« Emprisonnez-le, sinon vous allez perdre ! » Quelle menace il représente !

Ils ont littéralement tout essayé, sauf donner l’ordre de l’agresser, et il est toujours debout. Ils ont épuisé toutes les avenues, options et possibilités, et ils se retrouvent les mains vides.

Ils ont tenté de monter un faux dossier, un récit inventé que les médias se sont empressés de répéter. Ils l’ont accusé d’un délit grave par la transcription d’un appel téléphonique. Ils l’ont accusé de prôner la violence alors que ses propos disaient exactement le contraire. Maintenant, ils essaient de dire qu’il a fait obstruction à la justice alors qu’il a, en fait, suivi à la lettre la demande du FBI. Maintenant, ils essaient de dire qu’un autre appel téléphonique est la preuve d’un crime quand encore une fois, ses mots exacts prouvent le contraire. Maintenant, ils l’ont inculpé pour quelque chose que si un crime était même évident (et clairement ce n’est pas le cas), le délai de prescription a expiré il y a des années. Ils ont essayé de faire valoir qu’il évitait de payer des impôts, uniquement pour que le dossier montre qu’il suivait le code des impôts avec précision. Ils veulent faire valoir maintenant qu’il aurait l’intention de frauder le gouvernement de ce qu’il doit en impôts, même si pendant ses quatre années de fonction publique, il a refusé son salaire de 400 000 $ et l’a intégralement renvoyé dans les coffres du gouvernement.

 

Aucun dirigeant élu n’a été plus calomnié, menti et tenté d’être neutralisé que l’ancien président Trump.

Je réfléchissais à certaines choses pendant ce sombre long week-end de Pâques. Je suis intrinsèquement intéressé à revoir l’histoire et à voir quelles leçons nous devons en tirer. Par conséquent, mes pensées se sont précipitées vers le cycle de 2016, où cette peur imminente de Trump a créé cette panique dans la gauche politique américaine. Le désespoir qui a suivi a entraîné cette gauche dans les égouts de l’action politique criminelle.

 

Vous avez peut-être oublié que le président Trump avait 17 principaux rivaux durant sa campagne de 2016. Même dans ce domaine, il était évident que le parti républicain  avait subi une transformation complète.

Les candidats soutenus par l’establishment ont fait le pire. Jim Gilmore, John Kasich et Jeb Bush étaient tous des gouverneurs décents, mais ils représentaient quelque chose que la base du parti avait commencé à rejeter avant Trump.

Trois candidats du Tea Party se sont présentés dans cette campagne : Rand Paul, Marco Rubio et Ted Cruz, dont deux d’entre eux avaient gagné les primaires au niveau des états.  Finalement, Cruz s’est retiré après sa défaite dans l’Indiana, ce qui ne s’est produit que le 3 mai. Mais en perdant cet État, la dernière possibilité pour lui de vaincre Trump s’est évaporée.

La chose intéressante à propos des élections de 2016 était que Cruz avait construit l’organisation de campagne présidentielle la plus impressionnante. Il avait des gens littéralement sur le terrain dans tous les comtés du pays. Et il avait récolté des dons impressionnants.

Mais Trump a fait les choses très différemment : des rassemblements centralisés beaucoup plus directs et plus rentables coûtant beaucoup moins cher que ce à quoi les candidats étaient habitués. En fin de compte, Trump a dépensé un peu moins d’un dollar pour chaque vote qu’il a obtenu, tandis que Jeb Bush a, si on peut dire, fait sauter la banque par le coût de ses acquisitions.

Cela comptait pour une raison très importante. Cela a signalé à la gauche que le soutien de Trump était une vague de fond imparable. Près de huit ans se sont écoulés depuis qu’il a attiré autant d’électeurs, sans doute davantage maintenant que lors de cette formidable campagne de 2016.

La politique du Tea Party a été le précurseur de « l’Amérique d’abord », et de ce point de vue, lorsque l’on additionne les votes de Trump, Cruz, Rubio et Paul aux primaires, il est facile d’affirmer que le parti était déjà « l’Amérique d’abord » en substance , seule l’étiquette traînerait jusqu’à l’arrivée de Trump à la Maison Blanche. Remarque importante : Cruz, Rubio et Paul sont tous devenus des alliés vitaux de Trump au Sénat, chacun d’eux dirigeant ses comités respectifs vers les priorités de l’Amérique d’abord.

La vérité est que, lorsque Trump parlait des « fake news », ce n’était pas qu’il montrait à l’Amérique quelque chose qu’elle n’avait pas vu. Les gens connaissaient ou soupçonnaient les bobards journalistiques depuis des années. Trump a enfoncé le clou, confirmant ce qu’ils voyaient, pensaient et ressentaient.

Il l’a fait sur presque toutes les politiques qu’il a touchées, dans presque toutes les affaires étrangères, dans l’énergie, la défense nationale et les politiques économiques qu’il a mises en œuvre. Il était si efficace qu’il a poussé le désespoir à se débarrasser de lui à tout prix par ses adversaires encore plus profondément.

L’Amérique est une nation de l’Amérique d’abord. Nous voulons que notre économie fonctionne, nous voulons que notre énergie soit abondante, et nous en avons assez de faire confiance aux « gens intelligents » sur les choses importantes. Les élites n’aiment pas ça parce que cela signifie qu’elles ne peuvent pas continuer à nous bourrer le mou et à nous contrôler.

Et ces élites n’aiment pas Trump parce qu’il n’arrête pas de nous rappeler qu’il ne s’agit pas de lui, mais qu’il s’agit du pays et de ce qui est le mieux pour nous et nos enfants.

Il est sévèrement attaqué de manière illégale et véritablement malhonnête. Si la famille criminelle Biden pouvait le jeter dans un goulag, il y serait déjà.

Les idiots qui n’ont pas un dixième de l’organisation ou un pour cent de l’argent que Cruz a collecté pour 2016 devraient aller prendre un café avec lui.

Il y a une raison apparente pour laquelle Cruz, Rubio et Paul ne se présentent pas à la présidence pour 2024 comme Nikki Haley. Ils sont à leur apogée. Comme Ron DeSantis, ils sont jeunes. Comme les Mike (Pence et Pompeo), ils ont vu de leurs propres yeux le bien qui peut être fait dans une administration Trump.

Il a fallu une pandémie et une distribution massive de bulletins de vote, des urnes de Zuckerberg et des mules électorales pour lui faire perdre sa réélection en 2020 alors qu’il a reçu le plus de votes de tous les titulaires de l’histoire.

L’Amérique a également vu l’administration actuelle plus engagée dans les pronoms et les chirurgies pour les mineurs (en cachette de leurs parents) que pour le bien-être de l’avenir de notre nation tout entière.

Et la seule façon pour les forces anti-américaines de le vaincre (donc le peuple) serait de le jeter en prison.

Une tâche dans laquelle ils vont échouer de manière humiliante.

10 avril 2023 par Kevin McCullough

Traduction par Jack pour Résistance républicaine

https://www.frontpagemag.com/jail-him-or-they-lose/

 

Note de Jack

Je ne sais pas comment les choses vont se terminer. Trump reste extrêmement populaire. En voici un tout récent exemple. Il s’est rendu à un match de lutte dans une salle immense samedi dernier en Floride, sans grand apparat, en simple spectateur. Il a été reconnu par des journalistes sportifs qui l’ont salué et il s’est mêlé à eux. Des spectateurs l’ont reconnu et il s’est levé pour saluer la foule de cette salle immense… et les cris USA, USA, USA ont éclaté de milliers de bouches !!!

https://gellerreport.com/2023/04/crowd-goes-wild-when-trump-walks-into-ufc-fight.html/

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10 Comments

  1. Trump et Poutine, les deux « Satan » à abattre ont en commun ce qui manque à certains « chefs » d’état (ne suivez pas mon regard) : l’amour de leur pays et de son peuple. Je ne suis pas politologue officiel (ce qui m’autorise à dire ce que je pense) : si Trump était resté aux commandes des USA la guerre en Ukraine n’aurait jamais eu lieu.

  2. Le politologue canadien Alexis Cossette pense que ces mises en accusation permanentes qui ne débouchent sur rien sont volontaires et visent, entre autres, à créer des précédents dans les esprits pour que personne en soit étonner quand Biden, qui a lui, énormément de choses à se reprocher, sera acccusé à son tour. Les « chicanes » contre ses anciens amis (Steve Bannon, Ron de Santis) seraient aussi des coups montés à dessein ultérieur. Il a interviewé le général Mike Flynn, qui a coordonné tous les services de renseignement américains, et qui a approuvé implicitement ses analyses en s’excusant de ne pouvoir en dire plus. Le même a déclaré peu après la mascarade du Capitole : « Nous menons actuellement la plus grande opération militaire de l’Histoire des Etats-Unis ». Il n’était officiellement plus en poste. Il faut suivre Cossette pour appréhender son analyse. Tout de suite après Flynn, il a interviewé Sidney Powell, ancien procureur fédéral et avocate de Trump.

  3. On le déteste, les démocrates bien sûr, mais aussi certains républicains, parce qu’il est incorruptible et patriote, et cela est inadmissible.

  4. Ne pas oublier qu’il a surtaxé nombre de nos produits. Et qu’il a ainsi provoqué la faillite de beaucoup d’entreprises française. Il roule pour les USA, un point c’est tout. Ne rien attendre de lui, ni de Biden, ni des Américains tout court.

    • Ce commentaire colle aussi admirablement à notre paltoquet national, c’est assez cocasse.

  5. Malgré les menaces , les chantages et autres manigances de l’Extrême Gauche Amerloque Mr Donald Trump est solide comme un roc et plus fort que jamais ! C’est le leader des Républicains !

  6. S’il n’y avait qu’un seul représentant du système, le fameux establishment, ça serait bien Trump. Ce qui doit inquiéter les US c’est arrive à encore berner certains américains.

  7. La fin de ligne en bas de l’édito donne la mesure de sa popularité ,et on ne devrait en aucun cas s’en étonner, et d’observer tous le coups bas à son encontre par ses adversaires du moment ,surtout à la venue prochaine de la présidentielle ,mais dans tus les cas la mesure sera donnée

  8. Le seul à pouvoir éviter la guerre mondiale et ça en face ils n’aiment pas mais pas du tout, trop de fric à ramasser.

  9. America great again, soit le projet de Trump, n’est pas du tout celui des « démocrates ». C’en est même l’inverse, eux veulent plonger l’Amérique dans la déchéance et le vice qui sont leurs marques de fabrique quasi satanique et ils feront tout pour y parvenir

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