
René Robert, photographe internationalement reconnu de flamenco, qui aimait à photographier les visages empreints d’émotion des danseurs et musiciens, est mort après avoir fait une chute dans la rue sans être secouru, à Paris, la semaine dernière.En plein Boboland, il a été laissé sans aide sur le trottoir pendant 9 heures
Le photographe René Robert est décédé mardi 18 janvier.
Après une chute en pleine rue, il est resté neuf heures couché par terre. Personne ne l’a secouru.
Mardi 18 janvier, aux alentours de 21 heures, l’homme de 84 ans sort après dîner pour une ballade dans son quartier parisien de République. Mais il chute, pour une raison qui reste à déterminer. Incapable de se relever, allongé sur le trottoir, personne ne lui vient en aide.
Quiconque connaît Paris sait à quel point le quartier entourant République est rempli de commerces et de monde, même un soir de semaine. Aucun passant n’a cependant jugé bon d’appeler les secours, face à cet octogénaire inconscient allongé sur la chaussée.

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Hidalgo…sale petite saloperie !
Mieux vaut secourir les migrants, c’est plus chic, c’est people! Les autochtones, on peut crever!
Donc, si j’ai bien compris, à Paris il ne fait pas bon de tomber parce que si on glisse et que l’on est inconscient on nous laisse crever là, par terre comme un chien. Enfin pour un blanc. C’est le Paris de la dingo. Afligeant.