A Antiislam, à propos de son article sur le Pithécanthrope
Bonjour d’abord; et ensuite bravo pour votre folle audace car le titre de votre article est bougrement audacieux, je dirais même téméraire !! Vous avez osé écrire « Pithécanthrope » !
J’espère de tout coeur que vous échapperez à la vindicte des ligues dites antiracistes, promptes à vous tomber dessus au moindre mot suspect.
Cela me rappelle une histoire vécue au Gabon il y a une bonne cinquantaine d’années (eh oui, j’étais alors jeune coopérant idéaliste à cette époque – ce qui n’a pas duré longtemps, les faits du vécu m’ayant vite ramené à la réalité …-):
Au lycée français de Libreville deux profs : un Blanc français – également coopérant – et un Noir, gabonais de naissance. Jusqu’alors s’entendant bien. Le second, un jour, se plaint au premier du fait qu’il regrettait d’avoir choisi le professorat. Le premier lui donne alors le conseil suivant : » vous n’avez qu’à changer de branche ! »
Patatras ! Plainte du second en très très haut lieu, jusqu’à la Présidence de la République ! A savoir, jusqu’à Albert-Bernard Bongo (surnommé « affectueusement » ABB par les français locaux, en mémoire d’Alexandre-Benoît Bérurier, second du fameux commissaire San Antonio – de Frédéric Dard – les anciens s’en rappelleront- ).
Lequel Bongo, par la suite, pour recevoir l’appui (et des subsides) de Kadhafi, s’est islamisé en devenant Omar Bongo.
Bref ! le malheureux prof français, très très déconfit, a été expulsé vite fait bien fait du Gabon le lendemain même, par avion et sans autre forme de procès. Pour racisme !
Ça ne rigolait pas avec AB Bongo ! Inutile de préciser que les Blancs du coin se tenaient « à carreau ». Aucun n’aurait osé Se permettre de proférer à tout vent le centième de ce qui se dit chez nous de la part de certains immigrés !!
Autres temps! autres lieux ! Autres moeurs !
Petite piqûre de rappel !! En passant…
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La seule richesse culturelle qu’a rapporté l’immigration massive et non voulue d’immigrés Africains ( maghrébins et Subsahariens) c’est d’avoir permis aux Français blancs de découvrir ce qu’était réellement l’homme dénué de chromosome Nerhendertalien : un danger civilisationnel pour notre propre pays la France.
Non seulement ils n’aiment pas nos cultures mis en plus ils nous haïssent au point qu’on associe la majorité des délits et crimes à leurs présences.
Et le blanc qui rentre dans un café au Gabon pour commander un petit noir? Expulsé ou fusillé ? Par contre rien pour le Noir mouillé qui commande un blanc sec au comptoir. Racisme sélectif.
Bonjour,
Oui, merci pour cette histoire savoureuse …
Qui n’est pas traité de raciste de nos jours?
Alors ça je m’en fiche totalement : je sais ce que je suis, c’est tout.
C’était une petite référence à Arlette qui avait traité Bigeard de « pithécanthrope » quand il avait voulu la marier à un parachutiste …
Référence anti-sexiste inattaquable donc !
La fille de Bongo (Omar), soeur d’Ali , Pascaline, a fait ses études avec une de mes soeurs.
Etudes bien inutiles, d’ailleurs, car c’est l’aide internationale qui en a fait une multi-milliardaire, la femme d’Afrique la plus riche, parait-il …
Ah la saga des Bongo !!
La fille avait de qui tenir; elle avait bien compris comment faisait papa.
La richesse d’Omar (et donc de la famille) était bien connue (placée un temps dans l’immobilier parisien)
Il se disait que Omar prenait systématiquement 10 % sur tous les contrats passés avec des investisseurs étrangers.
Petite question indiscrète : Pascaline Bongo aurait-elle pu faire certaines confidences intimes à votre soeur, au sujet de sa maman, madame Joséphine Bongo, première dame du Gabon ?
Une maîtresse femme, pas du tout craintive de son époux. Quand elle en avait marre des frasques amoureuses de son président de mari, elle mobilisait l’association-amicale féministe qu’elle avait créée, pour aller, en défilé dans les rues de Libreville, retrouver son époux en escapade amoureuse.
Bonjour,
Ca je ne sais pas, c’est vieux ça date des années 60-70 : c’était en tous les cas une très bonne amie de ma soeur …
de pères en fils……………..
« »d’Ali Bongo ?
Patience Dabany
Ali Bongo Ondimba / Mère
Image of Qui est la mère d’Ali Bongo ?
Patience Dabany, de son vrai nom Marie-Joséphine Kama, est une artiste musicienne gabonaise née le 22 janvier 1941 à Brazzaville (République du Congo). Elle devient, à 23 ans, l’épouse du président Omar Bongo. Elle est la mère d’Ali Bongo, qui a succédé à son père à la tête du pays en 2009.
famille de racketteurs!!
a la reception annuelles du nouvel an, ce voyou converti interpellait les ambassadeurs dont le pays n avait pas été assez généreux envers lui..
IL LES HARANGUAIT ET LES INSULTAIT !!!!
et ils fermaient tous leurs gueuls!!
et Africopithèque ? ça passe mieux que Pitt et Kantrope, les deux nouveaux Dupont et Dupond…..
J’avais oublié le fils. Très rapace également mais moins souple que le père.
Très brutal en effet. Et moins finaud que son père.
Lequel avait au moins le mérite de reconnaître le mérite sincère des français qui le servaient, notamment Loulou Martin le chef de sa garde Présidentielle.
Un homme du type Bigeard, comme en n’en fait plus ! Sorti du rang, légionnaire parachutiste, Dien Bien Phu, l’Algérie bien sûr.
Aujourd’hui on dirait » t’as qu’à changer de genre »? Ah je vais trop loin !….
Une amie de collège prof de maths comptait le nombre de garçon et de filles dans la classe. L’erreur !!!!!
» Ah non madame, heuuu, en fait il y a 13 garçons. » Elle avait oublié que Sophie ( très fille paraît il( ne voulait plus qu’on l’appelle Sophie mais Jean ( les prénoms ont été changés).