Macron le nuisible et ses zombies tueurs


Le zombie est un bon citoyen. Il obéit aux injonctions du tyran matraquées par les télés, sans se poser de questions.
Les muselières ne servent à rien ? C’est bien !
Elles deviennent obligatoires ? C’est mieux !
Jamais on ne forcera les gens à se faire piquer ? C’est normal !
Qu’on les pique sinon c’est l’exclusion et la mort sociale ! Je suis d’accord !
Le passe nazitaire ne peut être que limité ? Heureusement !
On le rend obligatoire partout et indéfiniment ? Excellent  !
Ordre, contre-ordres, qu’importe, le zombie avance à l’aveugle, mécaniquement, sans savoir où il va. Son esprit est grillé comme une merguez. Disjoncté par des flux d’informations contradictoires. Il suit les mouvements impulsés par les assassins à la seringue, si son corps a survécu à leurs expériences. Pire, il veut faire partager sa déchéance à tous ceux qui ont échappé à cette abomination.
Combien restera-t-il encore de vrais humains après la dictature vaccinatoire ?


https://www.youtube.com/watch?v=0GQT42SARZE
Première cible, le cerveau
Le biomimétisme imaginé dans l’antiquité grecque, et relancé par Léonard de Vinci, était tombé en désuétude avec la révolution industrielle. Les avions ne battent pas des ailes comme les oiseaux, les sous-marins ne se tortillent pas comme des poissons.
La cybernétique a insufflé un air de jouvence à ces théories.
Le cerveau et les neurotransmetteurs sont le hard et le soft comme on disait au temps de la paléo-informatique. Une surtension dans les circuits intégrés, une ou deux soudures qui fondent, plus quelques bugs dans les programmes, et c’est terminé ! Kaput machine.
Selon le test D-dimère lorsqu’il est effectué (les “vaccinators” n’en voient pas l’utilité)  62 % des personnes vaccinées auraient des micro- caillots qui circulent dans le sang, créant des dégâts irréversibles au niveau des plus petits vaisseaux. Des organes comme le cerveau, le cœur, les poumons seraient les premiers affectés, et le resteraient.
Mais il est rare que ces thromboses et embolies se déclarent tout de suite, tuant rapidement les crédules qui ont servi de cobayes.
Une aubaine pour les “vaccinators” qui peuvent prétendre, lorsque cela se produit plusieurs semaines après, que leur poison n’y est pour rien.
Une fois que la bécane humaine a été sabotée, on bousille son système d’exploitation : les brins d’ARN messager trafiqué modifient les réponses de l’ADN, contribuant à détériorer les neurotransmetteurs dont le rôle est de faire circuler l’information des capteurs biologiques jusqu’aux synapses.
Les data ne passent plus, le bot détraqué réclame inlassablement un numéro d’identification qui n’existe pas. Écran bleu. Game over.
Pathologies d’enfermement et de contrôle permanent
La « Harvard Medical School » pour la physiologie et l’institut de Palo Altodépendant de l’université de Stanford pour la psycho, avec une trentaine de Nobel parmi leurs profs, ont étudié sur des évadés des pays totalitaires comme l’ex-URSS, la Chine et Cuba, et sur des prisonniers de guerre de longue durée revenus du Viêt Nam, les conséquences de stress répétés lorsqu’on est enfermé, humilié et menacé.
Ou lorsqu’on dispose d’une liberté relative, avec un contrôle permanent de ses moindres faits et gestes ; et qu’on est soumis à une propagande incessante à laquelle on ne peut se soustraire à moins de se mettre de la terre dans les oreilles.
Ces tutelles intrusives provoquent des maladies de la peau, des troubles gastro-intestinaux, des rectocolites hémorragiques, des ulcères gastriques, des pertes du sommeil, de l’asthme et des troubles sexuels. On les soigne avec des antidépresseurs et des anxiolytiques qui conduisent généralement à un état de dépendance à vie.
On prévoyait une recrudescence de suicides, de maltraitances de conjoints et d’enfants, d’homicides familiaux et d’incestes, et de crimes de voisinage provoqués par l’exaspération et les frustrations. Les médecins avaient tiré la sonnette d’alarme en expliquant aux politiques sourds et aveugles quels dégâts ne manqueraient pas de causer un retour à ces pratiques médiévales de l’enfermement à domicile, et des contrôles des mouvements de toute une population de « lépreux à cliquettes ».
Alors que la dictature sanitaire commençait à tout contrôler, des psychiatres hospitaliers, qui s’attendaient à une vague d’admissions de patients fragiles, désorientés, ont annoncé une recrudescence inédite de personnes sans antécédents psychiatriques, atteintes de bouffées délirantes aiguës. Parfois accentuées par une consommation inhabituelle de stupéfiants ou d’alcool pour venir à bout de l’ennui, du désœuvrement et de la désespérance.
Des personnes un peu fragiles, isolées et aux faibles revenus, perdent leurs repères et sombrent dans une profonde déprime quand la milice les rackette de 135 €  au prétexte qu’ils sont devenus  des délinquants parce qu’ils vont boire un café sans le  laissez-passer intérieur, inspiré des pratiques du IIIe Reich ou de l’ex-URSS.
D’autres s’enfoncent dans une schizophrénie incurable à laquelle, sans doute, ils offraient un terrain favorable, mais qui ne se serait probablement pas déclarée sans ces mesures privatives de liberté. Sans faute. Sans procès. Sans appel.  Perçues comme d’autant plus injustes que les cibles sont traquées telles des bêtes nuisibles par des flics nazillons. Motivés à se faire mousser auprès de Moussa pour les primes.
Les zombies c’est bien, les mabouls aussi
Un autre syndrome, semblable à celui de Gilles de la Tourette mais non héréditaire, peut s’installer en même temps, ou à la place des troubles sus-indiqués. Le sujet développe toutes sortes de tics faciaux et gestuels, rabâche des propos obscurs et incohérents (écholalie) et entrecoupe des plages de dépression profondes par des phases de coprolalie, répétition de propos orduriers ou scatologiques.
Les vaccinés hyper-agressifs contre ceux qui ne le sont pas en offrent une illustration pitoyable. Ils éructent, rugissent, dégobillent leurs aigreurs.  C’est un effet secondaire peu étudié des mixtures de Big Pharma : le contournement du surmoi qui aide à retenir la sauvagerie primale que chacun porte en lui.
Depuis 2019, le nombre d’admissions en psychiatrie a quasiment doublé, et celles-ci concernent des patients de plus en plus jeunes. Des  praticiens envisagent la possibilité que ces troubles provoqués par les mesures iniques de restriction des libertés fondamentales produisent des séquelles à vie, quand les condamnés sans crime ni  jugement recouvreront une partie de leur liberté.
Fini le racisme, place à l’ostracisme
Ces études ont mis en évidence, avec les mises à l’écart de la société, le facteur aggravant de la solitude. Plus de travail, plus de loisirs, plus de sorties, plus de rencontre familiales ou entre amis. On se dépersonnalise. On se sent inutile. On perd le goût de vivre.
Comme si les poisons injectés ne suffisaient pas à détruire la santé des cobayes, le risque devient 29 % plus élevé d’avoir une maladie coronarienne et 32 % plus fort d’avoir un AVC pour un sujet isolé.
En outre les capacités cognitives diminuent en quelques mois de 20 % chez les personnes isolées, avec chez 59 % d’entre elles l’incapacité d’effectuer des tâches de la vie quotidienne et chez 45 % la probabilité de mourir rapidement.
Contrairement à ce que raconte la propagande gouvernementale, ce n’est pas le covid qui altère les capacités cognitives.
Pour les réfractaires aux pseudo-vaccins, c’est la menace et le chantage permanents entretenus par les médias, l’enfermement dans une société policière, l’étiolement des liens sociaux, et la réduction des libertés fondamentales.
Pour les piqués, c’est tout ça, plus l’altération de leurs neurotransmetteurs qui interprètent mal les signaux du corps et de l’environnement.
Première salve pour abrutir les gens : confinement et brimades
Avant de s’attaquer directement au cerveau, il faut shunter ses circuits par où transite l’énergie psycho-électrique. Les contraindre à l’inertie et à la passivité par la déprime. C’est le rôle des mesures de séquestration à domicile et des humiliations à répétition infligées dès qu’on met le nez dehors, et auxquelles on ne peut répondre sans se faire démolir le portrait par les nervis du dictateur.
C’est aussi l’objectif recherché en s’attaquant aux enfants pour les vacciner de force. Déstabiliser les parents pris entre l’illusion de bien faire et le doute, la crainte révérencielle envers des enseignants stupides et des soignants cupides, et la peur que les gosses sans leur combinaison NRBC soient mal notés à l’école, comme eux-mêmes pourraient être mal vus au bureau ou à l’atelier.
Des chercheurs en neurosciences du « King’s College » ont publié 24 études de confinement lors de pandémies récentes : Sras, Ebola, H3N2 H1N1 touché coulé, grippes du kangourou et de l’oiseau-mouche qui ont précédé celle du pangolin…
Leurs conclusions : Les affections physiques et psychiques liées aux contraintes sanitaires, dans l’immédiat et par la suite, sont plus préjudiciables que les nuisances d’un virus.
66 % des personnes interrogées ont mentionné des états de nervosité, agressivité, angoisses, provoquant un mal-être général destructeur des relations sociales, avec des rancœurs persistantes et à terme un éclatement des familles, entre les soumis à la dictature sanitaire et les personnalités assez fortes pour s’y soustraire.
Or les humains sont des animaux sociaux. Ils ont besoin d’interactions affectives. Amitiés, amours, solidarités, complicités, affinités, compassion. Échange d’idées, partages d’expériences et de fous rires, rapports tactiles.  En les obligeant à rester cloîtrés, puis éloignés les uns des autres par des « distances de sécurité » comme si chacun était une bombe à retardement, on détruit un à un tous les liens sociaux.
Et c’est bien le but recherché. L’individu isolé, apeuré, fragilisé, privé de ses revenus et coupé de ses semblables, est plus facilement manipulable. Plus sensible aux promesses des crapules qui lui garantissent le retour à « la vie d’avant » s’il est bien obéissant et bien sage.
L’infantilisation est la technique de base de manipulation des foules.
Les diktats liberticides de Macronescu engagent non seulement le présent de tout un pays en l’empoisonnant délibérément, mais hypothèquent son futur pour des générations, condamnées à survivre avec de multiples séquelles.
L’étude menée après l’épidémie de Sras de 2003 sur un millier de personnes montre que 3 ans après la fin de la pandémie, plus de la moitié hésitait encore à sortir sans raison impérieuse, et qu’un quart évitait les endroits fréquentés.
D’autres troubles du comportement peuvent se traduire par le « syndrome de Diogène » une accumulation compulsive d’objets hétéroclites, parce que le sujet ayant perdu ses repères, privé de contacts normaux avec le monde extérieur et confronté à une difficulté d’approvisionnement momentanée, réelle ou imaginaire, craint de manquer de tout et anticipe.
Les personnes les plus touchées par le stress post-traumatique sont les enfants qui souffriront de troubles du comportement et de retards scolaires irrattrapables.
On peut ajouter à toutes ces malfaisances les masques obligatoires qui ne protègent en rien du virus mais contribuent à entretenir avec les sécrétions du nez, de la bouche et de la peau un véritable bouillon de culture, propice à l’éclosion de diverses pathologies, pulmonaires et cutanées, s’ajoutant à un  inconfort manifeste.
Mais de cela, Macron le maton n’en a cure, lui qui n’arbore la muselière que pour les photos !
Cette muselière n’a pas pour but de protéger la santé des Français mais de les habituer à obéir aux ordres et contrordres les plus arbitraires, sans réfléchir ni réagir, en amplifiant leur instinct grégaire par des vagues de panique entretenues par les médias complices et les coups de tonfa de la milice.
Symbolisme digne d’une projection freudienne, la muselière est un accessoire qu’on impose dans les asiles aux psychopathes agressifs pour les empêcher de mordre. Dommage qu’on n’ait pas soigné Macronescu quand il était encore temps !
La peur omniprésente
Ces pressions arbitraires, toujours sous le chantage et la menace, peuvent aussi créer des TOC (troubles obsessionnels du comportement).
À force de marteler qu’il  faut se méfier  des virus qui nous guettent comme le loup convoite le Petit Chaperon rouge, et qu’on doit se laver les mains 50 fois par jour, on observe que ces consignes laissent des traces indélébiles chez les personnes les plus influençables.
Avec ces miliciens partout, pour contrôler et punir des innocents coupables de crimes imaginaires, on diffuse un indicible sentiment de culpabilité même chez les plus obéissants. Comme dans les goulags, camps nazis, laogaï et autres structures de « rééducation » pour le bien-être de l’humanité, on se soumet avec résignation et on dénonce les déviants pour éviter d’être pris en otage.
La peur fait obéir. Ramper. Se vautrer aux pieds des sadiques. Mais elle incite aussi à anticiper les ordres du bourreau pour essayer de ne pas le mécontenter.
Une attitude proche du syndrome de Stockholm que l’on retrouve chez les prisonnières de psychopathes prédateurs sexuels, et qui sera utilisée par les avocats de ces monstres pour démontrer que leurs esclaves étaient consentantes.
Dans sa façon d’imposer un « vaccin obligatoire à des participants volontaires » odieux oxymore, le manipulateur pervers Macronescu n’agit pas autrement.
Les moutons ne lui suffisent plus. Certains pourraient devenir enragés. Mieux vaut disposer de zombies aveugles gesticulant comme des pantins tragiques.
Son transhumanisme, ce n’est pas l’intelligence artificielle mais la connerie programmée. « Pour tous » comme on dit à gauche.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
https://ripostelaique.com/macron-le-nuisible-et-ses-zombies-tueurs.html

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3 Commentaires

  1. Les FRANCAIS vont-ils enfin ouvrir les yeux sur les mensonges et la propagande de macron et ses acolytes qui ne sont que des tueurs ????

  2. Il y a aussi l’hypnotisme dont se servent les dirigeants en répétant les mêmes phrases stéréotypées depuis des années, les images subliminales glissées ça et là par des politiques et journalistes félons orientés uniquement vers la fructification de leurs avoirs personnels, souvent dissimulés en Suisse ou autres paradis fiscaux!

  3. | TRADUCTION DEEPL |
    DÉMONTER LE NÉGATIONISME RACIAL

    Une série d’articles démystifiant les récits courants de négationnisme racial. Vous pouvez parcourir le tag post ici, mais l’ordre de lecture recommandé est celui indiqué ci-dessous.
    Ordre de lecture recommandé

    Course 101 : Qu’est-ce que la taxonomie ?

    • Explique les éléments constitutifs de la classification biologique, la science de la classification des organismes.

    Course 101 : Glossaire de la génétique

    • Une liste de la terminologie de base qui sera utilisée tout au long de la série d’articles.

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