Bornée jusqu’au bout…
La Borne, comment l’appeler autrement, puisque dorénavant une personne de sexe féminin ne peut plus se faire appeler Madame, c’est paraît-il dans la France du nouveau peuple de la discrimination, Donc aujourd’hui dans son discours de commémoration de la Rafle du Vel’d’Hiv, la non discriminée a réussi l’exploit de dénoncer l’antisémitisme sans en désigner les auteurs, sûrement pour ne pas discriminer les adeptes du séparatisme hostiles au vivre ensemble,
Dans notre France devenue progressiste où le progrès consiste à changer les mots, la Borne pour saluer l’assemblée de hautes personnalités présentes, Françaises et Étrangères, a employé 9 fois le mot Madame, blessant et interdit et 15 fois le mot Monsieur, C’est que pour ces gens-là de la haute il faut des marques de respect
Mais pour la plèbe, les gens qui ne sont rien, ce sera tout juste bonjour, pour le moment, en attendant d’être reconnu seulement par un numéro comme les discriminés de 40.
Ainsi la Bornée est venue dire à notre jeunesse, lors des commémorations << N’oubliez pas, n’oubliez jamais>>
Il aurait été utile de rappeler pour qu’ils n’oublient pas que les collaborateurs racistes, antisémites sont aujourd’hui les mêmes que pendant les années 40 – 44. La majorité venait de la gauche pacifiste, syndicaliste, socialiste ou communiste, Vous voulez des noms ? Vous les trouverez dans le livre Un paradoxe français.
Les socialistes et écologistes ne sont pas antisémites ? Mais alors que sont-ils allés faire derrière le drapeau des Insoumis antisémites, collabos des islamistes ? Qui s’assemble se ressemble ?
Extrait du discours de Madame Borne
Le berceau du progrès, pour garder son honneur, notre pays devait et doit regarder son histoire en face, ce n’est pas d’être patriote, de déchirer les pages de l’histoire qui nous dérange de les occulter ou les amoindrir, c’est parce que la France est la patrie des Lumières, c’est parce que notre pays est un des berceaux du progrès (répétition, leur soi-disant progrès est une obsession) que la blessure est plus grave encore, et que le vrai courage consiste à le reconnaître et c’est aussi parce que nous reconnaissons la noirceur de certaines heures que nous pouvons voir briller plus fort encore celles et ceux qui se sont dressés contre la haine, contre l’arbitraire et contre la barbarie.
Madame, le progrès et le vrai courage seraient, pour que ne s’éteignent pas les lumières de notre pays, de regarder la réalité en face, maintenant qu’aujourd’hui la haine et la barbarie ont envahi notre pays. Après l’arbitraire de toutes les mesures anticovid vous sauveriez votre honneur à reconnaître que tous les jours on meurt dans nos rues du couteau d’un migrant. Notre triste pays vit des heures sombres où les actualités nationales font une plus grande part aux mots d’un Ministre plutôt qu’à l’assassinat de 3 jeunes adolescents. Dans votre Pays, Madame, qui est aussi le nôtre, on aimerait avoir la liberté de parler ou se déplacer sans danger. Nous attendons que vous vous dressiez contre la haine de notre pays.
Quant à reconnaître la vérité ou déchirer les pages de l’histoire falsifiée, je n’attends rien de vous, Madame, qui venez de la gauche collabo avec les envahisseurs islamistes
Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance – par Simon Epstein… extraits
Il est docteur en science politique de l’université Panthéon-Sorbonne
En 1974, Simon Epstein s’installe à Jérusalem puis travaille comme économiste pour le ministère israélien des Finances.
À partir de 1982, son champ de recherche est l’antisémitisme et le racisme2
Professeur et chercheur à l’université hébraïque de Jérusalem, il y est directeur du Centre international de recherche sur l’antisémitisme.
Spécialiste de l’antisémitisme, Simon Epstein a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.
Remarques sur l’origine politique des collaborateurs
De nombreux militants du PPF, du RNP et du POPF proviennent de la gauche. Il en va de même de toutes les structures de la collaboration ouvrière et socialiste : Ligue de la pensée française, Comité ouvrier de secours immédiat, groupe France-Europe. Les dirigeants, animateurs, idéologues, militants ou adhérents de ces groupements sont presque tous des gens de gauche, qui continuent de se réclamer, pour la majorité d’entre eux de leur appartenance première. Le groupe Collaboration est pour sa part doté d’un président-fondateur venu du pacifisme, d’un animateur formé à la SFIO, aux Auberges de jeunesse, au Front Populaire : Marc Augier.
Simon Epstein affirme : « Au total, les originaires de la gauche et de l’extrême gauche sont dominants au RNP et au PPF, qui sont les deux grands partis du pro-nazisme français. Ils forment la totalité des militants du POPF et de toutes les organisations du collaborationnisme prolétarien. Ils s’implantent au MSR. Ils sont présents en bonne position, et en quantité non négligeable, à la Milice, à Je suis partout et aux Waffen-SS. Qu’ils aient viré au fascisme le plus extrême ou qu’ils continuent à se réclamer de la gauche et de ses valeurs, ils forment une composante prépondérante, et non une frange annexe, du collaborationnisme parisien »
. L’historiographie a longtemps privilégié la thèse selon laquelle Vichy et la collaboration avaient représenté la droite tout comme la gauche était associée à la résistance. Les acquis de la recherche historienne remirent en cause cette vision des choses dans les années 1970 et 1980 mais les contingences de la lutte politicienne firent sentir leurs effets dans les années 1990. Simon Epstein décrit dans le Vichy 1940-1944de Jean-Pierre Azéma et Olivier Wieviorka une tentative pour exonérer la gauche et accabler la droite, tentative qu’il passe de nombreuses pages à analyser et réfuter. Selon Simon Epstein, ce n’est pas parmi les cohortes de l’ultradroite que l’on trouve les partisans de la collaboration dans les années 1940 mais parmi les partisans du rapprochement franco-allemand dans les années 1920 et 1930. Simon Epstein critique l’idée que « toutes les droites » entourent Philippe Pétain. En fait, autour du Maréchal, on trouve « de la même manière et en grand nombre, des anciens communistes, des anciens socialistes de toute tendance, des anciens radicaux et non des moindres ». On trouve aussi à Vichy beaucoup de dreyfusards et en beaucoup plus grand nombre que les antidreyfusards.
« C’est sous l’impulsion de Daniel Mayer que la SFIO procédera à sa propre épuration en 1944. Elle le fera avec un courage et une détermination qui manqueront aux autres formations, lesquelles témoigneront d’une indulgence excessive à l’égard de leurs représentants ayant failli, le 10 juillet 1940, à leurs devoirs républicains et patriotiques confondus. La moitié du corps parlementaire socialiste sera exclue du parti. Les non-exclus comprendront des députés ayant voté pour Pétain à Vichy, mais qui se sont rachetés, pour faits de résistance, ou faits d’opposition, pendant la guerre. Douze anciens ministres socialistes du Front populaire, sur un total de dix-sept encore en vie, seront sanctionnés pour leur vote du 10 juillet et pour leur attitude sous l’occupation, et seront exclus du parti. 12 sur 17, c’est une proportion dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’est pas négligeable. Elle reflète la puissance du courant qui a emporté les leaders et les militants du Front populaire en général, et de la SFIO en particulier, vers le pétainisme et la collaboration sous toutes ses formes. […] Ce fait, pourtant significatif sera assez fréquemment passé sous silence par les historiens du Front populaire.
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Pour compléter mon commentaire, nos élus sont formés pour gérer des administrations, pour mener des politiques sociales, pour gérer de l’argent, mais dès lors qu’il s’agit de religion et de médecine ils devraient se taire car ils n’y comprennent rien, et commettent des erreurs , graves de conséquences dans ces domaines, en se positionnant dans un intérêt électoraliste… Les religions ont gérés les masses humaines pendant très longtemps, se sont opposés les unes aux autres pour imposer leurs diktats, de tout temps, tuant, torturant, esclavageant… il suffit de lire leur histoire, je ne fais pas leur procès, je ne fais que le mentionner car notre époque n’a plus besoin de religion pour nous dicter notre conduite, mais de droits de l’homme, donc réellement de laïcité… Or nos dirigeants nient le pouvoir du culte des musuls sur notre société , le soutient par ignorance des réalités, l’utilisent même et ne font pas leur boulot de stopper net et sec leur volonté d’imposer leur diktats…
Ils cherchent des coupables en permanence et se trompent complètement sur les véritables antisémites… C’est le dada de la gauche de voir ceux qui ne sont pas de gauche être coupables de tout… Ce qui est pathétique chez Borne c’est qu’elle n’a pas conscience des réalités sur les religions quelles qu’elles soient car elles ont été toutes des dictatures inquisitrices qui avaient le pouvoir de vie et de mort sur n’importe qui, où les pratiquants les plus fervent avaient des esclaves… C’est pourquoi si Borne veut être républicaine, elle doit faire cesser en France toute loi religieuse vieille de plusieurs milliers d’années et faire appliquer uniquement les lois républicaines du 21 ème siècle. Tout élu doit stopper les lois religieuses en vigueur de 1500 ans ou 2000 ans d’âge et faire appliquer que des lois républicaines du 21 ème siècle partout dans les banlieues tout autan, c’est cela leur boulot au lieu de parler de religion
indécrottable la bornée : c’est en ne voyant pas les choses par idéologie qu’elles se reproduisent
La question à se poser est > Va-t-on encore parler de la 2ème guerre mondiale , de la shoah pendant encore mille ans ?
Et un certain M. qui, semble-t-il, faisait une cure à Vichy. Ami de Bousquet entre autres relations. Beaucoup de résistants dans la Droite. Le colonel Rémy, par exemple.
On est dans la société de la culpabilité et de la repentance. On voit comment les élites mauvaises, se servent de tous les prétextes, pour sans cesse rabaisser le petit peuple, pour sans cesse l’humilier, pour le réduire à sa condition de collabo.
Borne devrait aller dans le 93, pour y enseigner la shoah. C’est impossible et elle le sait très bien. Le but c’est de culpabiliser le Blanc.