Devant moi s’est ouvert un chemin dont je sais la minute, l’heure, le jour où je l’ai entamé d’un premier pas mais dont j’ignore la minute, l’heure et le jour où je le terminerai d’un dernier pas.
Ce dont je suis certain, en revanche, c’est qu’à part l’immense tristesse de quitter des êtres que j’aime et qui me sont très chers, je n’aurai que très peu de regrets à abandonner ce monde devenu de plus en plus merdique, de plus en plus difficile à vivre, et cela à cause de communautés minoritaires qui nous imposent leurs règles, leurs mœurs, leurs cultures… leur dictature et exigent notre repentance, nos excuses, pour des crimes qu’auraient, paraît-il, commis nos ascendants au cours des décennies et des siècles précédents.
Il s’agit, mais vous le savez, des « colonisations », de « l’esclavage », des « religions et, mais plus actuellement, de l’homosexualité, du féminisme et de la théorie des genres (cette aberration culturelle !).
Prenons un exemple tout récent concernant plus particulièrement l’esclavage : une conseillère municipale new-yorkaise, l’Afro-Américaine Adrienne Adams, a réclamé, et obtenu, le retrait de la statue du 3e président des États-Unis d’Amérique, Thomas Jefferson, l’un des auteurs de la « Déclaration de l’Indépendance ». La raison évoquée était qu’elle se sentait outragée par la présence de cette statue, à cause « de son passé d’esclavagiste » (Thomas Jefferson aurait possédé 600 esclaves dans sa plantation).
Cette décision vient d’être prise quelques jours après que la statue du général confédéré Robert E. Lee, a été également mise à l’écart par la ville de Richmond (USA), pour des raisons pratiquement identiques (il aurait défendu la cause des « esclavagistes »).
Précédemment c’était la statue de Christophe Colomb, mais également celle de l’ex-roi Léopold II. En Grande-Bretagne, c’est le héros national de la dernière guerre, Winston Churchill, qui est mis en cause et en France ce mouvement se poursuit dans quelques villes, depuis l’exigence de « retirer » la statue de Colbert qui honore l’Assemblée nationale, à Paris, quand il ne s’agit pas de Napoléon et de quelques autres.
Soyons objectif, puisque l’on nous oblige à « remonter » l’Histoire : l’esclavage, c’est quoi ?
Des chefs de tribus noirs qui vendaient leurs sujets noirs à des négriers blancs.
Que seraient devenus ces sujets s’ils n’avaient pas été vendus ? Probablement massacrés dans des guerres entre tribus ou ethnies, ou décimés dans des épidémies. Leur espérance de vie, à l’époque, ne dépassait pas les 30 ans.
Ils ont été conduits en tant qu’esclaves dans des pays « blancs ». Nombreux ont fondé des familles, se sont multipliés dans des conditions sanitaires supérieures. Certains ont été maltraités mais d’autres intégrés. Ils sont, depuis quelques décennies, une forte proportion de la population des États-Unis et ont, pour certains, bénéficié d’une éducation et d’une instruction identiques à celles des autres citoyens américains.
Ce fut certainement le cas de la conseillère Adrienne Adams et de nombreux et nombreuses Afro-Américains qui constituent l’élite du pays actuellement.
S’il n’y avait pas eu « l’esclavage », ces dizaines de millions de descendants d’Africains ne formeraient pas une très importante composante du peuple américain, il n’y aurait pas de Martiniquais, de Guadeloupéens, etc. Ils seraient tous restés et disparus en Afrique.
Il n’y aurait pas eu de Martin Luther King, ni de mouvement « Black Lives Matter » aux États-Unis, car George Floyd ne serait pas mort sous le genou d’un « flic ». Il n’y aurait pas eu toutes ces « lumières » noires qui se sont révélées hors de l’Afrique, grâce aux valeurs des civilisations dans lesquelles ils ont eu la chance de vivre et même, quelquefois en Afrique, grâce à l’apport de quelques bienfaits de la « colonisation ».
En revanche, mais de cela il n’est jamais question, c’est un sujet tabou : il a existé un esclavage « blanc et noir », et il existe toujours un esclavage noir, organisé par et pour les Arabes avec l’aide des « négriers » africains mais, comme l’a avoué Christiane Taubira « Il ne faut pas en parler afin de ne pas blesser les enfants maghrébins des crimes de leurs proches « ancêtres » ».
En revanche nous subissons quotidiennement les insultes, les menaces, les accusations de tout ce peuple noir, issu de l’esclavage certes mais qui, sans cet esclavage, ne serait pas devenu cette minorité agressive qui nous impose ses règles et réclame notre repentance.
https://ripostelaique.com/lesclavage-na-t-il-eu-que-des-inconvenients-pour-les-noirs.html
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« L’Occident est en train de vivre sa révolution culturelle chinoise » – après, on redeviendra nationaliste.
Quelle chance ils ont eue en somme, ils devraient être reconnaissants et faire leur chemin dans ce merveilleux pays développé par les soins des hommes blancs.
Et qu’ils arrêtent de nous casser les cou***avec leurs jérémiades, leurs récriminations, leurs exigences etc…
Mais s’ils ne sont pas satisfaits de leur condition d’homme moderne, ils ont un pays qui les attend, le LIBERIA, pays africain dédié au retour des noirs américains.
A ma connaissance, ils ne se pressent pas au port de départ.
La jalousie,l’opportunisme ajoutés aux complexes (traitement pour devenir blanc) c’est ça le « black Power » une minorité agissante soutenue par les idiots utiles islamo gauchistes faisant feu de tout bois ,heureusement certains noirs ne s’allient pas à cette dérive qui va leur nuire
Ce qui était gérable avant avec une population africaine limitée devient un vrai problème aujourd’hui aux Etats-Unis et si nous laissons faire sera le même en France et en Europe. La population africaine et nord-africaine ne s’assimile pas et le temps est là pour le prouver. Pour éviter le grand remplacement qui est inexorable, il nous faut réagir en stoppant net l’immigration en France pour commencer, c’est la survie de notre civilisation qui est en jeu. J’entends dire que c’est le pouvoir d’achat qui est la préoccupation première des français mais à quoi va servir le pouvoir d’achat si nous ne pouvons plus vivre correctement dans une société qui s’islamise et s’africanise, si nous sommes constamment dans le conflit ? Il faut fermer nos frontières et les surveiller, il faut empêcher le regroupement, le droit du sol et tout encouragement à migrer vers notre pays. Il faut arrêter d’être à la botte des Etats-Unis qui nous imposent son idéologie et son complexe de supériorité.
Nous avons mis le pied dans un engrenage et il est difficile maintenant de faire marche arrière, en libérant l’esclave qui avait été importé en Occident, nous avons reconnu que cet esclave avait la même valeur que l’homme occidental, je me pose la question maintenant de savoir si c’était une bonne idée, si c’était une bonne chose pour l’Occident, je ne pense pas mais c’était difficile de faire autrement. L’histoire est ainsi faite et nous ne pouvons pas revenir sur ce qui est fait, par contre nous pouvons agir dans le présent et pour l’avenir, ça c’est toujours possible. Ces minorités avec nos propres lois sont devenues des oppresseurs, elles cherchent maintenant à se venger des humiliations qu’elles ont subies, nous avons été généreux en abolissant l’esclavage mais cela s’est retourné conte nous, pour quelle raison ? tout simplement parce que ces populations sont incapables de s’assimiler et cela n’a rien à voir avec le racisme, c’est avant tout un problème culturel, essentiellement culturel mais je me demande s’il n’existe pas autre chose de plus profond ? comment expliquer que des africains arrivés en Amérique il y a plus de 300 ans sont toujours en phase d’intégration ou d’assimilation ?
Excusez-moi mais tous les Afro-Américains ne sont pas en phase, comme vous l’écrivez, d’intégration ou d’assimilation, pour autant que ces deux termes aient un sens aux Etats-Unis. Il y a une véritable classe moyenne, qui a soutenu Trump d’ailleurs, et des élites qui refusent d’accepter le sort que leur réservent les Démocrates, à savoir : ne pas « sortir de la Plantation ».
Si !Il y a quelque chose à faire: 1)Ne pas attirer ces populations chez nous par les avantages sociaux (Allocs). Le danger pour la planète, c’ est avant tout la surpopulation mondiale.2)Arrêter d’ apprendre aux français à ne plus aimer leur pays.
Aux Caraîbes,les esclaves noirs ont hérité de toutes les iles dont ils se croient les premiers occupants (aux dépends des amérindiens). Les Antilles!!! c’est pas mal comme dédommagement pour l’esclavage de leurs ancêtres ! Qu’ est-ce qu’ils en ont fait : (ex: Haïti, un pays du tiers monde qui était, à l’ origine le premier producteur de bananes du monde)
Et aussi, et surtout, le premier producteur de canne à sucre.
Wallace
Oui c’était les cannes à sucre: pas les bananes (lol)
Qu’a fait l’Afrique et ses nombreux pays depuis la fin de l’esclavage, c’est à dire depuis 211 ans, absolument rien, elle est portée à bout de bras par l’Occident qui s’épuise à l’aider sans résultat ou plutôt le résultat c’est une démographie qui ne cesse de s’amplifier et d’alourdir son lourd fardeau.
Faudrait poser la question aux esclaves IRLANDAIS! Un code noir oui, un code disons vert à quatre feuilles ben non………….
https://echelledejacob.blogspot.com/2015/08/traite-des-blancs-les-esclaves.html
Merci pour l’information.
CQFD !