Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, virologue indépendant et expert en vaccins, anciennement employé par GAVI et la Fondaton Bill & Melinda Gates.
A toutes les autorités, scientifiques et experts du monde entier, à qui cela concerne : la population de l’entre-monde.
Je suis tout sauf un antivaxxer. En tant que scientifique, je n’ai pas l’habitude de faire appel à une plateforme de ce type pour prendre position sur des sujets liés aux vaccins. En tant que virologue et expert en vaccins, je ne fais exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administraton de vaccins d’une manière qui menace la santé publique, et plus particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, m’oblige à lancer cet appel d’urgence. L’ampleur sans précédent de l’intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risquant maintenant d’entraîner une catastrophe mondiale sans équivalent, cet appel ne peut être lancé assez fort et assez fermement. Comme je l’ai dit, je ne suis pas contre la vaccination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vaccins actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, et même très dangereux, lorsqu’il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale. Les vaccinologues, les scientfques et les cliniciens sont aveuglés par les efets positfs à court terme dans les brevets individuels, mais ne semblent pas se soucier des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. À moins qu’on ne me prouve scientfquement que j’ai tort, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variantes en circulaton de se transformer en monstre sauvage.
Dans une course contre la montre, je suis en train de terminer mon manuscrit scientifique, dont la publicaton risque, malheureusement, d’arriver trop tard, étant donné la menace toujours plus grande que représentent les variants hautement infectieux qui se propagent rapidement. Lundi dernier, j’ai présenté aux organisations sanitaires internationales, dont l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle, fondée sur des connaissances scientifiques de la biologie immunitaire de Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en compte mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle « fuite immunitaire virale ». Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine, je joins ci-dessous une version plus accessible et compréhensible de la science derrière ce phénomène insidieux. Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai reçu aucune réaction jusqu’à présent.
Les experts et les politiciens sont restés silencieux alors qu’ils sont manifestement toujours désireux de parler de l’assouplissement des règles de prévention de l’infection et de la « liberté du printemps ». Mes déclarations ne sont basées sur rien d’autre que la science. Elles ne peuvent être contredites que par la science. Alors que l’on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfère rester silencieuse. Des preuves scientifiques suffisantes ont été mises sur la table. Malheureusement, elles ne sont pas prises en compte par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que l’évasion immunitaire virale menace désormais l’humanité ? Nous pouvons difficilement dire que nous ne savions pas – ou que nous n’avons pas été avertis. Dans cete lettre angoissante, je mets en jeu toute ma réputation et ma crédibilité.
J’attends de vous, gardiens de l’humanité, au moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat. Par tous les moyens : renversez la vapeur!
Auteur: Geert Vanden Bossche, DVM, PhD (6/03/2021) – https://www.linkedin.com/in/geertvandenbossche/
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L’article ci-dessous est assez pointu et long (et rempli de fautes d’orthographe et de I manquants (la personne qui a tapé a-t-elle un souci avec la lettre i de son ordi ?). Toujours est-il que j’ai corrigé le plus possible le début mais que j’ai renoncé, ayant trop de travail par ailleurs, et à corriger et à synthétiser l’article. Je pense qu’il faut faire confiance au docteur Bossche quant à ses conclusions et lire le début de sa démonstration ci-dessous pour comprendre pourquoi et comment il lance ce cri d’alarme, sans culpabiliser si on ne comprend pas tout de ce qu’il écrit.
Christine Tasin
URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE DE PORTÉE INTERNATIONALE
Pourquoi la vaccinaton de masse en cas de pandémie crée un monstre irrépressible
LA question clé est la suivante : pourquoi personne ne semble se soucier de l’échappement immunitaire viral? Je vais essayer de l’expliquer à l’aide d’un phénomène plus facile à comprendre: la résistance antmicrobienne. On peut facilement extrapoler ce féau à la résistance à nos propres « antbiotiques » antviraux. En efet, les antcorps (Abs) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antbiotiques antviraux fabriqués par nous-mêmes, qu’ils fassent parte de notre système immunitaire inné (Abs dites « naturelles ») ou qu’ils soient produits en réponse à des agents pathogènes spécifiques (résultant en Abs dites « acquises »). Les Abs naturelles ne sont pas spécifiques à un germe, alors que les Abs acquises sont spécifquement dirigées contre l’agent pathogène envahissant. À la naissance, notre système immunitaire inné est « inexpérimenté » mais bien établi. Il nous protège contre une multiude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces derniers de provoquer des maladies. Comme le système immunitaire inné ne peut pas se souvenir des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas de « mémoire immunologique »), nous ne pouvons continuer à compter sur lui que si nous l’entraînons suffisamment. L’entraînement se fait par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes. Cependant, en vieillissant, nous serons de plus en plus confrontés à des situatons où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter l’agent pathogène à la porte d’entrée (principalement les barrières muqueuses comme les épithéliums respiratoires ou intestinaux). Dans ce cas, le système immunitaire doit s’appuyer sur des efecteurs plus spécialisés de notre système immunitaire (c’est-à-dire les Abs et les lymphocytes T spécifiques aux antigènes) pour combattre l’agent pathogène. Ainsi, en grandissant, nous développons de plus en plus une immunité spécifique à l’agent pathogène, y compris des Abs hautement spécifques. Comme celles-ci ont une affinité plus forte pour l’agent pathogène (par exemple, un virus) et peuvent ateindre des concentratons élevées, elles peuvent assez facilement supplanter nos Abs naturelles pour se lier à l’agent pathogène/au virus. C’est précisément ce type d’Abs hautement spécifques et de haute afnité que les vaccins Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble objectf de ces Abs est de nous protéger contre le Covid-19.
Alors, pourquoi l’utlisation de ces vaccins pour lutter contre le Covid-19 devrait-elle susciter de grandes inquiétudes ?
Eh bien, à l’instar des règles qui s’appliquent aux antbiotques antmicrobiens classiques, il est primordial que nos « antbiotiques antiviraux » maison soient disponibles en concentration suffisante et adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi. C’est pourquoi, en cas de maladie bactérienne, il est primordial non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (sur la base des résultats d’un antibiogramme) mais aussi de prendre l’antibiotique pendant une durée suffisante (selon la prescription). Si l’on ne respecte pas ces exigences, on risque de donner aux microbes une chance de survivre et donc de faire progresser la maladie. Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent facilement et rapidement muter (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus) ; lorsque la pression exercée par la défense immunitaire de l’armée (lire : de la population) commence à menacer la réplicaton et la transmission virale, le virus prend une autre enveloppe afn de ne plus être facilement reconnu et, par conséquent, ataqué par le système immunitaire de l’hôte. Le virus est alors en mesure d’échapper à l’immunité (c’est ce qu’on appelle l' »échappement immunitaire »). Toutefois, le virus ne peut recourir à cete stratégie que s’il dispose encore d’un espace suffisant pour se répliquer. Contrairement à la majorité des bactéries, les virus doivent compter sur des cellules hôtes vivantes pour se répliquer.
C’est pourquoi l’apparition de « mutants d’échappement » n’est pas trop inquiétante tant que la probabilité que ces variantes trouvent rapidement un autre hôte est assez faible. Toutefois, ce n’est pas le cas, en particulier, lors d’une pandémie virale ! Pendant une pandémie, le virus se propage dans le monde entier et de nombreux sujets excrètent et transmetent le virus (y compris les « porteurs » asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus le virus a de chances de tomber sur des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui ont été infectés mais n’ont pas développé de symptômes. À moins qu’ils ne soient sufsamment protégés par leur défense immunitaire innée (par des Abs naturelles), ils atraperont la maladie de Covid- 19 car ils ne peuvent pas compter sur d’autres Abs, c’est-à-dire des Abs acquises. Il a été largement rapporté, en efet, que l’augmentaton des Abs spécifques de S (spike) chez les personnes infectées asymptomatquement est plutôt limitée et de courte durée. En outre, ces Abs n’ont pas ateint leur pleine maturité. La combinaison de l’infecton virale sur un fond de maturité et de concentraton suboptale des Abs permet au virus de sélectonner des mutatons lui permetant d’échapper à la pression immunitaire. La sélecton de ces mutatons se fait de préférence dans la protéine S, car c’est la protéine virale qui est responsable de l’infectvité virale.
Comme les mutatons sélectonnées confèrent au virus une capacité infecteuse accrue, il devient beaucoup plus facile pour le virus de provoquer une maladie grave chez les sujets infectés. Plus le nombre de personnes développant une maladie symptomatque est élevé, mieux le virus peut assurer sa propagaton et sa perpétuaton (les personnes ateintes d’une maladie grave excrèteront plus de virus et pendant plus longtemps que les sujets infectés asymptomatques). Malheureusement, l’augmentaton éphémère de l’Abs spécifque au S suft à contourner l’Abs inné/naturel des gens. Ceux-ci sont mis hors d’état de nuire car leur afnité pour S est inférieure à afnité des Abs spécifques de S. Cela signife qu’avec un taux d’infecton croissant dans la populaton, le nombre de sujets qui sont infectés alors qu’ils connaissent une augmentaton momentanée de l’Abs spécifque au S augmentera régulièrement. Par conséquent, le nombre de sujets qui sont infectés tout en subissant une diminuton momentanée de leur immunité innée va augmenter. Par conséquent, un nombre toujours plus grand de sujets deviendront plus susceptbles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes légers (c’est-à-dire limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme. Lors d’une pandémie, ce sont surtout les jeunes qui seront touchés par cete évoluton, car leurs antcorps naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’antcorps « acquis », spécifques aux antgènes. Les Abs naturelles, et l’immunité naturelle en général, jouent un rôle essentel dans notre protecton contre les agents pathogènes, car elles consttuent notre première ligne de défense immunitaire. Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large éventail d’agents pathogènes (ne comprometez ou ne sacrifez donc pas votre défense immunitaire innée ) Étant donné que les cellules de l’immunité naturelle et innée reconnaissent un spectre diversifé d’agents étrangers (c’est-à-dire qui ne sont pas du soi) (dont certains seulement ont un pouvoir pathogène), il est important, en efet, de les maintenir sufsamment exposés aux défs environnementaux. En maintenant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire !) ENTRAÎNÉ, nous pouvons résister beaucoup plus facilement aux germes qui ont un réel pouvoir pathogène. Par exemple, il a été rapporté et prouvé scientfquement que l’expositon à d’autres coronavirus inofensifs provoquant un « rhume » peut fournir une protecton, bien que de courte durée, contre le Covid-19 et ses fdèles acolytes (c’est-à- dire les variantes les plus infectieuses).
La suppression de l’immunité innée, en partculier dans les groupes d’âge les plus jeunes, peut donc devenir très problématque. Il ne fait aucun doute que le manque d’expositon dû aux mesures de confnement rigoureuses mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfque pour maintenir le système immunitaire inné des gens bien entraîné. Comme si cela ne comprometait pas déjà fortement les défenses immunitaires innées de ce segment de la populaton, une autre force entre en jeu, qui augmentera de façon spectaculaire les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge les plus jeunes : la VACCINATION DE MASSE des PERSONNES ÂGÉES. Plus le groupe d’âge le plus âgé sera vacciné et donc protégé, plus le virus sera contraint de contnuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes. Cela ne sera possible qu’à conditon qu’il s’échappe vers les Abs spécifques S qui sont momentanément élevés chez les sujets infectés précédemment asymptomatques. Si le virus y parvient, il peut profter de l’immunité innée (momentanément) supprimée, provoquant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagaton. La sélecton de mutatons ciblées dans la protéine S est donc la voie à suivre pour que le virus augmente son pouvoir infecteux chez les candidats susceptbles de contracter la maladie en raison d’une faiblesse passagère de leur défense immunitaire innée.
Mais dans l’intervalle, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vaccinées, car elles sont de plus en plus souvent confrontées à des variants infectieux présentant un type de protéine S de plus en plus diférent de l’édition S fournie avec le vaccin (cete dernière éditon provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse, du début de la pandémie). Plus les variantes deviennent infectieuses (c’est-à-dire qu’elles bloquent l’accès du virus au segment vacciné de la populaton), moins l’Abs vaccinale protège. Dès à présent, l’absence de protection entraîne l’excrétion et la transmission du virus chez les personnes vaccinées qui sont exposées à ces souches plus infectieuses (qui, soit dit en passant, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vaccinés en porteurs asymptomatques excrétant des variantes infecteuses.
À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il deviendra plus rentable (en termes de « retour sur investssement de la sélecton ») pour le virus d’ajouter quelques mutatons supplémentaires (peut-être juste une ou deux) à la protéine S des variants viraux (déjà dotée de plusieurs mutatons améliorant l’infectosité) afn de renforcer sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimé à la surface des cellules épithéliales permissives. Cela permetra au nouveau variant de rivaliser avec les Abs vaccinales pour la liaison au récepteur de l’ECA. En d’autres termes, à ce stade, il sufrait de quelques mutatons ciblées supplémentaires dans le domaine de liaison au récepteur viral pour que le virus résiste totalement aux Abs ant-Covid-19 S-spécifques, que ces dernières soient induites par le vaccin ou par l’infecton naturelle. À ce stade, le virus aura en efet réussi à avoir accès à un énorme réservoir de sujets qui sont maintenant devenus très sensibles à la maladie, car leurs Abs S-spécifques sont maintenant devenues inutles en termes de protecton, mais parviennent encore à assurer une suppression de longue durée de leur immunité innée (c’est-à-dire que l’infecton naturelle, et surtout la vaccinaton, provoquent des ttrages Ab spécifques de durée relatvement longue). Le réservoir susceptble comprend à la fois les personnes vaccinées et celles qui ont reçu une quantté sufsante d’antcorps ant- spécifques en raison d’une maladie antérieure de type Covid-19.) Donc, MISSION ACCOMPLIE pour le Covid-19 mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vaccinés et les personnes séropositves pour le Covid-19 car ils ont maintenant perdu leur défense immunitaire acquise et innée contre le Covid- 19 (alors que des souches hautement infecteuses circulent !). C’est « un pett pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité », c’est-à-dire que nous aurons fait monter le virus dans la populaton jeune à un niveau tel qu’il ne faudra que peu d’eforts pour que le Covid-19 se transforme en un virus hautement infecteux qui ignore complètement le bras inné de notre système immunitaire ainsi que le bras acquis/adaptatf (que l’Abs acquise résulte d’une vaccinaton ou d’une infecton naturelle). L’avantage pour le virus est d’autant plus négligeable que de nombreuses personnes vaccinées sont maintenant exposées à des variantes virales hautement infecteuses alors qu’elles n’ont reçu qu’une seule injecton de vaccin. Ils sont donc dotés d’Abs qui n’ont pas encore acquis la fonctonnalité
Auteur: Geert Vanden Bossche, DVM, PhD (6/03/2021) – https://www.linkedin.com/in/geertvandenbossche/
optmimale. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela va simplement renforcer l’évasion immunitaire. En gros, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectueux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux : Le système immunitaire humain.
Compte tenu de tout ce qui précède, il est de plus en plus difcile d’imaginer comment les conséquences de l’interventon humaine étendue et erronée dans cete pandémie ne vont pas anéantr une grande parte de notre populaton humaine. On ne peut imaginer que très peu d’autres stratégies permetant d’ateindre le même niveau d’efcacité pour transformer un virus relatvement inofensif en une arme biologique de destructon massive.
Il est également utle de rappeler que les mutatons de la protéine S (c’est-à-dire exactement la même protéine qui est soumise à la sélecton des mutatons d’échappement) sont connues pour permetre aux coronavirus de franchir les barrières des espèces. Cela signife que le risque que l’échappement immunitaire médié par le vaccin permete au virus de sauter vers d’autres espèces animales, en partculier vers les élevages industriels (par exemple, les élevages de porcs et de volailles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour héberger plusieurs Coronavirus diférents et sont généralement hébergées dans des exploitatons à forte densité de peuplement. Comme dans le cas du virus de l’infuenza, ces espèces pourraient servir de réservoir supplémentaire pour le virus du SRAS- COVID-2.
Les agents pathogènes ayant évolué conjointement avec le système immunitaire de l’hôte, les pandémies naturelles d’infectons virales aiguës autolimitatves ont été conçues de manière à ce que le nombre de victmes humaines ne soit pas supérieur à ce qui est strictement nécessaire. En raison de l’interventon humaine, le cours de cete pandémie a été profondément perturbé dès le début. Des mesures de préventon de l’infecton strictes et généralisées, combinées à des campagnes de vaccinaton de masse utlisant des vaccins inadéquats, conduiront sans aucun doute à une situaton où la pandémie deviendra de plus en plus « incontrôlable ».
Paradoxalement, la seule interventon qui pourrait ofrir une perspectve de metre fn à cete pandémie (autre que de la laisser suivre son cours désastreux) est… LA VACCINATION. Bien sûr, le type de vaccins à utliser serait complètement diférent des vaccins conventonnels dans la mesure où ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK. Il existe en efet des preuves scientfques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé dans l’éliminaton complète du Covid-19 à un stade précoce de l’infecton chez les sujets infectés de manière asymptomatque. Les cellules NK font parte du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, comme les Abs naturelles, elles sont capables de reconnaître et de s’ataquer à un spectre large et diversifé d’agents pathogènes. Il y a de bonnes raisons scientfques de penser qu’il est possible de « préparer » les cellules NK de manière à ce qu’elles reconnaissent et tuent les coronavirus en général (y compris toutes leurs variantes) à un stade précoce de l’infecton. Les cellules NK sont de plus en plus souvent décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir une mémoire immunologique. En éduquant ces cellules de manière à leur permetre de reconnaître et de cibler durablement les cellules infectées par les coronavirus, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une ataque ciblée de l’univers des coronavirus avant l’expositon. Comme la défense immunitaire basée sur les cellules NK fournit une immunité stérilisante et permet une protecton rapide et à large spectre, il est raisonnable de supposer que l’exploitaton de nos cellules immunitaires innées sera le seul type d’interventon humaine restant pour stopper la dangereuse propagaton des variantes hautement infecteuses du Covid-19.
Si nous, les êtres humains, sommes déterminés à perpétuer notre espèce, nous n’avons d’autre choix que d’éradiquer ces variantes virales hautement infecteuses. Cela nécessitera, en efet, de vastes campagnes de vaccinaton. Mais les vaccins à base de cellules NK permetront surtout de mieux préparer notre immunité naturelle (mémoire !) et d’induire une immunité de groupe (ce qui est exactement le contraire de ce que font les vaccins Covid-19 actuels qui transforment de plus en plus les vaccinés en porteurs asymptomatques qui excrètent le virus). Il ne reste donc pas une seconde pour changer de vitesse et remplacer les vaccins tueurs actuels par des vaccins qui sauvent des vies.
J’en appelle à l’OMS et à tous les acteurs concernés, quelle que soit leur convicton, pour qu’ils déclarent immédiatement cete acton comme étant LA PLUS IMPORTANTE URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE DE PRÉOCCUPATION INTERNATIONALE.
Auteur: Geert Vanden Bossche, DVM, PhD (6/03/2021) –
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Tout cela est évident ,l’immunité collective entre dans une large part de l’éradication d’un virus , il n’est pas besoin d’être virologue pour le comprendre et ce n’est pas de la vantardise de ma part . N’importe quel gugus devrait le savoir !
Mais faire appel au bon sens, aujourd’hui, devient rare et est même combattu fermement . C’est l’époque du « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? ».
Surtout quand il y a des finalités sonnantes et trébuchantes à la clé!
Pourquoi l’immunité collective est elle devenue un mot tabou en plus de ceux de soigner et de traiter ???
En survaccinant , on empêche nos défenses immunitaires naturelles de faire leur boulot .
Le vaccin, d’outil sanitaire, est devenu un outil social, par exemple pour éviter les arrêts maladie qui imposent des quarantaines et coûtent chers à l’économie selon certains bureaucrates de la santé , vous savez ceux qui sévissent dans les ARS, les spécialistes du flux tendu qui imposent une occupation intensive des lits d’hôpitaux à 90 %,. Ce qui laisse peut de marge si un évènement inattendu , comme ce covid ,vient se greffer à cette belle mécanique !
D’où la nécessité pour ces mêmes bureaucrates de la médecine d’utiliser la facilité du recours à la vaccination massive pour pouvoir réaliser leurs objectifs comptables !
On a pris la décision de tout traiter par la vaccination d’où ces onze vaccins imposés aux enfants, dont la décision politique de leur administration massive et précoce chez les plus jeunes, aurait du interpeller l’opinion plus que cela. C’est choquant d’obliger les plus petits à se faire injecter un tel cocktail sinon de ne pouvoir profiter des établissements publiques de petite enfance ! Un vrai chantage !
C’est bien en amont du Covid que les vaccinateurs compulsifs ont commencé à sévir!
Il faudrait revenir à la base de l’utilité et du fonctionnement du vaccin pour mieux comprendre .
Les vaccins ne sert pas qu’au virus mais est aussi utilisé contre les agents pathogènes tels que les bactéries , les champignons et les parasites .
Lors de la confrontation de notre organisme à un de ces agents pathogène notre réponse immunitaire tardive peut engendrer une maladie qui pour certaines personnes fragiles pourraient leur être fatale. Les anticorps agissant sur les antigènes des agents pathogènes constituant le système immunitaire de chacun, le vaccin induit dans l’organisme un antigène pathogène affaibli qui sollicite la réponse immunitaire , tout en gardant la mémoire de l’antigène qui permettra à l’organisme de réagir beaucoup plus vite si celui ci est de nouveau confronté à ces agents pathogènes!
Tout cela étant dit , je comprend bien l’utilité indéniable du vaccin mais ce n’est pas de cela qu’il est question aujourd’hui mais de son utilisation sociale et politique par une bureaucratie , tout cela dans le cadre de la gestion d’une crise sanitaire qui devient un des élément plus vaste d’une ingénierie sociale ! Pour l’intérêt de qui??
Aujourd’hui des experts interviennent pour nous vanter les mérites du vaccin, mais aussi du confinement mais aussi du masque partout et tout le temps! Si chacun de ces élément pris un par un peut avoir son utilité médicale dans certaines conditions , tout cela imposé à tous ten permanence , massivement et autoritairement est un choix politique délibéré auquel on a le droit de s’opposer . Il est clair que la présence du virus après plus d’un an de mesures coercitives constitue un échec total de celles ci . Et que préconisent nos experts ? Toujours plus de confinement et de masques qui ont fait la preuve de leur inefficacité. C’est presque symptomatique ! Voudrait_ on garder le covid sous cloche pour mieux imposer l’ARN messager ?? Le docteur Geert von den Bossche démontre bien les méfaits de cette vaccination massive de la population et ses visées à court terme, les anticorps agissant ne prenant pas en compte les variants qui se présentent opportunément, et sont de plus en plus resistant en mettent à mal l’immunité innée, et fragilisant les plus jeunes qui n’ont pas développé suffisamment d’immunité acquise! .Les tests hyper sensibles servent aussi à conserver intacte la psychose collective qui s’est emparée de beaucoup de nos concitoyens qui permettra en plus du chantage au passeport sanitaire , cette vaccination des plus massive qui pourrait provoquer les conséquences inverse à celles recherchées . Ces vaccins ayant été conçu pour répondre à la première mouture du virus mais pas à ses variants!
La prévention envers les personnes fragiles , les traitements, l’immunisation collective et la vaccination en toute connaissance de chose sur la base d’un choix personnel sont , elles, sciemment ignorées .
Si on avait écouté et fait ce que le professeur Raoult préconisait , le virus ne serait qu’un lointain mauvais souvenir et on aurait pu mettre au point un vaccin avec toute la sérénité requise!
Comme je l’ai toujours dit ,a force de jouer aux apprentis sorciers dans leurs labos ils empoisonneront la terre entière!Voila c’est fait et ces virus sortent de nos labos et ont un numèro!et ils vont muter entrainant une grippe beaucoup plus dangereuse que le virus naturel!Alors il n’y aura que vos défenses naturelles pour vous défendre et des médicaments pour les renforcer ,mais ces médicaments comme l’Ivermectine sont interdits pour faire place a ces vaccins qui finalement ne feront que vous empoisonner d’avantage ,mais c’est plus rentable pour les labos!bref c’est Big-Pharma qui dirige la manoeuvre depuis dfin 2019!
cela me fait penser à l’antibiorésistance avec l’utilisation massive d’antibiotiques
Et bien tout ça correspond parfaitement à ce que pense Mme Caude, la vaccination de masse favorise les variants qui deviennent de plus en plus dangereux et difficiles à combattre. On observe des foyers de variants et à chaque fois et partout dans le monde lors des campagnes de vaccination. De plus en plus de gens vaccinés attrapent le covid ou variant, actuellement 7% des vaccinés sont atteint et cela risque d’entrainer une catastrophe mondiale.
cela fait un moment que je l’avis dit ,vacciner c’est remettre en route un virus!Il vaut mieux soigner et cela nos toubibs savent le faire mais on leur supprime les médicaments pour qu’ils ne le fassent pas !car le vaccin ça rapporte aux labos qui fabriquent les virus !tout cela dure depuis des années avec le vaccin contre la grippe saisonnière !mais le virus a muté il faut vous refaire vacciner c’est sans fin et voulu par Big-Pharma!
Le docteur Van den Bossche dit aussi que les vaccinés attrapant ces variants sont eux mêmes asymptomatiques , mais transmetteurs d’un variant beaucoup plus résistant y compris confronté à l’organisme d’un jeune dont l’immunité acquise n’est pas suffisamment développée ! Donc on pourrait aussi se poser la question de la vaccination obligatoire des plus âgés ?
Très inquiétant en effet. En espérant qu’il se trompe. Dans une de ses dernières vidéos, Raoult ne se prononce pas franchement contre la vaccination de masse, semblant toutefois la juger pas vraiment indispensable, lui concédant une utilité principalement pour les personnes de plus de 75 ans et au personnel soignant « fragile ».
Je pense qu’il se couvre étant donné qu’il est dans le collimateur du conseil de l’ordre, il ne déconseille pas, il ne conseille pas… il concède, que, peut-être…
Tout a fait vu sa position assis sur un siège éjectable face a Big-Pharma!
Je savais tout ça… je n’ai pas arrêter de le dire sur tous les supports possibles et sur Facebook, qui m’a pendant 3 jours empêché de publier… en tous les cas, je viens de mettre cet article sur mon Facebook… on verra s’ils me font la même chose ou non…. il est temps que les français retombent dans la réalité, la vraie, peut être celle de l’horreur qui ne veut pas dire son nom… mais personnellement je préfère m’inquiéter pour quelque chose qui en vaut la peine, plutôt que de croire au Père Noël!!! Merci beaucoup pour cet article, qui prouve exactement ce que je pensais… à force d’avertir, on finira par sauver l’humanité!!!
Donc, plus on vaccine, plus on aura des variants du virus, et on en aura jamais fini avec.
Et pensent revacciner à chaque nouvelle souche.
Bravo les scientifiques, objectif, population mondiale en 2140, 100 millions, les rescapés de la pandémie 2020
Personnellement, j’ai pensé, bien que je suis un béotien en la matière, que c’était la seule voie possible! Ainsi d’ailleurs que pour toutes les maladies, comme le cancer par exemple. Il paraîtrait que la recherche s’oriente dans cette direction!