Des références à la “douce saveur du viol” ou encore celles faisant allusion à l’homosexualité comme étant un “handicap tenace” ont toutefois été conservées.
Alors que la controverse autour de la censure des livres de Roald Dahl bat son plein, poussant jusqu’à la famille royale britannique à s’exprimer sur le sujet, les romans de l’écrivain Ian Fleming narrant les aventures de James Bond ont été réécrits pour en supprimer les références raciales, révèle le quotidien britannique The Independent, ce dimanche 26 février. Dans le détail, des termes racistes qui apparaissaient dans ses écrits publiés au cours des années 1950 et 1960 ont été supprimés des nouvelles versions de ses ouvrages, dont la réédition a été annoncée courant avril prochain. Par ailleurs, certaines représentations des personnes noires ont aussi été supprimées ou retravaillées, indiquent nos confrères, qui s’appuient notamment sur des informations du Telegraph.
Les « traumavertissements » courants au Québec
Toutefois, des références à la « douce saveur du viol » ou encore celles faisant référence à l’homosexualité comme étant un « handicap tenace » ont été conservées, précise The Independent. Les nouvelles éditions devraient être accompagnées d’une clause faisant savoir aux lecteurs que « ce livre a été écrit à une époque où les termes et les attitudes qui pourraient être considérés comme offensants [aujourd’hui] étaient monnaie courante », indiquent par ailleurs nos confrères.
Les faits évoqués ci-dessus ne sont pas isolés. Comme l’a relaté Courrier international samedi 25 février, s’appuyant sur des informations du journal Le Devoir, le phénomène des « traumavertissements » est de plus en plus courant dans le milieu de l’édition au Québec. Ces mises en garde ont pour objectif que les lecteurs qui ne souhaitent pas lire des propos en lien avec des thématiques jugées problématiques puissent en être avisés au préalable.
Pour autant, il semble que les mots, parfois jugés aujourd’hui crus par certains lecteurs, aient été voulus par Ian Flemming. L’auteur à succès assurait ainsi dans les années 1960 : « Les écrivains semblent avoir honte d’inventer des héros blancs, des méchants noirs et des héroïnes aux délicates nuances de rose. […] Mes livres sont écrits pour des hétérosexuels à sang chaud. »
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De quel droit travestir et affadir les dires d’un écrivain aujourd’hui disparu ??
Non, ça devrait être strictement interdit. INTERDIT.
L’écrivaillon qui va se charger de la sale besogne , n’arrive pas au pied de l’écrivain.
C’est un viol intellectuel.
Adios pays européens…
Ian Fleming va devoir retourner dans sa tombe car le Wokistan Satanique envisage de réécrire James Bond pour ne pas offenser les minorités ethniques en particulier les Blackos qui passent leur temp à se plaindre d’être victime de racisme dans les romans Européens notamment dans ce roman d’espionnage où la crudité des propos montre un véritable sens de la virilité et aussi la sensualité des personnages féminines mais avec ces Blackos de merde et les féministes fanatiques hystérique veulent mettre au pas le roman de Ian Fleming mais c’est aussi contre productif car ils sont entrain de former des futurs illettrés au nom de l’antiracisme et détruire l’imaginaire européen pour répondre à un standard multiculturel qui est bâti sur du vent .
Brûlons les livres réécrits par de savants moralistes de la vertu.
Brûlons.
Brûlons.
C’est la Vie et son expression humaine qu’ils rejettent tout simplement. S’en rendent-ils compte ?
« Papa, Maman, laissez-moi lire ce que je veux, je suis grand maintenant, je veux vivre pleinement et choisir ! »
Jusqu’où vont-ils nier la race humaine et les conditions de son existence ?
On s’en tape! Gardons et cherchons les anciennes éditions !
Ils ne toucheront pas à l’ouvrage de Stendhal, Le Rouge et le Noir.
Un traumavertissement devrait être proposé pour les journaux télévisés tellement ils sont orientés dans le genre propagande politique et l’ahurissement climatique. Par exemple « le journal télévisé, son présentateur, les sujets évoqués, les personnes interrogées, n’entrent pas dans le cadre d’une information claire et précise, documentée, impartiale ». (Je ne rigole pas, ce n’est pas du second degré !!!).