En décembre 2021, le premier ministre Jean Castex annonce la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, obligeant les Français à se faire vacciner pour continuer de voyager et d’accéder à de nombreux lieux publics.
Pourquoi une telle obstruction sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid? Dans une tribune, plus de 900 universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et du droit interpellent le Sénat afin d’obtenir une commission d’enquête. Ils demandent à ce que les sénateurs acceptent enfin de faire procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Un sujet d’importance alors même que certains évoquent déjà une possible vaccination obligatoire après la présidentielle, notamment en cas de réélection d’Emmanuel Macron
Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, une vaccination de la population à une échelle inédite a été décidée par le gouvernement et imposée par divers moyens de pression. En un peu plus d’un an, quelques 140 millions de doses ont été administrées en France. 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire.
Les dits « vaccins » utilisés sont pourtant des produits innovants, mis au point en à peine quelques mois. D’ordinaire, la création de nouveaux médicaments, a fortiori ceux à but prophylactique comme un vaccin, requiert de nombreuses années et de longs essais thérapeutiques avant leur mise sur le marché. Un nouveau médicament nécessite par ailleurs une veille sanitaire particulièrement rigoureuse et une transparence totale sur les analyses des effets indésirables voire un arrêt de l’expérimentation si leur fréquence est importante.
Chacun sait aujourd’hui que, malgré les promesses des industries pharmaceutiques reprises à leur compte par les gouvernements, cette immense campagne de vaccination n’a pas endigué les épidémies successives provoquées par les différents variants, n’empêchant ni les contaminations (on peut par exemple être « vacciné » avec trois doses et attraper malgré tout le virus), ni le développement de formes plus ou moins sévères de maladie. C’est ainsi que, en février 2022, selon la DREES, 70% des personnes entrées à l’hôpital et déclarées « Covid » étaient vaccinées. Reste à examiner la question des effets secondaires.
Une surmortalité anormale concomitante aux campagnes de vaccination de masse
Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 137 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de santé. Aux Etats-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont plus impressionnants encore. La plupart des agences sanitaires refusent pourtant de reconnaître le lien entre les décès et la vaccination, sous des prétextes « méthodologiques » dont on peut légitimement redouter qu’ils masquent des enjeux politiques, a fortiori en période de campagne électorale.
En effet, chacun peut aller consulter les Z-scores sur Euromomo (European mortality monitoring) et constater comme nous qu’une surmortalité anormale chez les 15-44 ans est concomitante aux campagnes de vaccination. Cette observation ne concerne pas que la France, elle se retrouve un peu partout en Europe (Autriche, Belgique, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Italie, Norvège, Pologne, Portugal et Suède), de même qu’elle s’observait déjà en Israël à la fin de l’été dernier. Ajoutons que le rapprochement des courbes de décès disponibles sur Eurostat et des courbes du nombre de vaccins distribués par âge montre de fortes concomitances entre ces deux événements.
Ce qui est demandé au Sénat est à la fois simple et crucial
Le 14 janvier 2022, le Dr Julien Devilleger a déposé au Sénat une pétition demandant l’ouverture d’une commission d’enquête sur les effets secondaires. « Constatant la forte dynamique de signatures de la pétition », la conférence des présidents a chargé la Commission des affaires sociales de « déterminer le format des travaux à conduire ». Cette dernière a alors décidé le 9 février 2022 de saisir l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.
C’est dans ce cadre que, conformément aux critères de recevabilité établis par le Sénat, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une seconde pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans Système National des Données de Santé (SNDS) qui permet de connaître l’âge et le sexe des personnes, les dates d’injection des « vaccins anti-covid » ainsi que les marques et les numéros de lots de vaccins utilisés, les dates d’injections de vaccins antigrippaux (pour bénéficier d’un référentiel de comparaison) et enfin la date des éventuels décès des personnes. Ces données doivent permettre de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès et enfin d’observer si les injections anti-Covid ont une spécificité ou non relativement aux injections antigrippales de ces dernières années.
Cette analyse des décès toutes causes confondues est cruciale au regard de l’objet de cette commission d’enquête. Or, la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions reçues a refusé cette demande de transparence sur les données, et l’a fait de surcroît sans en donner aucune justification. La motivation des décisions administratives constitue pourtant une obligation légale traduisant un droit essentiel des citoyens et une forme de protection contre l’arbitraire du pouvoir politique. C’est une exigence démocratique évidente. C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de santé et professionnels du droit, demandons d’urgence au Sénat de reconsidérer sa décision et d’assurer sur ce sujet la transparence totale sans laquelle il ne peut pas prétendre « répondre aux inquiétudes » des citoyens de ce pays comme il s’y est engagé.
Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM
Pierre Chaillot, statisticien
Laurent Mucchielli, directeur de recherches au CNRS
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Le Sénat A PEUR TOUT COURT.
CAR LE SENAT AVEC SA MAJORITE LR (LES RIPUX) A VOTE POUR TOUT LES DIKTATS DU REGIME FASCISTE MACRON ET A AUSSI VOTE POUR LE DERNIER PASS NAIZTAIRE NAZINAL…
ILS ONT AUSSI VOTE POUR LES INJECTIONS FORCEES.
ET EN CONNAISSANCE DE CAUSE.
ILS SONT DONC COMPLICES DE MEURTRES, CRIMES CONTRE L’HUMNAITE ET GENOCIDE.
JE LES METTRAIS FACE A UN MUR ET BOOM BOOM…
Il est évident que le Sénat soutient macron et sa bande.
Il ne faudrait pas que le scandale éclate trop tôt, juste avant les élections.
Tout est verrouillé, il n’y a plus de démocratie dans notre République.
◘ Coronavirus: Feu vert de l’EMA pour le traitement préventif d’AstraZeneca
https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Coronavirus-Feu-vert-de-l-EMA-pour-le-traitement-preventif-d-AstraZeneca–39854662/
◘ Covid-19 : L’EMA favorable au traitement préventif d’AstraZeneca pour les personnes dont l’organisme résiste vaccination
https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/covid-19-l-ema-favorable-au-traitement-pr%C3%A9ventif-d-astrazeneca-pour-les-personnes-dont-l-organisme-r%C3%A9siste-vaccination/ar-AAVtGfl
Quand 94% de la population se soumet à des mesures coercitives pour préserver son petit confort, on ne peut pas reprocher grand chose aux dictateurs. Si 99% de la population avait boycotter le vaccin, les Macron-Castex-Veran-Darmanin ils auraient fait quoi de leur vaccin à la con ? On tond les moutons pas les loups !
Pour les vaccins tueurs, les responsables en général, ne diront JAMAIS la vérité. Mais essayez de vous renseigner auprès des assureurs-vie et vous aurez la réponse en partie car eux aussi veulent pouvoir continuer à faire des contrats-vie ………
S’ il n’y avait qu’eux , savez vous que si vous avez des crédits ou contrats d’assurances de toutes natures et que vous mourrez des conséquences de l’inoculation de la soupe génique , pour les assureurs cela est considéré comme un suicide ? , en conséquence vos contrats d’assurances sont caduque .
Castex ,hyper saloperie , mon ami d’enfance Louis ….X piquousé pour la 3ieme et dernière voila 1 mois est décédé 8 jours âpres d’une attaque cardiaque , Castex tu es une des ordures la mieux payée de france-poubelle , 240000 euros par an et encore crapulace tout ce que tu dois planquer par là …servile comme comme lucifer aux ordres de jupiter , tu ne merite que l’enfer , si par malheur pour toi et ce que nous sommes une majorité a souhaiter la macronescule ton mentor n’est pas réélu vous n’aurez pas assez de vos fortunes pour vous faire protéger par les kapos collabos qui vous protègent maintenant , n’ayez pas peur meme par la pensée nos crachats de mepris vous atteignent quand meme.
« En décembre 2021, le premier ministre Jean Castex annonce la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal »
Une mesure d’autant plus inique qu’elle remplace le test, qui était le seul et vrai moyen de s’assurer si une personne était ou non positive.
Il s’avère de plus en plus que ce vaccin ne protège pas, ou peu, ou pas longtemps. Ces derniers temps, de plus en plus nombreux sont les vaccinés qui tombent malades et donc contaminent impunément la population.
Une décision doublement imbécile, donc, que ce passe sanitaire dont le seul but est de pourrir la vie des non-vaccinés en mettant par la même occasion la population en danger.
LE PASSE PROUVE SEULEMENT LA VACCINATION ET NE GARANTIT PAS LA NON POSITIVITÉ. IL NE CONSTITUE PAS UNE BONNE MESURE SANITAIRE.
Bonjour Carole. Ce ne sont que des mesures coercitives destinées à vacciner de force ou par contrainte pour s’enrichir. Ils ne soignent pas, ils tuent ou ils handicapent. Si ils avaient voulu notre bien ils auraient arrêté depuis longtemps. Preuve que ce n’est que le pognon qui les intéresse. Tous des criminels qu’il faudra juger pour crimes de masse contre l’humanité dansle seul but de s’enrichir, avec la complicité de toute la macroni.
Les gens qui décident vraiment sont ceux qui créent la monnaie à partir de rien. Donc ce pognon ils n’ont pas besoin de le gagner, ils le fabriquent.
Le pognon sert seulement à récompenser les sous fifres obéissants.
Là aussi il faudra demander des comptes aux sénateurs. Ces félons devront répondre de leurs actes et des conséquences de ces décisions arbitraire pour faire plaisir aux salopards de la macroni. Ils faudrait juger, et condamné très sévèrement tous ces vendus qui ont salis leur fonction et trahit le peuple et démis immédiatement de leur fonction.
ERIC ZEMMOUR a du pain sur la planche.
Votez bien, la France et son peuple est en danget de mort.
Le Sénat ne fera rien pour que nous connaissions la réalité des chiffres. Tous copains comme cochons!