L’Europe est en train de devenir Eurabia et Israël prépare sa fin, toute proche…

Que craint Israël si ce n’est son ombre et sa judéité ?

Parlez-moi de souveraineté !

Israël craint d’enfreindre les ordres draconiens de l’Union Européenne, des États-Unis, et même d’autres démocraties qui ont compris depuis longtemps, qu’Israël ne fera rien qui puisse les indigner, quitte à tendre son cou nu pour leur plaire.  

Quant à ses ennemis, c’est tout à fait compatible qu’il devienne leur risée et l’objet principal de leur hilarité… Oui, il n’y a qu’à écouter Hassan Nasrallah du Hezbollah donner un petit résumé de ce qu’il pense de l’État juif d’Israël pour comprendre les dégâts que ses trop chers et prétendus alliés lui infligent, tout autant qu’un ramassis d’ignares qui se dit patriotique.

Times of Israël « Le chef du groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah, Hassan Nasrallah, s’est réjoui jeudi des troubles internes en Israël provoqués par les projets du gouvernement de remanier radicalement le système judiciaire. Nasrallah a allègrement cité le président Isaac Herzog, qui a averti dimanche qu’Israël risquait d’être « déchiré « si le gouvernement et l’opposition ne parviennent pas à engager un dialogue pour trouver un compromis.

« Le leader du terrorisme libanais a également mis en avant les anciens Premiers ministres qui se sont prononcés contre les projets de la coalition, notamment Yaïr Lapid, Naftali Bennett, Ehud Olmert et Ehud Barak. En quels termes parlent-ils ? Ils parlent d’une guerre civile à venir. Ils parlent du fait qu’il n’y a pas de solution aux nouveaux défis posés par le gouvernement de Netanyahu si ce n’est un bain de sang. Un ancien commandant de l’armée de l’Air a menacé de tuer Netanyahu », a déclaré Nasrallah.

Nasrallah a affirmé que les efforts du gouvernement ont conduit les Israéliens à quitter le pays « pour retourner dans les pays d’où ils sont venus ». Une poignée d’entreprises de premier plan ont retiré leurs fonds d’Israël en raison des craintes suscitées par le projet de refonte.

Selon Nasrallah Netanyahu pousse simultanément deux « conflits majeurs » – le premier étant un conflit interne basé sur les projets de refonte judiciaire, et le second étant le conflit avec les Palestiniens, qui, selon lui, « s’étendra à toute la région – si Dieu le veut, Israël n’atteindra pas son 80e anniversaire ».

Et que disent les Mollahs d’Iran : « Israël s’autodétruit. Nous n’aurons plus besoin de la bombe nucléaire pour l’anéantir ».

Le malheur est qu’ils ont tous raison. À force de hurler sur tous les toits que l’armée de réserve israélienne ne se présentera pas à l’appel, les pilotes de l’armée de l’air aussi, les dirigeant du Hi-Tech qui déménagent leurs fonds, ceux qui veulent quitter Israël, craignant la perte de sa démocratie… En somme, au moins la moitié du pays est en révolte et menace la stabilité du pays dans une infernale inconscience.

Démocratie, refonte judiciaire, Netanyahu, les orthodoxes, sont une et mille raisons qui gonflent à outrance les voiles de ce navire en route accélérée vers l’abîme.

En parallèle, cette belle démocratie dont Israël s’enorgueillit et se vante est en train de servir de linceul à toutes les démocraties. L’Europe est en voie de devenir Eurabia.

Le monde entier en est conscient ! La France sera islamique dans l’espace d’une décennie. Les USA pataugent dans un bourbier identique. Et vous savez pourquoi ?  C’est dû à un manque incommensurable d’amarres, manque de bon sens, manque d’unicité… Lorsque le peuple croit en ses capacités de contourner les règles suicidaires de tout régime démocratique ou autre appliqué intégralement, et qui inclut : L’abolition de frontières, l’abolition du genre, du noyau familial, de l’identité, du patriotisme, en un mot, plus de raison de vivre. Car sans raison de vivre, on se suicide. Il faut un objectif, il faut un devoir, une foi, un port et une amarre. Sans cela, rien ne subsiste.

Pourquoi croyez-vous que l’État d’Israël s’est relevé de ses cendres ? Miracle ? Balfour ? Coup de chance ? Que nenni.

C’était parce que les juifs qui fuyaient une Europe antisémite, malades et crevant de faim, ont posé leurs pieds sur le sable du pays de leurs ancêtres. Ils y ont vu leur destination, leur objectif et se sont battus comme des lions pour reprendre ce qui leur a été arraché il y a quelques millénaires. Ils étaient tous prêts à mourir pour que leurs enfants aient une patrie, aient un toit et un repas chaud. Et surtout qu’ils ne craignent plus d’être conduits à l’abattoir. Hommes et femmes se tenaient armés devant leurs demeures, sous la contestation des pays arabes.

Mais aujourd’hui, l’Israélien a le ventre plein, un toit, un compte en banque, une voiture… et croit qu’il est parvenu à maitriser son destin. Ses ennemis n’attendent que cette « relâche » pour l’expulser de ses terres… Il a, d’un même revers de main, oublié l’antisémitisme antédiluvien qui le poursuit comme une calamité, en Europe, aux USA et partout ailleurs. Alors, il menace de repartir vers ces régions qui l’avaient il y a à peine 75 ans vomi, et retire ses économies, celles épargnées par ses parents, ces pauvres rescapés de l’antisémitisme.

Pauvre créature égarée… Tu n’es jamais sortie d’Égypte. Et Moïse ne t’a pas guidée vers cette terre pour que tu reprennes le baluchon du Juif errant.

Rappelle-toi tes promesses aux pieds du mont Sinaï. Rappelle-toi des lois qui t‘ont été remises pour qu’elles te servent de guide et de protection.

N’offre jamais ton cou nu, ni à l’ennemi, ni à l’allié… fais confiance à ton bon sens si tu veux survivre… car c’est la loi de la meute qui sévit partout.

Si Nasrallah est convaincu de la fin proche d’Israël, c’est qu’il est conscient de cet ennemi islamique dont la démographie galopante rogne les flancs du petit État et le contourne par endroits. Il sait aussi qu’il peut compter sur lui pour faire une bouchée de l’État juif.

Alors vous savez, la démocratie, la refonte judiciaire, l’apartheid, le racisme… tout cela ne sera que du vent lorsque les juifs ne pourront plus vivre sur leur terre ou devront se contenter de subsister en dhimmis. Entre temps, les survivants de cette catastrophe, qu’ils soient en Eurabia, ou ailleurs, se poseront la question : à quoi exactement leur a servi cette belle démocratie qu’ils ont tant aimé et qui les a trahis ?

Mais c’est le mal de tous les régimes appliqués à la lettre. C’est le mal de trop vouloir et ne jamais cesser de vouloir encore et encore…

Dans le fond me direz-vous, l’humanité entière court à sa perte… C’est vrai. Mais moi, je ne veux pas en faire partie. J’ai le libre choix et je choisis la vie !!!

Thérèse Zrihen-Dvir

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14 Commentaires

  1. On a exactement le même problème, à ceci près que le nôtre a été fabriqué de toutes pièces par nos gouvernements successifs.

  2. Chère Madame Thérèse Zrihen-Dvir:

    Expliquez-moi : Comment pouvez-vous être en même temps, prophétesse de malheur et de ruine pour Israêl et vous replier dans un prétendu « libre choix », qui ne peut, par ailleurs exister, d’après vos propres diagnostics crépusculaires.

    Et surtout comment, dans un tel contexte, prétendre par défaut être cependant en mesure de « choisir la vie » (laquelle alors ?), dont vous venez de dresser pour elle, une expectative des plus lugubreS

    Je veux croire en un sursaut d’Israêl comme pour la France. Sinon, l’occident n’est plus qu’un mort en susrsis

  3. Moi, non seulement je choisis la vie mais je veux aussi la tranquillité de vivre. Et vous mes frères, que choisissez-vous ? On se réveille ?…. on se bouge enfin le cul pour ne pas être dépassés ?…. Personnellement je suis prêt à faire ce qu’il faut mais tout seul, impossible !

  4. Si l’on veut détruire un pays, il faut détruire son unicité, en appliquant donc le fameux proverbe, que j’ai remis au goût du jour :

     » Diviser & diviniser pour mieux régner sur les abrutis du bulbe de toute sorte !!  »

    Que ce soient les muzzs, les gauchos, plus généralement les idiots ôh combien utiles, ils sont tous cons, mais…ils sont de plus en plus nombreux !!

  5. Mon Amie Aschkel habitait Aschkelon et se battait tous les jours contre les hyènes palos. Elle savait que le combat ne s’arrêtait jamais et elle ne s’arrêtait jamais.
    Elle m’a toujours dit que l’existence d’Israël n’avait pas de prix.
    Dieu l’a rappelée et elle veille aujourd’hui à ses côtés. Aschkel ma lointaine Amie, je pense à toi, veille sur Israël.
    Am Israël Ai.

  6. Dieu en créant le monde a fait une sacré boulette, il n’avait pas prévu les XXXXX (méfions-nous, la 17ème chambre veille). À moins que ce soit Lucifer qui s’en soit chargé…

    • Il s’est repenti d’avoir créé le monde, tout au moins l’humanité. D’où le Déluge. Ce qui tendrait à prouver qu’il ne connaît pas l’avenir.
      Lucifer n’a rien créé, sauf peut-être d’après les cathares.

      • Sauf que des Cathares, il ne reste que les confessions sous les tortures infligées aux malheureux par les hérétiques catholiques!

  7. Après s’être battus comme des lions vont-ils tout abandonner aux hyènes et aux chacals trop heureux de leur docilité s’assimilant à un renoncement, à une défaite ?

  8. Bonjour,

    « Manque d’unicité » c’est exactement la question.

    La Gauche traditionnelle, par exemple, défendait l’ « unicité » : le Jacobinisme en était la pafaite illustration.

    L’unicité est, depuis quelques décennies, jetée aux orties.

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