L’arrière petit-fille du sultan, élevée par des chrétiens, est retombée dans les rets islamiques

J’ai lu récemment un roman qui a eu beaucoup de succès « De la part de la princesse morte » de Kenizé Mourad et la suite « Les jardins de Baldapour » –

Il s’agit de  la biographie de la mère de l’auteur, puis de sa propre histoire dans le second
volume. Ainsi, « Kenizé » descend par sa mère des sultans turcs et par son  père d’un rajha indien. Mais, orpheline dès la prime enfance, adoptée par des Occidentaux, elle a été élevée dans la religion chrétienne. Arrivée à l’âge  adulte elle est partie à la recherche de ses racines, de son père, en Inde et  a adopté la religion musulmane. Ses confessions sont touchantes mais d’un bout  à l’autre de ses récits elle ne cesse de critiquer les chrétiens et de défendre
les musulmans, notamment en Inde où ils seraient, selon elle, les victimes acharnées
des hindous.

Istamboul, 1911. L’Empire ottoman, ce colosse aux pieds d’argile, n’a plus que quelques années à vivre lorsque naît la princesse Selma, petite-fille de sultan. Elle ne connaîtra que brièvement les fastes du palais, les intrigues de harem : bientôt jetée sur les routes de l’exil, Selma vivra d’autres débâcles, d’autres Empires – qu’elle soit reine ou esclave, libre ou amoureuse, des Indes impériales à Paris sous la menace allemande… C’est sa fille, Kenizé, qui retrace aujourd’hui son exceptionnel destin, tel des mémoires interrompus,  » de la part de la princesse morte « …

Présentation du livre sur Amazon.

L’auteur, aujourd’hui âgée de plus de 80 ans, est une femme intelligente et sensible et on a du mal à comprendre qu’en finalité elle reste fidèle à l’islam alors que sa mère était venue en France pour fuir le burka et toutes les contraintes imposées aux femmes en Inde, elle voulait être Libre !

A croire que l’islam est une maladie, qui se contracte et dont il est difficile de guérir, une maladie qui prend possession du cerveau, même de celui des plus évolués.

 1,080 total views,  1 views today

image_pdf

4 Commentaires

  1. Il n’y a pas d’âge ni de condition sociale pour échapper à l’emprise de la Secte. Bien plus que le niveau d’études, c’est l’éducation familiale qui vaccine contre le retour au sacrificiel et aux rapports de dominations maître/esclave.
    Le cas de cette personne relève de la Miviludes, organisation de prévention des dérives sectaires. Mais Moussa Dar Manin a largué cette institution en rase campagne. On se demande pourquoi…

  2. Pour beaucoup c est plus confortable de faire comme les autres, de faire partie du groupe Et l islam vous réconforte : vous etes les meilleurs, supérieurs aux autres, non musulmans, vous etes irresponsables de vos actes ( vols, meurtres etc) c est allah qui agit,vous irez au paradis du dieu de la lune, les infideles en enfer ( tortures etc)….etc

Les commentaires sont fermés.