L’aveu des casseurs : on sait comment échapper à la justice

Un procureur sur les casseurs d’extrême gauche : “Impossible de vérifier leur identité dans les délais. Ces procédures mobilisent toute la chaîne judiciaire et engendrent des dégâts collatéraux énormes : des pans entiers de la délinquance sont impactés”

L’État éprouve des difficultés à judiciariser ses renseignements. Mettre un visage et un nom sur une personne appartenant à un groupe est une chose. Démontrer, pénalement, que cette personne a personnellement commis une infraction en est une autre. Sur le terrain, le problème n°1, c’est l’identification. La plupart des infractions sont commises à l’abri des regards, derrière des parapluies ou des bâches spécialement déployées. Elle rend impossible la capacité de dire avec certitude qui a fait quoi. Sans cela, toute procédure judiciaire est vouée à l’échec. C’est la loi.

En cas d’interpellation, ils n’ont rien sur eux qui permettent de les tracer ou de les identifier : aucun document, pas de téléphone portable. Pour un (simple) contrôle d’identité, ils donnent tous le même nom : « Camille Dupont ». Pour les forces de l’ordre, impossible de vérifier dans le délai légal où les interpellés peuvent être retenus (quatre heures). « Il est même arrivé que certains sortent de garde à vue (48 h pour les délits de droit commun), sans qu’on sache quelle était leur identité, confie un policier. Ils avaient refusé de se soumettre aux relevés ADN et empreintes digitales. Pour leurs cas, seul un juge de la liberté et de la détention aurait pu les y contraindre. Mais c’était trop long. »

La chaîne judiciaire rennaise (police justice) peut difficilement gérer plus d’une vingtaine de gardes à vue par jour. Dans ces conditions, les procédures liées au maintien de l’ordre usent une bande passante énorme sur des services déjà sous tension. Les dégâts collatéraux sur les affaires courantes sont « énormes ». Selon le procureur, des pans entiers de la délinquance sont impactés.

https://www.fdesouche.com/2023/05/02/un-procureur-sur-les-casseurs-dextreme-gauche-impossible-de-verifier-leur-identite-dans-les-delais-ces-procedures-mobilisent-toute-la-chaine-judiciaire-et-engendrent-des-degats-collateraux-enor/

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7 Commentaires

  1. On pourrait finir par croire que le gouvernement est consentant car il y a des moyens pour neutraliser ces Black Blocks qui sévissent sous les yeux de la police en toute impunité. Les canons à eau devraient être utilisés systématiquement et il me semble qu’il serait facile de fermer les rues pour pouvoir les arrêter. Ceci dit une fois arrêtés, il sont relâchés avec des peines de prison avec sursis tel cet Algérien de 24 ans en situation irrégulière, qui a de surcroît insulté copieusement les policiers et a été relâché avec un simple OQTF.

  2. Les casseurs d’Extrême Gauche sont des fouteurs de merde qui cassent tout et qui sont les idiots utiles de la Macronie qui cherche à discréditer les mouvements sociaux mais ces Racailles d’Extrême Gauche trouvent toujours des subterfuges pour échapper à la police et à la justice mais si j’étais à la place des magistrats et des policiers je les arrêterait , je les jugerait et je les enverrait dans un bagne en Guyane ou ailleurs ou bien je les flinguerait tout simplement parce qu’ils sont nuisibles pour la France !

  3. Parce que le clown ne veut pas, parce que vous lui rendez service en pourrissant les manifs pacifiques, sinon vos gueules seraient toutes aux urgences.

  4. Lorsque l’on veut on peut ! si on n’avance pas c’est que l’on ne veut pas traiter des cas des gens connus voir parents des autorités ,a ce niveau du désordre on fait une loi d’exception et se donne les moyens de traiter le sujet , conclusion ils ne veulent pas traiter ce problème de violence le pouvoir s’en sert .

  5. Il y a eu des essais a Sainte-Soline avec des produits marquants pour identifier les éléments radicaux. Ces produits sont projetés sur les casseurs ou les personnes violentes. Ils restent sur la peau ou les vêtements trois semaines environ. Je ne sais pas ce qu’il en est actuellement.

  6. s’ils veulent de l’action, il y a une solution ,: en première ligne chez Wagner.
    Avec interdiction de reculer sous peine d’extermination.
    il n ‘y a pas mieux, et les russes seraient heureux d’avoir de la chair fraiche
    pour économiser leurs hommes.

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