La Socialie (d’où est issu Emmanuel Macron) dans toute sa splendeur.
On sait que tout un tas de « petits socialistes » roulaient pour le pervers sexuel DSK qu’ils auraient bien vu à la tête de l’Etat.
Ces jeunes réseauteurs finirent à la tête de l’Etat par la bénédiction de Voici, Gala, Closer… mettant en lumière le couple « atypique » Brigitte-Emmanuel Macron, ainsi que la descente aux enfers, au contraire, du couple Pénélope-François Fillon. Et accessoirement la connerie monumentale de quelques millions de titulaires de carte d’identité française.
Sacha Houlié et Stéphane Séjourné en sont un parfait exemple.
Le règne de Hollande fut marqué par les aventures extraordinaires du scooteriste nocturne répudiant Valérie Trierveiller, elle-même pas très gracieuse à l’égard de Ségolène Royal qui elle-même etc.
Bref tout ce petit monde donneur de leçons a pu exercer le pouvoir pendant 5 ans et plus pour ceux qui se sont recyclés dans la Macronie.
Et voilà qu’on apprend de nouvelles frasques au sein de cette gauche décadente dont nous, imbéciles que nous sommes à leurs yeux, payerons encore la facture.
L’Etat français (c’est nous) condamné pour l’attitude du sous-directeur des ressources humaines du cabinet d’Aurélie Filipetti, ministre de la culture à l’époque.
Ce haut fonctionnaire proche du pouvoir socialiste avait des pratiques d’humiliations particulièrement horribles à l’égard des femmes, forcées d’uriner devant lui.
Les « néoféministes » de gauche, dont le gifleur Quatennens, ont décidément, pour certains, une fâcheuse tendance à prescrire le « fait ce que je dis, pas ce que je fais ».
Bien entendu, les victimes vont être indemnisées, avec notre argent.
Comme si le fait de leur avoir administré des diurétiques avant des entretiens clé entrait dans le fonctionnement normal de l’Etat.
Le nom du coupable n’a pas été communiqué. Pas normal.
Le citoyen qui voit sa feuille d’impôt augmenter à cause de ce genre de potacheries devrait au moins savoir pour le compte de qui il paie.
Et pourquoi l’Etat ne pourrait-il pas avoir un recours contre ce type ? Voire contre ceux qui l’ont recruté, lui ont accordé ce pouvoir, lui déléguant des tâches qu’ils n’ont pas daigné exercer eux-mêmes malgré l’importance de leurs prébendes ?
Pourquoi Filipetti, Hollande… ne paieraient-ils pas, eux ?
Qu’attend le gouvernement pour exercer une action récursoire contre eux, au titre de leur manque de vigilance ?
7 femmes seraient concernées. La première qui a obtenu une condamnation recevra 12.000 euros pour réparer son préjudice moral.
Tiens, ça tombe bien, ça correspond à 1 mois de retraite pour Hollande le roi fainéant…
Si l’Etat se trouve en première ligne pour indemniser la plaignante, il n’y a aucune raison d’en rester là.
Une bonne gestion de l’argent public implique désormais de faire condamner les personnes réellement responsables, directement ou indirectement, de ces agissements.
Qu’attend le gouvernement pour publier un communiqué nous informant que les « copains d’avant » seront inquiétés à leur tour par la justice ?
L’Etat condamné pour les intoxications et humiliations perpétrées par un haut fonctionnaire sur sept femmes au ministère de la Culture
Cet ancien sous-directeur des ressources humaines au ministère de la Culture administrait des diurétiques à des femmes pour les obliger à uriner devant lui. Le tribunal administratif de Paris a exigé qu’elles soient indemnisées.Article rédigé par Publié le 17/02/2023 12:40 Mis à jour le 17/02/2023 16:43Temps de lecture : 2 min.
L’Etat a été condamné, jeudi 16 février, en raison des agissements d’un fonctionnaire du ministère de la Culture (et ancien membre du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes) qui avait versé un diurétique dans le café d’une candidate à un poste, et humilié de la même manière six collègues. Le tribunal administratif de Paris a publié le jugement qui exige d’indemniser cette ex-candidate à hauteur de 12 000 euros pour son préjudice, plus 1 500 euros au titre des frais de justice.
L’affaire va au-delà, avec des humiliations reconnues par la justice administrative pour six membres des services du ministère. Ces femmes seront également indemnisées, selon un communiqué du tribunal, qui n’a pas précisé les montants. Ce fonctionnaire était à l’époque de l’entretien d’embauche, en mai 2012, sous-directeur des ressources humaines du cabinet de la ministre Aurélie Filippetti.
Forcées d’uriner devant lui
Concernant l’ex-candidate, l’homme « lui a proposé, en début d’entretien, un café qu’elle a bu, puis l’a invitée à poursuivre l’entretien à l’extérieur, dans le jardin des Tuileries« , détaille le tribunal. « Ressentant rapidement des douleurs et une forte envie d’uriner », et obligée de le faire devant lui sous un pont, la candidate a demandé à rentrer chez elle. Elle a finalement été hospitalisée.
Une enquête a montré plus tard que l’homme était coutumier du fait. En 2018, il a reconnu « avoir imposé des situations humiliantes aux femmes qu’il recevait ainsi en entretien et dont la liste a été tenue par lui dans un tableau », rappelle le tribunal. Le fonctionnaire a été révoqué en 2019, après de très nombreux témoignages contre lui.
Cette année-là, il était par ailleurs mis en examen pour « administration de substance nuisible », « agression sexuelle par personne abusant de l’autorité conférée par sa fonction », « atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation d’image », « violence par une personne chargée de mission de service public » et « infraction à la législation sur les médicaments ». La suite de cette procédure pénale n’a pas été rendue publique. « C’est une affaire complètement folle d’un pervers« , avait commenté le ministre au moment de cette mise en examen, Franck Riester. « J’aurais voulu qu’on m’arrête avant« , avait pour sa part affirmé le fonctionnaire révoqué, interrogé par Libération.
L’Etat jugé responsable
La plaignante estimait la responsabilité de l’Etat « engagée en raison d’une mauvaise organisation des services du ministère de la Culture, en l’absence de dispositifs protégeant les victimes et recevant leurs plaintes« .
Pour la Fondation des femmes, qui avait accompagné les plaignantes via son service juridique, « la reconnaissance par la justice administrative des violences subies est une victoire pour les victimes« . En revanche, la fondation « regrette » un montant des indemnisations « divisé par deux » par rapport aux suggestions du rapporteur public, « signe de la méconnaissance par la justice de la réalité des violences sexistes et sexuelles« .
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Pendant ce temps là,on peut pas dire que les fonctionnaires ne font rien .On peut même ajouter qu’ils ne se font pas chier.
Ces humiliations datent de 2012! Il faut beaucoup de temps pour gagner lorsque l’on s’attaque à l’exécutif!!
Tous ces palais sont hyper protégés juste pour éviter que ces ordures ne soient surprises en train d’imposer leurs saloperies à leurs subordonnées. Les ors de la République tiennent d’avantage du cloaque.
Et bien, chaque jour, on en apprend des vertes et des pas mûres. Et j’ai l’impression qu’on n’a pas encore tout vu. Qu’apprendra-t-on, la prochaine fois ? Il faut s’attendre au pire, à coup sûr.
Cher Prosper
samedi passé, a l office de la syna de la rue des victoire a Paris, j ai appris que le nouveau rabin se prénomait Abraham, Alexandre,Marouane Benallah !!
OUF!!
enfin recasé l incasable inécrasable sur la voie publique
mais…….subtil talmudiste enculeur de mouches presidentielles
on hallucine sur l’affaire et sur sa discrétion dans les medias mainstream : ce serait un homme de « droite » son nom serait offert sur tous les medias bien pensants avec moults condamnations en commentaires
Ces gens là, donneurs de leçons qui plus est, sont ignobles !
Et aucun mari, pour lui foutre son poing dans la gueule. Il en a de la veine.
Mon pauvre, le mari serait condamné pour avoir rendu justice à sa femme !!!
Grâce au fignoleur des 50 ans dernières années de décadence gouvernementale à qui il reste 4 ans pour parachever la chienlit ambiante, nous pouvons ajouter dans le petit Robert un nouveau mot issu de la petite et de la grosse commission, le « en même temps » donnant naissance au verbe « Pichier ». Le haut fonctionnaire en question doit se réorienter vers cette simultanéité qui devrait le combler. A part cette appétissante information, nous apprenons que notre chef de gare souhaite réarmer l’Europe dont il entend prochainement être l’empereur, tout en promettant au Tsar terrifié, de ne pas l’écraser. Et le patron moscovite à toutes les raisons d’avoir peur d’une puissante tenaille articulée du nord au sud et d’est en ouest, par une borne casquée et guindée, un jean claude Dusse qui opte pour le « chialement » dans l’hémicycle, un Lemaire arborant mille milliards de dette supplémentaire et un gromalin se voyant déjà sur le trône sali par son usager actuel. Cette affaire de pipi fait rire jaune devant, mais le marron qui se tient à l’arrière de cette dernière décennie nous laisse bel et bien sceptique de croire à un avenir qui sent la rose.
Vais-je être indemnisé, ces gens-là me font chier depuis des années !
Excellent
oui excellent
Malheureusement ce n’est pas possible ! Le budget de l’Etant serait en faillite : trop de plaignants