Obtenir le statut de peuple autochtone ou disparaître ?

Un grand merci à Anne-Marie qui a accepté de faire, à ma demande, l’article ci-dessous. Le sujet est passionnant… et angoissant. « Quoi, nous en serions là ? Vous galéjez ! » vont dire certains de nos lecteurs.  

Justement, la question se pose, ou plutôt les questions se posent.

 A l’heure où le peuple français ne semble plus décidé à aller dans la rue défendre son identité, ses valeurs, ses intérêts, ses enfants ;  à l’heure où les élections sont tellement bidouillées, manipulées… que l’on doute parfois de pouvoir renverser la vapeur, même avec un homme providentiel qu’on n’a pas ;  à l’heure où le djihad bat son plein avec la complicité de nos dirigeants, élites, journaleux, universitaires, associatifs… faut-il encore espérer qu’on peut retourner la situation, sauver la France et tout mettre en oeuvre pour cela ou penser que tout est foutu  et qu’il faut sauver les meubles comme le propose Antonin Campana ? 

Nous attendons des commentaires à cet article des idées, des contre-idées, des arguments et des contre-arguments…  L’idée de lancer la démarche des peuples autochtones, s’il n’y a plus d’autre solution (à démontrer) me tenterait, certes, mais en même temps, peut-on imaginer, dans la mondialisation actuelle, totalement islamophile, pouvoir exister-résister par petits groupes, par petites communautés dans un pays qui, dans 20 ou 30 ans, sera complètement occupé et aux mains des musulmans ? Que peut-on faire pour que notre civilisation et nos enfants ne disparaissent pas ? 

Merci d’avance de vos idées, arguments, critiques… 

Christine Tasin

 

Le présent article est le résumé d’un triptyque écrit par Antonin Campana dans son blog « autochtonisme » intitulé « Agir pour la libération du peuple Autochtone ».

 

 Premier article : Agir pour la libération du peuple Autochtone : raisons d’être du projet autochtoniste.

http://www.autochtonisme.com/2021/03/agir-pour-la-liberation-autochtone.la-raison-d-etre-du-projet-autochtoniste.html

Antonin Campana part du constat de la proportion de plus en plus importante de la population allochtone étayée par des études de marketing ethnique disant qu’il y aurait autour de 16 millions d’allochtones et s’appuie également sur les prévisions d’Aymeric Chauprade  (dans son livre Chronique du choc des civilisations) et de Jean-Paul Gourevitch (dans Les Africains en France) qui laissent présager que les autochtones français seront minoritaires entre 2040 et 2050.

Compte-tenu de la situation de plus en plus difficile pour le peuple de souche et de la part de plus en plus importante de la population allochtone,  l’auteur en conclut qu’il est temps de sortir des « mirages électoraux » ou « des espérances apocalyptiques » qui tablent sur une crise économique gravissime pour enfin trouver la voie du salut.

En effet, bien que nous ne soyons pas encore minoritaires, notre culture, notre identité sont menacées comme si nous l’étions déjà. Et cela ne devrait pas s’arranger, la culture et l’identité du peuple historique étant de plus en plus rejetées par les minorités, dénoncées comme des manifestations de la suprématie blanche. Bref, les minorités rejettent notre histoire et notre civilisation et nos gouvernants ainsi que nos élites font de plus en plus droit à leurs revendications et accusations diverses, sans considération pour l’attachement légitime du peuple historique à l’héritage légué par les générations antérieures, au contraire, le méprisant et le salissant sans vergogne.

Comment empêcher que notre culture, notre mémoire ne disparaissent quand nous serons devenus minoritaires ? Se poser la question revient à se demander pourquoi telles minorités ont disparu quand  telles autres ont résisté malgré un environnement hostile. A quelles conditions une minorité peut survivre, bref quelles sont les conditions de sa résilience ?

 

L’histoire enseigne que les minorités résilientes partagent toutes des caractéristiques communes : elles sont organisées et structurées alors que les minorités qui ont disparu ne l’étaient pas. La force d’un groupe tient comme le dit l’adage dans l’union de ses membres, leur solidarité, leur soumission à un objectif commun : durer.

De fait, toutes les minorités résilientes partagent des traits communs : « forte endogamie, pratique de l’entre-soi et refus du prosélytisme, refus de l’assimilation, conscience ethnique affirmée, double règle de moralité (interne au groupe et externe), mise en place d’institutions parallèles à celles du groupe dominant (institutions religieuses, d’entraide, de justice, de pouvoir : synagogues et consistoires chez les juifs, kris chez les Roms…) »,

Exemples contemporains de deux minorités illustrant ce propos : les Serbes orthodoxes vivant  au milieu de populations albanaises musulmanes hostiles et les Gorami, Slaves convertis à l’islam, toutes deux du Kosovo.

Ces deux minorités sont endogames, vivent dans l’entre-soi, refusent l’assimilation. Ce qui les distingue tient dans la différence de structuration. Les Serbes sont organisés par et autour de l’Eglise qui assure le lien entre tous les Serbes du Kosovo, les représente, organise l’entraide. Elle intervient dans la vie sociale, l’enseignement, anime les réseaux humanitaires. Grâce à l’Eglise les Serbes du Kosovo sont restés soudés et résistent malgré les pogroms et les attentats.

Au contraire, les Goramis  n’ont aucune structure ni de réseau pour assurer leur cohésion, aussi beaucoup émigrent, préférant parfois se dire « Bosniaques » et disparaissent progressivement, leur population actuelle tournant autour de 6000 individus.

Le peuple autochtone français est actuellement comme les Goramis : sans cohésion, sans objectif commun alors que l’histoire montre que la résilience des minorités tient dans leur organisation interne, facteur de développement et de force.

Il ne faut pas compter sur la République qui est acquise au mondialisme et ne connaît pas de peuple historique mais simplement des citoyens (et des électeurs ? note personnelle). A supposer qu’un président patriote soit élu, les chances de survie d’un pouvoir patriote ne dépasseraient pas 25 à 30 ans, conséquence de la démographie défavorable.

La submersion migratoire sans précédent, jointe à l’injonction de « créolisation » sinon de métissage de plus en plus pressante faite au peuple autochtone n’offrent pas d’autre planche de salut que l’obtention du statut de peuple autochtone à l’instar des Juifs, Roms, Kosovars et en France des Kanaks (accords de Nouméa pour ces derniers) si toutefois le peuple autochtone veut survivre et préserver son identité, sa culture, et la mémoire de ses ancêtres à travers son histoire. Car il est certain que le travail de sape qui a débuté et s’accélère dans notre histoire, notre patrimoine, notre identité, se poursuivra et que nous sommes voués à disparaître sans regret de personne, à l’instar des Boers d’Afrique du Sud, accusés de tous les maux pour justifier sans le dire expressément leur disparition « méritée » et ainsi rédimée.

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Deuxième article : Agir pour la libération du peuple Autochtone : Déclaration des droits du peuple autochtone français.

http://www.autochtonisme.com/2021/03/agir-pour-la-liberation-autochtone-declaration-des-droits.html

 

Antonin Campana propose ce qui pourrait être la Déclaration des droits du peuple autochtone français conformément aux droits reconnus par l’ONU aux peuples autochtones en vue de préserver et protéger leur culture, leur mode de vie, leur identité menacés suite à leur annexion ou leur conquête par d’autres peuples.

Elle comporte une dizaine d’articles détaillant quels pourraient être les droits spécifiques propres au statut de peuple autochtone : droit à l’existence (comprenant le droit d’écrire sa propre histoire); droit à l’égalité (mêmes droits que les autres citoyens, sécurité, contre discriminations en raison de religion, origine, histoire ou blanchité) et droit à l’autochtonie comme les Kanaks; droit à la dignité (ne pas être assimilé de force, garder sa culture sociétale); droit à la prééminence sur sa terre ancestrale (comme les Kanaks sur la leur); droit à la différence (droit de protéger, préserver, développer son patrimoine culturel et sa mémoire); droit au respect (être consulté pour des décisions qui impactent le statut); droit à la sécurité (des personnes autochtones et de leur patrimoine); droit de veto; droit d’auto-détermination.

 

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Troisième article : Agir pour la libération du peuple Autochtone : le plan d’action pour former la communauté autochtone de base.

http://www.autochtonisme.com/2021/03/liberation-autochtone-pouvons-nous-compter-sur-vous.html

 

 

Compte tenu du fait que jusqu’à présent aucune personnalité patriote (à l’exception de Renaud Camus) n’a su ou pu lancer un appel à la réunion d’un « Congrès national-autochtone » qui aurait permis comme aux Juifs, Roms ou Kosovars de s’instituer en Parlement et de nommer un « Gouvernement », bases préalables à la création d’un Etat parallèle autochtone à même « de mettre en ordre de bataille le peuple autochtone », Antonin Campana conclut que son militantisme à travers son blog n’a pas réussi à convaincre ces personnalités expliquant son échec par leurs activités accaparantes et très conscient que « le caractère trop radical et disruptif du projet autochtoniste » pouvait effrayer.

Il faut donc changer de stratégie, la solution ne viendra pas des élites politiques patriotes. Antonin Campana propose « une stratégie alternative, non pyramidale, facile à mettre en oeuvre rapidement pourvu que le nombre d’Autochtones conscients prêts à l’adopter soit suffisant ».

 

Cette stratégie s’appuie sur le constat qu’internet est un nouveau « théâtre d’opérations ». Ainsi en a jugé le Pentagone, puis des pays tels que les USA, la Chine, Israël, Royaume-Uni, la France) qui ont constitué des « armées digitales » pour défendre leurs intérêts nationaux et diffuser « une propagande internet d’Etat ».

L’auteur propose aux internautes patriotes qui utilisent les réseaux sociaux pour défendre la cause patriote de le faire de façon structurée en devenant des « soldats digitaux » organisés en équipes de 5 personnes (ou cercles structurels)  en liaison avec « un cercle d’ancrage ». L’objectif assigné à ces unités de combat digitales étant la défense de la cause patriote et le recrutement d’autres soldats digitaux. Antonin Campana précise que les termes de « guerre » ou de « combat » ne sont que des métaphores.

Le rôle du « cercle d’ancrage » est de former l’Armée digitale autochtone : « il donne l’impulsion à l’organisation qui doit ensuite s’auto-engendrer en toute autonomie » selon le principe de l’holacratie dont le cercle est le symbole pour signifier l’organisation horizontale de fonctionnement. En outre, il enregistre les volontaires de façon anonyme et les affecte dans les « cercles structurels ».

Chaque cercle culturel ou équipes de soldats digitaux est autonome : il décide de ses objectifs, méthodes, discipline interne et de là où ils interviennent (tel site internet, facebook, Instagram, youtube…)

Pour devenir soldat digital, fournir au cercle d’ancrage une adresse mail dédiée à l’activité, le numéro de département et un prénom quelconque. Le volontaire s’engage respecter « les règles de fonctionnement » de l’Armée digitale autochtone et à un devoir de loyauté et de fidélité.

A tout moment, il sera possible à un soldat digital de démissionner.

La constitution de cette Armée digitale n’est pas l’objectif final mais le préalable à la formation d’une communauté autochton souligne Antonin Campana. Elle n’est que le moyen d’assembler et organiser la fraction consciente du peuple autochtone.

Dans un second temps, cette Armée virtuelle doit s’incarner dans le monde réel sous forme de communautés locales autochtones.

Ces communautés doivent être des réseaux de sociabilités, d’entraide mais aussi de combat et seront des cellules de base d’une société parallèle autochtone, permettant de résister aux dissolutions de la société multiethnique.

 

Quand ce palier sera atteint, le Congrès autochtone fondateur sera constitué d’un ou plusieurs représentants de chaque communauté locale. Ce Congrès se proclamera Parlement et nommera un « Gouvernement », posant les fondations d’un Etat parallèle autochtone.

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Ce résumé de trois articles a mis de côté bien d’autres éléments très utiles à connaître pour étoffer la notion de « peuple autochtone » appliquée au peuple français que l’auteur a développé dans un PDF d’une trentaine de pages, bien avant la rédaction de ce triptyque d’articles qui s’y réfère.

J’incite fortement les lecteurs qui voudraient en savoir plus à visiter ce blog

 

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30 Commentaires

  1. La première des choses, c’est de désigner son ennemi ! mais les lois Pleven et Gayssot nous l’interdisent ! c’est pour cela qu’ils sont forts ! Trouvez-vous normal, qu’avec cette 5ième on ait eu 2 sbires des Rotschilds ? et je pense que le 3ième est en préparation, car le caniche actuel est mort !!!

  2. Demander cette appellation de minorité autochtone serait je crois une erreur.
    Parce que la demander revient a acter une acceptation du fait de partage de notre Nation.
    Hors, nous ne devons en aucune manière accepter de partager notre Terre, avec qui que ce soit.
    Nous, nous sommes chez nous, et nous acceptons qui nous voulons, quand nous le voulons, et pour le temps que Nous, nous le voulons.
    Ce n’est pas négociable.
    Il faut mieux prendre les armes et mourir s’il doit en être ainsi.
    Que de commencer a lâcher notre culture, notre histoire, notre civilisation bout par bout, comme c’est le cas aujourd’hui.
    Aux armes maintenant que nous pouvons encore démographiquement y parvenir.
    Il vaut mieux une guerre, aussi civile, sale et meutrière soit-elle que la soumission et l’asservissement de nos enfants et de notre peuple.
    Vivre libre ou mourir!

    • C’est un argument qui se tient également… nous sommes devant un de ces choix historiques, comme celui fait par les Résistants de Masada… tous mourir ou bien négocier pour que d’aucuns restent vivants et transmettent leur culture, leurs gênes…

      • Bonjour Christine,
        Vous parlez de Masada. Je connais bien cette période pour l’avoir étudiée en histoire.
        Les résistants de Masada se sont faits massacrés et n’ont rien transmis; S’il n’y avait eu qu’eux, le peuple juif aurait disparu.
        Par contre, dans le même temps, des Juifs eux-aussi résistants se réunissaient à Yavné. Ils ont imaginé un moyen de rassembler le peuple juif, en danger mortel de dilution (la dispersion), hors des cadres traditionnels qui avaient disparus (le Temple avait été détruit). Cela a donné le judaïsme. Ces Juifs n’ont rien négocié, bien au contraire. Ils se sont adaptés et sont toujours là (Terre autochtone les donne en exemple je crois).
        Merci pour tout ce que vous faites, Christine !
        Sarah

        • Merci Sarah pour ce complément que je n’avais pas développé en effet tant cela me paraissait clair, mais en fait beaucoup de personnes ne connaissant pas Masadaet par ailleurs vous rappelez très justement Yavné, merci à vous.

    • Bonjour Daniel,
      Antonin Campana ne demande aucune « appellation » particulière : il exige le « droit à la prééminence » de notre peuple sur ses terres ancestrales (conformément à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones). Cette « lutte pour les droits » (Campana) est un moyen de rassembler et d’agir de manière stratégique. Les autochtones sont isolés alors que les allochtones sont rassemblés en communautés organisées. Il faut commencer par rompre cet isolément. Le site « Terre autochtone » (autochtonisme.com) propose un moyen. A terme, il faut pouvoir créer une « société parallèle autochtone » et un « Etat parallèle autochtone ». Après, la remigration ne sera plus un fantasme. Désolée de vous le dire Daniel, mais tout seul, vous ne ferez rien…
      Sarah

  3. Toutes ces propositions sont louables,mais quand on regarde la réalité,il ne fait aucun doute que d’ici une trentaine d’années la France sera aux mains des islamistes !
    Par conséquent ce qu’il faudrait faire aujourd’hui c’est une révolution,une réedition de celle de 1789 !
    Concrètement cela signifie pour prendre un exemple récent attaquer la Maire de Strasbourg et ses pourritures de conseillers municipaux qui offrent des millions d’euros pour une mosquée,qui laissent crever nos anciens dans les maisons de retraite,qui suppriment des lits d’hôpitaux,etc..
    Les oligarques gauchistes qui se goinfrent et se vautrent dans la luxure dans leurs résidences privées (par exemple Olivier Duhamel à Sanary,etc…) !
    Toutes les actions de cette espèce de manière à déstabiliser le pouvoir dictatorial mis en place par Macron et ses sbires !
    Compte tenu de la léthargie dans laquelle la majorité du peuple français est plongée,il est peu probable que ce scénario se mette en place !
    C’est plus que regrettable,mais pour le moment,c’est ainsi !
    Maintenant,envisager des solutions comme celles qui sont préconisées dans cet article pourquoi pas,c’est mieux que rien !

  4. Je dirais même plus: j’aimerais, un peu comme au Moyen-âge , vivre en petites communautés rurales autonomes. Mais! Pierre Hillard explique dans Chroniques du mondialisme qu’il y a un plan de l’UE qui  soutient les dialectes, régionalismes, zones transfrontalières avec les crédits Interreg, etc.  Exemple la Regio Insubrica qui devrait être la fusion entre une partie de l’Italie du Nord (Lombardie) avec une partie de la Suisse (Tessin) justement pour créer des zones qui vont échapper à l’autorité du gouvernement national et aller directement sous l’autorité de Bruxelles. Soit démanteler les nations, diviser pour régner. Cependant dans le cours de l’Histoire il y a une succession de centralisation- décentralisation, unification – morcellement.

  5. C’est facile à comprendre : Immigration massive extra-européenne imposée par l’Union Européenne (de l’ordre de 500.000 individus par an) + immigration-invasion clandestine extra-européenne du même ordre de grandeur + rapprochement familial + droit du sol + profusion des naissances avec une ou plusieurs épouses…. »Quel sera le sort des autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ?  » suivant récit love story « les corps indécents ». Cette question sera sur toutes les lèvres d’ici une décennie. Qui peut encore douter de la réponse ?

  6. Si Giscard a, je crois inconsciemment, ouvert les vannes avec son rapprochement familial, le pire a commencé à l’élection de Mitterand que les Français ont tout de même gardé 14 ans au pouvoir, il y a donc 40 ans que cela dure. Ce qui veut dire que des générations de Français n’ont pas connu la France d’avant : la France pratiquement sans immigration musulmane, ou minime, la France économiquement florissante, la France créatrice bien en avance sur les autres pays (TGV, le Concorde avec le concours des Anglais, etc…), la France de la technologie nucléaire pour ne citer que quelques exemples. Combien de Français d’aujourd’hui ignorent tout cela à l’âge de l’électronique, outil qui passionne les jeunes générations et qui, sans que beaucoup s’en rendent compte, modifie la culture par un bourrage de crâne continu que l’on fait semblant de ne pas écouter. Partant des conséquences de ces 40 années, comment espérer former un groupe d’opposition solide au gouvernement actuel ? Les Français grognent facilement mais sans cohésion, les groupuscules d’opposition semblent refuser de se grouper pour former une véritable force. Sans un tel groupement, qui exige de faire l’effort d’oublier les différences, le développement d’une force politique pouvant reprendre le pouvoir est difficile à envisager. L’Amérique, suite à des élections fort contestées, est en train de subir un choc qui paralyse de nombreux Américains. L’énorme différence avec la France est que ces Américains ont connu l’Amérique d’avant, ce qui permet d’espérer, alors que l’espoir pour la France est extrêmement difficile… Mais qui sait ?      

    • En effet, les Américains descendants des pionniers européens, sont plus près d’être minoritaires que nous d’où leur soutien à Trump et leur réaction contre la fraude massive électorale. Je pense qu’à terme si beaucoup de Français et en général d’Européens autochtones finissent par prendre conscience ils pourraient s’engager dans une solution semblable et créer par la suite une sorte d’union ! Rêvons un peu !

    • J’ai connu le monde d’avant et j’affirme que les nouveaux venus nous ont tout volé. À commencer par Paris

  7. on peut toujours rêver !!!!!! comme tout le reste………
    je pense plutôt à tous se convertir à l’islam pour pouvoir le détruire de l’intérieur…….on peut toujours rêver, non ?????

  8. Nous en serions là ? oui puisque j’avais mis un commentaire il y a peu, quand j’ai écouté une anthropologue parler DES PEUPLES RACINES, qui demandaient à l’ONU une protection administrative, juridique, pour préserver leur identité, leurs coutumes, leur territoire, leur façon d’être et de vivre ! j’avais été frappée d’entendre cette anthropologue, dire les mots « ‘identité » pour ces peuples, alors que nous avions les mêmes revendications, que l’on nous dénies ! je l’avais ressenti très fort, et à n’en pas douter, cette anthropologue berbère, n’aurait pas compris, en ce qui concerne le peuple français de souche, quand elle parlait avec passion des peuples « exotiques  » (j’emploie ce mot à dessein ) qu’elle défendait
    Alors oui , à la vitesse où vont les transformations, ce que dit Mr Campana est plausible, je n’attend plus de résultat des élections, je ne suis pas la seule évidemment .
    J’avais mis un espoir dans le mouvement des Gilets jaunes, qui demandait le RIC ! et que fait Macron : des petits comités de quinze pour régler les problèmes !
    Et qu’est ce que cela fait, si nous avons cette démarche de survie, cela permettra peut être de faire prendre conscience au peuple de là où nous en sommes, ainsi qu’à cette technocratie, tout en ayant une démarche concrète ‘ ( et d’espérance ) .

    • On devrait nous inscrire au patrimoine mondial de l’humanité, au titre de population en voie de disparition!

      • L’idée est bonne en effet ! Le problème est que nos élites n’ont pas envisagé cette possibilité pour nous. Le patriotisme est assimilé à un racisme voire à du suprématisme blanc.

    • En effet, Denise, et merci aussi à vous, mais ce n’est pas la voie la plus facile, beaucoup préféreront celle de l’autruche ou celle de la grenouille qui se sent de moins en moins bien dans son bain jusqu’à ce qu’elle se retrouve cuite ! Le plus difficile sera d’admettre la situation dans sa réalité et d’accepter le choix crucial : refuser la disparition et lutter en s’organisant au sein d’une communauté parallèle ou bien se soumettre à l’idéologie mondialiste remplaciste qui veut notre disparition et nous y aide en nous rappelant sans cesse les méfaits exceptionnels de nos ancêtres ?
      Mais ce sera très difficile de lutter à contrecourant, dans un environnement hostile en se faisant traiter de fasciste, de raciste, pires que les pires djihadistes alors que l’on n’aura aucun sang sur les mains, juste pour nous constituer en communauté autochtone de survie. Nous aurons un sort de parias et l’insécurité nous menacera, aussi bien celle des antifas que des allochtones, encouragés à nous considérer comme des ennemis. Alors que nous ne voulons que survivre en tant que Français autochtones.

  9. Etre est le fruit d’un passé de son environnement qui engendre volonté de le faire fructifier afin de contribuer à un meilleur avenir. Chaque vie peut être, idéalement, considérée, comme une semence de son espèce, vouée à son épanouissement, pour ne pas disparaître.

  10. Il faudrait déjà fonder un parti où seuls les autochtones seraient admis, ce qui éviterait déjà les phénomènes d’entrisme, ou de noyautage. Il faudrait arriver à convaincre les autochtones que leur survie est en jeu et leur groupe en péril. Et enfin que les autochtones, conscients du danger qui les guettent, votent enfin pour le parti! Ce qui n’est pas une mince affaire!

  11. Je sais les français en plein désarroi, mais qu’ils ne baissent pas les bras et surtout qu’ils n’attendent d’aide de personne. Nous sommes les seuls à pouvoir faire quelque chose. La police commence à se ranger du côté des peuples et c’est très bon signe ! regardez cette vidéo et vous verrez que cela bouge de plus en plus ! Courage à tous et tenez bon !https://planetes360.fr/sonia-vescovacci-une-policiere-espagnole-lance-lalerte-il-est-urgent-dagir/

  12. Le problème de notion de peuple autochtone est que ça va mettre de côté beaucoup de Français qui ont leurs ancêtres ailleurs, particulièrement venus des pays européens. Les Français frontaliers avec l’Espagne, l’Allemagne ou l’Italie par exemple. Je pense qu’il y a toujours eu des mouvements aux frontières puisqu’il y avait peu de distance à franchir. Et n’oublions pas les Français aux origines étrangères qui se sont assimilés.
    Le problème, c’est qu’il faudrait prendre au cas par cas ceux qui sont devenus français depuis les années 60. Pour moi, le problème vient majoritairement des « néo-Français » d’origine africaine (Maghreb inclus). Ce sont eux qui ont refusé en masse de s’assimiler. Annuler les naturalisations de ces gens reviendraient évidemment à faire de la discrimination et je ne vois aucun politique ayant le courage de le faire.
    Il faut affirmer que le Français autochtone est une personne blanche de type Européenne, de culture helléno-chrétienne. Et il faudrait faire pareil pour tous les peuples européens, au passage. Ensuite, il faut revendiquer nos racines, nos coutumes et mode de vie et évidemment nos particularités physiques. Ce n’est pas de la suprématie de dire que nous sommes fiers d’être Blancs, d’être des descendants des Celtes, Grecs, Romains, Slaves, Vikings et j’en passe.

    • Vous avez raison en effet par rapport aux Français de coeur et aux Français européens. Mais le problème existe dans toutes les communautés qui tiennent à leur identité : par exemple chez les Juifs, pas mal d’entre eux ont des conjoints qui ne sont pas juifs, cela n’a pas empêché à leur minorité de traverser les siècles. Ce qui compte c’est l’adhésion totale à l’identité française historique, l’abandon de l’identité autre, notamment en cas de conflit. Des Français d’origine espagnole pourront préférer devenir des Autochtones ibères plutôt que des Autochtones français ! Autre exemple, une personne comme Malika Sorel. Imaginons que dans une vingtaine d’années, la France soit islamisée et que son mode de vie ait été largement modifiée et sa culture et civilisation tombée dans l’oubli ou dans l’indifférence. Je pense que cette personne choisirait le statut autochtone ayant plus à y gagner que de garder son identité arabo-musulmane maghrébique. Le tout est de veiller à ce qu’il n’y ait pas trop d’étrangers pour ne pas retomber dans la même situation qu’aujourd’hui.

    • A propos de « revendiquer nos racines, nos coutumes et modes de vie et particularités physiques », le problème est qu’actuellement c’est assimilé à du racisme par la République et les élites. Le métissage est promu par la publicité et encore discrètement par les élites et les medias. La dissolution de Génération Identitaire signifie peu ou prou la criminalisation de la revendication d’identité européenne laquelle est d’ailleurs de plus en plus niée à travers des fictions prétendument historiques cf les productions de la BBC ou la série la Chronique des Bridgeston où un duc français est joué par un Africain subsaharien ! Toute protestation est assimilée à du racisme et à du suprématisme blanc. C’est la raison pour laquelle aucun leader politique patriote n’a osé jusqu’à présent défendre cette identité européenne malgré l’évidence du choc démographique en cours. Donc, il faut que le peuple de base qui ne veut pas disparaître se prenne en main en créant progressivement une communauté parallèle au groupe dominant soumis à l’idéologie mondialiste. Tel est le sens de la démarche de Campana. L’obstacle : le terrorisme de l’idéologie mondialiste de plus en plus menaçant amplifié par la terreur et la soumission des autochtones qui l’ont accepté. En outre, pour revendiquer quoi que ce soit, encore faut-il pouvoir compter sur un groupe qui vous soutienne ! Ce qui empêche les gens de revendiquer quoi que ce soit en ce sens, c’est l’absence d’un groupe bien identifié sur qui compter. Il ne faut pas oublier que l’être humain est un animal social dont la plus grande terreur est d’être rejeté de son groupe. C’est inscrit dans son cerveau reptilien. D’où la terreur actuelle qui sévit dans les rangs des Français historiques dont plus de la majorité est contre l’immigration massive et supporte néanmoins la dictature mondialiste de plus en plus oppressante et de voter contre le seul parti patriote depuis des décennies.

      • « D’où la terreur actuelle qui sévit dans les rangs des Français historiques dont plus de la majorité est contre l’immigration massive et supporte néanmoins la dictature mondialiste de plus en plus oppressante et de voter contre le seul parti patriote depuis des décennies. » Cette trouille de l’électeur est inexcusable !

  13. Plusieurs fois j’ai fait part sur ce site de la présence à l’Onu de la Déclaration de l’Onu sur les peuples autochtones. Le peuple français est le peuple autochtone sur les terres de France c’est le Larousse qui le dit. Et ce dictionnaire est politiquement correct comme on sait.
    Mais pas d’écho ni ici ni ailleurs quand je fais part de ce texte qui est une bombe pour qui veut l’exploiter.
    Je suis heureux de trouver ici des gens qui se préoccupent de ce problème, le texte est limpide et il vient de lOnu !

    • Peuple autonome ! il suffit de faire le ménage et le problème sera immédiatement résolu ! n’oubliez jamais jamais : « la valise ou le cercueil » à nous de l’appliquer aujourd’hui .

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