Afrique du Sud, 30 ans après la fin de l’apartheid, un pays en ruine, des affrontements ethniques…

 

L’Afrique du Sud pays au ban de la société mondiale pour son apartheid a transmis le pouvoir à l’ANC de Nelson Mandela depuis près de 30 ans  !

Contrairement à ce qui était promis avec l’avènement de la « Nation Arc-en-ciel », c’est le chaos, la ruine, la corruption, comme en somme dans l’Algérie du FLN. Les émeutes ethniques se rajoutent désormais au tableau en plus de la violence et des crimes à l’encontre des fermiers blancs encore présents…

Loin du politiquement correct, Bernard Lugan dans Breiz-Info en fait la relation loin de toute langue de bois et conformisme bien pensant !
A lire…

Afrique du Sud : derrière le chaos, le soulèvement des Zulus.

Le 18/07/2021.

Les très graves émeutes-pillages qui secouent l’Afrique du Sud depuis le 8 juillet dernier ont été déclenchées par la faction pro-Zuma de l’ANC (Zulu), avec pour objectif de déstabiliser la présidence de Cyril Ramaphosa (Venda), auquel elle reproche d’avoir évincé son leader en 2018. La présidence sud-africaine a d’ailleurs été très claire à ce sujet en parlant de « conspiration ethnique » et en inculpant douze hauts cadres zulu de l’ANC qui, selon elle, seraient impliqués dans l’organisation de ces émeutes. Dudane Zuma, un des fils de Jacob Zuma a, quant à lui, clairement appelé les Zulu à se mobiliser.

Tout le reste n’est qu’analyses journalistiques affligeantes de médiocrité et de superficialité, surtout quand elles présentent ces évènements comme s’il s’agissait d’une simple révolte sociale due à une crise économique aggravée par le Covid…

Le retour au réel passe par la mise en évidence de deux étapes distinctes, ce qui permet de ne pas confondre les causes et leurs conséquences:

1) Tout est parti du pays zulu, le Kwazulu-Natal, avec pour épicentres les villes zulu de Durban et de Pietermaritzburg, et cela, à partir du moment où Jacob Zuma a été incarcéré. Dans la région de Johannesburg, seuls les townships zulu ont été touchés. Il est remarquable de constater que les zones non-Zulu n’ont pas suivi le mouvement.

Les raisons de ce soulèvement sont claires : les Zulu n’acceptent pas le coup d’Etat de 2018 qui a abouti à l’éviction de Jacob Zuma par son vice-président Cyril Ramaphosa. Ils l’acceptent d’autant moins que ce coup de force fut suivi de poursuites judiciaires contre Jacob Zuma, considérées par eux comme une vengeance de ses adversaires ethniques au sein de l’ANC. D’autant plus qu’ils accusent à raison l’actuel président, l’ex syndicaliste Cyril Ramaphosa, d’avoir bâti sa colossale fortune sur la trahison de ses mandants. Nommé dans les conseils d’administration des sociétés minières blanches, il y fut en effet coopté pour son « expertise » syndicale, c’est-à-dire en échange de son aide contre les revendications des mineurs noirs dont il fut le représentant avant 1994 !!!

Considérant qu’à travers Jacob Zuma c’est leur peuple qui est attaqué, les Zulu se moquent de savoir qu’il était effectivement totalement corrompu. Englué dans plusieurs affaires de corruption, il a même été pris la main dans le sac d’une gigantesque entreprise de favoritisme d’Etat au profit de la famille Gupta[1] et une commission judiciaire fut désignée pour enquêter sur la gravissime accusation de « State Capture ». Ces gangsters affairistes d’origine indienne avaient en effet réussi à imposer leur droit de regard sur les nominations officielles, ce qui leur avait permis de placer leurs agents à tous les rouages de décision de l’Etat et des entreprises publiques.

Estimant que l’Etat-ANC est contre eux, les partisans de Jacob Zuma ont donc pensé qu’ils n’avaient que la violence pour s’exprimer. D’où les premiers évènements du début du mois de juillet, immédiatement suivis, comme toujours en pareil cas, de pillages d’opportunité associés à une puissante et sanglante vengeance contre ces commerçants-usuriers indiens qui, comme des sangsues, vivent aux dépens des paysans zulu. Et ce fut alors que la deuxième étape du mouvement se produisit.

2) Conséquence d’un mouvement politique, ces pillages sont le révélateur de la faillite économique et sociale[2] de la « nation arc-en-ciel » si lyriquement chantée par les naïfs au lendemain de la fin de l’ « apartheid ». Le bilan économique de bientôt trois décennies de pouvoir ANC est en effet désastreux avec un PIB qui ne cesse de baisser (3,5% en 2011, 2,6% en 2012, 1,9% en 2013, 1,8% en 2014, 1% en 2015, 0,6% en 2016, une entrée en récession en 2017 suivie d’un très léger rebond à 0,2% et 0,1% en 2019 et 2020). Les mines, premier employeur du pays ont perdu près de 300 0000 emplois depuis 1994. Quant aux pertes de production et de revenus, elles se conjuguent avec des coûts d’exploitation en hausse constants, cependant que les dramatiques coupures d’électricité ont eu pour conséquence la fermeture des puits secondaires et la mise à pied de dizaines de milliers de mineurs.

En réalité, depuis 1994, l’Afrique du Sud vit sur l’immense héritage légué par le régime blanc. Ses nouveaux maîtres de l’ANC n’ayant pas réalisé les nécessaires et colossaux investissements qu’il était pourtant urgent de faire afin de simplement maintenir les capacités de production. En plus de cela, le climat social a découragé les éventuels investisseurs qui ont préféré faire « glisser » leurs activités vers des pays plus fiables.

L’agriculture avait, elle aussi, perdu plusieurs centaines de milliers d’emplois avant le coup mortel porté aux fermiers le mardi 27 février 2018, quand le parlement sud-africain vota le commencement d’un processus de nationalisation-expropriation sans compensation des 35.000 fermiers blancs.

Résultat, au lieu de se combler, comme l’ANC le promettait en 1994, les inégalités se sont au contraire davantage creusées. Aujourd’hui 75% des familles noires vivent en dessous du seuil de pauvreté. Quant au chômage, il est officiellement de 30% de la population active alors que les agences indépendantes parlent de plus de 50% avec des pointes à 80% dans certaines régions.

Enfin, chiffre terrible pour tous ceux qui croyaient dans l’avenir de la société « post-raciale » sud-africaine, aujourd’hui, le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 !!! Ce qui a fait dire à un célèbre chroniqueur noir qu’au rythme auquel se décompose le pays, il va bientôt falloir se décider à en « rendre la direction aux Boers » !!!

Une remarque d’une grande profondeur car le soit disant héritage « négatif » de «l ‘apartheid » a, des années durant, servi d’excuse aux dirigeants sud-africains. Or, aujourd’hui, personne ne peut plus nier qu’en 1994, quand le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela incapable de le prendre de force[3], il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine. Force est également de constater que, libérée de l’ « oppression raciste », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.

Aujourd’hui, l’ANC n’est plus qu’une coquille vide ayant perdu toute forme idéologique et politique. Fragmenté par une infinité de facteurs, il ne survit plus que comme machine électorale destinée à distribuer des sièges de députés à ses membres. Quant aux masses noires totalement paupérisées, elles constituent un bloc explosif potentiel dont la colère se tournera un jour ou l’autre contre les Blancs qui n’auront plus que le choix entre l’émigration ou le repli vers l’ancienne province du Cap.

Décérébrés par l’auto-culpabilisation, par les glapissements des « décoloniaux » et par le sida mental introduit par la « culture woke » (voir à ce sujet mon livre Pour répondre aux décoloniaux), les chapons gras occidentaux continueront pourtant à se pâmer devant la figure tutélaire de Nelson Mandela, tout en continuant à avoir « les yeux de Chimène » pour le fantasme de la « nation arc-en-ciel ». Ne voyant pas que ce qui se passe actuellement en Afrique du Sud annonce le futur apocalyptique de l’Europe « multiraciale » préparé par les mondialistes, la Commission de Bruxelles et ce pape tiers-mondiste qui ne cesse d’appeler à l’accueil des « Autres »…

[1] Voir à ce sujet le dossier consacré à cette question publié dans le numéro du mois de juillet 2017 de l’Afrique Réelle (n°91) sous le titre « Jacob Zuma peut-il survivre au Gupta Gate ? ».

[2] Cette question sera développée dans le numéro du mois d’août de l’Afrique réelle que les abonnés recevront le 1er août.

[3] Voir à ce sujet mon livre « Histoire de l’Afrique du Sud des origines à nos jours ». Editions Ellipses, 2010. Disponible en librairie.

Plus d’informations sur le blog de Bernard Lugan.

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Cet article de 2019 :
LE BOOM DU MARCHÉ DES INFRASTRUCTURES EN AFRIQUE DU SUD

montre bien que l’Afrique du Sud a pris énormément de retard et négligé ses infrastructures léguées par le pouvoir blanc (en somme comme on le fait actuellement en France)  !!!

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35 Commentaires

  1. Il leur a suffi de 25 ans pour ruiner un pays prospère et développé , au même niveau que les pays européens.
    La même situation s’est passé en Haïti, ils ont dévoré le pays rapidement et les voilà qui débarquent avec hargne chez l’ancien propriétaire des lieux

  2. Le plus grand hôpital en Afrique du Sud à subi un grave incendie, les Bouches à incendie pour la plus part ne fonctionnaient pas par manque d entretien, peu de camions de pompier à arrivèrent sur les lieux la moitié de la flotte e étant en panne… Etc….

    • Je pourrais vous raconter une longue histoire vécue sur l’île macrotienne de Guyane, digne et même pire que la chanson de sacha Distel et sa grande échelle.

  3. dans les années 1950 quand j’y étais, c’était le « grenier de l’Afrique » et la « Cote d’Azur de l’Afrique » et le Ruanda et le Congo … c’étaient le paradis…

  4. Chassez le naturel, il revient au galop.
    Retour à l’age du bronze dans quelques décennies.

  5. continent maudit ou seuls les blancs ont réussi a augmenter le niveau de vie

    mais le « naturel » est bien vite revenu, et la ruine s’ est installée, la Rhodesie , devenue Zim Bam Boum, avec feu le fou Bébert mougabé a sa tête n’ est que la préfiguration de ce qui attend TOUTE l’ afrique, nord, sud,milieu, dessus, dessous …….

    LA RUINE !!!

    c’est comme ça…………ce continent qui est en train de tomber dans l’ escarcelle des chinois qui lorgnent dur sur ses ressources fabuleuses comme sur ses millions d’ hectares de terres agricoles…et qui trouveront aussi dans ces populations un inépuisable reservoir d’ organes humains de rechange …..QUE DIFFUSERA ALI EXPRESS A TRAVERS LE MONDE ENTIER……

  6. Je ne rajouterai à cette excellente étude de Bernard Lugan, le scandale de la loi raciste qui interdit de facto à un blanc d’être employé si un noir ayant la même qualification que lui postule pour le même poste. J’imagine la même loi ici en France….

    • D’où l’intérêt de détruire l’éducation nationale pour mettre nos enfants à leur niveau.
      Et s’il n’y a pas de loi en France (pour le moment), c’est déjà dans la pratique de beaucoup d’agences pour l’emploi où la préférence étrangère est de mise.
      Ils sont prioritaires dans beaucoup de domaines.

    • Pas du tout la priorité est d ’employer le noir , même si le blanc est plus qualifié ( j ‘assume cela ) Et bcp de petits blancs , ne sont pas à la fête pour l ’emploi et les revenus
      Beaucoup de fermiers bancs ( ceux qui ont pu ) sont partis en Australie , Canada , etc ..
      il y a eu ( comme en Rhodésie ) bcp de meurtres de fermiers blancs et pas que des fermiers
      C ‘est dans ce pays que j ‘ai vu toutes les maisons avec panneaux de sté de gardiennage , vigilance
      les noirs sont incapables de faire prospérer la terre
      Comme en RHODESIE , le grenier de l ‘ a fric ( enfin avant ..)
      tient avant les 2 pays les plus riches d ‘ a fric .. l ‘ al gérie et l ‘a fric du Sud ..
      Avant ils avaient les mines ( diamants et bien d ‘autres choses )
      Faut voir l ‘abandon qui prend le chemin des installations Rappel les installations du KATANGA , terminé

      https://www.persee.fr/doc/linly_0366-1326_1985_num_54_6_10702

      la viticulture , la pêche , la faune et les réserves , le tourisme , mais où cela en est il avec les violences ?
      Enfin oui cela peut donner une idée de ce que va devenir la France & l ‘occident avec le multiculturalisme qui avance à grand pas

      • je citais le KATANGA

        https://www.cairn.info/revue-politique-africaine-2004-1-page-21.htm
        retenons
        à partir du début des années 1980, la société publique est victime de la prédation des responsables du régime en place, qui vidangent le fonds de roulement de la société et détournent des cargaisons de métal à leur avantage
        la production de cuivre passe de 465 000 à 48 600 tonnes entre 1988 et 1993
        pareil dans bcp de pays du continent a fric ain
        y z’ont pas finit de nous envahir !!!

        des affaires pour les chinois

  7. C’est toujours la même histoire, les salauds de colons blancs bossent, modernisent le pays installent routes, infrastructures, hôpitaux, ports etc et puis après ils sont foutus dehors par une bande de « pauvres opprimés » qui ne savent que profiter de ce qui a été construit mais sont incapables d’entretenir quoi que ce soit tellement ce sont des glandeurs dans l’âme. Et après ils vont venir dans les pays civilisés réclamer une « réparation » et parasiter ceux qui bossent. L’histoire ne fait que se répéter..

  8. Certains Africains sont incapables de se gérer eux-mêmes, c’est dans leur mode de vie, quand ils viennent en Occident, ils reproduisent les mêmes erreurs, les mêmes conflits et entrainent toute la société dans le chaos.

    • Attention à ne pas mettre tout le monde dans le même sac !! J’ai ajouté « certains » pour éviter les complications judiciaires possibles.

      • Quel malheur d’en arriver là ! CERTAINS nazi étaient très méchants. Attention hein, pas tous… Ah si ? Tous c’est la loi. Bon ben tous alors. Mais pas les Africains, on est d’accord.

  9. 30 ans après la fin de l’apartheid, retour à la normale pour des populations incapables d’évoluer depuis des siècles et où l’on aurait jamais du mettre les pieds.Je vois là un copié-collé du Maghreb et de toutes nos anciennes colonies.
    Le pire, c’est que c’est nous qui les avons soigné et laisser se reproduire.

  10. encore un pays qui sombre comme bien d’autres sur ce continent : un vrai désastre

  11. Sans être une fine analyste géopolitique, voire même une médiocre, j’avais pressenti comme n’importe qui de sensé et ayant quelque discernement :
    a) la personnalité de Mendala a été surfaite, n’en déplaise à ses fans, sa réputation de grand homme s’étant bâtie sur le fait qu’il a été apparemment une victime parce-que opposant du régime d’alors – bien que j’avoue ne pas bien connaître grand-chose de cet épisode de l’histoire ;
    b) le déclin de l’Afrique du Sud dû à l’inévitable corruption, à l’avidité, au raisonnement primaire des dirigeants succédant aux Blancs aboutissant aux meurtres des seules personnes qui auraient pu transmettre dans la paix leur savoir-faire, et probablement d’autres causes plus néfastes les unes que les autres au développement de leur pays.
    Cela rejoint, en effet, ce que vivent certains pays du Maghreb après le départ des Français.

    • Nelson Mandela vint en Algérie rencontrer Ahmed Ben-Bella qui lui prodigua tous les « secrets » d’une guerre révolutionnaire. Les maitres à penser étant les Russes et les Chinois qui, du reste, se répartirent l’Algérie à l’Indépendance: Chinois sur l’Algérois, Russes Oranie jusqu’au Maroc.

    • Je rajouterai que c’est dans pour plus tôt que ce que les « gentils bobos bienpensants » croient.

  12. La civilisation ils n’en veulent pas c’est un truc de blanc. Ce qu’ils veulent c’est vivre en tribus comme au temps de la préhistoire. Même entre eux ils se font la guerre. On en tirera rien ce sont des bas du plafond. Méééé micron le bouffon ne voit que par eux, il les aime, les invite à l’Elisée, se fait peloter par eux et il en fait venir des millions, qui n’aiment ni la France ni les français.

  13. Il y a près de 20 ans, un journaliste demandait à un jeune haïtien ( ou était ce un africain) ? Que veux tu faire comme métier plus tard ?
    Le jeune répondit  » président de la République…. »
    Pourquoi? Osa le journaliste.
     » Pour avoir l’argent  » !!!! Lui répondit le jeune.
    Rien n’a changé et ne changera jamais.

  14. Je l’a dit et je le répète, en Afrique, quel que soit le pays, les noirs entretiennent des guerres tribales, interethniques, fomentent des révolutions, assassinent leurs dirigeants, etc. Comme l’Afrique du Nord, d’ailleurs. Le continent africain ne connaîtra jamais la paix. Tiens, c’est depuis que les colonisateurs ont fichu le camp.

    • Je rejoins totalement votre point de vue. Pas un seul pays « ex-colonisé » n’a été en mesure de poursuivre l’oeuvre BENEFIQUE des dits-colonisateurs entre autres au niveau de la santé et de la cohésion (souvent fragile) des différentes peuplades.
      Chassez le naturel il revient au galop.
      Cela étant il y aurait, en toute objectivité, de quoi s’interroger sur notamment les découpages de frontières qui ne tinrent pas comptes des diverses ethnies.

      • oui, mais le creuset français a bien su regrouper les Basques et les Bretons, les Corses et les Alsaciens,
        seulement , ces ethnies blanches sont civilisées, policées, réfléchies, travailleuses, etc.. là est toute la différence

        • @Fréjusien; Victoire. Bien sûr que les guerres tribales existaient avant les colonisateurs, et elles existent toujours. Les colonisateurs particulièrement la France avaient tenté le rapprochement qu’évoque fréjusien mais l’on peut comparer l’Occident avec l’Afrique; il aura tout de même fallu quelques siècles pour que les peuplent s’entendent. Mais l’on ne peut tout de même pas nier ni occulter, puisque l’on évoque les Basques, que les problèmes sont résolus. On ne peut occulter que même aujourd’hui il y a quelques soucis entre les gens de Bilbao et les Gallegos; de même en Belgique entre les Wallons et les Flamands.
          Pour revenir à l’Afrique la France a eut une réussite notamment au Sénégal où existaient des conflits sanglants entre les Wolofs et les Diolas. D’ailleurs il n’y a pas si longtemps que celà que l’on peut voyager en Casamance en toute sérénité.
          Cela étant je pense tout de même qu’il nous faut admettre que ces découpages le furent au regard des divers intérêts des colonisateurs qui, justement, n’avaient aucune conscience des différentes ethnies.

    • Il suffit d’admirer ce qu’ils ont fait de Haïti ou des militaires ( et autres) sont morts pour leur offrir « l’indépendance » et du pays qui a été construit par le civilisateur: l’Algérie.
      Ce continent ne sortira jamais de la noix de coco tombée de l’arbre et de la pierre taillée par le vent..

  15. Il est déjà tard pour certains blancs comme les fermiers qui ne peuvent plus vendre et les autres devraient avoir un sac de voyage à coté de leur porte.

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