Bordeaux : tribunal rouge écarlate

Ce vendredi 7 avril comparaissaient devant le Tribunal pénal de Bordeaux 7 activistes de droite poursuivis pour avoir perturbé la manifestation « des fiertés homosexuelles » le 12 juin dernier, à Bordeaux .

Le groupe était monté sur le toit de la maison « écocitoyenne » sur les quais et tenaient une banderole particulièrement choquante. Elle comportait 2 slogans : « STOP LGBT FOLIE » et « PROTÉGEONS NOS ENFANTS». Les 5OO manifestants de la « GAY PRIDE » ont été très énervés par le culot de ces militants. Ils les ont copieusement insultés, et leur ont lancé tous les projectiles qui pouvaient être disponibles : pierres, cailloux, bouteilles etc.. La police est rapidement intervenue, et a sauvé ces courageux défenseurs de la dignité hétérosexuelle d’un lynchage. Que la force publique soit remerciée pour avoir ainsi évité un drame. C’est cet événement qui était jugé ce vendredi à Bordeaux. 

DES CHARGES IMAGINAIRES

Difficile de trouver des motifs de poursuite dans cet événement qui n’est que la manifestation de l’existence de divergences d’opinion sur ces questions « sociétales » . Divergences normales dans une démocratie. En principe, la liberté d’opinion existe en France, elle est même garantie par la Constitution. Le Procureur a pourtant requis de 6 à 12 mois de prison pour ces dangereux contestataires de l’épidémie woke. Comme les motifs concrets de condamnation était absent, une deuxième affaire a été jointe. La veille de la manifestation des fiertés homosexuelles, un passage piéton qui avait été repeint aux couleurs LGBT en infraction au Code de la Route, avait été repeint, cette fois aux couleurs nationales, bleu, blanc, rouge. Deux des gardés à vue des contre-manifestants de la Gay Pride avaient avoué avoir participé à cette action « picturale ». 

En préambule, Maître Pierre-Marie Bonneau, leur avocat, a plaidé la nullité. Il a expliqué qu’ils ne pouvaient pas être poursuivis, les « aveux ayant été obtenus pendant une garde à vue illégale… Ils avaient été remis en liberté, le Procureur affirmant qu’ils n’avaient commis aucune infraction en tenant une banderole aussi inoffensive. Les poursuites contre les peintres de passages piétons aux couleurs nationales s’appuyant sur ce premier élément étaient donc nulles, infondées juridiquement.

UN TRIBUNAL TRANSFORMÉ EN ARÈNE

Le Président, qui était en fait une jeune Présidente de 40 ans, Madame Sonia Silva, a bien montré dans son attitude qu’elle ne goûtait pas ces arguments juridiques. L’assistance a compris qu’elle ne comptait pas juger en droit, mais faire le procès des idées des 7 prévenus. Il s’agissait d’un procès politique. C’est à un véritable déchaînement de haine que se sont livrées les parties civiles : Ligue des Droits de l’Homme, SOS Homophobie, Mousse, et Girophard. Que des associations gauchistes subventionnées. L’interrogatoire des prévenus ne s’intéressait pas aux faits qu’ils auraient commis, mais à leurs idées. Il convoquait à Bordeaux le procès de Nuremberg. Un cirque politique, un remake des « procès » des gardes rouges de Mao Tse Toung. Un arène pour une mise à mort.

GLISSEMENT POLITIQUE

Les accusés se sont vu reprocher de ne pas partager les idées de la « fierté homosexuelle », de refuser la propagande LGBT auprès des enfants. Le Procureur a considéré hors la loi de manifester publiquement, avec une banderole cette opinion sociétale. Quand les accusés ont soulevé la question de l’exhibitionnisme sexuel durant la Gay Pride dans les rues de Bordeaux, la question de la nudité de certains manifestants, ils ont provoqué des cris de protestations sur les bancs du public. Perturbations inadmissibles pendant une audience que la Présidente n’a pas interrompues. Visiblement le Tribunal de Bordeaux a déjà glissé dans la culture Woke. La dignité, la retenue sur ces questions sexuelles et homosexuelles ne fait plus partie du consensus à Bordeaux. Pas plus que la protection des enfants. La ville de l’École de la magistrature a basculé dans une autre société, un autre monde. Et les 7 jeunes prolétaires qui étaient jugés pour leur conservatisme moral méritaient, pour les juges du Parquet, les réquisitions de 6 à 12 mois de prison.

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5 Commentaires

  1. Ces 7 jeunes gens auraient dû se faire aider. À BORDEAUX, on n’est jamais trop aidé, demandez à la mairie…

  2. J’ai des amis (mais oui !) et connaissances de gauche (eh, oui !) qui vomissent cette « gay pride » qui tient plus de l’exhibitionnismme malsain que d’une fierté quelconque, qui vomissent la propagande par les associations LGBTQ+ TXE qu’ils traduisent eux-mêmes de lavages de cerveaux auprès des enfants et non d’apprentissage de la tolérance et, pour résumer, plus généralement, de ce wokisme forcéné et illégitime pour distiller dans les jeunes cerveaux des enfants des idéologies qui les empêchent de penser par eux-mêmes, donc, de facto, annihiler leur esprit critique. Dont acte.

  3. Dans le Wokistan satanique Bordelais merci Pierre Hurmic les Gauchiasses tentent de censuré des militants de la droite nationale et conservatrice parce qu’ils ont brandi une banderole pour montrer leur opposition à l’idéologie LGBTQ+ TXE et au Wokisme qui se répand dans toute la société française lors de la marche des fiertés LGBTQ+ mais les juges Bordelais notamment Sonia Silva une Gauchiste dégénérée d’extrême gauche pas tenter ainsi que les associations Homosexualiste menaient une véritable guerre contre ceux qui ne pensent pas comme eux et qu’ils voulaient mettre en taule histoire de les persécutés. En réalité les militants patriotes ont été mis en liberté parce qu’ils ont le droit de s’exprimer contre cette dérive sociétal qu’est le Wokisme et l’homosexualité et pour ça je tiens à féliciter ces militants pour leur courage contre l’autoritarisme du Gauchisme bien-pensants, diabolisant et culturel qui a transformé Bordeaux en Sodome et Gomorrhe !

  4. Les accusés se sont vu reprocher de ne pas partager les idées de la « fierté homosexuelle », de refuser la propagande LGBT auprès des enfants. Idem pour moi !!! Il n’en serait pas autrement !!! Du coup je serai coupable aussi dans un pays libre et démocratique ? On se demanderait si ce juge ,est bien au fait ,dans son indépendance face au jugement, qui devrait être hermétique à toutes influences ,quand on lit les peines encourues ? Je resterai assez perplexe et dubitatif

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