Après un repos « bien mérité » sur les pistes de ski révolutionnaires de Courchevel ou La Clusaz, et rentrée scolaire oblige, les révoltés d’ultragauche étaient de sortie, ce mardi 7 mars, à Paris. Et je peux vous dire qu’ils avaient mis les petits plats dans les grands !
Dès le départ, on les voyait arriver ces petits bambins ultragauchistes, proprets comme un sou neuf, la gueule satisfaite et un air con qui ferait passer Max Pécas pour Aristote ! Dès le départ, donc, ils s’excitaient l’entendement, les uns se baladant avec des marteaux à peine dissimulés dans leur sac à dos et les autres transportant un arsenal de pétards digne d’Un Singe en hiver, lorsque Gabin et Belmondo, ronds comme des queues de pelle, se payent un feu d’artifice du tonnerre de Dieu sur la plage. N’oublions pas non plus les liquides inflammables servant à allumer des feux de la Saint-Jean avant l’heure et qui pullulaient !
Tout ça pour s’adonner librement – et sans réelle contrainte policière, sauf quelques arrestations timides – à de la dévastation individualiste, sous couvert d’une révolte collective. En fait de révolte, je n’ai assisté là qu’à une démonstration de pulsions primitives.
Quand j’y pense, je suis envieux et jaloux à la fois, moi qui me suis fait parfois contrôler cinq fois en une seule manif, rapport au fait que je ressemble de loin à Robert Redford jeune, mais de loin, hein ! Pas ma faute si, dans mes meilleurs jours, j’ai plutôt la tronche à Béla Lugosi sortant du cercueil ! C’est du contrôle au faciès, ça !
Plus sérieusement, parfois, et avec tout le respect que j’ai envers les forces de l’ordre, j’ai envie de leur demander si elles ne se foutent pas un peu de nous. Ҫa rime à quoi ce cirque de harceler par exemple les natios, quand ils montrent le bout de leur nez, et laisser ces sauterelles anarchistes tout défoncer ? Les ordres ? Mais vous servez qui : Macron ou le pays ?! Vous imaginez un peu l’image de baraques reculer devant des crevettes antifas ? Crevettes secondées çà et là par quelques méduses diversitaires, d’après ce que j’ai pu voir. Mais comme je suis un facho, j’ai sûrement mal vu, et le drapeau brandi par une groupie du terroriste Georges Ibrahim Abdallah – incarcéré chez nous, donc à nos frais –, à son effigie, relevait d’un trouble réactionnaire de la vue…
À ce sujet, j’ai assisté à une scène très rigolote et absurde : un Gilet jaune lambda, relativement âgé et pas vraiment casseur, traqué parce qu’il ne voulait pas retirer son gilet de couleur ostentatoire et outrageante pour notre président Manu l’Ebène. Même le gendarme, qui a demandé gentiment à l’intéressé de retirer son « dangereux » vêtement, était un peu gêné aux entournures.
Pendant ce temps, ses collègues se laissaient insulter et agresser par une bande de petits merdeux qui, au passage, ne savent pas viser : ils ont blessé plusieurs manifestants avec leurs lancers de baltringues. Pire, il se la jouent guerriers mais détalent comme des lapins de garenne à la moindre réponse – pourtant mollasse – des gendarmes et CRS. Cela dit, le LBD était de sortie, tellement le chaos battait son plein.
Il n’empêche, ça n’augure rien de bon parce qu’en troupeau, ces ultragauchistes me rappellent les gnous que je contemplais jadis dans la réserve africaine du Masai Mara (Kenya), faisant trembler le sol en galopant, du fait de leur nombre impressionnant (cependant, les gnous ne saccageaient pas les voitures de médecins). Parce qu’hier, certains d’entre ces casseurs, plus déterminés que le autres, m’ont effrayé, habités par un fanatisme destructeur dans lequel j’ai décelé – sans imagination débordante – des tentations homicides.
Ainsi, ces charmantes petites pustules ultragauchistes s’en sont donné à cœur joie. Ils n’ont d’ailleurs pas attendu poliment que la manifestation – dédoublée à cause du grand nombre participants – arrive à destination, à savoir la place d’Italie. En effet, au niveau du boulevard du Montparnasse, elles ont entamé leur concerto en bordel majeur, attaquant et pulvérisant des symboles « odieux » du capitalisme comme des (liste non exhaustive) : abris-bus ; poubelles publiques ; potagers collectifs ; terrasses de cafés, boîte aux lettres.
Et ça taguait un peu partout, avec un respect très discutable de la syntaxe et du bon goût s’agissant de certaines pancartes. Mais ce n’est pas grave, d’autant que la langue française est une langue patriarcale, violeuse, écocide, transphobe, haram, etc. Enfin, vous connaissez la chanson.
Il faut dire que ces spécimens-là, tout comme les trafiquants de dope, ne dérangent pas Macron. Au contraire, ils servent sa politique de destruction de la France. Contrairement aux Gilets jaunes historiques, abondamment réprimés. Le sordide Macron a sans doute fait sien ce proverbe anonyme : « Le chaos n’est qu’un principe méconnu de l’ordre. » Par ordre il faut entendre nouvel ordre mondial…
Ah oui, j’allais oublier, j’ai eu droit aux assiduités de Dernière rénovation, ces connards écolos – en l’occurrence une jolie connasse ! – qui croient faire triquer les arbres en se couchant sur les routes pour interrompre la circulation. L’extase verte, quoi !
Charles Demassieux
(Photos : Charles Demassieux pour Riposte laïque)
https://ripostelaique.com/mardi-7-mars-a-paris-cetait-la-rentree-des-antifas.html
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Les descendants des petits merdeux de 1968, style Danny le Rouge, qui aujourd’hui s’est embourgeoisé.
pendant ce temps la il en est un qui se saoul de biere , défoncer +++ images/vidéos non visibles trop risqué.