Mais pendant ce temps nos soignants non vaxxinés ne sont toujours pas réintégrés…
Un homme de 84 ans est décédé le 5 janvier aux urgences de l’hôpital Jean Minjoz de Besançon après avoir attendu 18 heures sur un brancard, selon le témoignage d’une soignante recueilli par nos confrères de l’Est Républicain.
La direction du centre hospitalier universitaire de Besançon confirme le décès de ce patient et précise que cet homme, âgé de 84 ans, avait déjà été admis aux urgences le 31 décembre. Le soir du réveillon, le patient avait passé 20 heures dans ce service en tension, il avait été examiné par un médecin. Il était ensuite rentré chez lui.
Toujours selon la direction de l’établissement hospitalier, le patient est revenu aux urgences le mercredi 4 janvier. Le personnel lui a fait passer un scanner et c’est après cet examen que le patient est décédé. Il est mort d’une aggravation subite de sa pathologie.
Les premiers éléments recueillis à ce stade ne permettent pas de faire le lien entre les tensions très fortes que subissent les urgences, y compris ces jours-là et le décès de ce patient.
Direction du CHU de Besançon
Dans l’édition de l’Est Républicain de ce dimanche 8 janvier, une soignante aux urgences de Besançon témoigne anonymement sur les circonstances de ce décès.
On n’attend pas 18 heures un scanner quand on est aux urgences.
Soignante aux urgences du CHU de Besançon.L’Est Républicain
Cette soignante aux urgences du CHU de Besançon dénonce le manque criant de personnel dans ce service. La direction de l’hôpital précise qu’elle recevra la famille du patient décédé dans les jours qui viennent. Une commission doit également doit se réunir pour « déterminer les circonstances exactes de ce décès et n’exclut aucune hypothèse ».
« 150 morts inattendues en France dans les urgences depuis décembre »
Depuis décembre dernier, le syndicat Samu-Urgences de France estime qu’environ 150 personnes seraient décédées de manière « inattendue » dans les services d’urgences des hôpitaux publics. Le syndicat demande aux urgentistes de déclarer ces décès pour permettre « une prise de conscience de la nécessité d’une action profonde au sein de nos établissements pour rétablir des conditions de soins décentes et sécuritaires ». Des « morts inattendues » ont été déclarées dans 20 départements depuis le 1er décembre 2022.
Crise du système de santé
Des urgences débordées, un manque criant de soignants à l’hôpital comme en ville : 2022 s’achève dans une tension extrême pour le système de santé, en voie de « déliquescence » selon des professionnels qui attendent la « refondation » promise par le gouvernement.
L’amélioration des conditions de travail est au centre des attentes. « Il y a une réponse financière », mais elle n’est pas suffisante, a estimé vendredi l’urgentiste Mathias Wargon. Il faut « une réponse de fond qui est d’assurer une qualité de vie au travail, un intérêt du travail », a-t-il commenté sur franceinfo, en relevant que « les infirmières – plus que les médecins – ont l’impression de boucher les trous ».
Un collectif de plus de 5.000 médecins, soignants et agents hospitaliers a exigé récemment un horaire défini et un ratio maximal de patients par infirmière. Ce qui nécessiterait d’embaucher « environ 100.000 infirmières » sur trois ans.
« C’est tout le système de santé qu’il faut remettre à plat, et cela devient urgent », prévient Action Praticiens Hôpital.
Devant des soignants réunis le 6 janvier au Centre hospitalier Sud Francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes, en banlieue parisienne, le président de la République Emmanuel Macron, a assuré vouloir « aller beaucoup plus vite, beaucoup plus fort et prendre des décisions radicales ».
Des déclarations présidentielles qui n’ont pas convaincu le collectif CODES 25, le Collectif de Défense de la Santé du Doubs. Dans un communiqué, le collectif estime que « personnels et patients attendaient un plan de sauvetage massif et immédiat, financé, pour faire revenir les soignants qui désertent l’hôpital, former et embaucher massivement les personnels de toutes catégories en leur assurant une rémunération décente, des conditions de travail satisfaisantes, améliorer la médecine de ville, le développement d’un service de santé public et gratuit sur le territoire ».
2,142 total views, 1 views today
Ce ne sont pas les ministres, ni les députés qui attendront 18 heures sur un brancard qu’on les laisse crever.
Ni les migres d’ailleurs qui feraient un foin de tous les diables pour qu’on s’occupe d’eux en priorité.
La France est TOMBÉE dans le TIERS MONDE.
Les pays émergents sont bien mieux lotis que nous.
Tout est fait pour détruire nos institutions et notre mode de vie.
Le DÉCLASSEMENT est organisé méthodiquement.
Mais des imbéciles ont préféré laisser macron reprendre le pouvoir.
Les déclarations pompeuses du macron ne convainquent personne.
Il a fermé 17 000 lits pendant la crise Covid et il n’a certainement pas l’intention de les rouvrir.
Sinon, il se serait empressé de réintégrer le personnel non vaxxiné.
Et ça, ce n’est que le début, en quelque sorte, le sommet de l’iceberg …
Rappelez-vous et mettez-vous ceci dans la tête :
» Tout, ABSOLUMENT tout, est fait pour que le natif n’ait AUCUNE chance de s’en sortir, donc que le pays lui aussi, n’en ait aucune !!! »
En effet, « ils » ne peuvent PAS ne PAS savoir les conséquences que leurs décisions ont, sur la vie des français, et les conséquences de l’invasion muzz allant en s’accélérant …
Ce qui signifie que tout cela est VOULU, qu’il y a bien une volonté CRIMINELLE de détruire le pays France …
L’actualité rapportée ici, et sur Riposte Laïque, ainsi que certains faits par les MERDIAS, parce que cela ne peut plus être caché par ces derniers, de manière quotidienne, ne fait que confirmer, et ce, jour après jour, le désastre voulu par ceux qui étaient censés nous protéger de la menace que représentent les muzzs en France …
Donc maintenant dans les hôpitaux ou certains rentrent comme dans un moulin et vont agresser ,violer des patients ,ceux qui attendent pour être opérés et meurent de faim et de soif parce qu’on reporte sans cesse l’opération et ceux qui attendant aux urgences qu’on peut appeler plutôt » patiences « ,ça fait froid dans le dos ,tout ca par la faute de politiques qui s’en foutent royalement et qui par orgueil aussi ne veulent pas réintégrer les soignants non vaccinés alors que tous les autres pays ont fait le contraire (eux qui prennent toujours exemple sur les autres pays pourquoi pas dans ce cas ),comment voulez vous aller encore à l’hôpital en toute confiance .
La destruction du système hospitalier est certainement voulue pour passer au privé à l’américaine, supprimer la sécu pour laisser la place aux assurances privées. Dans l’avenir, il faudra vendre votre maison ou appart pour vous soigner d’une maladie grave. Quand on pense qu’en pleine crise du covid, on continuait à supprimer des lits ! La preuve paraît évidente.
Macron et sa clique n’auraient jamais dû être élus… Toutes ses décisions sont malsaines, orientées vers une rage destructrice envers tout ce qui est français : sa culture, son histoire, sa richesse, son idéal démocratique de liberté, égalité, fraternité.
La carte vitale devient la carte mortelle.
Pas les millions de fausses cartes vitales.
Macronor Terminator Merdator a cause de sa folie de ne pas réintégrer les soignants non vaccinés est entrain de tuer les patients et l’ensemble du secteur hospitalier qui a totalement craquer à cause des effets délétères du chantage vaccinale contre le Covid 19. Quel carnage !
Je vous lis tous les matins j’ai partagé l’edito avec un ami médecin africain,car il ne me croyait pas du tout !!!il est revenu sur le post et est choqué de lire qu’il faut entre 18/20 heures d’attente pour être pris en charge,même ici c’est inconcevable !!! A ce stade ce que dit le chef d’état est un mensonge , personnellement je vais me détourner du système de soins en France , j’irai à l’étranger, c’est plutôt navrant de le dire.et implicitement on ne rentre pas à l’hôpital pour mourir faute de prise en charge de tout ordre
Le clown dictateur psychopathe est content, il a détruit l’hôpital et les urgences déjà mis à mal par ses prédécesseurs. Comment se type malfaisant a t’il pu être élue une deuxième fois.
Il s’en fout, lui il a un hôpital à sa disposition sous l’Elysée !
Vous ne verrez jamais un ministre, ou un préfet, ou un député mourir sur un brancart aux urgences après avoir attendu pendant des heures des soins qui ne sont pas venus. Ces misères sont réservées à la plèbe, aux « gens qui ne sont rien ». Tout est à l’avenant, l’inégalité est partout : médecine à deux vitesses, enseignement à deux vitesses, et les transports, et la sécurité…