Décidément, le maire de Callac et son équipe ne reculent devant rien. Jean-Yves Rolland, la semaine dernière, sur le marché, avait annoncé que s’il organisait un référendum, 80 % des Callacois voteraient contre lui. Donc qu’il n’en organiserait pas ! Rappelons que cet aveu lui avait valu une certaine notoriété sur Sud Radio, où Bernard Germain, porte-parole du Comité de soutien au combat de Callac, avait été de nouveau invité par André Bercoff.
Jean-Yves Rolland s’est déjà vanté, la semaine dernière, d’avoir pondu un arrêté – dont la légalité est sujette à caution – interdisant de signer des pétitions ou de distribuer des tracts sur le marché. Il paraît que ce serait pour apaiser les tensions, après le taguage de sa mairie, en breton, par des opposants locaux à son projet Horizon. Bien évidemment, Jean-Yves Rolland, unique responsable de la tension qui existe dans sa ville, a tôt fait d’accuser les opposants de ce projet d’être responsables de la situation.
Nous apprenons par cet article, paru dans l’Echo de l’Armor, qu’il refuse désormais de répondre à la presse locale.
Mais la municipalité callacoise ne s’arrête pas là dans l’intimidation de ses administrés. Ce matin, un commerçant qui, comme la plupart de ses collègues de la ville, affiche la pétition des Amis de Callac pour exiger un référendum, a constaté que la pétition, qu’il avait vue dix minutes plus tôt et qui était presque remplie, avait disparu. Et ce n’est pas la première fois que cela se produit ! Qui est à la manœuvre ? Les antifas, la municipalité, ou les deux ? Toujours est-il que la gauche immigrationniste (qui d’autre pourrait agir ainsi ?) se permet donc de dérober les pétitions affichées chez les commerçants pour relever le nom des signataires. Mais il y a pire.
Nous avons reçu, à la rédaction de Riposte Laïque, un témoignage que nous avons vérifié. Un élu de la ville s’est permis d’intimider une paisible personne, l’informant qu’elle avait été photographiée en train de signer la pétition des Amis de Callac. Cela signifie donc que soit c’est du bluff, mais cela se veut une menace, ce qui n’honore pas ceux qui agissent ainsi. Soit que des zélés élus photographient à leur insu leurs administrés, soit ils le font faire par des personnes par des supplétifs gauchistes, comme ceux qui ont contre-manifesté sans avoir déposé de demande d’autorisation le 17 septembre dernier. Ce serait là, avec le vol de pétitions permettant de récupérer des signatures, la mise en place d’un véritable fichage de la population.
Refus de la démocratie, arrêtés municipaux liberticides, intimidations contre la population, il faut vraiment que le maire et son équipe soient aux abois pour se comporter ainsi, rompant ainsi avec les valeurs démocratiques dont ils se réclament.
Et ce n’est pas ce nouvel article paru dans Breizh Info, qui va apaiser les tensions. On apprend que, profitant de l’appel d’air provoqué par le projet Horizon, une autre association immigrationniste, Viltais, payée par nos impôts, commence à installer à son tour de nouveaux migrants à Callac. Deux familles africaines, comprenant 16 personnes (on rappelle que le projet Horizon était annoncé pour 70 familles !) sont attendues dans les prochains jours. Et d’autre part, les emplois annoncés (alors qu’il y a 18 % de chômeurs à Callac) paraissent bidon.
Elles s’ajouteront aux 5 familles africaines déjà présentes, soit 38 personnes ! Le vrai scandale consiste à regarder cette maison, rachetée par l’association Viltais, à Callac, pour y loger des Africains, et à imaginer ce qu’on pourrait en faire, au service des Français…
… quand certains de nos compatriotes logent dans des caravanes, avec leurs enfants, à Ploërmel, comme nous l’a appris Franck Chevrel, il y a quelques jours.
Il ne vient pas à l’esprit du maire de Callac ni des dirigeants de Viltais d’installer Astrid, Stéphane et leurs quatre enfants, eux qui ont toujours travaillé, toujours cotisé, dans cette bâtisse. Il n’y a pourtant qu’une heure et demie, entre Ploërmel et Callac ! Mais priorité aux familles nombreuses africaines, et tant pis pour les conséquences scolaires qui vont frapper les enfants de Callac, sans parler des autres facettes de l’enrichissement multiculturel que trop de Français subissent tous les jours !
Le refus de la municipalité d’organiser un référendum, sa volonté de passer en force et de contourner l’avis de ses administrés, et ses méthodes de fichage de sa population ne feront qu’alimenter la colère des Callacois et monter la tension dans la ville.
Quant à Jean-Yves Rolland, il confirme sa conception particulière de la démocratie, et surtout son mépris pour l’avis du peuple et de ses administrés.
Ce qui ne l’empêche pas d’affirmer qu’il combat l’extrême droite au nom des valeurs de la République…
Martine Chapouton
https://ripostelaique.com/callac-le-maire-fiche-t-il-ceux-qui-signent-pour-exiger-un-referendum.html
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Les habitants de Callac devraient inviter leur Maire à danser « la Branlée « .
Le Maire se place face à un de ses administrés qui tient un bâton, un fouet, en main.
Les spectateurs doivent chanter, en breton, pendant 7 minutes maximum, et le Maire éviter les coups de bâton ou de fouet habilement administrés par son administré.
C’est une danse qui se perd mais que je trouve pleine de charme (surtout lorsque l’édile saute à contre-temps et prend le bâton sur le râble…)
Ce Maire de doit être déposé, au nom des valeurs républicaines. Ce lascar est incompétent et menace la sécurité de ses administrés.
Il se donne bien du mal pour rien. Dans notre belle démocratie un référendum, s’il est défavorable au pouvoir est tout simplement ignoré alors, quelle importance ?
t’inquiète roland, on arrive
Mais mais , il suffit que Astrid et son mari et les quatre enfants aillent squatter cette belle maison que n’importe quel français mettrait des années à se payer AVEC LE FRUIT DE LEUR TRAVAIL ! C’est tendance de squatter et les gauchistes aideront à leur installation !
Oui, mais à l’élection de cette pourriture gauchiste, il n’était pas tout seul. Il a bien été élu non. Maintenant les habitants de Callac pleurent, mais c’est trop tard. Il fallait y penser avant.
Ne reste plus aux habitants que se soulever et virer le maire et son conseil. On ne va pas continuer à se laisser spolier ainsi.
vous avez encore des faux des fourches et des faucilles en bretagne ??
Il faut installer la famille de Ploërmel dans cette magnifique bâtisse que seules des assoces vendues aux mondialistes peuvent s’offrir.
Au bout de 48 h , plus personne ne pourra les déloger.
Dépêchez-vous, agissez maintenant, vous prendrez les gauchiasses à leur propre piège.
Excellente idée !
Le maire ressemble plus à un gauleiter qu’à un élu de la République. Les campagnes françaises sont pleines de ces petits potentats qui font plus la pluie que le beau temps dans leurs localités, de petits feldwebels qui confondent mairie et kommandantur.