Génération Greta : le triomphe des illettrés médiatiques

Les Bantous ont inventé l’aviation. Les premières fusées ont décollé d’Afrique. Le premier ordinateur fut une création des Zoulous. Et sans les Balubas et les Bakongos, Internet n’existerait pas. C’est la vérité, même si c’est suggéré autrement. Par une Rama Yade qui rame à contre-courant avant de couler à pic.

Ne vous demandez plus pourquoi, malgré toutes ces brillantes inventions, les Africains ont subi l’esclavage des Arabes pendant quinze siècles sans se rebiffer. Et ont été incapables de produire des civilisations technologiques avancées… C’est parce que des leucodermes aussi voleurs que sournois leur ont tout pris !

Tout a été inventé en Afrique

Le chewing-gum, le téléphone portable, le préservatif à la fraise et la tapette à souris. Mais aussi le fil à couper le beurre, le moteur à dérouler les escargots et l’automobile électrique volante.

Ramatouya souffle dans les trompettes de la renommée pour rendre à un grand savant le prix Nobel dont il a été injustement privé suite à une odieuse cabale raciste. Sans poser les questions élémentaires, comment l’électricité des phares à ions aurait-elle pu être produite (de façon chimique ? Mécanique ? Thermique ? Biologique ? Nucléaire ?) Puis stockée, diffusée et utilisée, à quelles fins et pour alimenter quelles machines et comment ?

Éliminant ces questions vulgaires auxquelles les grands esprits ne sauraient s’attacher, elle vole au secours de cet éminent Gims (maître ? Avocat ? Notaire ? Attention à l’abus de titre !) dont la biographie confirme qu’il n’a pas dépassé le niveau du cours préparatoire, option borborygmes. Autrefois, on aurait évoqué avec indulgence les insuffisances d’une « culture d’autodidacte pas très doué. » Aujourd’hui, c’est largement suffisant pour en faire un ingénieur émérite et un brillant intellectuel qui donne des leçons péremptoires aux pointures de l’égyptologie, de la physique et de l’histoire des civilisations.

Rama aurait pu en rester là. Le ridicule aurait coulé avec l’oubli. Mais non, elle en a remis des couches à répétition. Comme autant de coups de pinceaux sur le museau de Brichelle. Et là, ça commence à faire choucroute.

Rama Yade est à la paléoanthropologie ce que Greta est à la physique de l’atmosphère.

Dommage pour Rama, je la trouvais plutôt mignonne et assez sympa, dans le style chérie noire dégourdie un peu délurée. Mais la négritude la grattait trop. Il a fallu qu’elle vole au secours de son frère de race que la complaisance des médias avait érigé en phare de la pensée. Posant et disposant de nouveaux paradigmes relevant de la pataphysique et des élucubrations transcendantales. Assénant ses « vérités » avec le culot de ceux qui savent qu’ils seront rarement contredits publiquement. La suspicion intimidante de racisme coud toutes les langues.

Pourtant, à la différence de Greta qui a arrêté d’aller à l’école avant ses premières règles, Ramatouya affiche un CV officiel présentable : Hypokhâgne, Sciences Peaux de zébie, reçue au concours d’administratrice du Sénat… Aujourd’hui, on est en droit de se demander quelle part la discrimination positive a tenu dans son parcours, quand on découvre ses carences culturelles.

La révolution néolithique (agriculture + élevage) n’est pas une spécificité saharienne, apparue il y a sept ou huit mille ans.

Elle a commencé en Orient et en Europe il y a dix à douze mille ans, et plus tôt encore (15 000 BP) à Monté Verde Chili actuel avec des Eurasiatiques, peut-être des proto-polynésiens. Mais aussi à la même époque chez les Papous du Mount Hagen, mélanodermes d’origine asiatique, utilisant des parlers austronésiens… De sacrés mélanges car possédant en outre des marqueurs néandertaliens ou denisoviens dans leur génome jusqu’à hauteur de 10 %. Une caractéristique que n’ont pas les Africains. Qui ne sont pas tous sortis d’Afrique pour se mêler aux autres, n’en déplaise à la pieuse légende.

Neandertal et sa variante Denisovienne sont apparus et ont évolué hors d’Afrique. Quoi qu’en dise la doxa, qui veut tout simplifier pour des raisons idéologiques, il y a eu à différentes époques lointaines, sur des continents éloignés, des évolutions locales du génome comme des progressions en dents de scie dans les pratiques de la civilisation. L’humain unique et la civilisation linéaire au déterminisme sans surprise sont des lots de consolation jetés à ceux dont les ancêtres n’ont pas été au bon endroit au bon moment. Trop casaniers, ces parangons du métissage aujourd’hui sont restés à 0 % néandertaliens.

Ce n’est pas parce que les explorateurs d’antan ont approché des sociétés pastorales figées en Afrique qu’il faut en faire des exemples de maîtrise de l’élevage.

En outre, le progrès est un tout, et ce n’est pas parce qu’on sait plus ou moins cultiver quelques céréales et garder des troupeaux pour la viande et le lait qu’on est sur la voie de la civilisation. Il y a d’autres paramètres.

Un exemple significatif est donné par deux groupes ethniquement très dissemblables, géographiquement éloignés sur des continents étrangers, sans aucun contact, mais très en avance sur leur temps, Monte Verde et Mount Hagen. Leur point commun ? Outre une agriculture opportuniste, ils cultivent déjà il y a 15 000 ans des plantes médicinales, les traitent pour les conserver, les gardent à l’abri, et les utilisent pour se soigner de façon empirique.

La chromatographie d’absorption, osseuse et dentaire sur les restes humains retrouvés, confirment cette pratique. Rien de tel en Afrique avant longtemps. Avant que les indigènes n’aient été instruits par les Arabes puis par les Européens.

En toute hypothèse, il y eut plusieurs révolutions néolithiques sur tous les continents, séparées les unes des autres par des siècles ou des milliers d’années, et celles en Afrique sont loin d’avoir été les plus productives.

On répète les mêmes erreurs avec les « pharaons noirs »

Dans une zone désertique proche de la sixième cataracte du côté de Eyd Damer au Soudan, émergent les ruines de Méroé où des pyramides pentues mais étriquées et des temples massifs comme miniaturisés surgissent des sables.

Inspirés par l’Égypte des pharaons dont ils furent contemporains et que, parfois, ils co-dirigèrent, les Méroens appelés aussi Nubiens dans l’Antiquité sont un peuple chamite plus proche des Berbères et des Amazighs que des Noirs. Même s’ils ont le teint sombre ou bistre, leurs phénotypes sont plus proches de ceux des Éthiopiens ou des Abyssins que des Africains de pure race.

On a peine à imaginer, quand on observe ces collines rougeâtres constellées de buissons souffreteux et d’arbustes rachitiques, que jusque dans les premiers siècles de notre ère, la contrée fut bien arrosée et fertile. Prolongeant son agonie par la suite grâce à de gigantesques citernes raccordées à un astucieux système de canaux en partie enterrés.

Gouvernée par des reines guerrières, les Candaces, cette culture épanouie aux confins de Rome fut la seule à avoir conclu un traité équilibré avec l’empereur Auguste auquel elle servait de rempart.

Les « pharaons de Méroé » se sont inspirés des rites et des monuments du Nouvel Empire dans sa phase finale, dont ils constituent une adaptation tardive, intéressante mais moins massive, moins structurée, moins sophistiquée. Moins solide aussi. Ces monuments se fracturent et se disloquent assez vite. Leurs architectes et bâtisseurs étaient des copieurs, qui n’étaient pas dépourvus de talents, mais pas des créatifs ni des inventeurs maîtrisant la durée.

Aujourd’hui, l’endroit est convoité par les archéologues du monde entier et des petits malins vendent des visas d’entrée de l’UNESCO plus ou moins authentiques. Dans un chantier permanent où des tribus nubiennes qui prétendent percevoir leur tribut sur les fouilles mènent la vie dure aux administrateurs imposés par Khartoum.

Le trafic d’objets archéologiques, les meurtres et les exactions sont considérés par ces gens-là comme des accessoires de leur travail. Et chez les bobos, il n’y a rien qui classe plus un aventurier en peau de lapin que de prétendre avoir de l’authentique Méroé dans son salon.

L’essentiel du travail consiste à percevoir « ez zakat », l’aumône légale, un des cinq piliers de l’islam. De gré ou de force. Mais ce n’est pas la religion officielle qui les étouffe ! S’ils récitent la shahada et appliquent en apparence les principes pieux, ils donnent une interprétation originale du coran qu’ils mélangent à leurs antiques cultes animistes. Comme porter de la nourriture aux morts, élever des autels aux ancêtres vénérés, psalmodier des incantations aux esprits du vent, des arbres, du fleuve et de la pluie, idolâtrer des grigris de fertilité et tracer des signes cabalistiques sur les portes pour chasser le mauvais sort. Tout ça n’est vraiment pas islamiquement correct !

Même si ce syncrétisme est fréquent en Afrique, il fait désordre dans un état qui se veut une vitrine de l’islam parfait. À l’aune de ses fantasmes médiévaux.

À ces dissensions permanentes, les opposant aux rigoristes de Khartoum ajoutent des ressentiments beaucoup plus prégnants. Jusqu’à une époque récente, à peine moins de deux siècles, la Nubie était l’autre grand réservoir d’esclaves dans lequel puisaient les Arabes.

Un musulman ne pouvant mettre en esclavage un autre musulman, ils n’étaient pas trop motivés à convertir les Nubiens. Ou toléraient leur islam approximatif, puisqu’il n’est pas interdit selon certains théologiens d’asservir et de retenir dans les fers les « mauvais musulmans ». Pour parfaire leur éducation ? Bref, une situation trouble et des motivations glauques pour enrober des prétentions civilisationnelles hautement fantaisistes. Servies par un notaire de carnaval.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/generation-greta-le-triomphe-des-illettres-mediatiques.html

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14 Commentaires

  1. Que tout ce que nous avons ait été inventé en Afrique ne me dérange pas. La question que je me pose: Comment se fait-il qu’ils ont tout oublié et qu’ils se sont trouvés dans l’état que décrivent Stanley, Livingstone et Tippo Tipp dans leurs livres AVANT la colonisation.

  2. Rama Yade ? L’illuminée qui voulait créer un « service civique obligatoire » pour les personnes âgées afin de les sortir de leur solitude ?… Celle-là je ne l’ai pas oubliée !

    « Rama Yade veut créer un service civique obligatoire pour les séniors
    Par Marc de Boni
    Publié le 04/03/2015  »

    https://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/insolites/2015/03/04/25007-20150304ARTFIG00397-rama-yade-veut-creer-un-service-civique-obligatoire-pour-les-seniors.php

    Quand l’Afrique veut se substituer à la France… voilà un exemple de ce que ça donne.

  3. Après Maître Gims et ses Conneries historique façon Wakanda ou Wakanda Caca, Papaye Ndiaye le Wokiste deconstructiviste qui défend le modèle Scolaire Amerloque où la Mongolita Greta Thunberg avec son réchauffement climatique à la con qui sert de chantage à l’écologie punitive voilà la folle dingo Rama Yade qui défend l’idée que Cléopâtre est noire ce qui est faux historiquement parlant car dans la Folie racialiste Gauchisto marxiste de Jada Pinkett Smith la pasionaria de Black Lives Matter l’escroquerie antiraciste par excellence dans son documentaire sur Netflix le temple du Gauchisme bien-pensants diabolisant et manipulateur montre que Cléopâtre est noire comme si elle réécrit l’histoire pour satisfaire les minorités ethniques et notamment les Affreux Américains mais ce qu’elle ne comprends c’est que Cléopâtre est à moitié Grec et Égyptienne donc de souche orientale et européenne et c’est ce que Jada Pinkett Smith ne comprends vu son esprit militant d’extrême gauche et racialiste de surcroît. Rama Yade a un pois chiche à la place du cerveau tellement elle endoctriner au Wokisme diabolique satanique et révisionniste …

  4. En attendant c’est en montant sur un cocotier qu’ils ont découvert que la terre était plate. Et ça, ça méritent au moins le prix Nobel.

  5. Rama Yade est une politicarde médiocre qui ne doit rien à son talent (à part son talent d’arriviste) et tout à la discrimination positive. Sarkozy l’a nommée ministre au bénéfice de sa couleur de peau, néanmoins, elle a toujours été incapable de se faire élire sur son nom. D’ailleurs, qui peut citer une seule chose de remarquable qu’elle ait faite quand elle était au gouvernement ? Elle n’a plus aucun avenir en politique mais peut-être y croit-elle toujours secrètement, ce qui explique qu’elle cherche désespérément à ce qu’on ne l’oublie pas, même si cela implique de déblatérer n’importe quelle ânerie. On ne sait jamais, si d’aventure Macron pensait à elle pour un poste de secrétaire d’Etat aux choux farcis ou à je ne sais quelle autre fonction tout aussi inutile. Après tout, il a bien nommé Pap N’Diaye à l’éducnat.

    • Nulle inquiétude pour cette imbécile inutile qui ne perd pas le nord quand il s’agit de remplir ses poches , elle est aujourd’hui directrice d’Atlantic Council dont j’ignore le rôle ou la fonction , sûrement encore une planque pour les politicards grillés qui comme les chats retombent toujours sur leurs pattes .

      • tu as hélas certainement raison !! et elle gagne a ne rien foutre bien plus qu’un travailleur honnète

    • Hélas Niko, tu pense faire un bon mot en disant qu’elle espère que le petit con la remarque a son tour,…………… c’est a peu prés certain qu’elle y songe ! femme, noire et con, elle à toute ses chances

      • Non Vatinel-Bernard, je ne croyais pas faire un bon mot lorsque j’ai écrit ces lignes. Je le pensais vraiment. Son job très lucratif dans le privé ne doit pas beaucoup l’amuser et revenir en politique la démange certainement.

  6. Ne pas oublier la rôtissoire sur laquelle ont cuit les missionnaires chargés de les évangéliser. Le pagne pour se couvrir le cul, l’os dans le nez ancêtre du percing. L’anthropophagie aussi. La liste de leurs découvertes est impressionnante.

    • Et l’esclavage entre tribus aussi durant les guerres tribales, il ne faut pas oublier.

    • cherche bien !!! il y en a bien d’autres ,cela nous distraira! nous en avons besoin!

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