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Passer tous les trois ou quatre mois par la case vaccinodrome, ça use, cela peut, à la longue, faire douter de l’efficacité des sérums actuels, tous basés sur la souche originelle de Wuhan… Une pilule à prendre, de façon préventive, pour contrecarrer les effets potentiellement graves du Covid-19, cela serait nettement plus simple.
Les comprimés de Pfizer
Bonne nouvelle : il y a en une de ce type qui s’apprête à être massivement administrée aux États-Unis, en complément de la vaccination. Israël, en pleins doutes sur l’intérêt d’une 4e dose pour tous, a également reçu jeudi 30 décembre sa première livraison.
Le Paxlovid, c’est son nom, a été autorisé en urgence par l’Agence américaine des médicaments (FDA), juste avant Noël. Selon les essais cliniques de son inventeur, le laboratoire Pfizer, prise dans les premiers jours des symptômes chez les non vaccinés, elle permet chez eux de réduire de près de 90 % les hospitalisations. Elle serait même efficace contre Omicron, le nouvel envahisseur.
Le grand avantage tient évidemment à son mode d’administration : la voie orale. Deux comprimés, deux fois par jour, c’est comme cela que s’utilise le Paxlovid. Gros bémol toutefois, il faut en prendre cinq jours d’affilée et ce, dès l’apparition des premiers symptômes (nez qui coule, maux de tête, sinusite s’agissant d’Omicron). Cela suppose d’avoir réussi à décrocher fissa une ordonnance. On est donc encore loin de la « solution miracle ». Mais c’est un progrès indéniable.
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Complément du docteur Dominique Schwander qui a lu le document envoyé aux professionnels de santé présentant les particularités et risques de ce nouveau médicament expérimental.
FICHE D’INFORMATION POUR LES PRESTATAIRES DE SOINS DE SANTÉ : AUTORISATION D’UTILISATION D’URGENCE POUR PAXLOVIDTM
FAITS SAILLANTS DE L’AUTORISATION D’UTILISATION D’URGENCE (EUA) Ces faits saillants de l’EUA n’incluent pas toutes les informations nécessaires pour utiliser PAXLOVIDTM dans le cadre de l’EUA. Voir la FICHE D’INFORMATION COMPLÈTE POUR LES PRESTATAIRES DE SANTÉ pour PAXLOVID.
PAXLOVID (comprimés de nirmatrelvir ; comprimés de ritonavir), co-emballé pour une utilisation orale
Date d’autorisation originale de l’EUA : 12/2021
• Réduction de dose en cas d’insuffisance rénale modérée (eGFR ≥30 à <60 mL/min) : 150 mg de nirmatrelvir (un comprimé à 150 mg) avec 100 mg de ritonavir (un comprimé à 100 mg), les deux comprimés étant pris ensemble deux fois par jour pendant 5 jours. (2.2)
• PAXLOVI n’est pas recommandé chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère (DFGe < 30 ml/min). (2.2, 8.6)
• PAXLOVI n’est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh Classe C). (2.3, 8.7)
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Vous ou votre représentant devez signaler tous les ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES GRAVES ou ERREURS DE MÉDICAMENTS potentiellement liés au PAXLOVID (1) en soumettant le formulaire FDA 3500 en ligne, (2) en téléchargeant ce formulaire puis en le soumettant par courrier ou par fax, ou (3) en contactant la FDA à 1-800-FDA-1088 pour demander ce formulaire. Veuillez également fournir une copie de ce formulaire à Pfizer Inc. au numéro de télécopieur : 1-866-635-8337. (6.4)
——————————-INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES—————– ————–
La Food and Drug Administration des États-Unis a émis un EUA pour l’utilisation d’urgence du PAXLOVID non approuvé qui comprend le nirmatrelvir, un inhibiteur de la protéase principale du SRAS-CoV-2 (Mpro : également appelé 3CLpro ou protéase nsp5), et le ritonavir, un VIH- 1 inhibiteur de protéase et inhibiteur du CYP3A, pour le traitement de la maladie à coronavirus légère à modérée 2019 (COVID-19) chez les adultes et les patients pédiatriques (âgés de 12 ans et plus pesant au moins 40 kg) avec des résultats positifs de troubles respiratoires aigus sévères directs dépistage viral du syndrome du coronavirus 2 (SARS-CoV-2), et qui présentent un risque élevé de progression vers un COVID-19 sévère, y compris une hospitalisation ou un décès.
LIMITES D’UTILISATION AUTORISÉE
• PAXLOVID n’est pas autorisé pour l’initiation du traitement chez les patients nécessitant une hospitalisation en raison d’un COVID-19 sévère ou critique.
• PAXLOVID n’est pas autorisé pour la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition pour la prévention du COVID-19.
• PAXLOVID n’est pas autorisé pour une utilisation supérieure à 5 jours consécutifs.
PAXLOVID ne peut être prescrit à un patient que par des médecins, des infirmières autorisées en pratique avancée et des assistants médicaux qui sont agréés ou autorisés en vertu de la loi de l’État à prescrire des médicaments de la classe thérapeutique à laquelle appartient PAXLOVID (c’est-à-dire des anti-infectieux).
PAXLOVID n’est approuvé pour aucune utilisation, y compris pour une utilisation comme traitement de COVID-19. (1)
PAXLOVID n’est autorisé que pour la durée de la déclaration de l’existence de circonstances justifiant l’autorisation de l’utilisation d’urgence de PAXLOVID en vertu de l’article 564(b)(1) de la Loi, 21 U.S.C.
§ 360bbb-3(b)(1), à moins que l’autorisation ne soit résiliée ou révoquée plus tôt.
L‘utilisation concomitante de PAXLOVID et de certains autres médicaments peut entraîner des interactions médicamenteuses potentiellement importantes. Consultez les informations de prescription complètes avant et pendant le traitement pour les interactions médicamenteuses potentielles. (5.1, 7)
• Hépatotoxicité : des élévations des transamines hépatiques, une hépatite clinique et un ictère sont survenus chez des patients recevant du ritonavir. (5.2)
• Résistance aux médicaments contre le VIH-1 : l’utilisation de PAXLOVID peut entraîner un risque que le VIH-1 développe une résistance aux inhibiteurs de la protéase du VIH chez les personnes présentant une infection par le VIH-1 non contrôlée ou non diagnostiquée. (5.3)
Antécédents de réactions d’hypersensibilité cliniquement significatives aux ingrédients actifs (nirmatrelvir ou ritonavir) ou à tout autre composant. (4)
• Co-administration avec des médicaments fortement dépendants du CYP3A pour la clairance et pour lesquels des concentrations élevées sont associées à des réactions graves et/ou mettant en jeu le pronostic vital. (4, 7.3)
• La co-administration avec des inducteurs puissants du CYP3A, où des concentrations plasmatiques significativement réduites de nirmatrelvir ou de ritonavir peuvent être associées à un potentiel de perte de réponse virologique et de résistance possible. (4)
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Ce sont des assassins !!
Paxlovid / Remdésivir / Rivotril même combat : accélérer les décès
Merci pour les infos ! 👍👍👍
On a la preuve par dix que tout est magouille dans ce système de « santé » régi par le N.O.M pharmaceutique
Bin oui ce nouveau médicament encore fait à la sauvette doit couter une blinde et rapporter un max à Big pharma. Donc là pas de problème il sera autorisé avant même de savoir s’il est aussi inoffensif que la chloroquine qui elle est vraiment inoffensive et efficace, son seul défaut: elle ne rapporte pas
@ Charles Martel 02- Elle ne rapporte pas, et SURTOUT, il n’y a pas de graphène dedans et tous les autres poisons injectables.
Vaccin plus pilule OUI ! vitamines C et D zinc NON !
Rien que le nom, Ritonavir, ça te fiche le trac. Pourquoi des médicaments avec des effets secondaires sérieux sur la sphère hépatique, rénale ?
Un poison différent mais pour les même profits.
Souvent le fait que la souche originelle de Wuhan soit encore utilisée est critiqué. Il me semble cependant que créer des circuits immunitaires avec des ADN très voisin pourrait avoir des conséquences encore pire et c’est pour cela qu’a mon avis ils ne sont pas très chauds pour le faire.