Préambule :
À la demande de notre fidèle ami patriote FONZY, votre serviteur consacre ce modeste article à la fusion thermonucléaire contrôlée. Comme vous vous en doutez, ce sujet n’attire pas les foules. Alors, votre serviteur n’y emploie aucune formule chimique, ni mathématique. Il n’en reste pas moins que les choses ne sont, quand même, pas très intuitives.
Si tu n’es pas un fou de la fusion thermonucléaire contrôlée, et que tu ne souhaites pas faire exploser ton crâne, zap cet article et retrouve ta rubrique préférée pour le prochain article : la planète naine Pluton. Ce sera plus romantique…
Pour faire simple, on peut dire que les étoiles naissent, vivent, et meurent en fonction de l’énergie de fusion thermonucléaire qu’elles présentent. Par exemple, l’énergie de notre Soleil (une étoile comme les autres) émet de la lumière qui nous parvient sur Terre (en 8 mn 20 s) par diffusion, absorption et réémission. Cette lumière est vitale car elle est responsable de la photosynthèse (besoins vitaux des plantes), responsable des bactéries, ces deux éléments constituant la quasi-totalité de la vie sur terre se sont.
Alors, avant d’aller plus loin, quelques petites précisions pour ne pas faire de confusion.
1) les termes de « fusion nucléaire » et « fusion thermonucléaire » signifient la même chose. Le terme de fusion est employé car le phénomène consiste en une réunion de deux noyaux atomiques (de l’atome) à caractère léger pour former ainsi un seul noyau mais qui sera plus lourd et donc plus stable. Cependant, ce dernier noyau obtenu aura une masse inférieure à la somme des deux noyaux atomiques et la différence sera une production d’énergie sous forme de photon, à savoir de lumière.
2) le terme de « fission nucléaire » constitue le phénomène inverse du précédent, c’est-à-dire que d’un atome lourd on obtient deux atomes plus légers avec, également, production d’énergie. Lorsqu’il s’agit des atomes d’uranium, leurs fissions est le principe du fonctionnement des centrales nucléaires (fission > chaleur > eau en vapeur > mise en marche turbine > alternateur > électricité).
Nous nous en tiendrons ici que sur le 1), soit l’objet de l’article. Alors quel est le problème de la fusion thermonucléaire contrôlée ?
- qu’est-ce que c’est ?
- peut-on la reproduire sur Terre, et si oui pourquoi faire, en avons-nous besoin
- que faut-il pour la reproduire ?
Pour répondre à toutes ces questions, comme d’habitude, l’Homme s’appuie sur ce que lui donne la nature : les exemples et les moyens. Comme, en fait, nous souhaitons ni plus ni moins reproduire ce qui se passe dans les étoiles, les scientifiques copient les leçons de notre Soleil, notre étoile la plus proche.
Pour avoir ses réactions thermonucléaires, le Soleil impose ses trois conditions :
- il a besoin d’hydrogène (présent à environ 74 % de la masse des étoiles) et de deutérium
- une croissance de leur occurrence ou « section efficace » avec l’augmentation de la température. Ainsi, quand les premières réactions de fusion ont lieu à une température donnée, elles réchauffent le milieu et font croître la température. Les réactions deviennent alors plus nombreuses, accélérant la montée en température, et ainsi de suite, jusqu’à une valeur d’équilibre très élevée.
- pour chauffer efficacement la région centrale du Soleil, l’énergie thermonucléaire dégagée ne doit pas s’en évader trop vite. Cette énergie est produite principalement sous forme de rayonnement X dont le transfert vers l’extérieur est freiné par l’opacité du Soleil due aux éléments atomiques bien plus lourds que l’hydrogène, malgré leur concentration infime.
Seulement, voilà. Le processus de fusion nucléaire ne peut avoir lieu que dans des conditions de température et de pression particulières. Au cœur de notre Soleil, la pression est égale à 200 milliards de fois la pression atmosphérique terrestre et la température centrale atteint environ 15 millions de degrés. Dans ces conditions, les noyaux légers d’hydrogène (75% de la composition du Soleil) fusionnent en noyaux d’hélium (24%) approximativement deux fois plus lourds, créant ainsi la lumière et la chaleur que nous recevons. Selon les calculs, 620 millions de tonnes d’hydrogène y sont transformés en 615,7 millions de tonnes d’hélium chaque seconde. Ce n’est pas rien, ami ?
Alors, le rêve humain serait de reproduire, et surtout maîtriser de façon stable et contrôlée cette fusion thermonucléaire, ce qui produirait une énergie quasi inépuisable et quasiment propre. Il était donc tentant d’essayer de produire d’abord en laboratoire, puis dans le futur, à une échelle industrielle, des réactions thermonucléaires.
Un tel effort a été entrepris depuis les années 1950 aux États-Unis, en Russie, au Japon et dans plusieurs pays de l’Union européenne, notamment en Allemagne, en France, en Italie et au Royaume-Uni.
Cependant, pour des raisons de propriétés chimiques et réactives, sur Terre, une telle fusion thermonucléaire ne pourrait se faire qu’à partir de deux isotopes ( = molécule ayant les mêmes propriétés qu’une autre, mais différente par le nombre de neutrons contenu dans son noyau) de l’hydrogène : le deutérium et le tritium.
Revenons maintenant sur Terre. La fission fut découverte à la fin de 1938, et, courant 1939, la possibilité d’une réaction en chaîne fut confirmée par la mesure de deux ou trois neutrons produits par la réaction de fission. Les hommes ont testé deux actions nucléaires en situation réelles, toutes deux à partir de la bombe A qui est une bombe à fission nucléaire. Ce sont les deux bombes envoyées sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945.
La fusion thermonucléaire est étudiée en laboratoire depuis le début des années 1950, la faisabilité scientifique d’un réacteur n’est toujours pas démontrée. D’où vient donc, ami passionné, cette différence entre le rythme rapide de la fission et celui, plus lent, de la fusion contrôlée ?
C’est que les phénomènes de base des réacteurs à fission – la diffusion des neutrons, leur capture par les noyaux atomiques et la fission de ces noyaux par les neutrons – sont des phénomènes qui varient linéairement avec la densité du nombre des neutrons. Les études à très basse puissance (quelques watts), permettent donc de déduire, par simple multiplication, les phénomènes intervenant dans les réacteurs de puissance produisant des milliards de watts ; en particulier, il n’y a pas besoin d’étudier la neutronique des puissances intermédiaires, ni celle de niveau le plus élevé.
Au contraire, les phénomènes advenant dans un réacteur de fusion ne sont pas linéaires. Au fur et à mesure que les machines utilisées pour les études de fusion augmentèrent en puissance, on observa de nouveaux phénomènes (les mathématiciens parlent de bifurcations) qu’il faut comprendre, modéliser et contrôler, le niveau nominal final pouvant encore être source de nouveautés. De plus, avec les concepts actuels, des niveaux de puissance très élevés seront vraisemblablement nécessaires pour démontrer la faisabilité de la fusion.
Seulement voilà, ami, c’est que pour amorcer cette fusion thermonucléaire il faut que le mélange soit porté à très haute température entre 100 et 200 millions de degrés. Alors pour en arriver là, dès 1950 on a défini deux méthodes :
A) la première est appelée confinement magnétique et consiste à maintenir en régime stationnaire le mélange gazeux deutérium-tritium dans lequel les ions sont confinées pendant environ une seconde par un champ magnétique puissant (pour les curieux d’une mesure de 3 à 8 teslas). Cette méthode est partagée par de nombreux pays et pour la mettre en pratique on a construit de très grands appareils appelés tokamak.
Pour cette bestiole de tokamak, il en existe grosso modo deux types : les doriques et les sphériques. La photo ci-dessus est celle d’un tokamak torique. Ci-dessous la photo d’un tokamak sphériques.
Comment cela fonctionne-t-il ?
On crée une configuration magnétique bien définie dans un volume utile délimité de forme toroïdale (voir photo ci-dessus) et dans laquelle toute pollution extérieure est éliminée. On obtient une pression résiduelle inférieure à 10-6 pascal. Puis on la remplit d’hydrogène-deutérium et tritium dans le réacteur. Après une ionisation en cascade on atteint en quelques millisecondes une ionisation totale qui permettra de transporter un courant important. On a ainsi réalisé la configuration magnétique tokamak par la création d’un plasma.
Après, il faut chauffer puissamment le résultat obtenu à plusieurs kiloélectronvolts (un électronvolt est égal à l’énergie cinétique acquise par un électron lorsque, partant une position de repos, il atteint une différence de potentiel d’un vote). Il existe pour les plus connus trois méthodes de chauffage :
– le chauffage ohmique : c’est une méthode simple et efficace mais qui a très vite ses limites. Par une résistivité proportionnelle à la température des électrons, plus le placement est chaud, moins le chauffage et efficace. Ainsi cette méthode de chauffage ne peut atteindre au maximum qu’une température de 2 à 3 kiloélectronvolts au lieu des 10 à 20 kiloélectronvolts nécessaire pour la fusion. Alors, les scientifiques ont trouvé deux autres méthodes de chauffage pour compléter le chauffage ohmique.
– le chauffage par injection de neutres rapides en injectant des ions de même nature que ceux du plasma mais d’énergie bien supérieure. La collision provoquée ainsi provoque une source d’énergie
– le chauffage par onde à haute fréquence : après avoir créé une onde électromagnétique, elle est envoyée dans le plasma au moyen d’antennes placées au niveau de la paroi à l’intérieur de la chambre contenant le plasma. Chaque antenne permet aujourd’hui de transmettre chacune 10 MW.
Il existe aussi le confinement inertiel à l’aide de lasers.
LE PROJET I.T.E.R.
Un projet, une machine hors du temps…
Un million d’éléments, dix millions de pièces… le tokamak ITER sera la plus grande et la plus puissante des machines de fusion jamais construites. Conçue pour amplifier d’un facteur dix la puissance qui aura été apportée à ses systèmes de chauffage (50 MW ➔ 500 MW) elle sera la première à générer une production nette d’énergie, par la chaleur.
Le but est de fournir une installation de fusion capable de produire une quantité d’énergie nette, c’est-à-dire qu’elle en fournira plus qu’elle en aura besoin elle-même pour fonctionner.
Le 28 juin 2005, à Moscou, au terme de longs mois de négociations, l’Union européenne, le Japon, la Russie, les États-Unis, la Chine et la Corée du Sud décidaient d’implanter le réacteur de recherche I.T.E.R. à Cadarache, au nord-est d’Aix-en-Provence. Aujourd’hui, participent à ce projet les 27 membres de l’Union européenne + (par Euratom) la Suisse et le Royaume-Uni + la Chine, l’Inde, le Japon, la Corée, la Russie, et les Etats-Unis.
POURQUOI I.T.E.R.
La quantité d’énergie de fusion qu’un tokamak peut produire dépend du nombre de réactions de fusion qui se produisent en son cœur. Plus l’enceinte est grande (et donc également le volume de plasma) plus grand sera le potentiel de production d’énergie de fusion.
Avec un volume de plasma dix fois supérieur à celui de la plus grande machine de fusion opérationnelle aujourd’hui, le tokamak ITER sera un outil expérimental unique, capable de générer des plasmas de longue durée. Ne l’oublions pas, pour une fusion, la masse des noyaux finaux est légèrement plus faible que celle des noyaux initiaux. Ce défaut de masse (m), multiplié par le carré de la vitesse de la lumière (c), est responsable de l’énergie libérée (E), selon la célèbre formule d’Einstein E = mc2.
Mais les noyaux ayant tendance à se repousser à cause de leur charge électrique, il faut leur communiquer une grande vitesse relative pour qu’ils puissent ainsi fusionner. Ces conditions sont remplies en portant un gaz suffisamment dense à de très grandes températures (plus d’une dizaine de millions de degrés). Il devient alors un plasma, état largement répandu dans l’Univers puisqu’il représente plus de 99,9 p. 100 de la matière visible. I.T.E.R. est conçu pour isoler thermiquement ce plasma en le piégeant dans un champ magnétique intense de forme torique (tokamak).
Ce projet en cours de réalisation, I.T.E.R., est prévu pour fournir son premier plasma au mois de décembre 2025. Les premières constructions ont commencé en 2010.
Ci-dessous, quelques illustrations explicatives.
A rajouter un poids de 23 000 tonnes, une température (chaleur) du plasma 10 fois supérieure à celle régnante au cœur du Soleil, et un objectif de 500 MW. I.T.E.R ne produira pas d’électricité mais de la chaleur.
A rajouter : 51 GJ d’énergie stockée, température des aimants plus froide que la planète naine Pluton (-269°C).
A rajouter, la chambre à vide pèse à elle seule 8 000 tonnes (plus lourde que la Tour Eiffel), le plus grand volume de plasma avec 840 m3, un rayon record de 6m (6,2 m pour le plasma).
A rajouter un bouclier protecteur constitué de 440 modules de couverture, première couverture activement refroidie, surface de couverture de 600 m2.
A rajouter la structure modulaire du divertor est constituée de 54 cassettes chacune d’entre elle pesant 10 tonnes.
A rajouter le vide du cryostat est 1 million de fois moins dense que l’atmosphère terrestre, et il est constitué de 3 800 tonnes d’acier, et constitue la plus grande enceinte à vide en inox au monde avec un volume de 16 000 m3.
Et pour faire fonctionner tout cela, il y a 10 systèmes annexes ultra sophistiqués.
LE PROJET H.I.P.E.R.
(High Power Laser Energy Research) en français : Projet Laser haute puissance)
IMPORTANT !
Le projet HIPER ci-dessous décrit a été « lancé » en 2006 sur le papier et la phase préparatoire a été lancée en avril 2008.
A l’heure actuelle il est impossible de savoir si ce projet existe toujours, si des installations ont commencé d’être construites.
Aucune source que j’ai consultées (et elles sont nombreuses) ne donnent de nouvelles ou non de l’existence concrète de ce projet HIPER.
C’est pourquoi, ce qui suit relate les projets conçus en avril 2008 et années suivantes sans garantie d’existence.
HIPER est une installation laser multinationale conçue pour permettre à l’Europe de prendre une position de leader dans la poursuite de l’énergie de fusion inertielle, tout en offrant une capacité internationale unique pour la science dans des conditions extrêmes.
Le projet HIPER (European High Power Laser Energy Research Facility (Preparatory Phase Study)), financé par l’UE, a été lancé dans le but de concevoir un laser à grande échelle qui sera utilisé pour activer la production d’énergie à partir de la fusion inertielle . Il constitue également une base importante pour la science des interactions laser à haute puissance.
Appelé fusion inertielle, le processus a été démontré dans les années 1970 en utilisant des lasers pour provoquer l’implosion d’une capsule de combustible et libérer de l’énergie. Par la suite, d’importants efforts de recherche ont été consacrés au développement de lasers permettant d’exploiter l’énergie libérée par ces capsules.
Avec la dernière génération de lasers développée par le National Ignition Facility aux États-Unis, les chercheurs ont franchi les premières étapes vers la maîtrise de la fusion inertielle. Ils ont fait la démonstration d’une réaction de fusion auto-entretenue qui libère plus d’énergie à partir de la capsule que ce qui est fournie par le laser.
Même si une utilisation pratique n’est pas prévue pour les prochaines années, HIPER a établi des bases solides pour répondre aux demandes de sources d’énergie sans carbone, abondantes et sûres. Ce nouveau concept de fusion par laser ouvre la voie à des avancées cruciales pour développer une technologie à l’échelle d’une centrale électrique. En d’autres termes, HIPER n’est pas une centrale électrique à fusion par laser, mais l’une des dernières étapes vers sa construction. Comme il s’agira du laser le plus puissant au monde, cette installation bénéficiera également à la science fondamentale car elle permettra d’effectuer sur la matière des mesures de précision qui ne sont actuellement pas possibles.
Plus de précisions, issus de ce site.
HIPER (en anglais : « High Power Laser Energy Research », en français : « Projet Laser haute puissance », est un projet de réacteur thermo-nucléaire international, expérimental et différent du projet ITER.
Selon les auteurs du projet, il a aussi pour objectif d’offrir aux chercheurs la possibilité de tester des matériaux, des réactions physiques et de nouveaux types de turbulences en conditions extrêmes (conditions qui ne pourraient être réunies sur terre, hormis au moment et au lieu d’initiation de l’explosion d’une bombe atomique).
HiPER devrait permettre d’observer et tester le comportement de la matière exposée à des dizaines de millions de degrés de température, des pressions de milliards d’atmosphères, et des champs magnétiques un milliard de fois plus importants que ceux éprouvés sur Terre ; conditions évoquant les débuts de l’univers ou certains phénomènes se produisant dans les supernovae.
Le budget initial de recherche proposé par les promoteurs de ce projet est de 600 millions €, soit bien moins que celui d’ITER (mais en utilisant certaines infrastructures et laboratoires déjà coûteusement financés par ailleurs)
Le projet
Principe scientifiques et techniques, et caractéristiques annoncées
Fusion par confinement inertiel et activation laser ;
- Compression par laser d’une capsule
- Préparation
- Activation (laser haute puissance)
- Fusion et production d’énergie
L’enjeu est de récupérer, grâce à deux technologies d’origine militaire (laser haute-puissance et confinement inertiel) l’énergie de réaction de fusion thermonucléaire, et non comme dans le projet ITER dans un champ magnétique intense visant à confiner un plasma composé de noyaux de deutérium et de tritium.
Le principe est conceptuellement semblable à celui du moteur à explosion, avec une phase de compression du carburant et une phase d’allumage, mais sans le rôle du piston et avec des énergies bien plus importantes.
Les acteurs du projet HIPER devront mettre au point et tester un système de lasers en séries, capables de viser et atteindre l’enveloppe de capsules de deutérium et de tritium injectées dans le cœur du réacteur au rythme d’environ 600 par minutes. Selon eux, un processus de production d’énergie par fusion inertielle a déjà été démontré sur Terre dans un spin-out d’un programme de défense aux États-Unis. Un programme de démonstration utilisant un laser ultra-puissant devait être prévu dans la période de 2010 à 2012 (sur le National Ignition Facility aux États-Unis).
Principe : L’enveloppe de ces capsules devrait imploser sous l’effet des lasers en comprimant fortement et brutalement leur contenu, lequel ensuite irradié par une impulsion laser à haute puissance (température d’environ 100 millions de degrés Celsius, comme dans le soleil ou une explosion nucléaire, durant un centième de milliardième de seconde devrait s’entamer une réaction de fusion thermonucléaire libérant des neutrons à haute énergie (selon les travaux publiés en 2001 par des chercheurs japonais). Reste à maîtriser et convertir l’énergie de ces neutrons en électricité, probablement via le principe classique de chauffage d’eau pour produire de la vapeur alimentant une turbine et des alternateurs.
Phase d’étude, de conception et de coordination
Une phase de 3 ans était prévue pour produire les technologies permettant à des lasers de viser et atteindre une dizaine de capsules par seconde injectées dans la chambre de fusion.
Si une solution est trouvée, une phase plus détaillée du projet pourrait ensuite être initiée.
Choix du site de construction du prototype
Avant la construction d’un réacteur, il sera nécessaire de tester les systèmes laser, ce qui aurait dû se faire en France, en Aquitaine, avec le laser Mégajoule à haute-énergie « PETAL » (pour « PETawatt Aquitaine Laser »).
La puissance des lasers qui doivent initier la fusion des capsules injectées dans le réacteur ne s’exprime que par impulsion ultra-brèves (quelques millions de millionièmes de seconde), mais nécessite d’importantes précautions ; en effet, chaque impulsion demande une énergie comparable à environ dix mille fois la puissance totale distribuée par le réseau électrique national du Royaume-Uni.
Phase de construction et d’exploitation
Les promoteurs du projet reconnaissent que les espoirs de solution énergétique alternative suscités depuis 40 ans par la fusion, ont été plusieurs fois repoussés vers le futur. Ils n’annoncent d’ailleurs pas de réacteur commercialement exploitable à court ou moyen terme.
Professeur Têtenlair
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Je précise je n’ai rien contre les centrales nucléaires au contraire . En revanche le prix du kW ne cesse d’augmenter pour cette simple raison dès que je le peux je m’équipe en panneaux solaires . En 5 ans la facture edf a augmenter de 50 % .
Bonjour, tintin.
Alors là… que dire, si ce n’est un grand, GRAND merci pour toutes ces explications?
J’y vois déjà bien plus clair. J’ignorais tout ça!
Vous m’avez convaincue, alors c’est décidé : je vais économiser pour installer des panneaux solaires.
C’est mort pour cette année, mais pour l’année prochaine… si j’arrive à économiser suffisamment, alors je vois ça avec la proprio’, et SI elle est d’accord – et mes parents avec, parce qu’on vit quand même ensemble et que c’est eux qui décident -, je ferai installer des panneaux solaires.
C’est mon prochain gros projet, parce que la facture électrique… je ne sais pas comment on peut payer aussi CHER dans une maison dite « économe »!
…La dame d’EDF nous avait dit qu’il nous serait impossible de payer plus de 80 EUROS par mois, et on paie pourtant le double… c’est abusé. (Je me demande parfois si on n’a pas simplement été repéré? On paie une facture identique à celle de notre précédent logement, alors qu’on consomme l’électricité très différemment…)
J’espères t’avoir un peu éclairer .L’idéal pour toi est de trouver le pro RGE un artisan sérieux avec des prix compétitifs ( pour la main d’œuvre et la pose )
pour le reste achète ton kit sur des sites sérieux . Mais avant passe du temps sur le net pour découvrir cet univers , pour savoir vers quoi tu vas . Pareil il existe des forums ou plein de gens peuvent t’aider et te conseiller . FORME TOI sur le sujet !!!!!!!!! c’est capital c’est le meilleur moyen de ne pas te faire avoir et tu seras en mesure de faire tes proches choix les plus JUDICIEUX .
Où va tu installer tes panneaux sur le toit ? plat ? en pente ( échafaudage ), au sol ( pas de revente possible ) relit bien mes commentaires quand pas de revente surplus de production part dans le réseau EDF !!!!!!! . Qui va payer l’installation ?
toi ? ton proprio ? .Si installation sur un toit en pentes besoin échafaudage pour démonter quand tu quitte le logement .
Les panneaux solaires coûtent de l’argent, mais sur le long terme, on y est largement gagnants…
En plus, au vu de ce que nous préparent nos dirigeants? …Les coupures électriques? Il est bien nécessaire de se préparer!
…Si pose de panneaux solaires impossible, alors au moins penser à prendre un bon braséro, AVEC les grilles et plateaux, tout en acier inoxydable de préférence : on peut toujours se chauffer quelques chose dessus en hiver en cas de coupure électrique, histoire de manger et boire chaud.
Ce n’est pas grand chose, mais c’est toujours mieux que rien… 🙂
LES panneaux posées à plus de 180 cm du sol requièrent une autorisation de la mairie . C’est tout un parcours du combattant mais qui vaut le coup . Comme tu dit nos fumiers qui nous dirigent nous préparent des sales coups . Tu ne disais pas que tes parents sont agriculteurs ?? . UN pro te pose tes panneaux sur la journée . dés que tu as rempli à toutes les formalités administratives instantanément les électrons se bousculent à ta porte lol .
Une dernière info , la mode des pompes à chaleur , air air ou air eau outre le cout d’achat et d’installation même avec les aides de l’état reste élevée . Une maison de 150 mètres carrés relativement bien isolée , les besoins en électricité
pour faire fonctionner la pompe à chaleur oscille entre 5000 et 6000 kw par an et je ne parle même pas de l’entretien et des pannes . Une installation en photovoltaïque de 6 KW crête coute entre 7000 et 9000 euro matériel + pose
moins l’aide sous forme de prime 1740 euro . Vous permet en moyenne de produire 7000 KW par ans à 0,18 centimes * 7000 = 1760 euro de revente totale à EDF . Ma maison fait 140 mètres carré et hors chauffage ( au bois ) je consomme 2200 KW par an d’électricité . Il n’y a pas photo vive le photovoltaïque d’autant que notre étoile n’est pas prête de mourir yabon yabon les photons .
Quelques fautes (on ne les verra pas vu la technicité de la chose) Mais bon, la fusion est extrêmement prometteuse (à condition que « quelqu’un » aille au bout de la réalisation). A propos, il parait que les chinois ont réussi à faire -au moins un- réacteur à fusion qui produise (assez longtemps) PLUS d’énergie qu’il n’en consomme… Koi ? D’accord, c’est secret, et puis je ne pige que dalle au chinois !
« Quelques fautes ».
D’orthographe ou techniques ? Si c’est d’orthographe, j’en suis désolé car la grammaire n’est pas ma haute spécialité.
Si tu parles de fautes techniques, tu me rendrais service de me les signaler. N’étant pas infaillible, si je peux m’améliorer, j’en serais très heureux.
Ok… cet article est DINGUE!
Je l’ai lu deux fois aujourd’hui, et je vais encore le relire plus tard quand je serais un peu plus reposée, parce que c’est intéressant à un point…!!
On en apprend vraiment tous les jours. Bravo!
…C’est toujours un plaisir à lire, et je tiens à ajouter que je trouve ça particulièrement sympathique de faire un TEL article à la demande de quelqu’un (ici Fonzy).
Ca a du être long à rédiger… en tout cas, ça le vaut, parce que c’est facile à comprendre (comme d’habitude! je ne sais pas si ça vient d’efforts ou de talent, mais je tire mon chapeau), et lire une phrase donne bien envie de lire toutes les suivantes.
Merci pour cet article. Je reviendrai le lire plus tard.
En cherchant rapidement sur Google, j’ai trouvé la fiche du projet HiPER. C’est ici : https://cordis.europa.eu/project/id/211737
(J’ai tapé « High Power Laser Energy Research » dans la barre de recherches de Google. Puis, juste en dessous de la barre de recherche, j’ai cliqué sur « Outils ». Puis sur « Date indifférente », suite à quoi j’ai sélectionné « Moins d’un an »… C’est comme ça que j’ai trouvé la page.)
Un grand merci Émilie de tes encouragements. Ils me vont droit au cœur. En effet, c’est sous l’impulsion et la demande de FONZY que j’ai réalisé cet article, que je n’aurais jamais fait de ma propre initiative.
La fusion thermonucléaire contrôlée m’intéresse beaucoup, j’y ai lu pas mal d’articles, car tout ce qui est scientifique me passionne. Mais, comme on dit, ce n’est pas ma tasse de thé préférée.
J’ai profité de la demande de FONZY pour en savoir davantage sur le sujet afin de sortir l’article.
Le projet HiPER a été définitivement clôturé le 27/04/2013 et le projet ITER a prie la relève.
Si je fais ce commentaire c’est parce que j’ai lu votre article fort intéressant par ailleurs qui de plus n’était pas une demande expresse de ma part .
Bonjour Tintin,
Merci de l’intérêt que tu portes à mon modeste article. Sauf erreur de ma part, je n’ai fait aucune allusion sur le fait que cet article répondait à une demande de ta part.
Par contre j’ai bien expliqué qu’il faisait suite à une demande de FONZY et qu’il pourrait, éventuellement, intéresser d’autres personnes.
Bien à toi
Je souhaite pour vous et lui que Fonzy soit en vacance. Sinon c’est a désespéré de l’humanité quoique connaissant la nature humaine rien ne venant de sa part ne doit nous étonner. Il suffit de voir actuellement pour préserver le matérialisme nous découvrons et ne jurons que par les bienfaits de l’islam . Le fatalisme est une forme d’optimisme
Pas bien compris ton commentaire tintin….
J’avais vu que vous aviez demandé à prof teteenlair de vous faire un article sur la fission nucléaire . Article paru le matin et vers 20 heures aucun commentaire de votre part .Je disais tant pour vous que pour l’auteur qu’il était souhaitable que vous
n’ayez pas su l’existence de cet article qui vous était destiné , rien de plus .
Quel bonheur, mille merci Prof ! Si nous avions décidé, au niveau mondial, de développer cette énergie, sans perdre de temps avec les éoliennes et panneaux solaires, nous serions à l’aube de l’énergie quasi gratuite et inépuisable.
vous l’avez échappe belle . Qu’avez vous contre les panneaux solaires par ailleurs , nonobstant les déchets radioactifs une centrale nucléaire nécessite autant de ressources
polluantes que celles nécessaires à l’industrie solaires . Je dois avouer que vous me faite bien rire , avez vous compris quelque chose à l’article qui vous est destiné , l’industrie solaire utilise les photons provenant de notre étoile . L’ énergie solaire est gratuite vos panneaux solaire vous fournissent de l’électricité gratuite . De plus actuellement ceux qui en sont équipé ont une grande chance ils ne connaitrons pas les coupures intempestives . Sur les éoliennes je vous rejoint.
Dépêchez vous d’installer des panneaux solaires sur votre toit ou dans votre jardin , sinon vous allez vite découvrir le sens du mot paradigme et aussi ce qu’est la réal politique .
Bonjour, tintin.
Je suis personnellement intéressée, mais… je me pose beaucoup de questions sur les panneaux solaires… pourquoi certains déconseillent, par exemple?
N’est-ce pas un système qui peut être dangereux? (Risques d’incendies, j’entends… ou en cas d’orages…)
Comment choisir la puissance (kWc) de notre installation?
Peut-on poser les panneaux dans les coins où le vent est coriace? (Les tuiles de mon toit résistent mal à la force du vent… alors des panneaux?!)
…Très important aussi : l’installation est-elle IMPOSABLE?
Je ne peux pas me permettre d’en faire installer tant que je n’aurais pas renflouer mes économies (puis : je ne suis PAS propriétaire!), mais… j’y pense de plus en plus?
Simplement, je ne connais rien sur le sujet, et le fait que certains déconseillent me fait me poser des questions (surtout question sécurité!)…
Bonjour Emilie ,
Je ne vais pas trop m’étendre sur la question car sujet complexe , mais juste te dire que si tu fais ce choix tu ne le regretteras pas . Je vends ma maison raison pour laquelle je n’installe pas de panneaux mais quand elle sera vendue la prochaine sera équipé de panneaux solaires c’est une certitude . Ton installation doit être installée dans les normes pour l’aspect sécuritaire , ton installation peut être équipée contre la foudre . Tes panneaux seront fixés sur tes chevrons , ils ne risquent donc pas de s’envoler de plus tes tuiles seront protégées . Tu ne peut avoir de problèmes d’infiltrations d’eau dans ton grenier puisque on ni touche pas seules les fixations sont sous tes tuiles .
suite du commentaire
Pour les risques d’incendies c’est pareil pas de risque , c’est comme tout ton installation doit être faite dans les règles de l’art .Elle doit être faite par un professionnel SERIEUX RGE surtout si tu veux vendre à EDF se que tu n’utilise pas en auto consommation 10 centimes le kw , si tu veux vendre toute ta production à EDF c’est 18 centimes du kw . Pour ma part c’est la solution que j’adopterais . Tu as la solution de l’autosuffisance où tu stoke toute ta production journalière dans des batteries , solutions très couteuse le cout des batteries . le prix des batteries vont drastiquement baisser mais ce n’est pas encore pour maintenant .
Suite du commentaire . tu as aussi la solution des batteries virtuelles , les électrons que tu produit partent chez ton voisin qui les utilise mais toi tu as un compteurs qui les cumulent et quand tu utilise de l’électricité tu ne paye que le transport sur le réseau et les charges. Sache que ton installation tu peux la réaliser toi même si tu es une bonne bricoleuse soit sur ton toit ou dans ton jardin au sol .
Emilie j’ai passé énormément de temps sur la question des panneaux solaires je ne vais pas pouvoir te former sur la question , je te donne juste les grandes lignes
tu feras tes propres recherches c’est trop complexe a expliquer en 5 minutes .
Déja sache que Edf peut te faire ton installation mais il faut les fuir une installation de 3kws crétes te couteras au bas mot 13000 euro . dans le nord de la France une installation de 3 kW crêtes te donneras en moyenne 3500 kW à l’année . 3500 * 0.18 centimes te rapporteras 630 euro . en revente totale
3500* 0.10 centimes te rapporteras 350 euro en revente du surplus ( les électrons que tu n’utilise pas ) . Les kW que tu produit et que tu utilise c’est ca en moins sur ta facture et sache que le prix du kW va continuer à augmenter et finiras par doubler .
Je vais te donner un cas concret , le mien actuellement ,qui pourrait être le tien comme tu dis être locataire , je consulte mon compteur linky à l’instant T et il m’affiche 90 Watts cequi correspond à ( la consommation de mon frigo , de mon téléphone fixe , de ma box internet , de mon ordinateur en veille et de ma tv en veille ) 90 watts correspondent au talon ou bruit de fond . Quand j’utilise mon ordinateur et tout le reste mon compteur m’indique
280 Watts . Et bien en temps que locataire tu peux sur les sites que je t’ai cité plus haut acheter un seul panneau solaire de 400 watts ( un kit tout prêt ) que tu as juste a brancher sur une prise , après avoir fait la demande à Enedis et produire pendant la journée de quoi couvrir largement les deux tiers de ta consommation électrique . Le kit dont je te parle coute entre 500 et 800 euro .
Si un jour tu te décide pour les panneaux solaires , il faut acheter des kits complet tout prêts assembler en usine sur des sites comme monkitsolaire , oscaropower , se sont des spécialistes des professionnels sur le sujet . Pour te donner une idée un kit de 3 KW coute autour de 3000 euro avec la pose il te revient à 6000 euro posé par un pro RGE , pour un kit de 6 KW compte autour de 8000 euro . même ratio que pour 3 KW , avec une installation de 6kw tu produit 7000 KW * 0.18 = 1260 euro à l’année en revente totale et 700 euro en revente du surplus .
suite du commentaire Pour une installation de 3 KW ou moins aucun impôts , pour une installation entre 3 KW et 6 Kw il me semble que oui mais se n’est pas énorme . Franchement ne t’arrête pas à ca même si tu paye des impôts sur une installation de 6 kW tu les récupéreras sur ta facture d’électricité qui elle ne va cesser de gonfler , gonfler gonfler . Sache pour pour une installation faite par un PRO RGE
tu toucheras une prime pendant 5 années , pour 3 KW crêtes sur 5 ans ( 1140 euro )
et pour une installation de 6 KW crêtes ( 1740 euro ) sur 5 ans .
Suite du commentaire , Avec un panneaux de 400 WATTS tu dois pouvoir produire 2 ou 3 kW ( en autoconsommation que tu utilise directement pour alimenter ton talon )jours à 18 centime le kw tu économise pratiquement 200 euro par ans un panneau fonctionne pendant plus de 30 ans . Un seul panneau que tu branche sur une prise où tu veux qui est ta propriété , et que tu peux déplacer en fonction de l’ombre et la course du soleil c’est génial .
emilie je te mets ce lien directement sur le prix des kits ce site est très sérieux et très pro , ca te donne une idée du cout qui est dérisoire .
Pour finir tu dois remplir une demande pour devenir producteur d’énergie le cout est d’une cinquantaines d’euros et c’est aussi valable pour le panneau plug and play de 300 ou 400 watts que tu n’as qu’a simplement brancher sur une prise et qui te fournit instantanément des électrons .
https://www.monkitsolaire.fr/179-kit-solaire-essentiel
Pour la fixation sur les tuiles je me suis mal exprimé , je corrige des pates sont glissées sous tes tuiles et fixées avec des vis , puis sur ces pates on fixe des barres sur lesquelles les panneaux sont fixés . La technologies a fortement évoluer les panneaux sont de plus en plus performant , ils produisent du courant même avec faibles ensoleillement les plus puissant sont de 500 WATTS . Voila Emilie je t’ai donné un aperçu , j’aurais voulu être plus technique quand à mes explications , c’est un univers vaste et on ne peut le résumer comme ca . Sache que j’envie ceux qui en sont équipés et je t’assure que je ne fais jamais les choses à la légère . Les panneaux solaires produisent du courant continu et pour pouvoir l’injecter sur ton réseau il doit être transformer en courant alternatif . Pour cela tu peux tous les brancher sur un seul onduleur en chainage , ca réduit le cout d’achat
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l’inconvénient d’un seul onduleur si un panneaux et à l’ombre plus de courant , si un panneau en panne idem , si ton onduleur est en panne plus de courant . La solution idéale les micro -ondulateur chaque panneau possède le sien se qui supprime les inconvénients d’un seul central . 2milie un bon bricoleur peut faire son installation lui même , laisse parler les mauvaises langues et les peureux et lance toi . J’espère que ma prose plus qu approximative t’auras aider
Dernière précision quand on parle d’installation 3 kW ou 6 kW c’est pour une heure .En théorie une installation de 3 kW doit pouvoir produire pour 10 heures d’ensoleillement 25.5 kW jours . Pour ma part quand je m’équiperais j’opterais pour la revente totale à EDF . Car comme je te disais ma consommation jour est de
6 KW par jours ce qui fait 2200 à l’année . mon installation photovoltaïque seras certainement entre 3 et 6 KW . En fait ma prochaine maison je me chaufferais à l’électricité
et l’argent de ma production me servira a payer mon chauffage l’hiver . Je vieillis et la corvée du bois commence a être fatigante . Sache que le choix de ton installation et se que tu veux en faire tient à plusieurs paramètres .
Une installation de 3 KW ou moins réalisé par toi tu ne peux pas revendre ta production à EDF . Ca veut dire que si à l’instant T tu as besoin de 100 , 200 , 300 WATTS ou 1 KW et qu’au même instant T ton installation produit et injecte dans ton réseau 2 KW heure , ca signifie que tu fait cadeau à EDF d’ un KW gratuitement . qui seras utilisé par ton voisin le plus proche qui lui devras le payer à EDF au prix fort ttc 0.18 centimes . Plein de paramètres sont a prendre en compte quand aux choix de dimensionnement et d’utilisation que l’on fait . Tout doit être réfléchi dans ton intérêt .
CQFD
Bonjour,
Un grand merci pour cet article !
Post scriptum, un scientifique français, Gérard Mouroux, prix Nobel, a découvert que l’on pouvait ramener la durée de vie des déchets radioactifs à une demi-heure à l’aide de lasers. Je fais plus confiance à la science qu’aux élucubrations des Verts…de terre.
Bonsoir Argo , effectivement j’avais lu un article consacré sur le sujet que vous évoquez .
Un grand merci de cette info que j’ignorais complètement. Je vais creuser la question, car elle est quand même colossale : des déchets que l’on présente comme allant s’éliminer sur des milliers d’années pourraient l’être en une demi-heure à l’aide de laser. On ne peut pas passer sur une telle question !
Une source d’énergie infinie et fiable, autre chose que les moulins à vent et les miroirs aux alouettes. Merci professeur pour ce cours magistral!