Quelle mascarade ! Nous avons assisté à la plus belle pièce de théâtre du quinquennat, au cours de laquelle un président au bilan nullissime, qui n’a cessé de mépriser et d’insulter le peuple durant son mandat, a voulu nous convaincre qu’après cinq années d’exercice, il avait appris à aimer la France et les Français ! Mais qui serait assez niais pour croire à ces sornettes ?
Ce n’était pas « Où va la France », mais « Qui est Macron » ? Ce bonimenteur hors pair nous a infligé ses états d’âme, en nous vantant son bilan calamiteux, alors que la France va dans le mur.
Interrogé par deux journalistes béats d’admiration, craignant à longueur d’interview de mettre le président en difficulté avec une question qui dérange, Macron a pu donner libre cours à ce qu’il sait faire de mieux : un formidable exercice d’autosatisfaction.
Il est donc entré en campagne hier soir, en exploitant ses grands talents d’illusionniste.
La France est en faillite avec 3000 milliards de dettes, ruinée par l’immigration, elle est au bord de la guerre civile avec une majorité de jeunes musulmans qui placent la charia au dessus de la loi républicaine, tous nos services publics sont exsangues, nous détenons le bonnet d’âne de l’UE dans tous les domaines, mais Macron estime que la France est dans un meilleur état qu’en 2017 et qu’il faut poursuivre la même politique !
La crise sanitaire ? Pas un seul mea culpa sur le désastre de 2020, quand la France a manqué de tout, quand les hôpitaux ont pratiqué le tri des malades, quand les personnes contaminées ont été renvoyées chez elles avec du Doliprane, quand on a achevé les vieillards à coup de Rivotril.
Le chômage ? Soi-disant au plus bas depuis 15 ans, alors que nous sommes dans le peloton de queue de l’UE, avec 8% de sans emploi.
La dette de 3 000 milliards ? Le déficit budgétaire record, le déficit de la balance commerciale de 100 milliards, le taux des prélèvements le plus fort de l’OCDE, tout cela est accessoire. Car il vaut mieux s’endetter à raison de 45 000 euros par citoyen, bébés compris, que de casser la reprise !
Les insultes au peuple français, traité de moins que rien, de fainéant, d’alcoolique, d’illettré ou de fainéant ? Certes, il ne le referait pas, mais pas un mot d’excuses. Pour Macron, il ne faut pas sortir ces petites phrases de leur contexte.
Les images dégradantes de Saint-Martin ? Choquant, car il faut protéger la fonction présidentielle. Mais ne fallait-il pas y penser avant ? Ce fut en fait une perte de contrôle de soi impardonnable, qui en dit long sur ce président immature, qui nous a humiliés et ne s’en excuse pas.
Affaire Benalla ? Macron minimise les faits, nie qu’il y ait eu un Etat parallèle, alors que les commissions d’enquête parlementaires ont été sabotées et que les preuves ont été escamotées. Pour lui, tout cela a fait pschitt car il n’y avait rien à cacher. Ce ne fut pas une affaire d’Etat.
Les Gilets jaunes. L’Episode du Puy en Velay. L’Arc de Triomphe saccagé. Les Français ont eu peur, la foule peut devenir dangereuse. Mais pas un mot sur sa responsabilité. Après avoir insulté et méprisé le peuple, après avoir attisé la colère, Macron dénonce la violence ! Mais à qui la faute ?
Les réformes. Macron se pose en grand réformateur, ayant créé 1 million d’emplois, ayant développé l’apprentissage et diminué le nombre de faillites ! Il a préparé la France à la guerre technologique du futur, à l’innovation, au défi climatique. Il a réformé l’école, la maternelle, le Bac. Il a réformé le Code du travail et le chômage. Bref, tous les voyants sont au vert !
Les retraites ? Il faudra faire cette réforme en repoussant l’âge de départ et en simplifiant les 42 régimes actuels. Il faut travailler plus pour produire plus.
Le pouvoir d’achat ? Il a augmenté selon l’Insee. Macron oublie que nous avons toujours 10 millions de pauvres et 400 000 SDF.
Les armées ? Pour Macron, nos armées ont retrouvé leur rang, alors que le budget défense n’est que de 40 milliards, 4 fois moins qu’en 1960 proportionnellement, et que la France peine à soutenir son engagement au Sahel sur la durée.
Samuel Paty ? Un moment de sidération qui a touché tous les Français.
L’islam ? Il faut combattre l’islam politique et la haine. C’est un combat culturel et civilisationnel. Nous avons fermé des mosquées, des écoles coraniques, des associations. Pas d’amalgame entre islam et séparatisme. Les musulmans doivent respecter la loi républicaine. Si on vit dans la peur de l’Autre, si le problème c’est l’étranger, alors ce sera la guerre civile.
Mais pas un mot sur les 75% de jeunes musulmans qui placent la charia au dessus de la République. Pas un mot sur le bilan des attentats, alors que la France totalise 44% des attentats islamiques en Europe et 42% des victimes.
Le Grand Remplacement ? Les démographes le nient. Si l’intégration pose problème c’est pour des raisons économiques. Il faut intégrer par l’école et le travail. Il faut supprimer les ghettos.
L’immigration est appelée à augmenter. Nous en avons besoin. Il faut aussi aider l’Afrique.
Eternel discours mondialiste qui refuse de voir le ratage de l’intégration et l’explosion de l’insécurité.
L’insécurité ? Macron a créé 10 000 postes de policiers et gendarmes. Mais pas un mot sur les 1000 agressions et les 120 attaques au couteau par jour. Pas un mot sur les attaques de commissariats, sur les 100 000 viols annuels, sur les 45 000 voitures brûlées, sur les violences envers les forces de l’ordre, les enseignants, les policiers, les pompiers, les personnels soignants, les femmes etc…
La justice ? Sur les 15 000 places de prison promises, seules 2200 ont été construites.
Et Macron de conclure qu’après cinq années de pouvoir, il a appris à aimer la France et les Français ! Quelle hypocrisie !
Où va la France ? Dans le mur, car Macron n’a aucunement l’intention de modifier sa politique mondialiste et immigrationniste qui nous détruit.
Après cette interview sans intérêt, quelques leaders politiques se sont succédé pour analyser l’émission.
Je n’ai retenu que l’intervention de Zemmour, la plus percutante et la plus logique comme toujours.
« Emmanuel Macron est l’homme du Grand Remplacement et du grand déclassement. Nous avons 2 millions d’immigrés en plus. Les Français ressortent appauvris de ce quinquennat, comme nos entreprises. L’école s’effondre dans les classements internationaux. Encore un quinquennat pour rien. »
Tout est dit.
Jacques Guillemain
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Et Bribri, dans tout ça ? Jean-Mi ou not Jean-Mi ?
il les laisse rentrer à plein pot, mais ses prédécesseurs agissaient de la même façon que lui ; il faut absolument élire le ou la candidate qui arrêtera l’hemoragie. De plus le bazard s’est accentué depuis l’arrivée de l’ue.
Le petit choupinet veut plus d’immigration africaine mais son 36 plis ne tiendra jamais.
La destruction de la France est en marche et même en marche forcé.
Comme il n’aime pas les Français blancs, il veut les remplacer. Par des muzzs, des Africains, etc. Le peuple ne m’aime pas, je change de peuple.
Avec macron, c’est la mort de la France, une mort définitive, les oligarques n’attendent que ça.
Si les moutons et les veaux ne sortent pas de leur torpeur, il ne restera rien.
A noter que la bougresse est le macron de remplacement.