en justice pour haute trahison.
Je n’ai jamais compris pourquoi les Pays Bas sont envahis par les marocains. Oui, j’ai bien dit envahis !
Geert Wilders reçoit des menaces de mort de la part des MUZZ fanatiser tout en recevant le soutien des médias d’extrême gauche qui collaborent avec l’Oumma Internationale pour propagation de l’islam politique et conquérant en Europe comme aux Pays Bas pays d’origine de Mr Wilders où cette religion satanique attire les jeunes Néerlandais dans la Folie du Djihad ! Mais ça n’empêche pas Mr Wilders de lutter contre l’islam le cancer de l’Occident avec ses messages de conquête et de soumission des peuples Européens !
Merci pour cette piqure de rappel … A-t-on vraiment besoin d’en apprendre davantage sur la peste verte après cette description ? Tout est dit.
Nous, on sait ce que vaut réellement cette immonde secte et comment l’éjecter de notre territoire mais, ce ne serait pas nôtre rôle, c’est le rôle de ceux qui nous gouvernent d’empêcher l’invasion du pays par des hordes de muzz venu pour nous faire une guerre impitoyable sur notre propre sol, il le savent très bien au gvt mais ils sont tellement dépassés par la TROUILLE qu’ils n’osent même pas « ne serait-ce que » critiquer la secte meurtrière, avec un merdier pareil, c’est sûr qu’on va tout droit dans le mur !!!
Cela n’interpelle personne à la tête de l’UE, que dire une telle vérité attirait tant de condamnations à mort, celle disant que l’islam se disant être une religion, et qui n’est en fait qu’une dictature impitoyable s’étant propagée sur Terre qu’avec les sabres des arabes et l’élimination de tout réfractaire pendant 1400 ans. Si l’UE ignore une telle vérité, ou la dénie, c’est que cette vérité se répandra dans l’UE comme une normalité du futur… Ce changement culturel ignoré par l’UE, la rend complice à son expansion, sans avoir besoin de sabres pour la répandre et l’imposer.
L’islam, une religion d’amour, de paix et de tolérance ? Déjà qu’en France, il est tout juste permis, tout juste, de la critiquer. Avec la complicité des politiques, de la Justice, des journalistes, des moutons. Quand l’islam sera majoritaire dans notre pays, ce sera la Saint -Barthélemy des infidèles, c’est à dire nous. Puisse ce jour ne jamais arriver.