Bobos en folie : voitures, avions et bateaux électriques

Les mabouls de l’empreinte carbone ont décidé d’interdire les moteurs thermiques en Eurocrature dès 2035. Vu la paupérisation accrue, nombreux n’auront pas les moyens de suivre. Ça fera comme avec le « sans plomb » qui détruisait les vieux moteurs même avec un adjuvant. Ne pouvant plus se déplacer pour bosser, les smicards sont devenus rmistes. Mais une société d’assistés-déprimés, faciles à contrôler, n’est-ce pas l’idéal pour le pouvoir ?

On vous fera aimer la voiture électrique à la trique

Peu importe que la fiabilité et l’endurance soient loin d’être garanties, le rayon d’action et le temps de recharge estimés avec trop d’optimisme, l’usure rapide des batteries et les coûts de fabrication délibérément sous évalués…

Au plan économique, c’est une aberration, provisoirement compensée par des subventions à la charge des contribuables pour soutenir le consortium des voitures électriques, des batteries, des panneaux solaires et des éoliennes. Et détruire des filières rodées, efficaces et porteuses d’emplois. Le réveil sera encore plus dur qu’avec l’électronucléaire, fleuron national parti à la dérive.

Quant à l’alibi de contrer un prétendu réchauffement dont le CO2 serait responsable… Les ingénieurs disent qu’on répand deux fois plus de dioxyde de carbone pour construire une voiture électrique ! En particulier à cause des batteries produites en Chine, avec de l’énergie obtenue grâce au charbon… En outre, l’électricité pour les recharger dépend d’une autre source d’énergie. En Eurocrature, chez les Boches ou les Polacks, écolos forcenés, le charbon sert à produire cette « énergie verte ». Puisque le nucléaire a été sacrifié.

Enfin, après avoir convaincu les bobos d’acheter une auto électrique hors de prix (les aides ne seront pas éternelles) on leur annonce que la charge de leur véhicule coûtera deux fois le prix d’un plein d’essence. Pourtant pas donné. Et Renault électrique continue sa descente en bourse.

Des zékolos branchés mais pas très au courant

Ces zigotos prétendent que le moteur électrique serait l’invention majeure de notre époque ! Ampère découvrant l’électromagnétisme et le père Faraday sorti de sa cage pour fabriquer en 1821 le premier moteur électrique, Greta n’en a jamais entendu parler. Quant à la première voiture électrique en série commercialisée en 1891, après des locomotives et des ferromobiles, Greta a dit que c’était impossible. Si la débile le dit à la télé, c’est forcément vrai.

Et quand on entre dans le domaine du calcul pour des réalisations concrètes, on constate que ses ouailles mélangent tout, watts, ampères, volts, coulombs, newtons… De la production à l’utilisation, c’est le carnaval des Shadoks.

La pataphysique est devenue une science exacte pour les nuls

J’ai lu récemment le commentaire d’un « savant écolo » flinguant une étude du MIT déplorant la dessiccation des sols due aux vents générés par les éoliennes.

« Faux ! C’est le vent qui fait tourner les éoliennes et non l’inverse ! » s’époumonait ce fact checker avec l’autorité que l’ignorance confère aux imbéciles. C’était tellement évident que tout le monde était d’accord. Comment leur expliquer que si le vent apparent fait tourner les pales, la rotation des celles-ci produit un vent induit, comme tout objet mobile… Les effets d’évaporation sont causés par ce vent secondaire rabattu vers le sol, du fait des écarts de température et de pression. Simple mécanique des fluides à l’origine de nombreux phénomènes météorologiques, y compris très localisés.

Du côté des avions, on hésite entre utopies, SF et rêves enfantins

Stellantis, une holding formée aux USA, regroupant Peugeot, Fiat, Chrysler et Archer une société étasunienne de capital risque qui a empoché au passage 150 millions d’euros pour les études de prototype, veut se lancer dans la fabrication de taxis volants. Un peu avion, un peu hélico, un peu drone, beaucoup engin de BD. Le nec plus ultra pour les bobos vu le prix de la course.

Les spécifications techniques laissent rêveur : pas moins de 12 moteurs électriques pour transporter 4 passagers + les piles + le chauffeur sur une distance maximale de 30 km entre deux héliports aménagés pour la recharge.

La motorisation électrique des petits bateaux

Pour des embarcations lacustres, soit. À la rigueur pour des promenades sur mer calme à la journée. Mais le théorème des forces, principe fondamental de la mécanique classique, est inaccessible aux disciples du Docteur Greta.

Il ne leur vient pas à l’idée qu’avec une mer hachée et des courants contraires, sans parler d’un fort vent de face, les capacités d’évolution théorique à 4 ou 5 nœuds (7 à 9 km/h) seront vite neutralisées par des forces opposées. Et que, incapables d’avancer, ils iront au naufrage, là où les éléments les entraîneront. Quant aux voiliers, le moteur auxiliaire électrique est un gadget destiné aux sorties et entrées de ports, inutile pour tracer la route sans la voilure.

Et puisque sur les voiliers où le poids est l’ennemi, on ne pourra empiler des tonnes d’accumulateurs, les apôtres des « énergies propres et renouvelables » objectent que si les panneaux solaires ne suffisent pas à recharger les batteries, la solution sera d’embarquer un groupe électrogène. Et des bidons de fioul.

Après l’écologie punitive, l’écologie assassine

Ces écolos qui pérorent sous un vernis pseudo-scientifique ont un niveau inférieur à celui d’un élève moyen en classe de seconde des années soixante. Nous avions une connaissance, au moins approximative de concepts tels que intensité, tension, puissance, charge électrique, et de leurs calculs élémentaires.

Nous savions aussi que les cycles climatiques ont toujours existé et sont la résultante de divers paramètres cosmiques : variations du rayonnement solaire et modifications itératives de l’axe et de l’ellipse de la terre. Mais ces savoirs acquis par des siècles de science expérimentale sont rejetés par des cancres las qui rabâchent comme des perroquets « Sauver la planète, sauver la planète !»

Ça ne tourne pas rond dans leurs petites têtes

Le milliardaire Warren Buffet qui exploite un immense parc d’éoliennes dans l’Iowa avouait sans complexes : « Nous bénéficions d’un crédit d’impôt proportionnel au nombre d’éoliennes qu’on met en service. C’est la seule raison d’en construire.»

Ces moulinettes ont des rendements aléatoires et même dans des conditions météo optimales, elles ne produisent pas assez d’électricité pour être rentables… Le simple retour sur investissement dépend des subventions et cadeaux fiscaux.

La fabrication de leurs aimants nécessite d’énormes quantités de cobalt, environ 30% du poids de moteurs de plusieurs tonnes. Un composant toxique extrait en Afrique et en Asie par des enfants esclaves. À ce cobalt s’ajoute le néodyme, et ces deux matériaux se dispersent à l’usure en micro particules, causant des pathologies respiratoires et cardiaques graves, ainsi que des cancers et des cécités définitives.

Idem avec les terres rares qui proviennent pour 86% de Chine. Indispensables à la fabrication des panneaux solaires et des aimants des éoliennes, elles ajoutent aux ravages du cobalt, l’exposition à des radiations mortelles.

Ainsi dans la province du Heilong Jiang, championne du monde de l’extraction du néodyme, du cérium et du lithium, une couche de poussières toxiques recouvre d’anciennes régions agricoles, rendant stériles des millions d’hectares. Contraignant les paysans à l’exil ou à la famine. Les enfants des survivants qui ont réussi à fuir à temps souffrent de graves malformations.

Dans le désert d’Atacama au Chili, la zone d’exploitation du lithium ressemble à un paysage martien où d’énormes montagnes de sel s’élèvent au dessus d’une plaine stérile où la terre ocre craquelée devenue pulvérulente s’effrite. Et bien entendu, il n’y a plus aucun signe de vie végétale ou animale. Mais c’est écolo.

Entre sophismes et panurgisme

On peut ajouter aux effets chimiques dommageables à la santé des humains, les infra-sons produits par les éoliennes qui causent toutes sortes de troubles mineurs mais persistants, tels qu’acouphènes, pertes de sommeil, nervosisme. Sans oublier les dégâts occasionnés au monde animal : les éoliennes tuent des centaines de milliers d’oiseaux. Et celles en mer tuent de plus en plus de mammifères marins. Déni ou silence gêné des zékolos.

Une « savante du web », m’avait fait une remontrance puérile, toute contente d’elle même : « Mais voyons, les baleines et les dauphins ne sautent pas assez haut pour se faire décapiter par les pales des éoliennes comme les oiseaux !»

Malgré sa maîtrise de sciences et quelques autres parchemins au rabais, cette prof de lycée ignorait que les vibrations de ces moulins à vent perturbent le système d’écholocalisation des cétacés, ainsi que leurs moyens de communication, provoquant des échouages collectifs.

L’écologisme est devenu une nouvelle inquisition

S’ils se contentaient d’être ignorants, insignifiants et stupides, ces zigotos GG (Génération Greta) pourraient bien moisir dans leur médiocrité satisfaite. Mais ce sont des prêcheurs vindicatifs qui disposent de tribunes complaisantes où ils étalent leurs « certitudes ». Avec d’autant plus de force de persuasion qu’il n’est pas permis de leur répondre… La cenSSure veille tant sur les médias de grande diffusion que sur les plateformes web !

Crédibles auprès d’un public généralement jeune et influençable, souffrant d’un énorme déficit scientifique qui n’a d’égal que leur abyssale méconnaissance de l’histoire, ils façonnent un prêt-à-penser totalitaire pour les générations futures.

En outre, les discours des fanatiques qui s’agitent « pour sauver le monde », sont très inquiétants. Nombre de ces militants diffusent une théorie des «négationnistes du climat». Assimilant dans l’inconscient collectif les climato-réalistes aux admirateurs d’Adolf ! Dans la logique de l’affairiste Al Gore qui, sans le Premier Amendement US, aurait volontiers créé une cour spéciale genre Nuremberg pour juger et pendre les hérétiques du réchauffisme.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/bobos-en-folie-voitures-avions-et-bateaux-electriques.html

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