Adieu veau, vache, cochon, couvée ! Voici arrivée la fin des illusions pour le projet dit « d’agriculture urbaine, pédagogique et participatif » dont seuls les écolos-gauchistes ont le secret ! La promenade dite des Fermiers généreux a vu le jour en 2020.
Il s’agissait d’installer des plantations et des jardins partagés sous le métro aérien de la ligne 2, entre les stations La Chapelle et Stalingrad, un lieu plutôt mal choisi car peu ensoleillé et exposé aux quatre vents. Une zone de 700 m2 qui surplombe les lignes ferroviaires de la gare de l’Est et qu’il fallait recouvrir de terre végétale. Mais qu’importe ! Les progressistes ont plus d’un tour dans leur sac et les défis urbanistiques ne les arrêtent pas, bien au contraire ! La nature saura toujours s’adapter !
Crédit photo VergersUrbains
Sur le site de la ville de Paris, où l’écriture inclusive remplace la langue de Molière, on peut lire :
« Le projet propose des activités à foison au milieu d’une plantation abondante d’arbres fruitiers et de plantes locales choisies pour leur résistance aux contraintes du lieu (peu d’eau de pluie et peu d’ensoleillement). Une partie de la parcelle sera dédiée à la construction d’aménagements productifs, s’inspirant de la permaculture et de l’agro-écologie (châssis-serres, cultures en lasagnes, associations de cultures…) Ces dispositifs seront construits lors de chantiers participatifs ouverts à tou·te·s. Ils serviront également de supports pédagogiques durant les ateliers et formations. On y trouvera aussi multitude d’abris faunistiques où se croiseront mésanges bleues et charbonnières, moineau friquet, abeilles sauvages, papillons, perce-oreille, coccinelles et pourquoi pas lézards des murailles »
https://www.paris.fr/pages/barbes-chapelle-stalingrad-sous-le-metro-bientot-les-coquelicots-6619
Comme c’est beau ! Heureusement qu’il y a encore des bac +5 pour apprendre aux indigents comment faire pousser des salades !
L’initiative vient de la Région Île-de-France dans le cadre d’un appel à projet, lancé en mars 2019 et remporté par Les vergers urbains. Un projet à 11 millions d’euros ! Puis en 2021 l’association Les Fermiers généreux voit le jour et signe une convention d’occupation avec la Ville. L’appel à projet avait été financé par le « budget participatif » de la Région Île-de-France. Au moins, l’on sait où vont nos impôts !
Et le descriptif vaut son pesant d’or !
« Créer une pépinière de quartier sur le site de la promenade urbaine Barbès- Stalingrad à Paris »
« L’association Vergers Urbains, en partenariat avec Pépins Prod et Urbanescence, est lauréat de l’appel à projets Parisculteurs sur le site de la future promenade urbaine Barbès – La Chapelle – Stalingrad. Le projet comprend de 600 m² ainsi que 3 conteneurs et un kiosque, localisé entre les stations de métro La Chapelle et Stalingrad. Il projet consiste à créer un espace ressource dédié à l’agriculture urbaine mêlant plusieurs usages et programmations.
Le projet des Fermiers généreux propose de développer, en lieu et place de l’ancien mur des Fermiers généraux, un espace de partage et interaction autour de la nature en ville et l’alimentation. Il donnera lieu à la création d’une pépinière de quartier, comprenant plantes comestibles et aromatiques vivaces, arbustes et arbres fruitiers, gérés de manière participative. Une grainothèque, outilthèque, et des ateliers viendront ponctuer le site pour en faire un espace d’interaction. D’espace de séparation, le site deviendra une interface qui rassemble les deux rives, un lieu de destination. La promenade deviendra un nouvel espace ressource de l’agriculture urbaine et un lieu d’animations et de pédagogies mettant l’accent sur la culture végétale en espace urbain dense.
L’objectif des Fermiers généreux est également d’être un des maillons du système alimentaire ultra local, centré sur la production de végétaux comestible. La parcelle se développe progressivement, depuis son installation en décembre 2019, au fur et à mesure des permanences, avec de nombreux arbres et arbustes fruitiers (Pommiers, Poiriers, Cassissier, Groseilliers, Framboisiers etc.), ainsi que des pieds-mères d’aromatiques (thym, romarin, menthe, sauge, etc.).
Dans le cadre du projet, nous souhaitons créer une micro-serre bioclimatique expérimentale de 24 m2 permettant la production de plants et accueillir des ateliers participatifs. Cette serre sera installée sur la partie la plus ensoleillée de la parcelle et sera connectée à un bassin aquatique permettant de gérer l’inertie thermique, elle comprendra un espace de travail pour la réalisation des semis et un abris à outils.
Cette serre fait l’objet de l’actuelle demande de financement ainsi que les différents systèmes d’irrigation et équipements qui permettront d’assurer le fonctionnement de la pépinière.
Elle sera animée lors de trois permanences hebdomadaires, par l’équipe Vergers Urbains, en lien avec ses actions de végétalisation au sein du quartier et en appui aux projets de création de jardins collectifs ou fermes urbaines.
Ce projet s’inscrit dans le cadre du projet Chapelle Comestible, soutenir par le contrat de ville et quartier nourricier soutenu par la fondation de France, porté par Vergers Urbains dans le quartier La Chapelle, qui vise à faire émerger un système alimentaire de quartier en mettant en lien les initiatives locales tournées vers l’alimentation et l’agriculture urbaine et en renforçant leur ancrage dans le quartier. »
Rien n’aura été épargné aux habitants : l’installation de « naturinoirs » destinés à recycler l’urine en engrais naturels… Il est vrai que c’est mieux qu’uriner sur les trottoirs, une pratique très populaire dans cet arrondissement ! Une innovation digne du concours Lépine, avec panneau solaire intégré !
Crédit photo Le Parisien
Et puis, patatras ! Le beau rêve doit faire face à l’adversité. En juin 2022, des migrants s’installent sur la pépinière pour dormir. En octobre 2022, un véritable camp s’installe, non sans lien avec le démantèlement du « camp » de Barbès, également sous le métro, quelques centaines de mètres plus loin. Résultats : cultures saccagées, piétinées pour faire place aux incontournables tentes Quechua, elles aussi financées par le contribuable. Le titulaire du bail a-t-il saisi la justice pour violation de domicile ? A-t-il porté plainte pour intrusion, comme cela aurait dû être le cas dans un pays normal ? Nul ne le sait ! Les écolos se sont piteusement retirés, pour faire place aux migrants, après avoir tenté de sauver quelques précieuses espèces végétales.
Puis les événements s’enchaînent : l’évacuation du camp par la police, à la mi-décembre : ils étaient plus de 750 dit-on, soit à peine 1 m2 par personne ! Puis, la fin finale arrive : le rasage au bulldozer de ce qui restait du site. « La situation nous a dépassés » confie un responsable de l’association « Les Vergers urbains », porteuse du projet, qui semblait ignorer la réalité de cette zone de « reconquête républicaine » ainsi nommée par les autorités elles-mêmes !
Mais pourtant, ce n’est pourtant pas la première fois que les migrants ne font pas bon ménage avec les écolos dans ce quartier.
Le 5 septembre 2015, le square Jessaint, occupé par des arrivants d’Éthiopie, d’Érythrée et du Soudan est évacué. « Le toboggan du square Jessaint ne voit plus d’enfants glisser sur sa tôle », déplore Louis Witter, journaliste au Nouvel Observateur !
Crédit photo Action Barbès
Le 30 juin 2020, les jardins d’Éole, envahis par des toxicomanes et des sans-papiers, au point que les riverains en étaient exclus, sont évacués par Darmanin, suite à de nombreuses manifestations de riverains mécontents. Cet espace vert abritait aussi des jardins partagés et quelques animaux domestiques qui s’en sont tirés à bon compte. Il a d’ailleurs fallu réitérer l’opération deux mois plus tard aux abords des jardins et de la rotonde de Stalingrad car, comme on le sait, la « dispersion » ne fait que déplacer le problème d’une rue à l’autre. Et les autorités le savent bien ! Mais que ne feraient-elles pas pour combattre le « sentiment d’insécurité » et tenter de rassurer la population ?
crédit photo Huffington Post
Le 15 novembre 2022, le campement de La Chapelle (à ne pas confondre avec ceux de la porte de la Chapelle) est partiellement évacué autour du square Louise de Marillac. On prétextera ensuite la présence de rats pour ne pas le rouvrir au public.
Et l’on pourrait multiplier les exemples de ces squares et espaces verts, aménagés à grand frais et délaissés par les promeneurs, faute de propreté et de sécurité.
crédit photo LP/infographie LP/C.B.
Dans ce XVIIIe arrondissement, tombé dans l’escarcelle socialiste depuis 1995, qui est devenu un terminus pour migrants, une explication est donnée par Jean-François Corty, responsable des missions de Médecins du Monde : « Ce ne sont pas forcément les passeurs qui font en sorte que les réfugiés arrivent directement près de La Chapelle. Ceux qui sont à Paris depuis peu savent que le tissu associatif, très présent dans le 18e arrondissement notamment, va leur distribuer des vivres et veiller sur eux ». La messe est dite !
Il faut aussi rappeler que l’église Saint-Bernard n’est pas très loin et que les associations pro-migrantes sont particulièrement actives dans ce quartier.
Hector Poupon
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J’ai surtout bien aimé l’abri à outils pour le jardinage.
Nul doute que cela a inspiré nos chances pour la France, et les a incités à cultiver pour offrir de beaux fruits et légumes aux riverains.
C’est la moindre des choses, en remerciement pour les laisser envahir nos rues, nos espaces de vie, nos villes , notre pays.
Il y a une incompatibilité fondamentale entre écologie et immigration, cela prouve la grande hypocrisie des verts pastèque.
Les Bobos Parisiens à cause de leur connerie ont tuer l’agriculture version terroir pour faire une agriculture Boboïser où cette catégorie de la population joue les Ecolos mais ces même Bobos ne sont-ils pas responsables de l’immigration de masse que nous subissons actuellement ? La réponse est oui . Moralité les Bobos ont récolter ce qu’ils ont semer avec leur florilège de débilités !
Ils sont très fort, ils plantent des salades et ils récoltent des migrants.