Deux « artistes français » récidivent à la Biennale de Berlin avec leur exposition atroce «Poison soluble»

Kader Attia, le franco-algérien, et Jean-Jacques Lebel, l’antifa-anar de Neuilly, travaillant aux dernieres touches de leur exposition commune.

Ces deux artistes ont conçu ensemble l’exposition«Poison soluble», installée en ce moment à la Biennale de Berlin.

Créée en 2013, l’exposition «Poison soluble»  avait déjà été montrée dans plusieurs endroits du monde.

L’installation  met en scène les célèbres et sinistres images issues de la prison d’Abou Ghraib, ces photographies composant une œuvre (sic) monumentale sous forme de labyrinthe.

« Elle se veut un véritable laboratoire de recherches : un lieu d’échanges qui donne à voir des images de guerre et de conflits, d’humiliation et de mort, un lieu d’expérimentations où chacun s’exerce à trouver des solutions, liées aux enjeux majeurs de notre civilisation, pour s’extraire d’un monde infernal, dominé par le Mal et la destruction ».

Que pouvait donner le mélange entre un bobo de Neuilly (fils d’artiste) et un  plasticien du 93 nourri aux subventions ? 

Kader Attia : l’ennemi des sociétés occidentales. 

Né en France à Dugny (Seine-Saint-Denis), de parents d’origine algérienne, Adelkader Franck Attia grandit à Garge-les-Gonesses/Sarcelles. Son enfance fut baignée dans un milieu cosmopolite et pluriculturel. Kader Attia, qui a la double nationalité, est profondément marqué par les différents allers-retours qu’il effectue entre sa banlieue et l’Algérie (Bab El Oued) avec sa famille. Wikipedia

Kader Attia est  nommé commissaire de la Biennale de Berlin 2022,

Kader Attia travaillant principalement sur la « réparation », notamment en lien avec la restitution des objets d’art africain et les thématiques coloniales.  En 2004, il transforma la galerie kamel mennour en faux magasin de street wear appelé « Hallal », destiné aux jeunes des quartiers populaires.  L’artiste se veut ainsi dénonciateur des paniques réactionnaires des sociétés occidentales. Source :  Connaissance des Arts

 

Jean-Jacques Lebel : un parcours à l’extrême gauche.

Né à Neuilly-sur-Seine en , est un artiste plasticien français, écrivain, créateur de manifestations artistiques. Wikipedia

Sur son CV anar : https://maitron.fr/spip.php?article155031

A défaut de talent, ces deux agents du mal se sont spécialisés dans la provocation. 

Se repaître de ces photographies agrandies et marchandisées n’est pas de l’art. Ajouter du mal au mal ne saurait être une démarche artistique.

Cet art ne sera jamais le nôtre. Il y a quelques années, un tel artiste projetait dans une exposition des vidéos de chevaux argentins torturés au marteau, prétendant nécessaire son travail de « miroir » de notre monde ! 

Artistes qui tournez le dos à la beauté et au bien, vous prétendez nous extraire d’un monde infernal, dominé par le Mal et la destruction alors que vous  nous y plongez sciemment.  

Vous tous, artistes imposteurs qui faites profession d’amener l’Enfer dans les galeries d’art, dans nos yeux et dans nos têtes,  au moins êtes-vous préparés à ce qui vous attend après votre passage sur Terre.  

 Une des oeuvres. 

 

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12 Commentaires

  1. Parler d « Art dégénéré » à Berlin en 2022, il fallait oser.
    « Jules Ferry » a osé, c’est à ça qu’on le reconnait.

  2. Même pas lu . Désolé. Ya une limite à tout. Par contre pas d’accord sur le titre  » président soluble » eut été plus accrocheur. Et aurait pu retenir la curiosité et obtenir à ces zartists( es) d’être peut être reçus à l’Élysée pour y être présentés aux français comme des zartistes (es) puisque le président aime les choses un peu bizarres que personne y comprend tellement que c’est complexe à comprendre et que les gens sans lui ne sauraient pas comprendre passe que pas assez ouverts au monde , en d’autres termes trop C .. ns.

  3. rien d’étonnant à ce que ces collabos dignes de l’HP se retrouvent en allemagne, pays du mal par excellence

  4. Deux solides têtes à trempe, qui gagneront à être reconnus. L’étranger Attia n’a rien à faire chez nous, en tout premier lieu. L’autre représente typiquement la dégénérescence encouragée de notre peuple. Le plus révoltant n’est pas leurs banales provocations réchauffées mais l’argent public qui finance leur « oeuvre ». et un laboratoire, c’est fait pour la recherche scientifique, pas pour des imposteurs qui essaient de s’en revendiquer par connotation. Patience.

    • Des imposteurs, c’est bien dit.
      Ces imposteurs qui s’imposent partout, qui veulent se faire connaître en diffusant ce qui peut choquer le plus. Plus c’est laid, plus c’est vulgaire, plus ils ont de la chance d’accrocher l’attention.
      Quand on est incapable de créer le beau, il suffit de se baisser, la laideur se ramasse partout à la pelle.

  5. Toute cette merde est la conséquence de l’inversion des valeurs, aboutissement de la propagande forcenée de nos prétendus grands penseurs tels m.foucault, g.deleuze, p.bourdieu, j.derrida etc..dont s’est gavée notre Education anti-nationale en en bourrant le crâne à nos étudiants pendant des décennies. Propagande de pieds nickelés qui n’auront jamais été capables de gagner leur vie honnêtement. Servent cependant toujours de références dans l’enseignement, ce qui débouche à présent sur le wokisme.. Y’a bon vozimpôts!

  6. Deux gauchistes bien entamés qui relève de la psychanalyse. Freud aurait été ravi de s’occuper de ces deux cas.

    • Encore faut-il avoir des capacités d’introspection et d’intelligence pour bénéficier d’une psychanalyse. Ces deux-là, j’en doute, agrippés à leur schémas.

  7. Deux dégénérés, dont l’existence aurait dû se dérouler dans un CHP, vêtus d’une camisole qui les aurait enveloppés comme jadis le dénommé Christo habillait les monuments. Finir en œuvre d’art, même en CHP, voilà une fin digne d’un soi-disant plasticien et de son complice.

  8. Cela me semble assez morbide, c’est gauchiste à souhait puisque c’est une œuvre de destruction, d’un monde qui tourne à l’envers.

    L’art est fait pour embellir la vie de ceux qui le regardent.
    Mettre de l’argent à promouvoir les saloperies, n’est pas de l’art, mais une forme de sadisme où se complaisent les deux compères , frustrés et refoulés.

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