L’Europe vue par les peintres russes : un amour sincère pour nos monuments, nos femmes, notre liberté !

Café parisien, 1890, Galerie Tretiakov, Konstantin Korovine (1861-1939), tant de beauté, tant d’amour pour l’art de vivre français !

Et l’on s’empresse d’ajouter…

…un amour dont est incapable l’islam.

Résumé :

Il est possible d’aimer la France quand on est étranger : la preuve en tableaux ci-après.

Mais on ne se demande jamais ce que l’islam nous a apporté artistiquement.

La réponse est simple : l’apport de l’islam en peinture, c’est le néant.

La raison : ils tournent le dos à tout ce qui n’est pas islamique et surtout, ils haïssent notre civilisation qui ne leur inspire que mépris et dégoût.

Pourquoi parler des peintres russes ?

Premièrement, en hommage à l’amour fou que portent des étrangers à nos paysages, notre histoire, nos monuments, nos femmes, notre musique, notre art de vivre et notre liberté.

Cet amour fou transparaît dans tous les tableaux qui sont évoqués ci-après et qui ne sont qu’un aperçu de collections très vastes. Ces tableaux nous bouleversent par la beauté captée par les peintres.

Deuxièmement, cet amour fou de la France, de l’Italie ou de la Grèce nous interroge et par contraste nous en dit long sur une autre réalité.

Pour faire court, nous n’avons rien à attendre de l’islam qui nous déteste et n’a jamais rien apporté de grandiose en treize siècles.

Aucun gribouilleur de l’oumma installé en France n’a jamais rien livré de sublime. Impossible de citer un seul tableau  témoignant d’un quelconque attachement ou d’un début d’admiration pour la France. Aucun amour de leur part pour quoi que ce soit de notre civilisation : on le voit dans la vie de tous les jours, les arts le confirment.

L’islam n’a jamais rien produit et ne fait que détruire, là où des étrangers appartenant à la même sphère culturelle, comme les Russes, arrivent à nous bouleverser par la beauté de leurs tableaux.

Voici donc la preuve en quelques  tableaux qu’il est possible d’aimer la France quand on est étranger.

source : https://fr.rbth.com/art/86528-europe-peintres-russes

Les peintres russes ont beaucoup voyagé à travers la France, l’Italie et d’autres pays à la recherche de sujets et d’inspiration.

Sylvestre Chtchedrine (1791-1830)

Le talentueux Chtchedrine est entré à l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg très jeune. Pour sa peinture de diplôme, il a reçu une médaille d’or et une bourse afin de voyager en Europe. En 1818, il s’est rendu en Italie, pays qui l’a captivé tant qu’il y a passé le reste de sa vie. Peintre de « plein air », il a constamment affiné ses compétences, réalisant un travail incroyable avec les couleurs et la lumière. Ses vues de Rome, Naples, Sorrente sont conservées dans les principales galeries d’art de Russie et sont innovantes pour l’art russe du début du XIXe siècle.

Colisée, 1819, Galerie Tretiakov

Terrasse à Sorrento, 1825

Petit port de Sorrente surplombant les îles d'Ischia et Procida, 1826

Nuit de pleine lune à Naples, 1828

Karl Brioullov (1799-1852)

L’artiste a vécu en Italie pendant de nombreuses années et a peint plusieurs tableaux sur des thèmes italiens (Matin italien a même été offert à l’impératrice Alexandra Feodorovna, épouse de Nicolas II).Le principal fruit des errances de l’artiste à l’étranger a été sa peinture monumentale la plus célèbre Le Dernier jour de Pompéi. Brioullov a cherché à représenter le chaos et l’horreur qui ont saisi la ville lors de l’éruption du Vésuve.

Matin italien, 1823

Jeune fille récoltant des raisins dans les environs de Naples 1827

Le Dernier jour de Pompéi, 1833

Célébration à Albano, 1833

Temple d'Apollon Epicourious à Figaleia, 1835

Ivan Aïvazovski (1817-1900)

La mer était l’élément principal d’Aïvazovski. Le principal peintre russe de paysages marins a réalisé des centaines de paysages de sa côte natale – il a travaillé sur les rives de la Neva à Saint-Pétersbourg, et sur la mer Noire, en Crimée (son rocher préféré pour la peinture de plein air a même été nommé en son honneur). Mais Aïvazovski a également réalisé une dizaine de peintures de la côte vénitienne, plusieurs paysages de Naples, ainsi que de Constantinople (Istanbul moderne). L’artiste s’est aussi rendu aux confins de l’Europe, à Lisbonne.

Venise, 1842

La baie de Naples la nuit au clair de lune, 1840

Venise, 1874

Voir ici (Internet) d’autres tableaux fabuleux sur le thème de Paris par Konstantin Kovorin : ne les cherchez pas à l’Institut du monde arabe !

 

Venise. Pont du Rialto, 1908

Paris. Saint-Denis. Années 1930

Ilya Repine (1844-1930)

L’auteur du tableau mythique Les Haleurs de la Volga était lui aussi un fin connaisseur de Paris. Voyageant à travers l’Europe grâce à une bourse de l’Académie russe des Arts, Repine n’était pas vraiment fasciné par Rome et Raphaël, mais a décidé de s’installer dans la capitale française où il a même loué un studio. Au cours des années passées dans cette ville, il a créé le chef-d’œuvre Sadko, ainsi que plusieurs tableaux célèbres basés sur des motifs parisiens.

Un vendeur de journaux à Paris, 1873

Café parisien, 1875

Garçon au mur du jardin. Montmartre, 1876

Vassili Sourikov (1848-1916)

Sourikov est au départ devenu célèbre pour ses toiles monumentales sur l’histoire russe – Le Matin de l’exécution des strelets, Boïarynia Morozova, La Traversée des Alpes de Souvorov et bien d’autres. Moins connues, cependant, sont les superbes aquarelles qu’il a laissées après avoir voyagé en Italie et en Espagne.

 

Milan, 1884

Rome, 1884

Arles, corrida, 1910

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7 Comments

  1. Et en retour, j’enjoins tous les sympathisant de RR à découvrir l’oeuvre magnifique du grand peintre Russe, Vsevolod IVANOV! Un artiste exceptionnel, qui a magnifié dans ses tableaux la prodigieuse richesse et la très grande beauté des plus anciennes Traditions, Comtes et Légendes de la Mythologie Slave! De l’Art « enraciné » à l’état pur!…

  2. La seule chose que l’islam est apporté au confort des humains, c’est le PQ…plus connu sous le nom de coran.

    • J’ai essayé. Mais l’ennui c’est que l’imprimerie
      laisse des traces noires…Sans quoi j’aurais volontiers continué à l’utiliser…

  3. Magnifique culture russe ! On peut dire ce que l’on veut de Poutine et de la Russie mais je me sens plus proche de ce peuple que des Saoudiens ou des Qataris.
    La musique, la peinture, la littérature, la langue, tout est plaisant chez nos amis slaves.

    L’un des rares reproches que je leur ferais, c’est d’avoir mis en pratique et diffusé le poison du marxisme/communisme. Parce qu’avec l’islamo-gauchisme, c’est ce qui fait notre malheur aujourd’hui. Mais peut-être ont-ils puisé leur inspiration dans les dérives révolutionnaires et celles de la Commune.

    Je me rappelle aussi d’une exposition au musée d’Orsay sur la peinture finlandaise du temps du Duché de Finlande (donc de la Russie impériale) : beaucoup de peintres finlandais ont également une histoire d’amour avec la France et Paris. Notamment Gallen-Kallela et Edelfelt (« Jardin du Luxembourg », « Louis Pasteur »…) ou une femme, Helene Schjerfbeck et ses beaux tableaux intimes.

    Mais je crois que l’histoire d’amour entre la Russie et la France avait commencé avec l’avènement de Catherine II de Russie.

    Et même avant puisqu’un roi de France, Henri Ier, s’était marié avec Anne de Kiev qui devint reine de France en 1051 puis régente. C’est l’aïeule de Philippe Auguste et de Saint-Louis.

  4. A la cour de Russie, on parlait français ! Chez nous, on va bientôt parler arabe, partout! Surtout à l’Elysee, où le petit sultan Ben Macron prend des cours de rattrapage linguistique! 🐷🐷🐷🐷🐷

  5. Voilà qui me rend encore plus honteuse de nos gouvernements qui s’échinent à faire passer la Russie pour le grand méchant, alors qu’elle a assez payé pour les erreurs de l’époque soviétique. D’ailleurs, on pardonne aux Allemands leur période nazie mais pas leur période communistes aux Russes ? Cet empressement à se soumettre à Berlin est écoeurant. La Russie est notre alliée depuis toujours et nous pourrions faire de grandes choses avec un partenariat privilégié avec elle.

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