Dans les cités, Strasbourg l’écolo a abandonné le tri sélectif  : c’est pour les kouffars !

Photo : au pied de la demi-lune, dans la cité, les bacs bleus et jaunes sont toujours là…

Mais à l’intérieur, tout est mélangé. Aucune notice informative sur les bacs ou autour : « ici il n’y a plus de tri ».

Une situation parfaitement assumée par la mairie écolo.

Strasbourg : sa future mosquée, ses cités, sa mairie islamo-écolo qui prend des grands airs à propos du changement climatique mais qui n’est  pas regardante sur la pollution engendrée par ses protégés…

Dans son programme électoral de 2020, madame visait bien plus haut que le tri sélectif, basse corvée réservée aux kouffars.

Elle visait rien de moins que la baisse de la température du globe :

Ici, il reste même de vieux autocollants explicatifs, « mais il n’y a plus de tri, les camions ramassent tout le même jour, et dans la même benne », explique une habitante.

Toujours les mêmes qui nous pourrissent la vie. Quand on parle de « quartiers populaires » chacun sait de qui il s’agit.

Avec leur façon de faire bande à part, de ne pas se mélanger pour mieux faire pression, à l’image de  leur islam complètement inassimilable.

Il est vrai que lorsque l’on vit comme à l’hôtel, comme des coqs en pâte, biberonnés de subventions de toute sorte, on ne se sent guère d’obligations envers le pays mécréant qui vous reçoit et paye la note chaque mois.

L’excuse, selon un intervenant qui les défend dans une interview (et qui vit du système) : ils sont au chômage, alors ils ont autre chose en tête que le  tri. Ah bon. Paye et tais-toi.

Le coût pour la collectivité de cette incivilité  est complètement indolore pour les habitants qui ne se plient pas au savoir vivre. Et le bâton évidemment inexistant.

Tant mieux pour eux, tant pis pour les autres. Les kouffars de payeurs.

Rue 89, extraits

Ophéa gère 20 000 logements sociaux dans l’Eurométropole, dont environ 4 000 au Neuhof, comme ici les immeubles dits « de la rue du Vercors »

Les cités du Neuhof ne disposent plus de poubelles de tri sélectif. À la place : 17 « bacs d’apports volontaires », pour un quartier de 20 000 habitants. Une spécificité de plusieurs quartiers populaires de la ville, assumée par l’Eurométropole.

La question ici, tout le monde se la pose. Béatrice (son prénom a été modifié à sa demande) habite la partie plus riche et résidentielle du Neuhof. Les grandes maisons individuelles ont chacune leur jardin privé. Et leurs poubelles de tri.

 À l’automne 2020, elle réalise à quel point les cités voisines sont jonchées de déchets, sans containers de tri à disposition des habitants. Elle appelle alors Ophéa :

 « On m’a répondu que des tentatives avaient été réalisées dans le passé, mais comme personne ne faisait attention, et que ça coûtait trop cher à la collectivité de refaire le tri, eh bien on avait arrêté ». Béatrice, 60 ans, habitante du Neuhof.

Béatrice en est restée muette au téléphone. « Je n’en revenais pas ! », lâche cette femme de 60 ans, très impliquée dans la vie du quartier et membre de plusieurs associations.

 

Sur les parkings de ces immeubles d’habitat collectif, les anciens containers de tri sont en effet toujours là. Vestiges d’un passé lointain (personne ne semble se rappeler des dates précises dans la cité). Il y a les couvercles bleus d’un côté, jaunes de l’autre. À tel point qu’un passant pourrait croire que le tri existe toujours. Mais il suffit d’ouvrir les poubelles pour comprendre : tout est mélangé. Des cartons de couches, avec des déchets ménagers classiques, et des canettes de soda. Quelques végétaux aussi. Et aucune notice explicative, comme il en existe habituellement sur les containers de tri.

 

Patricia a 58 ans, dont 37 passés dans un petit appartement du 1er étage de la « demi-lune », ce bâtiment emblématique du quartier. Géré pendant des années par CUS-Habitat (devenue Ophéa), il est sous la tutelle de la Somco depuis 2012, bailleur social historique mulhousien. Patricia se rappelle bien du moment où les bacs bleus et jaunes ont été installés au pied de son immeuble. « Mais il n’y a pas de respect ici, les gens jettent n’importe quoi, n’importe où. Ça ne sert à rien. »

 

« Les gens pensent que ça ne coûte rien, mais c’est faux ! »

Au loin sur le parking, une équipe de trois hommes embauchés par la régie de quartier ScoProBat ramassent les détritus de ceux qui ne prennent pas la peine de mettre leurs déchets dans les bacs. Équipés de gilets jaunes et de casques bleus, ils sont 80 à sillonner tout le quartier du lundi au samedi, 7 heures par jour. Parmi eux, Thierry, la cinquantaine et les yeux bleus perçants :

 

« À nous trois, on remplit 3 à 4 camions par jour, avec une quarantaine de sacs poubelles dans chaque camion ! Mais on n’a pas le temps de trier… Vous avez vu tout ce qu’on doit ramasser ! L’arrivée des écolos au pouvoir, ici ça n’a rien changé. »

« Les habitants jettent par la fenêtre leurs déchets », raconte Maxime, 22 ans : « Je comprends qu’Ophéa ait abandonné le tri. »

« Parfois il y a même des armoires, ou des bouteilles de gaz ! » s’emporte Maxime, 22 ans, qui vit ici avec son frère. Dans sa petite doudoune marron, le jeune homme raconte :

 « Les gens jettent leur sac poubelle, directement par la fenêtre ! J’habite au 2e étage, et je vois les sacs tomber d’en haut ! Moi j’ai arrêté de trier, à quoi ça sert ? Vous avez vu comme c’est sale ? Je comprends qu’Ophéa ait abandonné le tri dans ce quartier. »

 

Sandrine Gauthier est responsable du service Collecte et Valorisation des déchets à l’Eurométropole. En poste depuis 2002 dans ce service, elle revient sur l’historique du Neuhof :

 

« En 2005, le bac jaune fait son apparition dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants. On se rend compte rapidement à cette époque-là, que sur certains secteurs, notamment dans l’habitat dense et populaire, la qualité du tri n’est pas bonne. On se dit allez, on va ré-expliquer les consignes, re-sensibiliser. On l’a fait une fois, deux fois, vingt fois… Malgré ça, la qualité du tri reste mauvaise. »

 

Qu’est-ce qu’un mauvais tri ? « 80% de ce qu’il y avait dans les bacs ne correspondait pas, ni dans le bleu, ni dans le jaune », explique Sandrine Gauthier. L’argument devient alors financier :

« Quand les déchets arrivent au centre de tri, la collectivité paye les tonnes “entrantes”, que ce soit bien ou mal trié. Et une fois que l’on se rend compte qu’il faut écarter tel ou tel container car il est trop mal trié, c’est remis en tas, repris et envoyé à l’incinération. Donc on payait deux fois pour des déchets mal triés ! Et plus c’est mal trié, plus on payait cher. » 

Coût de la tonne de déchet à trier : plus de 100€. Coût de la tonne incinérée : 70€.

 

« Le tri des déchets n’est pas forcément une priorité pour les habitants »

Au Centre socio-culturel du Neuhof non plus, il n’y a pas de containers de tri. Excepté un vieux bac jaune, vide, qui trône à l’entrée du CSC. « C’est une relique ! » s’exclame Khoutir Kechab en riant. Le Strasbourgeois est directeur des deux CSC du quartier depuis 1996 :

 

« Ici on trie nous-même, dans des grands sacs, et on les emmène à la déchetterie, mais c’est vrai qu’un particulier n’a pas forcément cette motivation ».

 

Khoutir Kechab prône l’indulgence au sujet du tri dans la cité. Envers les habitants notamment. « Avec 40% de chômage chez les moins de 25 ans dans le quartier, on peut comprendre que le tri ne soit pas une priorité », détaille le directeur dans son grand bureau situé au cœur de la cité.

Rue 89, extraits

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25 Commentaires

  1. Et si je dis bien et si ,les ordures n’étaient pas ramassées pendant un long moment??? ces gens iraient se plaindre a la mairie qui pourrait leur répondre «  »Prenez votre quartier en charge «  » pour voir ce qu’ils diraient ………..

  2. et Oui la France est devenue le Musulmerdistan et l’Islamerdistan
    mais bon le gouvernement pourra toujours argumenter
    que la France est dans la Merde mais dans une Merde Halal

  3. Ils sont pauvres alors ils savent pas trier… comme d’hab on se fout de notre gueule

  4. Strasbourg comme le reste de la France est tombée bien bas !!! Même pas foutue de trier sa merde !!!

  5. « « Avec 40% de chômage chez les moins de 25 ans dans le quartier, on peut comprendre que le tri ne soit pas une priorité », »
    Les recherches d’emploi sont si prenantes et si fatigantes qu’ils rentrent chez eux le soir épuisés, et n’ont plus d’entrain pour trier.

    • . . . « et avec 40% de migrants clandestins et illégaux et 60% d’émigrés invasifs
      dans le pays en France , on peut comprendre que le tri n’a jamais été une priorité
      comme il n’a jamais été effectué » !

  6. Ben voyons : « bacs d’apports volontaires « .
    la chance pour la France de cette immigration importante, prend des formes tout à fait inédites. Dérogation écologique, par un maire écolo. ça en dit long sur la chance ;: une bonne nouvelle de conversion religieuse à venir, la promesse d’appartenir à l’Ouma ? qui sait ? Mais oui Me Barseghian vous avez toutes ces bonnes nouvelles à nous annoncer.
    Mais pour nous rien d’étonnant,la démission, la lacheté, la veulerie, la véléité de ces idéologues aurait vraiment ennuyé La Bruyère : tous les mêmes, lamentables.

  7. Je l’ai toujours dit que les écolos n’en nom que le nom , c’est la pire espèce avec les allogènes qui peut y avoir sur cette terre , à part contre pour faire chier et emmerder le français moyen ils sont là en se donnant des airs supérieurs nauséabonds de redresseur de tort ces ordures d’escrolos!

    • Les écolos, ce ne sont pas des lumières ; s’ils avaient inventé l’électricité, ils se seraient électrocutés avec. En plus ce sont des menteurs : ils roulent en 4×4, prennent des bains de 300litres d’eau, ont 23 degrés dans leurs logements, bouffent du homard et boivent du champagne millésimé, partent en vacances en avion, utilisent des cosmétiques polluants, mangent de la viande à tous les repas, et peut-être qu’ils ne trient pas ou mal leurs déchets, chassent les habitants des quartiers populaires pour y installer des lofts. Il n’y a rien d’écologique chez eux, sauf leurs pieds, qui sentent plus qu’un plateau de fromages, tellement ils les sollicitent pour tourner en rond toute la journée!

  8. Ca correspond à ce que j’ai connu en cité il y a 40 ans sauf qu’à l’époque il n’y avait pas de trie mais ils balançaient bien par les fenêtres et à côté des poubelles, les écologistes devraient déjà commencer par les bases ?

  9. et puis ce slogan propagandiste de la maire verte-islamique de Strasbourg
    « demain commence aujourd’hui »
    alors que les Strasbourgeois vont vivre grâce à leur maire et de par leurs fautes
    puisque les Strasbourgeois/es pour la plupart ont voté pour l’avoir comme maire
    à l’hère Mahométane et sous l’hégire de Muhammad
    c’est à dire des siècles et des siècles en arrière …
    et bientôt dans les rues et sur les trottoirs de Strasbourg
    il y aura non seulement les prières avec sourates et hadiths de tous ces enturbannés
    et également de tous ces barbus en djellabas-chèches-babouches
    mais aussi les égorgeurs et les trancheurs de têtes non seulement de moutons
    mais également de kouffars et qui ceux-là auront bien des têtes de Français-Alsaciens

  10. Devise réelle de la maire de Strasbourg, demain commence avant-hier! Et aujourd’hui la semaine dernière! Et pas merci pour la mochequée!

  11. A Villeneuve sur lot dans mon HLM, J’ai fait une remarque à une moukère très voilé, comme quoi elle ne triait pas, car son sac jaune transparent donné par la mairie laissait voir que ce n’était pas trier. Il y avait même des bouteille de verre.
    Réponse du cafard, les Français sont payé pour trier nos déchets.
    Premièrement elle ne voulait pas trier et deuxièmement elle nous considère comme des esclaves et troisièmement elle ne se considère pas française.
    Donc il font quoi en France à part nous parasité. Dehors les cafards.

  12. Il n’y a pas que dans les bacs que la ville devrait faire le tri !

  13. Ce « dépôt » sert même de supermarché aux glaneurs qui espèrent récupérer quelque petite chose abandonnée sciemment.

  14. Je profite de cet article pour signaler que par protestation contre le régime dictatorial actuel, je ne fais plus aucun tri non plus : je balance littéralement tout ensemble, ma priorité fondamentale, à présent, étant la défense des libertés fondamentales !

    • @leroux

      On peut protester pour la défense de ses libertés fondamentales et faire son tri. Je ne vois pas bien le rapport.

    • je ne pense que vous balanciez le tout par les fenêtres.
      Je ne m foule pas non plus, malgré les taxes « incitatives » exorbitantes, au final c’est le même prix!

  15. Conclusion, il faut faire un tri avec les producteurs de déchets et les renvoyer là où ils se plaisent le plus : leurs décharges d’origine..

  16. A Avignon, centre historique, quartier de teinturiers, c’est exactement la même chose. On ajoute des containers, et j’ai vu des véhicules 13 et 30 venir décharger leur coffre. Avec les encombrants déposés tous les jours, c »est une vraie décharge publique permanente que les riverains supportent. Cela a été signalé plusieurs fois, la municipalité reste muette.
    Ce n’est pas nouveau, cela dure depuis au moins le précédent mandat de Cécile Helle.

    • N’insultez pas ces animaux qui nous font tant de bien je vous en prie.
      Les porcs ne chient pas où ils mangent et inversement.
      Il y a d’autres comparatifs plus appropriés: punaises de lit, tiques, taenia….Non pas les mouches, les asticots peuvent rendre service. Les vertes à la rigueur 😉

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