Politiques de verrouillage et mandats de masque liés à un QI inférieur chez les enfants : psychiatre

Les récentes politiques de verrouillage et les mandats de masque du pays créeront une génération d’ enfants qui présentent un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales, selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents.

Le Dr Mark McDonald a cité une étude du 11 août de l’Université Brown ( pdf ) qui a révélé que «les enfants nés pendant la pandémie ont considérablement réduit les performances verbales, motrices et cognitives globales par rapport aux enfants nés avant la pandémie», lors d’un entretien avec l’hôte Cindy Drukier dans un épisode du 25 décembre de  » The Nation Speaks » de NTD.  NTD est un média partenaire d’Epoch Times.

Les masques, les « écoles Zoom » et les mandats de verrouillage ont conduit à « une privation globale de contact social, [de] ne pas pouvoir voir les visages, être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a en fait causé des lésions cérébrales à les jeunes », a-t-il déclaré.

Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions pandémiques et la « peur que nous inculquons aux enfants » ont conduit à l’aggravation des problèmes psychologiques.

Heneghan a cité son étude du 2 octobre ,  qui a conclu que « huit enfants et adolescents sur 10 signalent une aggravation du comportement ou des symptômes psychologiques ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».

« Les fermetures d’écoles ont contribué à augmenter l’anxiété, la solitude et le stress ; les sentiments négatifs dus à COVID-19 ont augmenté avec la durée des fermetures d’écoles », rapporte l’étude. « La détérioration de la santé mentale s’est avérée pire chez les femmes et les adolescents plus âgés. »

« La première chose est de désamorcer toute peur et anxiété autour de COVID pour les enfants », a déclaré Heneghan. « Pour les enfants, [COVID] est en fait une maladie très sûre » et les enfants ne devraient pas s’inquiéter de l’impact de COVID « sur eux-mêmes ou leur santé future ».

Il a déclaré que « fermer des zones comme les écoles était une erreur », car les garder ouvertes est bonne pour l’éducation, « les liens sociaux et le bien-être ».

« Nous devrions vraiment donner la priorité à l’éducation et aux interventions qui sont dans le meilleur intérêt des enfants », a-t-il déclaré.

Selon une étude du 20 décembre , les données des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont également montré que les visites liées à la santé mentale en 2020, lorsque les restrictions pandémiques ont été imposées pour la première fois, ont augmenté de 24% chez les 5 à 11 ans et 31 % chez les 12 à 17 ans, par rapport aux données de 2019.

Pour l’anecdote, McDonald a noté qu’il a vu des enfants qui « refusent d’établir un contact visuel, qui mouillent leur pantalon ou mouillent le lit la nuit, ne peuvent pas aller dormir chez eux – être loin de leur mère pendant de longues périodes ».

Les adolescents, d’autre part, sortent des restrictions de verrouillage étant « tellement enveloppés dans les médias sociaux et les téléphones et l’école Zoom parce qu’ils sont formés depuis un an et demi, qu’ils ne veulent même plus sortir,  » il a dit.

McDonald a appelé le gouvernement et les médias pour avoir créé un « programme de conditionnement comportemental », dans lequel les enfants sont soumis à des situations « irrationnelles et ridicules » telles que manger dehors un jour à 40 degrés (NDLR il s’agit de degrés fahrenheit ce qui correspond à 4° celsius ) et devoir courir des marathons ou faire du sport avec des masques. .

Au 27 décembre, le site Web indique que « plus de la moitié des adolescents du pays ont été vaccinés ».